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L'amour chez les séniors est toujours possible...

Chapitre unique

...même après une opération de la prostate

Erotique
Agé de soixante-quinze ans, j’étais jusqu’à présent un homme en pleine forme sexuellement parlant. Marié à une femme de cinq ans ma cadette, nous faisions encore l’amour deux à trois fois par semaine. Et croyez-moi, ma femme en voulait. Nous avions des orgasmes intenses et simultanés et elle était toujours partante dès que je la sollicitais. Souvent c’était elle qui venait me provoquer et bien entendu je ne disais pas non…
Depuis quelques années, je me levais plusieurs fois par nuit pour aller pisser. Je me lavais toujours après car c’était souvent l’occasion pour ma femme de me prendre en bouche pour me faire bander et ainsi la satisfaire. Sa jouissance était intense malgré ses problèmes de sécheresse vaginale qu’elle compensait avec une crème faite pour ça. De plus, comme je mettais du temps avant d’éjaculer, je pouvais la mener au plaisir trois fois de suite avant que je finisse.
Suite à ces problèmes j’ai eu le malheur de consulter un urologue qui, après de nombreux examens, dont une biopsie de la prostate qui s’est révélée négative sur une possibilité de cancer, m’a dit que celle-ci était trop grosse et qu’il fallait m’opérer.
J’ai posé de nombreuses questions et il m’a assuré que pour enlever l’adénome sa méthode faisait que le seul inconvénient que j’aurai, serait une éjaculation rétrograde. Que n’avais-je fais en donnant mon accord !Les premiers temps, après l’opération, j’ai pu satisfaire ma femme en m’aidant avec du Viagra ou, mieux du Cialis ; l’effet dure plus longtemps. Puis, au fil du temps, mes érections sont devenues molles et j’avais du mal à pénétrer ma femme car, du fait de sa sécheresse vaginale, l’accès à son vagin était quasiment impossible. Le temps qu’elle mette de la crème et j’avais débandé sans possibilité que ça revienne.
Les produits, quels qu’ils soient, n’avaient pratiquement plus aucune efficacité. J’obtenais juste d’avoir une verge molle qui l’excitait suffisamment en frottant son clitoris ou en entrant d’un centimètre ou deux dans son vagin. Elle me disait que dans ces cas, elle avait un orgasme violent. Ce qui la satisfaisait mais me laissait frustré. Elle essayait alors de me masturber ou de me sucer mais sans jamais pouvoir me finir. J’étais bloqué.
Dans ces conditions j’attendais de longues semaines avant de refaire une tentative, généralement soldée par un nouvel échec.Inutile de vous dire que je n’arrivais pas à me branler non plus, même devant un porno.Ce n’était pas dû à un manque d’amour ou de désir car ma femme, à son âge, est plus que désirable ; il n’y a qu’à voir les regards que portent les hommes sur elle. D’ailleurs les seuls moment où je bande, après avoir pris des produits, c’est quand je mets ma queue entre ses fesses et que je la doigte. En général elle part au quart de tour.
Nous avons longuement discuté pour trouver des solutions, surtout pour elle qui avait besoin de jouir. Les jouets ne lui faisaient aucun effet car ce qu’elle voulait, ce n’était pas d’un leurre mais de ma bite comme elle aimait le dire vulgairement.
De plus, alors que des années auparavant nous avions couramment ce genre de pratique, elle ne voulait plus que je lui fasse de cunnilingus. Elle disait qu’à son âge, elle pouvait me transmettre des maladies.
Je n’ai plus insisté ; quand une femme dit non c’est non !Jusqu’au jour où, un peu éméché après un repas arrosé, pilule de Viagra avalée, je lui ai dit au moment de se coucher :
— Je vais te brouter le minou.
Ce à quoi elle a répondu, probablement désinhibée par l’alcool :
— Si tu veux !
Je l’ai alors positionné sur le lit, jambes pendantes et j’ai mis ma tête entre ses cuisses. Pendant de longues minutes j’ai travaillé sa chatte avec ma langue avide, lapant par moment son clito bien tendu. Son corps s’est alors mis à frémir, elle a pressé ma tête dans son entre-jambe et elle a joui. Sa foufoune ruisselait de cyprine. J’ai constaté alors que sa sécheresse vaginale était devenue inexistante. Ça m’a fait tout drôle de la voir ainsi. C’est alors que je me suis mis à bander.
Je n’ai pas attendu et sans aucun obstacle ; son vagin bien lubrifié naturellement ; je l’ai pénétrée d’une seule poussée. Ma femme a poussé un cri, vue que c’était la première fois depuis longtemps que j’y arrivais. J’ai alors pu, comme avant, la pilonner de grands coups de bite pour la faire jouir plusieurs fois de suite.
Nos bouches se sont retrouvées dans un baiser violent. Elle n’a pas détourné la tête alors qu’elle n’a jamais voulu que je l’embrasse après un cunnilingus. Nous avons eu un orgasme commun, le premier depuis longtemps. Elle a eu l’impression que je venais d’éjaculer en elle ; fausse idée ou réalité ?Apaisés tous les deux, allongés main dans la main, ma femme s’est mise à parler. Je l’ai laissée faire sans l’interrompre :
— Tu sais mon chéri que tu m’as fait jouir plusieurs fois et je suis heureuse que toi aussi tu aies pu finir. En fait je suis une conne de t’avoir empêché de me lécher pendant des années. Je n’ai pas vu que pour toi, mais aussi pour moi, des préliminaires étaient indispensables plutôt que mettre de la crème. On a pu faire l’amour sans que le processus normal soit interrompu et que tu débandes à cause de ça. Du coup, ta queue, bien dure, dans mon vagin désormais bien lubrifié, a contribué à ce que nous soyons revenus à une pleine harmonie sexuelle. J’ai enfin compris comment on pouvait désormais fonctionner. Le fait aussi de t’avoir embrassé alors que ta bouche était pleine de mes saveurs intimes ; chose que je te refusais aussi ; a été un fort contributeur.
Désormais, quand j’aurai envie de faire l‘amour avec toi, au lieu d’attendre que tu viennes vers moi, je te proposerai de prendre la petite pilule bleue. Si c’est toi qui en a envie tu me diras que tu viens de la prendre. Ce sera alors le signe qu’à partir de ce moment-là nous entrerons dans un cycle amoureux. Nous entamerons alors des préliminaires où plus rien ne sera tabou entre nous.
Je vais d’ailleurs te le prouver !A ces mots elle se jette sur ma bite et l’engloutit immédiatement. Mon sexe qui sort de sa chatte et que je n’ai pas lavé ! C’est fabuleux. Elle me pompe comme une furie, me met un doigt dans le cul ; une nouveauté ; et masse ma prostate. L’effet est immédiat, je bande à nouveau. Elle m’avale complètement. Mon gland touche sa glotte. Elle se laisse dominer. Je baise désormais sa gorge. Elle salive énormément, la bave coule de ses lèvres. Je veux me retirer pour lui faire l’amour. Elle m’en empêche en pressant mes fesses pour que mon pubis s’appuie fortement sur son visage. Elle m’a avalé jusqu’aux couilles. Je sens alors une montée de désir s’emparer de moi, des contractions de ma verge et je finis ; je crois ; dans sa bouche.
Elle me confirme qu’elle a bien senti que je finissais mais qu’aucun liquide, hormis quelques gouttes, n’est sorti de mon vit. Depuis nous vivons à nouveau une sexualité accomplie. Comme quoi le dialogue dans un couple est très important. Encore faut-il trouver le moment !
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