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L'amour dans les cordes

Chapitre 5

SM / Fétichisme
Comme toutes les semaines, mon mec revenait de sa semaine de voyage. Je jouais les faux-culs et il n’y voyait que du feu. Moi par contre j’avais bien remarqué un résidu de rouge à lèvres sur un de ses cols de chemise qu’il avait bien tenté d’effacer mais pas complètement. « Encore une de ses putes ! » me suis-je dit. J’ai fait semblant de ne pas l’avoir vu quand je lui ai fait sa lessive. Je faisais tout pour endormir sa vigilance. Je voyais sa sacoche dans son bureau et je ne rêvais que d’une chose : l’ouvrir et fouiller. Pour ça j’avais prévu de glisser un somnifère dans son verre. Après le repas, il a voulu m’aider pour la vaisselle mais je lui ai dit que je m’en chargerai plus tard. Faisant semblant de montrer de l’intérêt pour son boulot, je lui ai demandé de me décrire sa semaine et il s’est mis à me la raconter mais à la fin j’ai eu une surprise. Il m’a parlé d’une soirée, un diner d’entreprise, ayant lieu chaque année, d’ici un mois, un vendredi soir. Il voulait qu’on y aille ensemble.
J’ai trouvé étrange sur le coup de ne jamais y avoir été convié car d’après Antoine, tout le monde, à la boite, y allait avec son conjoint. Au départ j’étais frustrée d’avoir été écartée d’un tel évènement et je ne me suis pas gêné pour le lui dire. Il m’a dit que s’il ne m’y avait jamais emmené c’était parce qu’il ne voulait pas me voir me faire draguer par ses collègues. Il m’a décrit plusieurs d’entre eux comme des dragueurs lourdingues, des vieux gars genre brute épaisse pour les routiers et des pétasses vieilles filles qui pourraient être jalouses de moi pour les femmes de l’entreprise. Quelque part c’était flatteur mais ça ne suffisait pas à racheter sa faute qu’il commettait toutes les semaines.
Alors qu’il me parlait de ce repas, qu’il me donnait des détails, il fut pris d’un brusque coup de fatigue. Je lui ai alors conseillé de se coucher pendant que moi j’allais faire la vaisselle. En réalité, je me suis jeté sur la sacoche. Je l’ai ouverte et, avec l’imprimante scanner permettant de faire des photocopies, j’ai pris tous les papiers et j’ai tout copié sans regarder ce que c’était, pour mieux faire le tri et les lire quand il ne serait plus là. Le lendemain, il s’est réveillé tard. Il fut surpris d’avoir fait le tour de l’horloge, pas moi. Notre weekend se déroula comme les autres et je n’attendais qu’une chose : que mon mec s’en aille pour que je puisse lire les documents que j’avais copiés.
A peine avait-il fermé la porte le lundi matin que je me suis précipité sur ma lecture. J’ai commencé par faire le tri en écartant les factures d’hôtel (sauf celles où il était écrit « petit déjeuner pour deux », ça pouvait servir) et autre truc du genre, puis une fois fait, je me suis retrouvé avec toute une pile de contrats de transport de fret en majorité mais une chose était bizarre, il y avait le cachet de deux sociétés. Antoine faisait-il du double jeu ? Travaillait-il pour un concurrent ? J’ai fait une recherche sur les deux sociétés sur internet et la première était l’officielle. On y voyait toutes les informations et il y avait même la photo du patron, datant de plus de dix ans. L’autre était récente et … rien. A part une boite postale, je ne trouvais rien. J’ai alors consulté ma copine Valérie, juriste de formation, celle qui m’avait passé sa caméra et qui m’avait, la première, apporté la preuve de l’infidélité de mon mec, qui m’a aidé à examiner tout ça.
Pour elle aussi c’était obscur. Ça sentait l’activité illégale ou la société-écran à plein nez. Elle m’a dit qu’elle allait faire des recherches pour moi. Elle savait où chercher. Il ne me restait plus qu’à attendre avec impatience la visite de mon amant cagoulé, comme chaque semaine.
