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L'amour est là où on regarde

Chapitre 4

Journée 2 : Sonia

Erotique
Shana descendit de sa chambre, son frère était assis sur le canapé, buvant sa tasse de café.
— B’jour ! fit la jeune femme d’un ton timide.
Elle s’assit sur le tabouret, et prit son bol pour prendre son petit-déjeuner. Elle tournait le dos à son frère. Yohann l’observait du coin de l’œil, elle était habillée d’un haut noir, qui moulait divinement sa poitrine, qu’il ... avait caressée avec délice. Elle avait ses longs cheveux noirs cascadant dans son dos, il avait envie d’y glisser ses doigts et se sentir l’odeur de son shampooing. Elle avait le dos cambré, ce qui accentuait sa chute de reins. Elle portait un pantalon noir et blanc assez simple, mais il lui donnait une belle allure. Shana était incroyablement belle. Et lui était en train de bander. Il serra les jambes en essayant de faire passer cet état. Il finit par aller aux toilettes pour y faire son affaire. Il se branla, et finit par éjaculer dans la cuvette. Shana l’avait déjà fait jouir deux fois ... en cinq heures, c’était pas mal du tout. Il secoua la tête, ce n’était pas du tout le moment de s’extasier sur les exploits de sa petite sœur.
Il revint dans la cuisine, Shana était en train de faire la vaisselle.
— Il faut qu’on range un peu le salon, qu’on fasse le tri, et la liste, puis aller au commissariat pour porter plainte. — Oui... fit la jeune fille timidement.
Le jeune homme et la jeune fille entrèrent dans le salon, tout était sens dessus dessous. Ils passèrent une partie de la matinée à ranger la maison. Yohann l’observait se mouvoir, s’accroupir, se relever, elle se mit même à quatre pattes pour récupérer un objet sous un meuble. Il s’imagina la prendre par-derrière, enfonçant son sexe dans celui de Shana. Il avait énormément de désir pour elle, mais en même temps, c’était sa petite sœur, il l’aimait, il n’avait pas seulement envie de la baiser. Le jeune homme avait envie de faire l’amour à sa petite sœur.
Shana essayait d’occuper ses doigts, ses pensées, mais la tension dans la pièce pendant qu’ils rangeaient la pièce, la rendait nerveuse, et incroyablement fébrile. Elle sentit qu’elle mouillait sa petite culotte, son clitoris était sensible, à chaque fois qu’elle se mouvait dans la pièce, il se frottait contre sa culotte. Elle avait une envie folle de se masturber. Elle posa alors le regard sur son grand frère, vêtu d’un jean bleu foncé qui moulait son postérieur. La jeune fille passait un peu trop de temps à regarder les fesses de son frère. Le jeune homme portait une chemise noire classique, qui dessinait ses pectoraux quand il levait les bras, ou se penchait en avant.
Shana s’imaginait dans les bras de son frère.
— Je vais aux toilettes, fit-elle soudainement.
Cela faisait maintenant plus de deux heures qu’ils rangeaient et nettoyaient le salon, et ce fut la seule chose qu’elle dit à son grand frère. La jeune femme s’assit sur les toilettes, et se masturba un moment, avant d’uriner, en espérant que cela allait calmer le feu qui se trouvait entre ses cuisses.
Pendant quelques minutes, cela s’avéra efficace, mais elle ... posa à nouveau son regard sur les fesses de son frère, et ... cela recommença. Elle n’en pouvait plus de subir ça... Il fallait trouver une solution pour que tout redevienne comme avant. Oublier ! Est-ce qu’il y avait un moyen d’oublier, de remonter le temps, et de s’empêcher d’aller à cette soirée ? Malheureusement non, elle n’avait pas de pouvoirs magiques pour effacer la mémoire ou remonter le temps. Rien de tout ça n’existe dans la réalité.
— As-tu pu voir ce qui pouvait manquer ? demanda Yoann. — Mmmh ! fit-elle.

