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L'amour est là où on regarde

Chapitre 7

Journée 3 : Lina & Marlène

Hétéro
La jeune fille se leva à son tour, et regarda son pyjama, il avait dit qu’il le trouvait horrible, alors elle fouilla dans son armoire pour trouver de quoi se changer. Elle mit une robe mi-longue noire, avec des bas de coton, et descendit dans la cuisine, avec le sourire aux lèvres.
— Tu as l’air en forme, ce matin, fit Hélène. — Oui, j’ai bien dormi. — Tant mieux, dis-moi, est-ce que ça te dit qu’on aille faire un peu les magasins ? demanda la tante des enfants. — Pourquoi pas !
Shana fit un sourire et se prépara son petit-déjeuner, et se mit à manger tranquillement avec sa bonne humeur, quand Yohann descendit, il était douché et habillé dans un magnifique ensemble. Shana le trouvait vraiment très beau.
Yohann la trouva magnifique dans cette petite robe, elle était belle. Il sourit et posa sa main dans le creux de son dos. Shana était assise sur un grand tabouret, et leur tante se trouvait de l’autre côté du bar. Elle ne pouvait pas voir sa main se promener sur le dos de sa petite sœur, et remonter vers son soutien-gorge. Coquin, le jeune homme détacha le sous-vêtement. Shana le fusilla du regard, il l’aurait bien embrassée en riant, si leur tante n’était pas en face d’eux. Il se contenta donc de sourire, et de boire son café.
— Bien, je file au boulot ! dit-il.
Yohann posa un baiser sur la joue de sa sœur, et se dirigea vers la porte. Shana se leva derrière lui, et se précipita vers la porte. Elle s’arrêta près de lui, il leva la tête pour être sûr que Hélène ne les voyait pas, puis il prit enfin la bouche de sa petite sœur.
— Je rentre ce soir, Shanou ! murmura-t-il au creux de son oreille. — Bonne journée, dit la jeune fille avec le sourire.
Le sourire de sa petite ... sœur l’accompagna jusqu’à son travail. Il présenta son justificatif à la DRH pour montrer qu’il n’avait pas pris une journée pour compter fleurette, bien que ce n’était pas du tout son genre. Il aimait son travail.
— Merci, Mr Palms.
La DRH était une femme d’une quarantaine d’années, brune, grande, elle était presque aussi grande que lui, alors qu’il faisait quand même 1m86. Le jeune homme retourna à son travail.
Shana, de son côté, avait pris la route avec sa tante Hélène, toutes les deux avaient pris la voiture pour se rendre au centre-ville. La jeune fille lui fit visiter la ville, les magasins, et les lieux culturels.

— C’est une ville agréable !— Oui, j’aime bien vivre ici. — Shana ! cria une voix derrière elle.
La jeune fille vit Lina courir vers elles pour les rejoindre. Elle était contente de revoir son amie. Elles se saluèrent avec joie, et Shana présenta son amie à sa tante, et vice-versa.
— Je ne voudrais pas vous déranger dans votre sortie, fit Lina. — Mais vous ne dérangez pas, au contraire, plus on est de fous, plus on rit ! fit Hélène.
La tante de Shana était contente de voir du monde, de fréquenter des gens, de parler, de discuter. Elle n’avait pas fait une telle chose pendant longtemps, à cause de son mari. Mais la foule lui faisait peur parfois. Passer de personne à trop de monde, ça peut être compliqué. Mais elle était bien contente de se retrouver dans la famille de son frère. Les cousinades étaient bien le seul moment où Hélène voyait sa famille. Mais son mari, John, ne la quittait pas d’une semelle.
Une de ses tantes, et sa mère, aussi d’ailleurs, lui disaient souvent qu’elle avait de la chance d’avoir trouvé un mari si aimant. Mais il n’y avait pas d’amour dans la façon dont John la traitait, elle avait mis longtemps à le comprendre... trop longtemps sans doute. Shana et Lina parlaient toutes les deux avec le sourire.
