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L'amour au boulot.

Chapitre 1

Erotique
Chapitre 1 / Bernadette et Jean-Louis.
Note de l’auteur : pour une fois, je n’ai pas scindé l’histoire, elle est donc complète mais les chapitres sont séparés.
Pour commencer, laissez-moi me présenter. Je me nomme Bernadette Durant, j’aurai trente neuf ans à la fin de l’année. Avec une taille d’un mètre soixante dix-sept, je suis plutôt grande pour une femme de ma génération. Brune à la peau mate de par mes origines latines, j’ai de longs cheveux d’un noir d’ébène qui la plupart du temps sont relevés en un chignon strict pour plus de facilités. J’ai une poitrine quelque peu opulente (un bon 90 C), ronde et ferme qui attire les regards des hommes. Ma taille s’évase sur des hanches que je trouve un peu larges mais, avec deux grossesses, cela n’a rien d’anormal. Je suis divorcée et, ayant eu la garde de mes deux fils, j’ai vécu seule de longues années pour me consacrer entièrement à eux et à ma carrière. Je suis chargée des relations extérieures d’une grande entreprise située dans le Quartier de la Défense ce qui fait que je suis assez libre de mes horaires et de ma présence au bureau.
Je vis depuis deux ans maintenant avec Jean-Louis. Il a mon âge. C’est un copain de lycée mais nous nous étions perdus de vue à la fin de nos études. Ingénieur agronome, il était parti à Madagascar au titre de la coopération pendant dix ans et ce n’est que fortuitement que nous nous sommes retrouvés : au centre de Paris, nous cherchions tous les deux un taxi, lui pour aller au Ministère de l’agriculture et moi pour rejoindre La Défense. Evidemment, nous n’avons pas pris le taxi tout de suite car pour bavarder et renouer contact, nous sommes allés boire un café dans une brasserie toute proche où nous avons convenu d’un rendez-vous pour un repas au restaurant le vendredi soir suivant. Ça tombait bien car mes deux enfants passaient le week-end avec leur père.
Tout au long du repas, nous avons échangé nos souvenirs, nous nous sommes confiés de ce que nous avions fait au cours de ces années écoulées. Revenu en France depuis une quinzaine de jours après une nouvelle mission en Afrique de l’Ouest, Jean-Louis me raconta les conditions parfois spartiates dans lesquelles il avait accompli ses missions à Madagascar, comment les malgaches et autres africains, pleins de bonne volonté mais sans beaucoup de moyens, arrivaient à obtenir de bonnes récoltes. Il insista aussi beaucoup (en se désolant de cette situation) sur les multinationales de l’agroalimentaire qui spoliaient les indigènes des bonnes terres et exploitaient cette main d’œuvre qui n’a plus de terres à cultiver à son profit !
Sans avoir bu excessivement au cours du repas, l’ambiance de ces retrouvailles dériva peu à peu sur une conversation plus légère. Je taquinais Jean-Louis sur ses éventuelles amours avec des belles indigènes et lui me faisait en retour une cour discrète faite de flatteries sur mon élégance, ma silhouette. Bref nous nous sentions bien ensemble alors qu’au temps de nos études, nous n’avions été que de bons copains. Sous la table, je sentais ses genoux chercher le contact avec les miens, ses pieds emprisonner une de mes chevilles... si bien qu’au lieu de nous séparer, je me suis retrouvée dans sa chambre d’hôtel dans le XIIème arrondissement.
L’un et l’autre nous savions ce qui va se passer et quand Jean-Louis me prit dans ses bras, je me collai à lui de tout mon corps et nous échangeâmes un baiser torride qui n’en finissait pas. Sans que nos lèvres ne se quittent, nous nous sommes déshabillés fébrilement avant de basculer, totalement nus, en travers du lit. Il y avait si longtemps qu’un homme ne m’avait pas prise, que c’est sans aucune pudeur que je me livrai aux assauts de Jean-Louis, qui, placé au-dessus de moi m’éperonna littéralement avec sa bite dure comme du bois.
Avant de nous endormir, nous avions fait l’amour deux fois et au réveil, en milieu de matinée, nous avions remis le couvert pour une étreinte plus tendre et câline. Finalement, je n’étais revenue chez moi que le dimanche en milieu d’après-midi, fourbue mais heureuse : Il y a si longtemps que je n’avais plus fait l’amour et ce ne seraient pas les séances d’onanisme avec des godes qui y auraient pu me satisfaire, moi qui ai toujours aimé les choses du sexe depuis qu’un copain de vacances avait pris mon pucelage l’été de mes 17 ans.
Quelques semaines plus tard alors que nous nous étions revus à plusieurs reprises, je reçus, sur mon téléphone portable, ce message de Jean-Louis :
— Caresse tes seins et ta chatte et vas te faire jouir dans les toilettes ! Je vais en faire autant en pensant à toi !