Comme chaque soir, ne sachant pas quand il allait passer, je laissais une porte ou une fenêtre ouverte. Le soir où il est venu j’étais en short et T-shirt. Je me regardais un film tranquillement quand j’ai entendu un déclic derrière moi. Je me suis retourné et je me suis retrouvé avec mon amant qui pointait une arme sur moi.
— Bah alors ma jolie ? t’es mignonne comme ça mais tu serais tellement plus belle encore sans rien du tout.— Mais qu’est-ce qui se passe ?— A poil vite.— …. Je …. Je vais le faire.
Alors que je commençais à me déshabiller, il s’est assis dans un fauteuil. Ensuite il s’est mis à me sortir une phrase empruntée d’un vieux film de série B. C’est là que je me suis rendu compte qu’il suivait le scénario d’une des vidéos de Teddy Bear. Visiblement mon intérêt pour ces vidéos n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Je me suis alors souvenu de cette vidéo. Après l’avoir forcé à se déshabiller devant lui, Teddy avait attaché la fille et avait simulé son viol sans capote comme un sauvage. « Si jamais il suis le scénar à la lettre, on va bien s’amuser » me suis-je dit à ce moment-là.
Une fois toute nue, il m’a collé son arme entre les deux yeux et j’ai pu y lire le nom d’une marque de jouet très connue. Ouf c’était du faux ! Pendant un moment j’ai failli avoir peur. Sous la menace de son jouet, il m’a ordonné de me tourner. Il m’a ensuite attaché les mains dans le dos et m’a embarqué sur son épaule à la manière d’un ancien ministre avec son sac de riz en Somalie au début des années quatre-vingt-dix. Une fois dans la chambre, il m’a balancé sur le lit.
— Alors poulette, t’es pas mieux comme ça ?— Qu’est-ce que vous allez me faire ?— Plein de vilaines choses hé hé hé !— Je vous préviens je suis fiancé et mon mec ….
— Ne reviendra pas avant demain. Inutile d’essayer de me faire peur. Je me suis renseigné. Maintenant, viens par là. Dit-il alors avant de m’empoigner la tête par les cheveux.— Non ! Vous me faites mal — Ouvre la bouche— Mmmh— Ouvre la bouche je te dis … Attend je sais comme t’y forcer. M’a-t-il dit avant de me pincer le nez.
Il suivait le script de la vidéo à la virgule prêt. J’ai donc fait semblant de céder et il m’a littéralement violé la bouche. Quand il en est sorti, il n’avait pas joui, comme dans la vidéo d’origine. Toutefois, même si il me tenait la tête d’une main, il m’a doigté avec l’autre pour me préparer à la suite …. Pourquoi pas après tout.
— Allez petite salope, écarte les cuisses. Ordonna-t-il, ses mains sur mes genoux pour tenter de les écarter.— Non ! disais-je alors en tentant de maintenir les cuisses serrées.— Laisse-toi faire et tiens-toi tranquille ….. Là, voilà …. Oh mais c’est que tu mouilles ? m’a-t-il dit en y mettant la main.— Non c’est de la sueur, il fait chaud. Ai-je dit alors que nous savions pertinemment, l’un comme l’autre que c’était l’excitation de reproduire cette scène qui m’animait.— Ben voyons ….. profitons-en alors. A-t-il dit avant de se coucher sur moi et de s’introduire dans mon vagin.
Il était en train de me prendre sans égard pour moi comme le ferait un violeur mais bizarrement, il s’était couvert, contrairement à Teddy dans la vidéo. Après un moment, il s’est arrêté.
— Au fait, ton mec, au boulot, nous a dit que vous évoquiez de faire un môme. C’est vrai ?— Oui mais en quoi ça vous regarde ? ai-je répondu alors que ce n’était pas prévu dans le scenario.— Je vais vous y aider.
Et là il ressort de mon entrejambe, retire son préservatif et me pénètre à nouveau. Il avait pris des libertés avec la vidéo d’origine …. Tant mieux ! Ce n’était pas pour me déplaire.