— Est-ce que Yohann a fait quelque chose ? demanda Lina, en passant au « Yohann » de la soirée qu’elles avaient eu toutes les deux. — Ton frère a fait quelque chose, Shana ? demanda Hélène. — Non, non ! C’est un autre ... garçon ! répondit la jeune fille pour essayer de se sortir de ce guêpier.
La tante de Shana accepta cette explication, et regarda les annonces d’une agence immobilière pour trouver un appartement dans le coin, pour s’éloigner de son mari. Mais son amie Lina la regardait avec de grands yeux, elle avait clairement compris que « Yohann » était son frère. Elle prit le bras de son ami pour l’éloigner de sa tante.
— Yohann est ton frère ! — Euh... oui !— Shana, il t’a embrassé, et a passé la moitié de la soirée à te ... peloter les seins. — Tu exagères, ce n’était ... Pas la moitié de la soirée ! — Non, mais quand même. Est-ce que ... ça va ? — Oui !
Lina soupira, mais elle ne pouvait pas vraiment insister avec la tante de la jeune fille dans les parages, et puis Shana ne semblait pas être prête à parler de tout ça. Peut-être qu’elle n’y accordait pas d’importance, pourtant Lina voyait bien la « peur » dans le regard de son amie, et la rougeur sur ses joues.
Shana et Hélène revinrent de leur tournée tard dans la matinée, elles avaient invité Lina à venir manger avec elles. La jeune fille avait envoyé un message à ses parents pour dire qu’elle restait manger avec son amie. Et puis, cela allait lui permettre d’en savoir plus sur le frère de Shana, et comprendre ce qui se passait entre eux. Après le repas, elles aidèrent Hélène à débarrasser et à ranger la cuisine. Puis elles montèrent dans la chambre de la jeune fille.
— Dis-moi tout ! exigea Lina. — Tu me promets de ne rien en dire à personne, ou de ne pas me juger. — Promis ! fit Lina en prenant place sur le lit.
Shana s’assit en face d’elle, et jouant nerveusement avec ses doigts, et cherchant les mots pour lui expliquer ce qui se passait entre elle et son grand frère.
— Voilà, après cette soirée, j’ai commencé à voir mon frère autrement... — Tu veux dire comme un homme. — Je me suis ... enfin tu vois.— Caresser ? — Oui en pensant à lui. Et je l’ai vu se masturber dans la salle de bain. Hier soir, nous avons dormir tous les deux. — Tu as fait l’amour avec ton frère ? demanda Lina, abasourdie. — Non... il dormait, et j’ai... caressé son sexe, il a éjaculé dans mes mains. Ensuite, il a mis sa main dans ma culotte, et ...— Tu as eu un orgasme ? — Oui ! — Waouh ! ... ou pas. Qu’est-ce que vous allez faire ? Qu’est-ce que tu veux ? — Je veux faire l’amour avec lui, Lina. Je l’aime. — Ecoute, je ne sais pas quoi dire... ma mère dit toujours ... enfin elle n’a pas de relation comme ça avec son frère. Mais elle dit souvent que faire l’amour avec un véritable ami, si ça ne marche pas, ça ruine l’amitié. Enfin, je pense que si tu fais l’amour avec ton frère, comme vous ne pourrez pas être ensemble en tant que couple, tu vas aussi perdre ton frère. — Est-ce que ... ce n’est pas déjà trop tard ? Avant qu’il ne m’embrasse au cours de cette soirée, jamais je n’avais vu mon frère comme un homme. — Je ne sais pas quoi te dire, Shana !
Les deux filles restèrent un moment, silencieuses, à soupirer, Lina fit la grimace en pensant à son frère, toujours le nez sur son ordinateur, et sa console de jeux vidéo. C’est sûr qu’elle n’avait pas un frère aussi beau que son amie. Shana pensait à son frère, en ce moment au travail, le jeune homme adorait son boulot.