Au cours de nos rencontres, j’avais découvert que Jean-Louis est un coquin, libertin quelque peu dominateur, et ce message ne m’étonna guère car il m’avait libérée de certaines inhibitions qui freinaient ma libido : l’intimité préservée de ma chambre était un domaine secret. 
Je m’empressai d’aller dans le cabinet de toilette attenant à mon bureau et je commençai à me caresser : J’ouvris la veste de mon tailleur-pantalon puis glissant une main dans l’échancrure de mon chemisier, je titillais les bourgeons de mes seins. Waouh ! Pensai-je en moi-même, je suis si excitée qu’ils sont déjà sortis. Mon autre main descendit caresser mon pubis par-dessus le tissu du pantalon et du string. J’avais  chaud et bientôt cela n’a plus suffi. J’allai directement au contact de ma vulve que je trouvai inondée de cyprine.
 Aïe ! Mon portable sonne ! C’est Jean-Louis :

— Je veux t’entendre jouir !
Je répondis que je restais en ligne avec le haut parleur branché. Et aussitôt je repris ma caresse et j’étais de plus en plus excitée, si bien qu’il ne fallut pas bien longtemps pour qu’une jouissance démentielle éclate dans mon ventre. Alors que je ne me suis même pas pénétrée, je poussai un feulement sourd et je restai comme tétanisée pendant quelques minutes.
Jean-Louis m’ordonna alors :
— Bravo ! J’espère que c’était bon ! 20 heures ce soir à mon hôtel ! Sans string et sans soutif !
Et nous avons coupé la communication.
Après être repassée chez moi pour donner à dîner à mes fils et les directives pour la soirée, je m’apprêtais pour me rendre au rendez-vous fixé par Jean-Louis : Une douche rapide, un maquillage de soirée pas trop appuyé... je choisis dans ma garde-robe la tenue que j’allais mettre : une jupe droite noire un peu serrée sur les hanches qui mettait bien en relief le galbe de mes fesses et qui s’arrêtait un peu au-dessus des genoux, un sweatshirt ivoire moulant au décolleté en rond qui découvrait un peu mes épaules bronzées et pour finir je choisis une veste dépareillée à large encolure d’un rouge vif et qui ne ferme que par une cordelette réunissant deux boutons.
Quand je me vis dans le miroir, je n’ai pu m’empêcher de penser qu’en quelques semaines, je m’étais libérée d’un carcan de femme sérieuse et posée. Jamais je n’aurais oser sortir seule dans une tenue aussi provocante ! Avant d’enfiler la veste, je me suis rendue compte que les bourgeons de mes seins faisaient un relief très visible sous le tissu mais désormais Louis me dominait, il m’avait conduite dans des sentiers que j’ignorais.
A l’heure dite, un taxi me déposa devant l’hôtel et je gagnai directement la chambre de Jean-Louis. Il m’attendait debout au milieu du coin salon, la main gauche négligemment glissée dans la poche et un petit sourire aux lèvres. Il était vêtu d’un pantalon et d’un pull léger qui moulent son corps comme une seconde peau laissant distinguer ses pectoraux et abdominaux puissants et à l’entrejambe la bosse de son sexe :
— Stop ! Montre-moi ta chatte !
Je m’empressai d’obéir en faisant remonter le bas de ma jupe jusqu’à découvrir ma toison brune. Jean-Louis commanda à nouveau :
— Bien, maintenant le haut ! Montre tes seins !
Je déboutonnai ma veste que j’ôtai et je fis glisser l’échancrure de mon sweatshirt pour découvrir ma poitrine. Mes tétons étaient dressés au point que si je les touchais, j’allais avoir en même temps de la douleur et du plaisir. Mon amant approuva :
— C’est bon, tu as obéi à ce que je demandais ! Nous allons dîner légèrement ensuite je t’emmène là où j’en suis sur, tu n’es jamais allée.
J’étais intriguée car Jean-Louis ne m’avait parlé de rien lors de nos échanges téléphoniques ou par courriels. Je trouvais cependant que les propos qu’il me tenait étaient un peu chauds, mais au fond de moi, je me sentais flattée qu’un homme me désire à ce point.
Vers 23 heures, nous avons quitté l’hôtel en taxi et j’ai été intriguée par les indications données au chauffeur qui nous déposa devant une porte cochère Rue d’Argenteuil. Je ne voyais pas trop ce que nous venions faire à cette heure dans un tel endroit mais Jean-Louis semblait connaître... Il sonna à l’une des portes latérale qui s’ouvrit aussitôt.