Elle prit une feuille de papier installée sur la table de la salle à manger. Elle fit la liste des objets volés. Il y avait l’appareil photo de leur père, les jolis couverts en argent de leur grand-mère paternelle, le vieux smartphone de leur mère, les bouteilles d’alcool du bar, son père faisait la collection des petites bouteilles des différentes marques de Wiskhy, vodka et autres alcools forts, tout avait disparu, quelques DVD et CD de leurs collections.
— Tu crois qu’ils vont demander des factures ou des photos ? demanda Shana.
Yohann avait observé sa sœur écrire en silence, elle avait pincé sa lèvre entre ses dents, dans un geste incroyablement sexy. Puis elle avait recoiffé ses cheveux pour qu’il ne la gêne pas pour écrire, en glissant un crayon dans sa chevelure pour les maintenir dans un étrange chignon. Le jeune homme avait pu voir la nuque de sa sœur, et une folle envie de venir déposer un baiser l’avait pris par les tripes. Il réalisa qu’il avait même fait quelques pas vers elle pour le faire. Il secoua la tête, et préféra prendre le balai pour s’occuper, et tenter de penser à autre chose.
— Je pense que ça sera plus les assurances, qui vont le demander. — Est-ce qu’on va au commissariat maintenant, ou cet après-midi ? questionna la jeune fille. — Il est onze heures, on a le temps d’y aller.
Ce fut la discussion la plus longue qu’ils avaient eue depuis le début de la matinée, depuis qu’ils étaient debout. Yohann et Shana s’installèrent dans la voiture du jeune homme pour prendre la route vers le commissariat. Il posa son bras sur le haut de siège voisin pour s’équilibrer, en regardant derrière lui pour reculer. Il passa ensuite la première, et frôla malgré lui la jambe de sa sœur. Il réalisa combien de gestes anodins pouvaient avoir une connotation sexuelle quand on est concentré sur la chose.
Shana décala sa jambe quand elle sentit la main de son frère sur sa cuisse, elle avait pourtant qu’une envie, qu’il la touche, lui caresse le corps, l’embrasse... lui fasse l’amour. Elle tourna la tête vers le paysage défilant sous ses yeux. Yohann se gara devant le commissariat, sans se souvenir de la route qu’il venait de parcourir. Il s’était complètement déconnecté, pensant trop à la créature féminine et magnifique assise à côté de lui. Ils descendirent et entrèrent dans l’hôtel de Police.
Yohann expliqua ce qui s’était passé, et qu’ils désiraient porter plainte pour cambriolage. L’officier de police prit leur plainte, il posa des questions administratives, auxquelles Yohann donna les réponses, Shana se rendit compte qu’elle ne s’était pas vraiment intéressée à ce genre de choses, sans son grand frère, elle aurait bien été incapable de répondre aux trois quarts des questions. Le policier demanda comment s’étaient passées les choses, Shana fit de son mieux pour lui expliquer. « J’étais dans mon lit, je venais de jouir en pensant à mon frère », mais bon, ça, elle n’allait pas leur dire, évidemment.
— J’étais couché, quand j’ai entendu du bruit dans la maison, la porte s’est ouverte et j’ai entendu des pas. Je me suis cachée dans le placard de ma chambre, et j’ai appelé la police et ... Yohann, dit-elle.
Elle avait dit Yohann, et pas son frère, est-ce... révélateur ?
— Donc vous n’avez pas vu les cambrioleurs ? — Non monsieur !— Quels objets ont été volés ? — Nous avons fait une liste, fit Yohann.
Sa sœur lui tendit la feuille et leurs deux mains se touchèrent. Shana rougit et se sentit un peu nerveuse. Yohann tendit la feuille au policier, il recopia les objets volés sur son rapport.
— Je vais imprimer le tout pour votre assurance. — Merci ! fit Shana, un peu rêveuse.