— Voilà comme ça c’est mieux. C’est reparti.— Non retirez-vous, s’il vous plait.— Et pourquoi ça …. C’est tellement meilleur comme ça.— S’il vous plait retirez-vous. C’est avec mon copain que je veux avoir un bébé, pas avec vous.— T’auras qu’à lui dire que c’est le sien.— Non s’il vous plait.
Pendant un moment j’ai joué la victime violée qui crie « Non pitié » à chaque coup de reins. Il y mettait tellement d’ardeur, et moi j’y prenais tellement de plaisir que je n’ai pas voulu casser ce moment. Il a continué jusqu’à ce que je le sente se décharger en moi. « Mais c’est qu’il l’a fait l’animal » ai-je pensé sur le moment, pensant qu’il allait se retirer au dernier moment. Comme dans la vidéo, j’ai feint de pleurer et il est sorti par la porte de la chambre après s’être rhabillé, alors qu’il était entré par la fenêtre …. Bizarre ça.
Ce n’est que quelques secondes plus tard qu’il est revenu dans la pièce.
— Euh …. Bien sûr, t’as compris que tout ça c’était du chiqué ?— Bah évidemment. Je les connais les vidéos de Teddy.— Ouf, j’ai eu peur un moment. T’es une bonne comédienne quand même.— Merci ….. Je te retourne le compliment. Bien sûr tu avais deviné que je prenais la pilule ? J’espère que tu ne comptais pas vraiment m’engrosser ?— Non rassure toi. Compte tenu de ce que ton mec fait chaque semaine avec toutes ces filles, je me doutais bien que tu ne voulais plus avoir de môme avec lui. En plus, vu que vous êtes ensemble depuis un moment, j’ai supposé que vous étiez clean tous les deux, que vous ne mettez plus de capotes depuis un moment.— En effet ….. Mais j’y pense, si ça se trouve, une de ces garces lui a refilé une saloperie. Si ça se trouve il me l’a refilé ….— Non, aucun risque. Comme tu le sais il met des capotes avec les autres filles …. Si j’ai appris un truc, c’est que ton mec est un trouillard. Jamais il ne se mettra en danger. Il nous l’a trop souvent répété. D’ailleurs ça me rappelle une fois où, au boulot, il nous racontait sa semaine. Il nous avait dit avoir refusé de baiser avec une fille car il s’était aperçu qu’il n’avait plus de capote. Il avait juste ajouté qu’ils avaient passé la nuit en « 69 ».— J’aurais préféré ne pas avoir ce genre de détail.— Désolé ! Au fait, t’as trouvé quoi dans la sacoche ?— Plein de choses ! lui ai-je répondu pleine d’assurance.— A ouais ? Va-z-y, fait voir. A-t-il demandé naïvement— Non.— Comment ça non ?— Pour le savoir il va falloir y mettre du tien.— Comment ça ? — Commence par me détacher déjà.— Ah oui tout de suite ….. Voilà. Alors t’as trouvé quoi ?— J’avoue ne pas savoir ce que j’ai trouvé. J’ai tout pris et tout photocopié. Ai-je dit en prenant une chemise cartonnée qui semblait bien remplie.— Ah merci ! C’est super …. Mais …. Tu ne me la donnes pas ?— Non— Et pourquoi ?— C’est donnant donnant. J’ai ce que tu veux, alors tu vas me donner ce que je veux.— C’est-à-dire ? demanda-t-il d’un air inquiet— Ta cagoule, donne-la-moi.— Tout de suite ! Laisse-moi juste le temps de te bander les yeux et ….— Non— Comment ça non ?— Tu me la donnes mais je veux voir ton visage.— La sale petite vermine, je n’y crois pas !— Alors t’attends quoi ?— OK tu ne me donnes pas le choix. A-t-il dit avant d’essayer de me prendre la chemise des mains.
S’en est alors suivi une partie de jeu du chat et la souris. Il m’a couru après dans toute la maison. A deux reprises, il m’a attrapé le bras mais je suis parvenu à lui faire peur avec un coup de pied volontairement raté à proximité de son visage. Surpris il m’a lâché mais la troisième fois il n’a pas cédé et est parvenu à me prendre les documents.