Nous sommes entrés dans un couloir faiblement éclairé de petites lampes de couleur rouge et violette et j’entendais de la musique. Mon compagnon me tenait fermement par le coude droit et me poussait en avant et, après avoir passé une seconde porte, nous avons débouché dans un bar où seule la partie réservée aux deux serveuses est bien éclairée: Le reste était dans une pénombre relative avec quelques points de faible luminosité. Tout en me guidant la main droite sous mon coude gauche, Jean-Louis me dit à l’oreille :
— Viens, je vais te faire découvrir un bar libertin ! Je suis convaincu que tu ne connais pas ce genre d’établissement.
J’écarquillais mes yeux et je n’étais pas au bout de mes surprises : les deux serveuses ne portaient qu’une minijupe au ras des fesses et un haut en filet au travers duquel on pouvait voir les tétons qui pointaient. Plus loin, dans une première salle, des couples dansaient étroitement enlacés et je vis avec stupeur que la plupart des femmes avaient le buste nu. 
A nouveau dominateur mon amant dit :
— Viens ! Dansons !
Ces deux mots claquèrent sèchement et je n’ai pas pu me dérober lorsque Jean-Louis m’enlaça puis fit glisser ma veste et mon sweatshirt par-dessus mes épaules. Nous dansions ainsi une sorte de slow où je sentais la jambe de mon amant s’insérer entre les miennes puis son érection contre mon ventre et les tétons de mes seins frotter contre le tissu de sa chemise. Je commençais à avoir très chaud et à être excitée... Ensuite il me guida vers une autre salle où deux filles dansaient à moitié nues sur un podium entouré d’une cage métallique... Dans des alcôves j’entendis des soupirs comme si des couples y faisaient l’amour. Bref, au cours de cette soirée, je découvris ce qu’était un club libertin.
Jean-Louis me fit danser nue dans la cage lorsque les deux occupantes en sont sortie. Au départ, moi, une femme mature, j’eus honte de m’exhiber ainsi. Puis voyant de plus en plus d’hommes et quelques femmes s’arrêter à ma hauteur pour me regarder, je me livrai totalement dans une danse torride faite de poses suggestives et de caresses sur des endroits sensibles comme j’ai vu faire les deux filles qui m’avaient précédée dans la cage. Jamais je ne m’étais livrée ainsi, dans une impudeur totale. Ensuite, nous avions fait l’amour à deux reprises devant des couples de voyeurs qui, Jean-Louis me l’a dit après, auraient aimé participer à nos ébats.
Pendant près de six mois nous avons continué ainsi. Nous nous retrouvions parfois en pleine journée dans un hôtel complice où nous ne passions que quelques heures à faire l’amour. Généralement, nous nous étions bien excités auparavant par un chat coquin et, sans aucun préliminaire, nous nous envoyons en l’air. Nous sommes retournés à plusieurs reprises dans le club pour de belles parties de baise où nous nous livrions au mélangisme, simple échange de caresses avec d’autres couples, mais jamais un autre homme que Jean-Louis ne m’a prise.
Puis lors d’un week-end, je présentai mon amant à mes deux garçons qui l’accueillirent avec beaucoup de joie et d’humour malgré leur jeune âge (12 et 13 ans). En fait ils étaient heureux que je ne sois plus seule et au fil du temps, tous les trois devinrent très complices. Voyant cela, je proposai à Jean-Louis de s’installer chez moi, il ne pouvait pas rester indéfiniment à l’hôtel... Nous avions bien assez de place...
Au moins deux fois par semaine alors que l’un et l’autre, nous étions au travail, nous avions des conversations ou un échange des mails très chauds qui étaient un prélude à une partie de jambes en l’air à notre hôtel fétiche ou le soir quand les garçons sont couchés. Ces échanges me troublaient toujours autant et chaque fois, soit à la demande de Jean-Louis, soit d’initiative, je devais me soulager et faire tomber la pression dans le cabinet de toilettes de mon bureau. J’avais même, bien cachés au fond d’un tiroir, deux jouets à ma disposition pour me caresser jusqu’à la jouissance. Nous étions allés les acheter ensemble dans un magasin de la Place Clichy. Il m’arrivait même de porter un petit Plug bloqué dans mon anneau plissé.
Personne dans l’entreprise ne savait ce qui parfois se passait derrière la porte fermée de mon bureau. Certainement plus d’une personne en aurait été étonnée alors que je passais pour une femme « sérieuse et réservée ». C’était le jugement de mes supérieurs ! Et c’est justement un de mes jouets qui va me plonger plus profondément dans une sexualité inconnue.

Chapitre 2 Bernadette et Véronique.
Depuis plusieurs semaines, Véronique, une jeune stagiaire effectuait un stage de trois mois dans le cadre de son B. T. S. et elle passe d’un service à l’autre. En l’absence du D. R. H., je l’avais reçue lors de son entretien initial et je l’avais croisée à plusieurs reprises au détour d’un couloir ou d’un trajet en ascenseur. Nous échangions quelques mots dans un salut poli et nous en restions là.