Pendant l’absence du policier, Yohann prit la main de sa petite sœur pour la rassurer, elle semblait toute petite dans le commissariat, intimidée. Elle glissa ses doigts dans sa main, et croisa tous ses doigts avec les siens, sans se rendre compte que c’était une manière très amoureuse de se tenir les mains. Le policier revint et demanda à Yohann de signer le procès-verbal. Puis tous les deux, main dans la main, quittèrent le commissariat.
— Est-ce que tu veux ... Je t’invite au restaurant ! annonça Yohann.
Le jeune homme tenant sa petite sœur par la main la conduisit vers un restaurant au centre-ville. Shana se laissa guider sans rien dire.
Durant le dépôt de plainte, elle avait réalisé que son frère était là avec elle, à côté d’elle. Elle s’en remettait totalement à lui, à chaque fois qu’elle avait eu des soucis, son frère avait été là, Yohann était là. Quand il lui avait pris la main, elle avait hésité, se retirer ou bien ... Finalement, elle avait noué ses doigts aux siens, et d’une certaine façon, elle ne voulait plus jamais quitter sa main. Elle était amoureuse de son frère. Elle avait ... envie de lui. Elle ne pouvait pas le nier.
Yohann était un peu surpris de ce changement, de ce retournement de situation, mais il ne pouvait pas nier qu’il appréciait d’avoir la main de Shana dans la sienne. Il poussa la porte, et demanda au serveur, une table pour deux. Il les conduisit à une table dans un petit coin. Ils s’assirent l’un en face de l’autre. Shana fit un petit sourire à son frère, encore un peu ... intimidée et nerveuse à se laisser aller dans ce qu’elle ressentait envers son frère. Yohann aussi avait un peu de mal... lui aussi à croire. Ce n’était pas une bonne chose de continuer dans cette voie. Il devrait y mettre fin avant qu’ils n’aillent trop loin.
— Bonj... our, je... serai votre serveuse pour votre repas, fit Fanny.
La jeune femme marqua un temps d’arrêt en voyant Yohann en compagnie de Shana, elle avait reconnu la jeune fille, son visage s’était affiché sur l’écran hier soir. Yohann croisa le regard de Fanny, il fronça les sourcils. Fanny posa les menus devant eux.
— Merci ! fit Shana d’une petite voix.
La jeune fille se plongea dans le menu, et commanda une salade César, très simple. Yohann prit du poisson, avec du vin blanc. Ils rendirent les menus à la serveuse.
— Je suis contente que tu sois là, Yohann. Merci !— De rien, Shanou !
Il posa sa main sur celle de la jeune fille, et lui caressa doucement le dos de sa main. Shana observa leurs deux mains l’une sur l’autre. Elle ne savait pas très bien ce qu’il fallait faire. Déjà, elle n’avait jamais été amoureuse, comment on fait pour fréquenter un homme, et ensuite... quand cet homme est aussi son frère. On fait quoi dans des cas comme ça ?
— Yohann ! On fait quoi là ? — On mange au restaurant. — Non, tu sais très bien ce que je veux dire. — Je suis aussi perdu que toi, Shanou. — Menteur ! Tu as l’habitude des femmes !— Pour qui tu me fais passer !— Non, mais tu sais ce que je veux dire, répéta la jeune fille. — Pardon ! fit Fanny en posant les plats sur leur table.
Fanny se retira, et se dit qu’elle n’avait plus aucune chance de pouvoir séduire Yohann, cette fille devait être exceptionnelle pour faire réagir son voisin de cette façon. Elle avait quand même envie de lui jeter l’eau à la figure, pour sa façon de se conduire avec elle. Mais elle avait envie de garder son boulot, elle devait se nourrir, et vivre.
— Tu n’as pas répondu à ma question, fit remarquer Shana. — Il n’y a rien à répondre, parce que je ne sais pas plus de toi ce qu’on peut faire. J’ai envie de te toucher... depuis hier soir, je pense à toi... comme une femme, Shana. — Moi... aussi ! — Tu penses à moi, comme une femme ! rigola Yohann.— Mais non, idiot !