Yohann était assis dans le bureau de la DRH, qui l’avait à nouveau convoqué pour lui parler de la journée qu’il avait prise, hier.
— J’ai vérifié votre justificatif, tout est en ordre.— Bien Madame ! Avez-vous autre chose à dire ?
La DRH fit le tour de son bureau, et s’assit sur le rebord, et croisa ses jambes sous le nez de Yohann. Il savait ce qu’elle voulait, ce n’était pas la première fois qu’il ... venait la prendre dans son bureau. Il se souvenait encore de la première fois, il y a quelques semaines...
— Flashback —
La DRH l’avait donc appelé pour le convoquer à son bureau, un papier administratif quelconque qui n’était pas à jour.
— Je te dis que c’est une chaudasse qui veut te pécho, lui avait dit un intérimaire venu pour renforcer l’équipe pendant les vacances. — Elle est pas mal, avait juste répondit Yohann.
Le jeune homme était donc entré dans le bureau de DRH, et s’était assis sur la chaise, comme elle l’avait invité à le faire. Pendant les deux premières minutes, ils avaient parlé de son papier machin administratif, au point qu’il avait oublié ce que l’intérim lui avait dit. Elle n’était pas du tout comme ça. Soudain, elle s’était levée de son bureau, et s’était assise sur le rebord de ce dernier, en croisant les jambes.
— Yohann, je peux vous appeler Yohann ! Je pense que vous plaisez dans l’entreprise. — Oui, madame ! fit-il en tachant de rester poli, malgré les étranges circonstances. — Marlène, c’est mon petit nom.
Elle s’était assise sur son bureau, et avait posé son pied sur la chaise du jeune homme entre ses deux jambes. Elle avait sa chaussure presque sur son sexe. Il était resté figé pendant une demi-seconde avant de se lever.
— Je peux savoir ce que vous faites, exactement ! Avait-il grondé.
Yohann ne lui avait même pas laissé le temps de répondre, il l’avait prise par les hanches et l’avait soulevée pour l’asseoir sur son bureau, avec ... force, limite violent, et s’était glissé entre ses jambes pour venir mettre ses lèvres à quelques millimètres des siennes.
— Je suis ... celui qui dirige, Madame ! Si vous voulez plus... venez me retrouver à l’entrepôt, ce soir vers 19h ! Avait-il dit.
Puis il avait glissé sa main sur le sexe de Marlène, si elle avait cru pouvoir le contrôler comme tous les petits jeunes qu’elle avait pu avoir dans son bureau, elle s’était complètement gourée. Il l’avait caressée, jusqu’à sentir sa mouille sur ses doigts, au travers de sa culotte. Il lui avait fait un sourire, puis avait retiré sa main, et avait quitté le bureau, en se retournant une dernière fois.
— Merci madame de vos conseils. !
Marlène était assise sur son bureau, elle avait toujours ... su amadouer les petits jeunes pour prendre son pied avec eux, mais elle s’était retrouvée, assise sur son bureau, la coiffure de travers, au bord de la jouissance, que le jeune Palms lui avait refusée. Il lui avait manqué deux secondes avant de jouir. Deux secondes, comment avait-il su exactement le moment où s’arrêter pour la frustrer ? Elle n’avait eu qu’une envie, c’était de le retrouver à 19h, pour qu’il termine ce qu’il avait commencé. Elle était à sa merci !
Yohann avait fait exprès d’arriver en retard pour la voir l’attendre devant la porte d’entrepôt, il l’avait regardée depuis un élévateur qui permettait d’assembler les morceaux d’avion. Elle avait fait les cent pas, devant la porte. Il pouvait même se l’imaginer en train de se mordre la lèvre, inquiète qu’il ne vienne pas. Avait-elle fini de se faire jouir, quand il l’avait abandonnée, toute seule sur son bureau. Elle avait quarante-quatre ans, le même âge que sa mère, mais cela ne le dérangeait pas outre mesure. Des jeunes, des moins jeunes, des vieilles, du moment qu’il pouvait y trouver son plaisir... et celui de sa partenaire, c’était le plus important.