Autant je suis brune, autant Véronique était blonde comme les blés. Aussi grande que moi, elle avait un visage fin encadré par des cheveux coupés en carré court, des yeux gris foncés, un nez droit et mince et une petite bouche à peine fardée. Sa silhouette mince avec une poitrine très menue et une taille étroite lui donnaient une allure androgyne.
Lundi passé, je m’apprêtais à quitter le bureau en fin de journée lorsque le téléphone a sonné. C’était un cadre en déplacement à l’étranger qui cherchait à joindre son patron. Tout le monde était déjà parti et il se rabattait sur moi pour traiter son problème. La porte du bureau était entrouverte et je vis le minois de la stagiaire s’y encadrer. Ne sachant pas ce qu’elle voulait et toujours occupée avec mon correspondant, je lui fis signe d’entrer. 
Là, elle me fit comprendre par gestes qu’elle souhaitait utiliser mon cabinet de toilette. Quand je terminai ma communication, je repensai soudain qu’un de mes jouets était resté sur le lave mains. Au même moment Véronique sortit du cabinet de toilette en tenant mon Plug entre ses doigts et me dit d’un air moqueur :
— Oh ! Madame Durant ! Quelle surprise ! Seriez-vous une coquine sous vos airs sérieux ?
En quelques secondes je me sentis pâlir puis rougir surtout quand elle s’approcha de moi et m’attira dans ses bras pour m’enlacer et chercher mes lèvres. J’étais tellement surprise que je ne résistai pas à cet assaut et à la main qui partit explorer le devant de ma poitrine pour débusquer un sein dans mon soutien-gorge. J’étais complètement désemparée ! Moi, pour qui les amours saphiques étaient quelque chose de sale et de vulgaire...
J’étais sans réaction quand la jeune stagiaire déboutonna ma veste et mon corsage et fit sauter l’agrafe de mon soutif pour venir cueillir un de mes tétons entre ses lèvres. J’aurais du la repousser, fuir, mais j’étais sans volonté. Maintenant j’avais chaud, je sentis mon sexe envahi par une douce chaleur et comme une sorte de poids dans mon ventre qui l’habitait lorsque j’allais jouir.
Comment à bientôt 39 ans, femme comblée par un amant doué, je pouvais commencer à éprouver du plaisir pour la première fois sous les caresses d’une autre femme qui s’enhardissait de plus en plus au point que mon buste était nu. Ma veste, mon chemisier, mon soutien-gorge, tout n’était qu’un tas de chiffons à nos pieds. Je réagissais de plus en plus faiblement ! Je me laissais faire !
Cette coquine allait me conduire sur les chemins d’une relation saphique... Mais elle n’oublia pas que nous pouvions être surprises aussi est-elle allée verrouiller la porte du bureau. Avant de me reprendre dans ses bras, elle ôta son sweatshirt et je découvris sa poitrine si menue qu’elle ressemblait plus à celle d’une adolescente qu’à celle d’une jeune femme de 21 ans. Elle ne portait même pas de soutien-gorge !
Véronique se colla à moi, se frotta contre moi, ses petits seins tout juste à la même hauteur que les miens les faisant rouler pendant que nous échangions des baisers à en perdre le souffle. Entre mes cuisses qui s’ouvraient, une main indiscrète remontait sous ma jupe et venait masser mon Mont de Vénus et ma chatte ruisselait de plus en plus.
Véronique me repoussa de telle sorte que mes fesses se collèrent contre le plan de travail de mon bureau puis elle s’agenouilla devant moi, remonte ma jupe au-dessus de la taille, elle fit glisser mon string totalement humide et posa ses lèvres sur mon clitoris tout bandé. Elle le prit dans sa bouche, le mordilla, le suça avant de descendre plus bas et d’ouvrir ma fente avec sa langue pour la darder ensuite à l’entrée de ma vulve.
Waouh ! Que c’est bon !
Je n’aurais jamais imaginé que de recevoir un cunnilingus de la part d’une femme, c’était presque meilleur que la même caresse prodiguée par un homme. Était-ce quelque part le fait de braver les convenances ? En tout cas j’appréciais au point qu’une vague de plaisir déferla en moi pendant que mon amante lapait la cyprine qui coule entre mes lèvres intimes. Certainement pour me déculpabiliser, Véronique me dit doucement :
— N’ayez pas honte ! Depuis notre entretien, j’ai envie de vous, de vous faire l’amour. Je n’ai jamais connu d’homme mais, sans me vanter, j’ai déjà connu pas mal de femmes de tous âges auxquelles j’ai donné beaucoup de plaisir. Certaines me l’ont rendu...
Je ne sus pas trop comment accueillir cet aveu mais je relevai Véronique pour la prendre dans mes bras et l’embrasser, un peu comme une jeune amie que je consolerais. Je retrouvai sur ses lèvres mon odeur et le goût de ma cyprine que j’avais découvert lorsqu’après avoir fait l’amour avec Jean-Louis, il m’arrivait de le prendre en bouche pour qu’il bande à nouveau pour me baiser une seconde fois. Devant cet aveu, je lui dis :
— Je n’en doute pas ! Si tu veux, je vais te rendre ta caresse mais je ne sais pas comment faire ! Tu va me guider ?
