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L'amour dans les cordes

Chapitre 10

SM / Fétichisme
Ma vie avec Patrick était parfaite. Au niveau sexe, il ne m’attachait pas toujours. Ça restait exceptionnel, pour le weekend par exemple. Autrement dans la semaine, on faisait ça de manière classique. Les deux avaient leurs charmes. Bien sûr, comme tout le monde, il arrive qu’on s’engueule mais au début je lui disais « mais oui c’est toi qui a raison » pour désamorcer une situation gênante. A la fin de ma grossesse par contre je ne lâchais pas le morceau et je mettais ça sur le compte des hormones qui travaillaient. Du coup c’était jubilatoire quand j’étais en tort et qu’il lâchait prise. Je pouvais presque avoir tout ce que je voulais. Ça me donnait l’occasion d’avoir le dessus. Et puis ce qu’il y a de bien avec les disputes, c’est la réconciliation sur l’oreiller. Enfin chez nous c’était plutôt la réconciliation sur certains accessoires, dans d’autres pièces, sur le lave-linge en mode essorage, ..... Mais rarement dans le lit.
Ma grossesse ? Aucune fausse note. Patrick était présent à chaque fois pour les échographies. Avec mon ventre qui s’arrondissait, il avait peur de me mettre sur le ventre pour une sodomie. J’avoue moi-même que je n’étais pas fan de l’idée non plus. Au début, il avait peur de me prendre par devant. Déjà, il angoissait à l’idée d’écraser le bébé en s’allongeant sur moi, d’aller trop loin avec sa queue et de crever la poche des eaux, ... Ce qui était sûr, c’était que le toubib a bien rigolé quand il a demandé si on pouvait faire telle ou telle position. On avait fini par s’adapter malgré tout. Il faut dire que l’équipement de Patrick nous y a beaucoup aidés. Il y avait la balançoire, avec son siège souple en cuir maintenu par des chaines à des crochets au plafond, qui nous a permis de nous essayer à des positions que je ne connaissais pas. Mais le mieux restait quand même cette armature en acier. Un carré de deux mètres de côté avec un marchepied au sol et des boucles parcourant tout le tour, espacées de vingt centimètres les unes des autres permettant d’y passer liens et chaines. Ça nous permettait de nous adonner à nos envies mais debout.
Je me souviens d’une fois où il m’avait attaché debout, en X. Mon ventre était déjà bien rond. Je lui disais que je sentais le bébé bouger mais lui avait beau rester les mains collées sur mon ventre, il ne sentait rien. Dans cette position, il m’avait tartiné les seins de miel, qu’il avait léché avec gourmandise. A côté de moi, il gardait une bassine d’eau chaude avec un gant de toilette et du savon pour me nettoyer ce qu’il n’était pas parvenu à « manger ». Après s’être, occupé de ma poitrine, il s’est mis dans l’idée de s’occuper de mon ventre. Pour varier un peu, il m’avait étalé sur le ventre, de la confiture autour du nombril, un cercle d’environ vingt centimètres de diamètre. C’est alors qu’il était en train de me lécher, ses mains de part et d’autre de mon ventre, qu’il a senti un choc. C’était la première fois qu’il sentait le petit donner des coups de pied. Il s’est de suite arrêté de me déguster.
— Bordel mais c’est quoi ça ? C’est lui ! C’est mon fils ! C’est génial. Youhou ? Bébé ? C’est papa ... Oh il a retapé. C’est comme ça à chaque fois ?— A peu près oui. Moi je sens tout. C’est habituel maintenant.— J’imagine ... Oh je l’ai ressenti ... Putin j’en chiale presque. Tu crois qu’il me reconnait ?— Peut-être.— Pfff C’est énorme c’est la première fois que je le sens taper. Ça fait comme une petite bosse à chaque fois. C’est comme dans le film Alien.— J’espère bien que non j’ai vu comment ça fini— Je déconne. Tu le sais.