Combien elles étaient à le rappeler, c’est pour ça qu’il ne donnait plus son numéro, il acceptait de donner son adresse mail. C’était moins intrusif, et il pouvait choisir de lui donner ou non un autre rendez-vous. Sauf ... qu’avec elle, cela allait être différent, vu que c’est la DRH de son entreprise, elle savait ... tout. Où il habite, où il travaille... bref ! Il était descendu de son perchoir, et s’était avancé vers elle.
— Bonsoir Marlène, avait-il fait avec un sourire. — Bonsoir ! — Nous y allons, avait-il dit.
Le jeune homme se mit en marche vers sa voiture, suivi ... docilement par la DRH, c’était lui qui était le directeur ce soir. Il avait ouvert sa voiture, et s’était installé au volant, Marlène en avait fait autant côté passager.
Il avait conduit un moment entre les entrepôts et usines de la zone industrielle, avant de s’enfoncer dans la campagne autour de la ville. Il s’était arrêté dans la forêt, et s’était tourné vers Marlène. Yohann l’avait regardé un moment, puis avait défait son pantalon, pour sortir son pénis. Elle l’avait pris en main, et avait commencé à lui faire des va-et-vient dans sa main. Le jeune homme avait enlevé le haut de la femme, et l’avait jeté à l’arrière. Il avait dégrafé son soutien-gorge, avait baissé la fermeture éclair de sa jupe, et Marlène l’avait enlevée comme elle avait pu en se tortillant sur le siège passager.
— Ta culotte aussi, avait-il ordonné.
Une fois nue, il avait plongé sa main sur le sexe de Marlène pendant qu’elle s’activait sur son sexe, elle s’était mise à jouir, bien avant lui. Il l’avait sentie trembler contre sa main, son petit sexe l’avait aspergé de cyprine. Il avait glissé alors un doigt dans le sexe de la directrice.
— Prends-moi en bouche !
Comme hypnotisée, elle s’était penchée pour venir le prendre en bouche et lui faire une fellation, il s’était penché lui aussi, pour que son bras passe par-dessus ses fesses, pour que ses doigts puissent trouver le chemin vers son antre féminin. Son autre main était posée sur la tête de Marlène et la poussait gentiment pour que son pénis entre dans la bouche de la DRH. Elle s’était mise à jouir à nouveau, et il avait senti ses dents !
— Hé ! Tes dents, avait-il dit en lui donnant une tape derrière la tête.— P---mmh ! Avait-elle fait.
Le jeune homme avait posé ses deux mains sur la tête de Marlène et y avait enfoncé son sexe avant de jouir au fond de sa gorge. Puis il avait soulevé sa tête, et elle avait avalé.
— Ne me dis pas que tu n’as pas l’habitude... Il semblerait que tu aies déjà ta petite réputation, avait-il dit en regardant de haut. Il parait que tu aimes bien... pécho, les petits jeunes, surtout les intérims ! Avoue ! Tu ne risques rien avec moi. — Je l’avoue. — Toi et moi, on se ressemble. Moi aussi j’aime bien ... Pécho, les petites jeunes.— Surtout les intérims ! — Parfois, mais je préfère que ça n’arrive qu’une fois. Combien d’hommes ? — Je ne sais pas !— Allez, dis un chiffre. Combien d’hommes ont entré la queue dans ton vagin ? Plus de dix ? Plus de cinquante ? Plus de cent ? Plus de deux-cent ? — Une centaine, je pense, j’ai pas compté. Pourquoi, toi tu as compté ? — Cinquante-trois. Et si on ... continue, tu seras la cinquante-quatrième.
Marlène l’avait regardé, un peu surpris, il avait déjà fait l’amour avec cinquante-trois femmes différentes. Il avait vingt-trois ans, ce n’est pas un peu beaucoup.