Le visage de Véronique s’illumina d’un grand sourire quand elle susurra :
— Oh oui ! J’ai envie de ta langue sur ma chatte ! Je suis déjà bien mouillée !
Quelques jours après, je m’étonne encore de la facilité avec laquelle Véronique m’avait entraînée dans les plaisirs saphiques. Désormais chaque vendredi soir, elle me retrouvait dans mon bureau... Nous ôtions mutuellement nos habits en échangeant baisers et caresses et, lorsque nous étions nues toutes les deux, Véronique s’allongeait sur le dos en travers de mon bureau, cuisses ouvertes, les jambes pendantes et le sexe offert à ma bouche avide :
— Viens, pose tes lèvres sur mon sexe et joue avec ta langue comme si tu te faisais du bien avec un doigt... Fais courir la pointe jusqu’au clitoris et suce le comme si tu suçais un bonbon... Ensuite tu feras des allers-retours entre mes lèvres jusqu’à l’entrée de ma chatte.
Comment pus-je obéir ainsi à cette jeune femme alors que j’avais un poste à responsabilité dans la Société ? Est-ce que Jean-Louis avait ouvert à ce point les vannes de ma libido pour que je me livre ainsi sans pudeur aux caresses d’une autre femme à laquelle je vais les rendre ? Serai-je désormais aussi soumise aux caprices de mon corps ? En tout cas, j’étais tellement excitée que je ne réfléchis plus, je me concentrai sur ce que je faisais à Véronique et je suivis sans rechigner les ordres qu’elle me donnait, emplissant mes narines de son odeur un peu épicée.
Quand je levis les yeux, je vis son ventre plat qui palpitait, elle avait les mains posées sur ses seins et les passait doucement pour faire rouler les tétons dans sa paume. Son souffle se précipitait au fur et à mesure que ma caresse intime faisait monter son plaisir. Sa tête allait de gauche à droite et inversement. Véronique m’encourageait :
- C’est bien ! C’est bon ! Tu vas me faire jouir !
Et effectivement ma caresse porti ses fruits. Véronique poussa un feulement rauque puis une série de cris aigus quand elle jouit, enserrant ma tête entre ses cuisses. Je me relevai pour m’asseoir dans mon fauteuil pour réfléchir, récupérer un peu de mes émotions et Véronique vint se mettre en travers de mes cuisses et m’embrassa à nouveau à bouche que veux tu :
— Tu vois, ce n’est pas difficile ! Dès la première fois tu m’as fait grimper aux rideaux ! Es-tu bien sûre que ce soit la première fois que tu donnes du plaisir à une autre femme ? Ou alors, tu as l’habitude de te masturber !
Dans un souffle, je concédai :
— Oh oui, cela m’arrive, d’ailleurs j’ai tout ce qu’il faut, caché au fond d’un tiroir.
Véronique me demanda de lui montrer mes jouets. Et là, sans aucune pudeur ni réserve, je sortis les deux godes. Le premier était en plastique un peu rigide dont l’extrémité était pourvue d’un beau gland tout rond. Lorsque Jean-Louis et moi nous l’avions choisi dans un sex-shop, nous l’avons sélectionné parce qu’il ressemblait beaucoup à sa queue. Le second est un peu plus long et plus fin avec un gland pointu qui s’évasait doucement jusqu’au bourrelet. J’indiquai alors à mon amante comment le choix s’était fait, expliquant que le second tout comme le Plug étaient destinés à assouplir les muscles de mon anneau serré pour que Jean-Louis arrive à me sodomiser.
Ce soir-là Véronique et moi, nous quittâmes la Société avec beaucoup de retard sur un horaire habituel. Nous avions fait l’amour en 69, vautrées sur la moquette, Véronique au-dessus de moi. Le plaisir m’avait terrassée une seconde fois quand je sentis sa langue parcourir ma vulve et un de mes godes aller et venir dans ma chatte... alors que mes mains posées sur ses fesses, je léchais ses orifices, passant de l’entrée de sa vulve et celle de son anus.
Bien plus tard dans la soirée quand je me couchai près de Jean-Louis et qu’il me demanda comment s’était passée ma journée, je lui racontai ce que j’avais vécu avec Véronique. Je constatai alors que l’un et l’autre, nous étions excités à cette évocation. J’avais dans mon ventre cette boule lourde et chaude que je connaissais bien désormais quand l’envie de faire l’amour me prenait et le sexe de Jean-Louis était dressé comme un pic, dur comme du bois et suintant... Lorsque cet estoc me pénétra, je m’ouvris à lui mais dans ma tête, je ne cessais de penser à Véronique.

