« Le vrai bonheur des amants est construits sur des interdits » (Dominique Blondeau) L’histoire de Pierre et Lucile est l’aboutissement des passions, celui d’un amour trop grand pour les conventions. Un amour entre un homme et son trésor le plus précieux sa fille. Depuis la mort de sa femme la relation entre Pierre et Lucile s’est renforcée, à eux deux ils forment un couples fusionnels. Cependant l’admiration et l’amour de Lucile prirent un virage inattendu et elle tomba éperdument amoureuse de son père. Malgré tout celui ci restait fermé à toute femme depuis le drame. Mais les nombreuses manœuvres de sa filles allaient avoir raison de lui. Au fil du temps Lucile en était venu à occuper le rôle qu’avait entretenue sa mère dans le ménage, elle avait brisé une première barrière. Elle n’avait qu’une obsession être la plus utile et la plus belle pour son père. Celui-ci était tombé dans le piège dès le moment ou il avait accepté cette situation. Puis son désir avait grandis. Il faut dire que Lucile était devenue une femme désirable. Un teint halé, une longue chevelure brune et des petits seins menus désirables. Lucile finit par hanté ses rêves. Toutes les nuits sont âmes faisait l’amour et dans un élan amoureux il succombait. Lucile remarqua rapidement l’agitation nocturne de son père. Et tout les matins elle se rapprochait de lui observant sa virilité et sa vigueur nocturne. Elle savait que les barrières étaient de plus en plus faibles. Ce matin là, elle était tellement proche qu’elle pouvait sentir l’odeur du sexe en érection. Délicatement elle posa un léger smack sur le gland. Son cœur battant à cent à l’heure, elle s’aventura plus loin, sa langue frôla le gland avant de l’enrouler délicatement avec sa langue. Elle entendit Pierre gémir. Alors dans une passion folle elle enfourna le sexe dans sa jeune et innocente bouche et suça comme elle en avait toujours rêvé, ivre de désir. Le rêve de Pierre s’embrasait, un niveau qu’il n’avait jamais connu. Il était en feu. Il se réveilla en sursaut pour observer sa fille nue, absorbé d’une passion rare par son sexe. Il ne pouvait plus résister lentement il se redressa, releva la tête de Lucile, l’embrassa langoureusement pendant que ses mains exploraient le corps tendre et désirable. Puis lentement il l’a prise dans ses bras. La plaqua contre le mur et sans dire un mots força son intimité. Il entendit les gémissement. Il fit quelque va et viens, mais son désir et de sexe avait été tellement long, qu’il éjacula rapidement à l’intérieur du vagin d’une Lucile ivre de plaisir. Tout se bousculait dans la tête de Lucile, un bonheur sourd fort, rapide. Seul une sensation de chaud glissant de son vagin la sortait de sa béatitude. Après des années de patience l’homme qu’elle aimait plus que tout avait pénétré son intimité et jouit en elle. Elle était tout simplement heureuse. Leurs relations avaient basculées, il n’étaient plus simplement un père et sa fille mais un couple d’amants épris l’un de l’autre. Le début d’une longue histoire.