Il est resté un moment l’oreille collée sur mon ventre à lui parler pour qu’il recommence. C’était émouvant. Emouvant mais salissant car je commençais à vraiment coller et lui il restait la joue vautrée dans la confiture, espérant un nouveau coup de pied. Patrick avait prévu de me prendre par-derrière au départ ensuite ... Et bien il l’a complètement oublié. Il m’a lavé le ventre, il s’est débarbouillé, il m’a détaché et on a fini la soirée dans la chambre. Patrick était tout chamboulé par ce moment et n’avait plus la tête à ça.
Plus tôt, alors que j’étais moins ronde, quand ça ne se voyait pas encore, je l’avais lancé dans un scenario dans lequel il m’a appelé maitresse et pour le coup c’était approprié. Je lui avais donné un déguisement d’écolier, genre uniforme à la Harry Potter et moi j’étais en tailleur strict, avec un chignon et des lunettes. Le scenario était simple. J’étais la prof, il était l’élève indiscipliné qui se faisait punir par sa prof et attacher à son pupitre. Je le menaçais de tout dire à ses parents sur ses mauvaises notes et lui devait me supplier en me disant « Non s’il vous plait, je ferais tout ce que vous voulez ». Vous imaginez la suite ? Attaché à la chaise et moi un pied sur la table, il devait me lécher. A chacune de mes demandes, il devait s’adresser à moi en disant « Oui maitresse ». Je ne sais pas pourquoi mais j’avais l’impression que ça le faisait triper. En tant qu’élève, il devait jouer le puceau et en échange de mon silence et de ses efforts buccaux, je l’ai récompensé en le dépucelant et en lui promettant d’autres parties de jambes en l’air contre de bonnes notes. Evidemment, puceau, il ne l’était plus depuis longtemps mais il s’est montré bon comédien sur ce coup-là. Il en est ressorti avec le sourire.
Tout ça pour dire que ma grossesse ne nous a pas trop handicapés ... Sauf le dernier mois. Malheureusement pour lui, il a dû soit se finir à la main, soit, profitant que j’étais allongée, mettre à profit ma bouche. Sur ce dernier mois j’en avais marre. « vivement que ça finisse » comme je disais. Plusieurs fois je lui ai demandé de « me faire murir le col ». On avait appris cette expression ensemble lors d’un documentaire sur les femmes enceintes et grosso modo ça signifiait avoir un rapport proche du terme dans le but de déclencher le travail ..... Il n’a jamais voulu. Bon bah tant pis.
Quand le travail a commencé, le jour de l’accouchement, ce grand gaillard solide comme un roc sur qui j’ai pu compter depuis le début n’a rien trouvé de mieux que de tourner de l’œil. Vous le croyez ça ? A peine avais-je commencé à pousser qu’il a voulu voir ce qu’il se passait entre mes cuisses et qu’il a eu un malaise : chochotte va ! Autant vous dire que je n’étais pas contente. Il n’a refait surface que quand il a entendu son fils pleurer. Là je l’ai vu en larmes. Pas parce qu’on était parent, non, parce que le petit avait un début de chevelure rousse, comme lui sur ses photos bébé. Je savais qu’il avait toujours eu un doute sur le fait que le bébé ne soit pas de lui mais de mon ex. Cette couleur de cheveux, pour lui, c’était la preuve de sa paternité.
J’avais entendu une comique qui disait qu’avoir un enfant ça ne changeait pas grand-chose à part les fonds d’écran ... Cette femme je l’aurais étranglé car ça change TOUT. Déjà dans la vie courante, je jonglais entre les couches, les biberons et les lessives. Heureusement le soir, je pouvais souffler car Patrick prenait le relai quand il revenait du boulot. S’il y a un truc que je n’ai jamais pu lui reprocher c’était qu’il était volontaire pour ça. Parfois je le voyais ressortir de la salle de bain la chemise trempée. Il me regardait et me disait « il m’a pissé dessus » avec le sourire. Pour tous ces détails de la vie courante, ma foi ça allait. C’est au lit que ça dérangeait. Combien de fois est-ce arrivé de devoir s’interrompre en pleine action ? Combien de fois me suis-je retrouvée attachée au lit sans pouvoir bouger alors que le petit pleurait ? Heureusement que Papa était là ... Heureusement qu’il était là quand il n’oubliait pas de retirer sa cagoule Daredevil. Une fois, il a oublié et dès qu’il est entré c’était pire. Il a fait peur au gamin. Autant vous dire qu’il ne le fait plus maintenant.