La jeune femme avait quand même un petit sourire, Yohann avait toujours été très moqueur, et taquin avec elle. Ils mangèrent leurs plats avec le sourire, en riant, et parlant de leurs souvenirs d’enfance.
— Excuse-moi, je dois aller aux toilettes ! fit Shana en se levant.
Elle demanda à la serveuse où se trouvaient les toilettes, cette dernière lui indiqua la bonne direction. La jeune fille la remercia et se rendit dans la cabine. Elle se soulagea autant pour son désir pour son frère, que pour son envie d’uriner. Shana sortit et se lava les mains, quand elle se tourna, elle croisa le regard de Fanny.
— Oui ? fit Shana. — Hier soir, Yohann était dans mes bras. Nous avons fait l’amour. Je voulais vous prévenir, dit la serveuse, avant de faire demi-tour, sans même attendre une réponse de Shana.
De toute façon, qu’aurait-elle bien pu répondre à ça ? Pourtant ... au fond d’elle, quelque chose lui fit de la peine. Elle n’avait pas à être jalouse des autres femmes, elle n’était que... sa petite sœur. Il ne fallait pas... elle regrettait d’avoir noué sa main à la sienne. Elle sentit les larmes couler le long de ses joues.
— Shana !? appela Yohann. Ça fait un moment que tu es là. Tout va bien ? — Oui ! répondit-elle d’une petite voix.
Elle avait pleuré plus en 48heures à cause de son frère, qu’en toute sa vie réunie. Elle essuya ses larmes, et prit une grande inspiration avant de sortir des toilettes. Elle rejoignit Yohann à sa table.
— Je préfère ... m’en aller... toute seule, Yohann ! dit-elle sans même s’asseoir. — Shanou ?
Il la regarda partir, qu’était-il arrivé entre le moment joyeux de tout à l’heure, et sa sortie des toilettes ? Il leva son regard vers Fanny, qui semblait avoir un petit sourire, contente d’elle. Il croisa son regard, et elle se retourna la tête haute. Qu’est-ce qu’elle avait dit à sa petite sœur pour la mettre dans cet état ?
Shana marcha dans la rue, les larmes aux yeux. Elle ne savait même pas où elle allait. Elle avait simplement envie d’être le plus loin possible. La jeune fille finit par tomber sur un banc au milieu d’un parc. Pourquoi est-ce que tout ça lui arrivait ? Son frère n’avait pas changé, il avait toujours la même tête, il était toujours le même... mais le regard qu’elle posait sur lui était celui d’une femme, et pas d’une sœur. Il était devenu un homme pour elle. Et ce n’était pas bien du tout.
— Est-ce que vous avez besoin d’aide ? demanda une voix féminine.
Shana leva la tête vers une femme inquiète, elle devait avoir l’air fine, les joues couvertes de larmes. La jeune fille essuya ses joues.
— Non, ça va aller. — Je travaille dans une association pour les femmes. Avez-vous des ennuis ? Avez-vous envie de parler ? demanda la femme avec sollicitude.
La jeune fille le regarda, sans savoir quoi faire. Pouvait-elle en parler avec cette femme ? Est-ce qu’elle allait pouvoir l’aider ? Lui dire quoi faire ?
Yohann s’avança vers Fanny, avec une certaine colère, qu’est-ce qu’elle avait pu dire à sa sœur pour qu’elle ressorte des toilettes, aussi perdue... aussi malheureuse.
— Il faut qu’on parle, fit Yohann. Qu’est-ce que tu as dit à ma ... Shana.— Rien... juste que toi et moi avions couché ensemble hier soir. Elle a eu... l’air d’avoir pris un coup de massue sur la tête. Elle n’a jamais été ton ex, n’est-ce pas ? Je voulais la prévenir !— Mais qu’est-ce qui t’a pris ? s’écria le jeune homme. — Ce qui m’a pris. Tu sors avec l’une, et couches avec l’autre... ça te parait normal à toi. Mais oui, les hommes sont tous comme ça, ils croient qu’ils ... sont les plus forts. Je déteste les gars comme toi. — C’est pas trop ce que tu disais hier soir ni les ... nombreuses fois où tu es venue frapper à ma porte. — C’était avant de voir quel genre d’homme tu es !