Chapitre 3. Bernadette, Jean Louis et Véronique.
Les jours passèrent. Au moins une fois par semaine, je faisais l’amour avec Véronique et cette relation saphique avait achevé de me libérer sexuellement. J’avais de plus en plus envie de ses caresses sur tout mon corps, de ses longues jambes qui s’emmêlaient avec les miennes lorsque dans la position du papillon nous frottions nos vulves l’une contre l’autre, mélangeant nos sucs intimes qui coulaient abondamment le long du gode à double tête que Véronique avait apporté.
Mes parties de baise avec Jean-Louis n’en étaient pas moins torrides : on aurait dit que le désir l’un de l’autre était exacerbé lorsque je sortais des bras de mon amante, que déjà satisfaite émotionnellement, je souhaitais une étreinte virile pour combler mon corps de cette jouissance divine.
Véronique devint aussi une sorte de confidente, jeune sœur que je n’ai pas eue, à laquelle je me confiais dans des échanges des plus intimes. Quand elle m’expliquait comment elle s’était tournée vers les amours saphiques à la suite d’une agression sexuelle quand elle est entrée au Lycée, je lui racontais mes sorties en clubs libertins avec Jean-Louis, comment j’acceptais désormais de me livrer totalement sur la piste de danse en balançant au rythme de la musique ma poitrine opulente et mes fesses bien rondes. Je lui confiais aussi comment j’acceptais les caresses des autres partenaires qui désormais peuvent pénétrer mes orifices de leurs doigts... mais pas de leur sexe ! C’était en quelque sorte réservé à Jean-Louis !
Ce dernier est de plus en plus curieux de ma relation avec Véronique au point qu’il m’incita à nous filmer lors de notre prochaine rencontre qui doit être la dernière au sein de la Société : le stage sera terminé à la fin de la semaine.
Ce soir-là, j’attendis avec impatience l’arrivée de Véronique dans mon bureau. Sciemment, j’avais laissé mon ordinateur et ma caméra de visioconférence en marche. J’expliqua à Véronique que je voulais, si elle y consentait, conserver un petit film d’une de nos séances saphiques pour le regarder avec mon compagnon :
— Oh oui ! Quelle bonne idée !
Ce que je ne lui dis pas, c’est qu’en plus d’enregistrer, l’ordinateur va envoyer les images sur celui de Jean-Louis !
Nous nous prîmes dans les bras et commençâmes à échanger force baisers, de plus en plus chauds. Nos mains partirent une nouvelle fois à la découverte du corps d’autre pour le dénuder. Véronique se pressa contre moi, insinua une cuisse entre les miennes, frotta son pubis contre le mien qui déjà laissait suinter sa cyprine. Nos mains plaquées sur les fesses de l’autre pressaient nos corps l’un contre l’autre : nous ne faisions plus qu’un tant nos membres étaient emmêlés.
Je poussai doucement Véronique sur un des fauteuils qui faisaient face au bureau, je l’obligeai à s’agenouiller sur l’assise, les bras posés sur le haut du dossier. Ainsi placée en levrette, de trois quarts par rapport à la caméra, Jean-Louis ne perdra rien du spectacle que j’allais lui offrir quand j’allais lécher les orifices offerts à ma convoitise, les pénétrer de ma langue et de mes doigts... En quelques semaines, j’étais devenue bisexuelle, aimant faire l’amour aussi bien avec Jean-Louis que Véronique qui se pâmait sous mes attouchements et mes baisers.
Puis ce fut au tour de Véronique de me faire l’amour. Dans la même position, elle s’agenouilla derrière moi, posa ses mains sur les fesses qu’elle écarta pour faire saillir la rosette plissée de mon anus et y darder sa langue pointue. Quand ma rondelle a été bien humidifiée, elle y glissa mon gode fin qui pénétra jusqu’à la garde et elle vint par en dessous laper ma fente complètement inondée avant de sucer mon clitoris ce qui eut le don de me faire partir dans les transes de la jouissance en quelques minutes. Nous avons terminé sur la moquette dans un 69 échevelé où c’est à celle qui dominera l’autre. Pour la dernière fois, Véronique et moi, nous faisions l’amour dans mon bureau, mais là, la caméra ne put pas nous enregistrer.
Avant son départ, je remis à Véronique une copie de l’enregistrement avec une carte dans laquelle je la remerciais de m’avoir fait découvrir tout cela ! Jamais je n’ai pu pénétrer la chatte de Véronique autrement qu’avec un doigt ou deux, arrêtée à chaque fois par son hymen encore intact. J’aurais bien aimé... voir un sexe mâle y entrer et lui faire goûter une autre sorte de jouissance.