Personnellement, le fait d’être maman ça m’a donné une idée pour nos galipettes. Je n’en avais pas donné les détails à Patrick mais quand il a vu la tenue que je lui avais préparée, il m’a dit « Non mais ça va pas ? T’es dingue ? T’es tombé sur la tête ? ». Il avait parfois été inquiet de ce que je lui avais proposé mais au final, il aimait. Ce coup-ci, il s’y ait conformé avec un chouïa d’hésitation. Et c’est comme ça qu’il s’est retrouvé habillé en bébé, avec un bavoir, une couche (modèle personne âgée parce que celle de notre fils ne lui allait pas) et un hochet dans la main (pour aller plus vite et être plus raccord, il a pris un de mes jouets vibrants). Vous l’aurez compris, le but c’était lui en bébé turbulent et moi en maman modèle

Il fallait le voir assis dans son parc ..... A hurler de rire. J’aurais dû prendre une photo tiens. Il jouait le gamin turbulent, vraiment l’archétype du sale gosse. Du coup j’ai dû le punir : attaché à son parc, j’ai retiré sa couche et hop ! Fessée déculottée. Toutefois c’était l’heure de son déjeuner. Je lui ai donc donné un petit pot avec la technique de la voiture qui rentre dans le garage mais il recrachait tout en disant « Beurk ! Caca ». Je me souviens encore de son visage à plusieurs reprises, il avait manqué d’éclater de rire. Ce n’est qu’après qu’il ait balancé le biberon par terre en criant « Pas bon » que j’ai retiré mon haut pour lui présenter mes seins. Il s’est soudainement mis à s’exciter tout seul. Je m’étais souvenu que Patrick avait émis le souhait de gouter au lait maternel, si possible directement à la source, c’était l’occasion. J’ai approché ma poitrine de mon gros bébé et je lui ai dit « A table, mon gros biquet ! » Bon ... Bah le père n’était pas aussi doué que son fils. Il réussissait à me tirer quelques rasades mais pas plus. Bon par contre, hors de question que je le porte, impossible.
Trois ans après que notre petit Gabriel soit arrivé, sa petite sœur : Emma pointait le bout de son nez. Cette fois Patrick ne s’est pas évanoui. Il a même coupé le cordon et il en était fier. Comme pour le premier elle avait le même début de duvet de cheveux roux. Sur ce coup-là et même sans ça, il n’avait jamais eu aucun doute sur sa paternité. Pour le troisième non plus sauf que là ça s’est compliqué. Ça s’est passé un soir de black-out. Plus de courant dans tout le quartier. On a appris plus tard que c’était tout le canton qui avait été touchée, un problème sur le réseau de distribution électrique. On était chez nous avec la porte du garage électrique bloquée donc pas de voiture, pas de possibilité de l’ouvrir en forçant sans la casser et évidement l’hôpital le plus proche ne l’est pas tant que ça (en tout cas pas assez pour y aller à pied). Pour les téléphones pareil : plus d’antenne relai pour les portables et avec le téléphone par internet pas de tonalité. Tout aurait pu bien se passer si ce petit galopin n’avait pas décidé de se pointer avec trois semaines d’avance. Patrick, affolé est parti voir les quelques voisins sous une pluie battante que nous avions dans le hameau ... personne. Quand il est revenu, il me voyait allongée sur le canapé à respirer comme un petit chien. On était coincé. Il a bien fallu prendre une décision.