Yohann inspira pour calmer sa colère. Il la regarda de haut, une dernière fois, puis quitta le restaurant. Il retourna à la voiture, mais Shana n’y était pas. Il prit son portable, pas de message. Il envoya un SMS pour savoir où elle se trouvait.
— Dis-moi où tu es, je viendrais toujours te chercher, où que tu sois. Je t’aime. Yohann.
A l’autre bout de la ligne, Shana ouvrit son message et se mit à pleurer comme une madeleine, la jeune fille ne savait pas du tout quoi faire. Ils avaient toujours échangé des je t’aime, entre eux, et avec les parents. Mais aujourd’hui... Son je t’aime avait une autre signification.
— Que se passe-t-il ? demanda la femme de l’association.
Elle s’assit à côté d’elle, pour qu’elle prenne le temps de parler de ce qui la rendait si triste.
— Je... suis ... amoureuse, commença Shana... de mon frère, fit-elle tout bas.
Sonia, qui avait déjà entendu de nombreuses histoires, fut un peu surprise de cette remarque, mais elle avait tellement entendu de choses.
— Est-il plus âgé que toi ? Est-ce qu’il a essayé quelque chose ? T’a-t-il touchée ? — Il a 23 ans, et ... il a touché ma poitrine, et il m’a embrassée. Je ne le voyais pas comme ça, avant ... Aujourd’hui, j’ai l’impression de voir un homme. — Tu as quel âge ? — 18 ans. — Est-ce que tu as déjà eu un petit copain ? — Non, répondit Shana en secouant la tête. — Peut-être que le problème vient de là ? Je ne veux pas te dire de sortir avec le premier venu, mais peut-être que sans savoir ce qu’est l’amour, tu as confondu ce sentiment avec ... ce que tu ressens pour ton frère. — Vous pensez que je dois ... faire des rencontres ? — Quelque chose comme ça !— Ça me fait un peu peur. Je suis allée à une rencontre avec mes copines hier... et un homme a cherché à ... enfin vous voyez, expliqua-t-elle. — Il existe des rencontres organisées par des organismes spécialisés pour des rencontres. Mais si tu préfères, tu peux venir à notre association. Tiens ! fit Sonia en lui donnant une carte de visite. — Merci !— Shana ! appela son frère.
Il s’avança vers elle, ça faisait un moment qu’il la cherchait dans les ruelles de la ville. La femme qui se trouvait à côté d’elle se leva à sa rencontre.
— Vous êtes son frère ? — Oui ! Qui êtes-vous et que se passe-t-il ? — Je m’appelle Sonia, je travaille dans une association d’aide pour les femmes. Votre petite sœur m’a expliqué ce qui se passe entre vous. — Entre nous ? — Je crois que vous devriez en discuter tous les deux, avec vos parents, si vous pouvez. Nous avons également un psychologue au sein de l’association, si vous avez besoin.
Yohann fut surpris que sa petite sœur ait parlé de leur histoire à une inconnue croisée dans la rue. Mais il ne put pas nier qu’il y avait un problème entre eux. Et qu’ils pourraient avoir besoin d’aide pour se sortir du guêpier dans lequel, ils étaient en train de s’embourber.
— Vous êtes l’homme, vous êtes plus adulte que votre petite sœur. Ne faites rien, que vous pourriez regretter. — Je ... sais ! fit Yohann, lui aussi abattu par cette histoire.
Sonia voyait bien la douleur de cet homme, il aimait aussi sa petite sœur, d’une manière inappropriée. Il se battait entre son ... désir pour elle, et de comprendre la façon dont il aimait sa petite sœur. Tant qu’il n’y avait pas eu de relations sexuelles, il y avait peut-être encore une chance de « sauver » leurs liens fraternels.
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