Quelques mois ont passé quand en fin de semaine je reçus un appel téléphonique de Véronique. Elle m’annonçait qu’elle était reçue à son B. T. S. et qu’elle me remerciait encore de l’appréciation que j’avais apportée à son rapport de stage. Nous avons bavardé longuement, reparlant de cette période et des personnes qu’elle avait côtoyées dans l’entreprise. Elle évoquait nos étreintes saphiques en me disant que depuis, elle n’avait plus rencontré une femme qui ait su si bien la comprendre et ne pas porter de jugement sur son orientation sexuelle. Elle m’expliquait comment de temps à autres elle regardait le DVD de notre dernière rencontre mais que depuis quelque temps, elle m’enviait de pouvoir faire l’amour avec un homme. Je lui dis alors :
— Véronique, je vais te confier quelque chose. Si tu ne m’avais pas appelé, tu n’en n’aurais jamais rien su !
Elle m’interrogea :
— Sur quoi ?
Sans ambages, je lui avouai que lors de notre dernière séance, j’avais enregistré une partie de nos ébats mais que j’avais envoyé en même temps les images à mon compagnon Jean-Louis. Véronique, intriguée me demanda :
— Et alors ? Qu’a-t-il dit ?— Qu’il aimerait bien être le premier homme à te baiser !
Nous avons continué ainsi notre bavardage pendant quelques minutes jusqu’à ce que Véronique me proposa d’allumer ma caméra de visioconférence et de me brancher sur son ordinateur. Lorsqu’elle apparut à l’écran, elle était nue sur son lit, les cuisses écartées et elle caressait la chatte en introduisant deux doigts à l’intérieur. J’ai aussitôt une bouffée de désir pour ce corps androgyne aux hanches étroites et à la poitrine menue, ce corps grâce auquel j’avais découvert que je pouvais lui donner beaucoup de plaisir... et en recevoir...
Je remontai ma jupe autour de ma taille, je posai mes cuisses ouvertes sur les accoudoirs de mon fauteuil et les pieds sur le plan de travail de mon bureau. C’était l’été ! Il faisait chaud ! Aujourd’hui je ne portais même pas de string ! Véronique pouvait voir ma vulve en gros plan sur son écran. D’une main j’ouvris mes lèvres intimes et je glisse plusieurs doigts de l’autre dans mon orifice.
J’étais devenue une vraie salope, avide de sexe et de jouissance au point de me masturber au moins une fois par jour et de porter un Plug dans mon anneau plissé le plus souvent possible. Entre mon amant Jean-Louis et Véronique, j’avais découvert à près de 40 ans les plaisirs du sexe et du libertinage ! Et je ne m’en privais pas ! Je n’aurais jamais imaginé lorsque fortuitement j’ai rencontré Jean-Louis que je deviendrais libertine et que j’entretiendrais pendant plusieurs semaines une liaison saphique avec une femme beaucoup plus jeune que moi... Et en remontant un peu dans le temps, me livrer aux regards d’hommes et de femmes dans des clubs libertins. Les caresses auxquelles je me livrais et les souvenirs qui tournaient dans ma tête me chauffaient tellement que j’ai joui quasiment en même temps que Véro’ que je voyais se tordre de plaisir sur son lit
La semaine suivante, j’appelai Véro’ chez elle pour l’inviter à dîner le samedi. Je serai seule avec Jean-Louis à qui je n’avais pas caché notre séance de masturbation. Il a semblé très intéressé par les propos de mon « amie » et disant que si elle avait envie de goûter au sexe d’un homme, il était disposé à cela. Quant à moi, je n’étais pas contre... à condition que j’assiste...
Le samedi soir arriva ! Je préparai un dîner léger à base d’aliments choisis avec un vin rosé de Provence. Pour l’accueil de Véro’, il y avait une bouteille de champagne au frais. Au niveau des vêtements, j’enfilai une jupe longue qui arrivait à mi mollets en tissu fluide, s’ouvrant sur le devant par une rangée de bouton et un chemisier en voile assorti qui laissait voir en transparence mes seins opulents. Je ne mis ni soutif, ni bas, ni string ! Ma vulve était totalement accessible et pour une fois, je n’avais laissé qu’une fine bande de poils sur mon pubis. Jean-Louis s’apprêtait également pour cette soirée qui sera peut être spéciale : Pantalon et polo en lin blanc avec un string. Je savais que ce coquin s’était rasé les bourses et la base de sa queue...
Quand j’ouvris la porte à Véro’, j’eu une surprise, elle avait laissé pousser ses cheveux qui désormais lui arrivaient presque à la moitié du dos. Toujours à peine maquillée, elle portait un sweatshirt très largement décolleté à manches courtes et une minijupe plissée et des bottes à hauts talons arrivant sous le genou. Je la complimentai sur son allure et je la guidai jusqu’au salon où l’attendait Jean-Louis.