— Pfff ! Aide-moi Patrick. Pfff ! Tu vas devoir m’aider à accoucher ici.— Hein ? Quoi ? Mais ...— Pff ! Mais rien du tout. Pfff ! Des femmes le font depuis la nuit des temps Pfff sans rien pour aider alors on va le faire aussi Pfff.— Mais .....— Pff ! Bon écoute moi bien, Pfff je ne suis pas d’humeur. Pfff Tu te mets entre mes jambes, Pfff ça tu sais faire, et tu attrapes ce qui sort Pfff.— C’est que ...— Pfff T’as aucun problème pour y faire entrer des trucs Pfff alors arrête de faire ta chochotte Pfff et fais ce que je te dis sinon, Pfff tu les vois ces gros lolos biens gonflés ? PFFFF ET BIEN TU NE LES REVERRAS PLUS JAMAIS ALORS BOUGE TOI LE DERCHE MERDE ! PFFFFFFFFF ! Ai-je dit en m’énervant avec la même voix que la possédée dans le film « L’exorciste » d’après Patrick.— Oui maitresse ! A-t-il dit avant de s’exécuter, n’osant rien rajouter.
Patrick a alors disposé des bougies partout autour pour avoir un maximum de lumière et s’est glissé entre mes cuisses. Heureusement que ce soir-là les enfants étaient chez leur tante qui nous les avait pris pour qu’on ait, normalement, une soirée tranquille, ça aurait été dur à gérer sinon. En tout cas, s’il y a un truc que je félicite, ce sont les progrès de la médecine : « vive la péridurale ! » J’aurais vécu ça pour le premier, je ne sais pas si j’aurais supporté. Il fallait que ça sorte et sachant Patrick pas à l’aise du tout, il fallait en finir au plus vite alors j’ai poussé au maximum possible en essayant de faire fi de la douleur. Ça n’a pas été facile. J’ai souffert le martyre mais à la fin Le petit était là ... Par contre on a ruiné le canapé et Patrick a vomi son repas. Il était blanc comme un linge et m’a dit « plus jamais ça ! ». Malgré tout ça, j’étais fier de lui et lui aussi était fier de lui. C’est alors qu’on était tous les deux en contemplation devant notre petite merveille que le courant est revenu. On est vite monté dans la voiture et direction l’hôpital. Etrangement, le bébé semblait bien gros pour un prématuré, ce qui a été confirmé à l’hôpital car il ne l’était pas. Un problème dans les dates ? On a appris plus tard que le remplaçant de mon gynéco habituel c’était trompé dans les dates. Il débutait et ... En fait il était un peu comme le personnage de Pascal Légitimus dans le film « Neuf mois » de Patrick Braoudé pour ceux qui connaissent. Enfin bref tout était terminé.
Ce jour-là, Patrick fut célébré comme un vrai héros et l’histoire de lui m’aidant à accoucher a fait le tour de la boite et s’est même répandue dans notre entourage. Je me suis mis en congé parental pour jusqu’à ce que le petit dernier aille à l’école. Pendant ce temps-là Patrick avait embauché une nouvelle secrétaire. Je me souviens du jour où il me l’a annoncé. Je lui ai répondu sèchement mais sur le ton de la plaisanterie « Tu la baises pas j’espère ? ». D’après la description qu’on m’en avait faite, il n’y avait aucun risque. C’était un genre de Madame Doubtfire, mariée, quatre gamins, catho jusqu’aux oreilles visiblement. Ça convenait à tout le monde ..... Sauf pour Patrick qui a attendu que je revienne avec impatience car nos galipettes au boulot lui manquaient.
Tous les couples vous le diront : avoir des gamins ça change la vie sexuelle. Quand on était que tous les deux, avec Patrick on faisait ça un peu dans toutes les pièces. Quand on a eu le premier, même s’il y a eu quelques ratés, ça ne changeait finalement pas grand-chose tant qu’il était petit. Il fallait juste choisir le bon moment : entre deux biberons, pendant la sieste, ... quand la deuxième est arrivée, c’était plus sportif. Là, avec le troisième ... Bah adieu nos petites fantaisies. Enfin Adieu non car, un jour on a trouvé le « Graal ».