— Ah ! Enfin ! Je le tiens par les couilles ce petit con.— Rends-moi ça. Ai-je dit en tentant de la reprendre— Hors de question j’ai attendu trop longtemps pour …. C’est quoi ce bordel ? Y a que des feuilles blanches. S’interrogea-t-il, étonné.— Tu croyais vraiment que ça allait être si facile ? Je les ai confiés à une copine pour les planquer.— T’es vraiment qu’une garce.— Merci. Mais sache qu’il y a, pour toi, plusieurs moyens de les avoir.— Lesquels ?— Soit tu retires ta cagoule, là, devant moi ….— Non— Soit, tu passes me voir plus souvent. Si je suis satisfaite, peut-être que je changerai d’avis.— Ça c’est envisageable …. Mais dis-moi, tu l’as fait comment ton coup de pied que j’ai manqué de me prendre dans le nez ?— Regarde derrière toi.— Quoi la médaille là ? — Oui. Lis bien ce qui est écrit sur le présentoir.— Bah c’est écrit : « Médaille d’argent – championnat régional de karaté » ….. « Féminin » ? T’as fait du karaté ?— Ça fait longtemps maintenant. Mais j’ai encore de beaux restes— Et tu t’es laissé faire la première fois ? — Parce que j’avais envie de tromper mon mec. Je venais d’apprendre qu’il me trompait alors ….— OK … je comprends mieux pourquoi ça a été aussi facile. Et du coup t’as aimé ? Sinon tu ne te serais jamais laissé faire quand je suis revenu.— D’après toi ? J’ai vite compris pourquoi t’appelais mon mec « petite bite » en voyant ton engin. A côté, lui, on dirait un enfant.— Et visiblement tu aimes quand …. Aaahh ! Quand je m’en sers ! A-t-il dit au moment où je lui ai empoigné les bourses.— Donc si tu veux tes documents et ceux que je récupèrerai plus tard, il faudra le mériter.— Ok …. Ce n’est pas comme si c’était désagréable à faire. Bon bah moi j’y vais. T’as intérêt à tenir ta promesse sinon ….— Sinon ça voudra dire que tes efforts n’auront pas été suffisants.
Il est très vite reparti après ça. Pour la première fois c’est moi qui avais le dessus. Pour paraphraser mon Nounours « Je le tenais par les couilles », au sens propre comme au figuré. Il n’avait pas le choix : soit il retirait sa cagoule, soit il allait devoir devenir le meilleur amant du monde. Très honnêtement, jamais je n’avais eu l’intention de lui donner ce qu’il cherchait en échange de ses performances au lit. Seul le voir à visage découvert m’intéressait. J’avais juste trouvé ce moyen pour m’amuser encore plus.
Quand j’ai raconté ça à Valérie, elle a éclaté de rire. « Ah bah bravo. Ça c’est une vengeance. Tu ne vas pas t’ennuyer s’il est aussi bon que tu le dis ». Voilà ce qu’elle m’a dit. Evidemment je n’avais pas dit à Nounours que je savais pour le repas d’entreprise et qu’on risquait donc de s’y retrouver.
Pendant quatre semaines, il est venu me voir. Deux à trois fois par semaines au lieu d’une seule fois avant. A chacune de ses visites, il rivalisait d’ingéniosité et d’imagination …. Enfin d’imagination non car il piochait tout dans les vidéos internet de Teddy mais il se débrouillait bien pour les personnaliser. A plusieurs reprises mes mains se sont rapprochées de son visage mais il savait me les immobiliser et me les attacher. Parfois je me suis même retrouvée saucissonnée, un bout de viande dont il pouvait abuser à loisir. Lors de ces séances j’ai vraiment pris mon pied. J’ai même failli me trahir car il fallait que je n’en fasse pas trop non plus. A la fin de chacune d’elle, j’avais droit à la question qui tue : « Alors, heureuse ? ». Comme je le lui avais promis, il espérait en avoir fait suffisamment pour que j’accepte de lui livrer ce que j’avais trouvé. « C’était pas mal mais pas encore suffisant » était ma réponse. Il repartait frustré à chaque fois mais en même temps ce n’est pas comme si c’était désagréable à vivre.
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