Pour prendre le dessert et le digestif, nous sommes revenus au salon où nous prîmes place tous les trois dans le canapé d’angle. Nous étions un peu euphoriques et Jean-Louis n’arrêtait pas de faire des plaisanteries à double sens avec bien évidemment une connotation sexuelle et l’une et l’autre nous entrions dans son jeu.
Ça devenait de plus en plus chaud. Je m’allongeai quelque peu sur le genoux de Jean-Louis pour aller caresser les genoux et les cuisses de Véro’. Sciemment je posai une main au niveau de l’entrejambes de mon amant et je découvris qu’il bandait comme un taureau. Je me redressai et saisissant la main de Véro’, je la posai là où se trouvait la mienne :
— Sens comme ce coquin bande ! Il s’est bien excité avec ces histoires !
Aussitôt Véro’ pose sa main droite sur le pubis de Jean-Louis et dit :
— Oh oui, je sens !... Et elle est grosse !— Eh bien, va la chercher, tu la verras de plus près !
Timidement Véro’ fit glisser le zip du pantalon et dégrafa la ceinture pour faire apparaître le sexe masculin qui l’intriguait tant. Elle palpa doucement ce barreau de chair bandée qui ne tenait même plus dans le string. Pour qu’elle soit plus à l’aise, j’aidai Jean-Louis à ôter ses vêtements pour qu’elle découvre un corps d’homme bien balancé. C’est vrai que sans être maigre, Jean-Louis possédait un corps d’athlète aux muscles finement dessinés. C’est le MALE dans la plénitude de la quarantaine, sur de lui et de son charme.
Dès que Jean-Louis fut nu, je glissai sur la moquette et je pris son sexe dans une main et j’attirai Véro’ à genoux près de moi pour qu’elle ait ce pieu de chair à la bonne hauteur :
— Prends-le en main ! Tu verras, il est doux et dur à la fois !
Timidement, Véro’ avoua :
— Je n’ose pas, c’est la première fois !
Je lui dit de ne rien craindre, que Jean-Louis n’attendait que ça ! En disant ces mots, je fis glisser la minijupe et le sweatshirt de Véro’ par-dessus ses épaules. Elle ne portait plus qu’un joli tanga de dentelle blanche et ses bottes. J’ôtai également mes vêtements et je me collai derrière elle, ses petites fesses contre mon pubis et mes seins pressés contre ses omoplates. Je soufflai à son oreille :
— Prends-le dans ta main. Entoure le de tes doigts et fais des mouvements de va-et-vient ! C’est comme ça qu’on masturbe un homme ou qu’il se masturbe lui-même !— Il est chaud et gros ! Je n’en avais vu qu’en photo, c’est doux à caresser.— Oui ! Tu verras, bientôt un fluide va pointer dans le méat ! ça signifiera que Jean-Louis est bien excité. Pour faire jaillir le sperme, c’est un peu plus long !
Pendant ce temps je laissai courir mes mains sur le corps de mon amante, je suivi la courbe de ses hanches, je remontai vers ses seins que je massai dans la paume de mes mains, je redescendis ensuite jusqu’à son pubis que je découvris bien humide : l’excitation gagnait cette jeune coquine. Quant à moi, ma chatte ruisselait littéralement. J’ajouta :
— Maintenant, je vais te montrer comment on peut faire plaisir à un homme ! Je vais prendre sa bite dans ma bouche pour la sucer, comme quand nous nous suçons mutuellement ! Je t’expliquerai ensuite et tu en feras autant !— Oh oui, fais moi tout découvrir ! J’ai envie de faire l’amour avec un homme et ce sera le tien qui aura ma virginité !
Je pris le sexe de Jean-Louis jusqu’au fond de ma bouche, je creusai les joues pour l’aspirer puis je jouai sur le gland et le frein avec la pointe de ma langue avant de céder ma place à Véro’ :
— Vas-y, fais la même chose, je vais te guider !
Il ne fallut pas longtemps à Véronique pour comprendre et faire ce que je lui indiquais. Elle s’y prit si bien malgré l’étroitesse de sa bouche par rapport au diamètre de la queue de Jean-Louis que ce dernier la repoussa soudain en disant :
— Attention, je vais gicler ! Recule-toi !
Et là, quelques beaux jets bien drus vinrent s’écraser sur la poitrine de Véro’, maculant ses seins de traces blanchâtres que je m’empressai d’aller lécher en même temps que les tétons qui étaient bien sortis...
Cette nuit là, Véronique devint une femme à part entière, découvrant enfin le plaisir de se livrer totalement à un homme. Jean-Louis la dépucela dans la traditionnelle position du missionnaire et, après un temps de repos, il la prit en levrette pendant que toutes les deux, nous étions en 69. Mon copain ne me baisa pas ce soir là, je me fis plaisir en utilisant un gode ventouse fixé sur la table de salon. Le lendemain matin, je fus baisée comme une reine sous les regards de Véro’ qui avait partagé notre lit.
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