Dans une ville à quarante kilomètres de chez nous, on a trouvé un établissement appelé « Camelot ». Ceux qui connaissent la légende du roi Arthur auront reconnu le nom de son château dans ce nom mais c’était surtout un donjon. C’était un établissement où l’on pouvait louer une pièce avec accessoires, meuble spécifique, décoration et parfois mêmes vêtements, pour des pratiques SM, bondage, ou tout simplement jeu de rôle. Bien entendu sous réserve de disponibilité ou si l’on amène nous-mêmes ce qui manque. Quand on a découvert cet endroit, on y a tout de suite vu un grand terrain de jeu. C’est comme ça qu’une fois par mois, on confie les enfants à une amie ou à la famille pour « une soirée romantique en amoureux » ... Pour le romantisme tu repasseras surtout quand je suis attachée allongée sur le dos avec des cordes au lit ou à plat ventre sur une table pendant que Nounours, le retour, s’occupe de moi.
On en a fait des saloperies dans cet établissement et on continue d’en faire. Je me souviens de la fois où l’on avait choisi l’option « cabinet gynécologique ». Je devais être une patiente, dont le mari ayant des problèmes de fertilité, qui venait se faire faire une FIV. Mais ça, c’était sans compter le Pervers gynéco. La pièce avait été aménagée comme un cabinet médical avec une chaise à étrier.
— Bon Madame, votre mari vient de faire sa petite contribution. Je vais pouvoir procéder à l’insémination. Dit-il avec, dans sa main, un petit flacon contenant soi-disant du sperme (un mélange d’eau et de lait en fait)— Ah enfin ! Ça fait si longtemps qu’on voulait un enfant et ... Docteur ? Mais que faites-vous ai-je dit en voyant Patrick m’attacher les mains et les pieds.— Ne vous inquiétez pas. C’est mieux pour la réussite de l’opération. Il ne faut pas que vous bougiez. A-t-il dit avec un air faussement sadique.— Ça me parait bizarre ..... Mais docteur, pourquoi vous jetez le sperme de mon mari à la poubelle ?— Ta gueule. — Quoi ?— T’es vraiment qu’une petite allumeuse. Tu le sais ça ? T’es marié à un vieux crouton et tu dis que tu veux un môme de lui ? Tu veux son héritage c’est ça ?— Mais je ne vous permets pas .....— Tu ne peux rien m’interdire dans cette position. Depuis le premier jour où je t’ai vu, tu me fais bander. A-t-il dit en me pelotant les seins— Qu’allez-vous faire ? Ai-je demandé avec un air faussement inquiet.— Je vais faire ce que tu m’as demandé : je vais t’inséminer mais naturellement cette fois. Je vais te violer, te prendre par tous les trous. M’a-t-il dit au creux de l’oreille— Oui et si je suis enceinte de vous, ce sera la preuve que vous m’avez violé. Vous n’êtes pas très malin.— Sauf que je dirais à tout le monde qu’on est amant et que t’as voulu arnaquer ton mari. Ce sera ta parole contre la mienne. Ta crédibilité sera remise en question avec votre différence d’âge.— Gros connard.— Monsieur Connard ! Aller laisse toi faire. Ça se passera bien.
Je suis ensuite devenu la victime d’un viol. Ça restait faux et scénarisé mais Patrick aimait tellement ça ..... Et moi aussi. Ça nous rappelait des souvenirs de la période Nounours. D’ailleurs, pour mon anniversaire, Patrick a ressorti sa vieille cagoule. Mmmmmh ! C’était bon. Grâce à Camelot, on a pu se faire plaisir, sans prendre le risque d’être dérangés. On a commencé par les classiques comme : « Non s’il vous plait monsieur le directeur ne me renvoyez pas. Je ferais tout ce que vous voudrez ». Ou encore « Je suis désolé monsieur mais je ne vois pas comment vous payer le loyer. Je n’ai plus d’argent ». Je suis sûr que vous avez deviné ce qu’il se passe ensuite. Et bien sûr, ce ne sont que des exemples parmi tant d’autres. Evidemment dans le domaine domination masculine, Patrick n’a pu s’empêcher de louer un salon SM pour pouvoir m’attacher toute nue à une armature.