— Tu sais, ça ne fait pas non plus ... beaucoup. Ma première fois, j’avais quinze ans, elle aussi. On était des gros puceaux, pas doués. Je crois que je ne l’ai même pas fait jouir, la pauvre. Après j’ai rencontré une femme comme toi... enfin plus vieille, je veux dire, qui m’a montré certains trucs, beaucoup de trucs. Bref... je pense qu’en huit ans, cinquante-trois, ce n’est pas beaucoup. Tu dois en avoir eu beaucoup plus de petits jeunes. Tu veux être là cinquante-quatrième  ? — Oui !— Sors de la voiture !
Yohann était sorti de la voiture, et avait plaqué Marlène sur le capot de la voiture. Il l’avait soulevée d’abord face à lui, il avait glissé son sexe dans un préservatif, et l’avait pénétrée, assise sur la voiture, entourant ses jambes autour de sa taille, il l’avait pilonnée avec force, jusqu’à ce qu’elle rende l’âme, c’est-à-dire qu’elle crie au milieu des bois son extase. Le jeune homme l’avait retournée pour la prendre par-derrière. Elle avait posé ses mains sur le capot, debout, sur ses jambes, il l’avait pénétrée, et lui avait fait de profonds et rapides va-et-vient. Il avait essayé de tenir le plus longtemps possible, pour qu’elle jouisse une troisième fois. Quand il l’avait sentie venir, il était tellement « content » qu’il s’était lâché à son tour, éjaculant son orgasme dans le préservatif.
Il s’était retiré et avait ôté le préservatif, qu’il avait enroulé dans un mouchoir, avant de le mettre dans la poubelle de sa voiture. Yohann était remonté dans sa voiture, avait reconduit Marlène chez elle. Leur petite escapade nocturne dans les bois s’était reproduite... parfois plusieurs fois par semaine.
— Fin Flashback —
— Est-ce qu’on se retrouve devant l’entrepôt, ce soir ? demanda-t-elle en caressant la jambe du jeune homme. — Pas ce soir, Marlène ! — Oh, quelle femme est capable de te faire dire « non » ? fit remarquer la DRH.
Elle se redressa et retourna s’asseoir derrière son bureau. Et Yohann réalisa que sa petite sœur était capable de lui faire dire « non » à une autre femme. Il n’avait pas envie de Marlène ni d’une autre d’ailleurs. Ce qu’il avait envie de faire, c’était de rentrer chez lui, et se serrer Shana, sa petite sœur dans ses bras, jusqu’à l’étouffer, comme une dingue.
Yohann termina son travail, et rentra chez lui, il fut accueilli par le sourire, solaire et chaleureux de sa petite sœur.
— Bon retour à la maison ! dit-elle.
Le jeune homme prit le visage de sa petite sœur entre ses mains, et posa ses lèvres sur celles de Shana, et lui donna un bon et beau baiser. Il mordilla ses lèvres, et glissa sa langue dans sa bouche, jouant avec la sienne. Elle tenta de faire pareil, en glissant sa langue dans sa bouche. Il la coinça entre ses dents.
— Mmmh ! fit-elle.
Yohann se mit à rire, et ouvrit la bouche pour la libérer.
— C’était quoi, ça ?— De quoi, tu parles ? demanda-t-il avec un sourire taquin. — Rhh ! fit-elle comme pour le gronder, avant de faire demi-tour, et quitter l’entrée en tapant des pieds.
Il retrouvait sa sœur, qui se plaignait toujours à sa mère, en criant Yoyo m’embête. Sauf que là, elle ne pouvait pas le dire, c’était marrant, et il adorait la voir en colère. Elle était encore plus belle.
— As-tu passé une bonne journée ? demanda Hélène.— Oui, merci et vous deux ? — Ta sœur m’a fait visiter la ville, et nous avons croisé une de ses amies, Lina. Une charmante petite rousse.
Yohann fronça les sourcils, en se disant qu’il avait déjà entendu ce nom-là quelque part. Il haussa les épaules, ce n’était pas important. Ce qui était important, c’est qu’il était chez lui, avec sa petite sœur.
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