Patrick a pu s’amuser en jouant le dominant mais moi aussi j’ai eu ma part. Moi aussi j’ai été maitresse. Moins douée pour ficeler mon homme comme un saucisson, je préférais mieux tout miser sur la mise en scène et le scenario. J’étais, et je le suis toujours particulièrement fière de la fois où j’ai joué la patronne qui recrutait un adjoint. Patrick, toujours un peu anxieux au début, a beaucoup aimé au final. Il jouait le candidat au poste tant convoité et a dû commettre l’irréparable pour avoir le poste.
— Bon, Patrick c’est votre nom ? C’est ça ? Vous êtes en compétition avec deux autres pour le poste. Vous avez brillamment passé tous les tests et maintenant c’est à moi de choisir. Pour cela je vais vous poser certaines questions.— Allez-y.— Est-ce que vous avez une grosse bite ?— P ... Pardon ?— C’est pourtant clair non ? Est-ce que vous avez une grosse bite ?— Euh ...— Bon bah je vais voir par moi-même. Ai-je dit avant de lui mettre ma main au paquet.— Euh madame, je suis marié.— Et alors ? Moi ce n’est pas votre femme qui m’intéresse. Sachez que, si vous êtes embauché, nous passerons beaucoup de temps ensemble. Vous serez amené à faire pas mal d’heures sup et comme le sexe entre collègues fait partie de la culture d’entreprise pour se détendre durant la journée ...— Je ne peux pas accepter ça. Dit-il alors en se levant— Vraiment ? D’après ce que je sais, vous êtes dans une certaine détresse financière.— Comment vous savez ça ?— J’ai mes sources. Sachez que si vous acceptez je suis prête à vous accorder des primes et certains avantages.— Mais ... ?— Mais pour cela il va falloir le mériter et vous rendre disponible.— En gros c’est un piège ?— Non, disons plutôt une opportunité. Sachez qu’avec moi vous aurez la possibilité de faire tout ce que votre femme refuse. De plus, notre boite, jouissant d’une certaine notoriété, dans le cas où vous voudriez chercher un autre poste, avoir travaillé chez nous vous ouvrirait d’autres portes pour des meilleurs postes ... Je vous vois hésitant ... Laissez-moi vous convaincre.
Je me suis mis à genou devant lui, le plaquant contre un mur pour le sucer comme une sauvage. Je le sentais soupirer jusqu’au moment où je l’ai entendu murmurer « désolé chéri, mais si je le fais c’est pour nourrir les gosses ». A partir de ce moment il est devenu mon esclave. Il m’a léché à outrance, je l’ai fessé, il s’est allongé sur le bureau avec son mat dressé pour je m’empale dessus, ... Je ne vais pas tout énumérer, vous aurez surement compris ce qu’on a fait. J’ai aussi joué la maîtresse de maison qui ouvre sa porte à un représentant de commerce, au facteur, au plombier, ... D’ailleurs, la salopette du plombier, ça lui va bien à Patrick. On devrait le refaire.
Finalement on a réussi à accorder notre vie de famille tout en conservant notre gout pour le bondage. Il faut dire que cet établissement, « Camelot », nous y a beaucoup aidés. Le gérant est devenu un ami et moyennant un petit supplément, il nous donne les enregistrements de nos ébats. Oui parce qu’il faut savoir que toutes les salles sont munies de caméras depuis peu. Pas par pur voyeurisme, non c’est juste pour la sécurité. Imaginez qu’une séance SM tourne mal et qu’une personne y passe ... Il y a fort à parier que la police et l’assurance demandent les vidéos. En tout cas, le vigile au PC de surveillance, il doit bien se rincer l’œil.
Voilà c’était mon histoire. Moi aussi, avant d’y goûter, je pensais que le Bondage était lié à une certaine forme de perversité et à la souffrance. Grâce à Patrick, non seulement j’ai vu qu’il n’en était rien mais en plus j’ai compris que ça pouvait être très amusant et très excitant. Tout dépend de la manière dont on le fait et surtout avec qui. Moi j’ai eu du bol avec Patrick. Et vous ? Allez-vous tenter votre chance ?
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