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L'amour filial

Chapitre 1

découverte

Inceste
Bien que je sois nouveau sur ce site, je vais tenter de vous raconter une partie de ma vie, sexuelle bien sûr.Je m’appelle Yves. Je me mesure 1,80m pour 76 kg et pense que je suis encore pas mal pour mes 40 ans.Lorsque j’avais 20 ans je me suis marié avec Martine qui était enceinte, je me suis marié non pas pour assumer mais parce que j’étais follement amoureuse d’elle. Notre fils, Noé, est né quelques mois après. L’année suivante Martine est décédée dans un accident de voiture.Je me suis retrouvé seul pour élever notre fils. Enfin seul n’est pas la vérité car ses grands-parents étaient là pour m’épauler. Mais j’ai tout de même décidé de mettre fin à mes études pour pourvoir à l’éducation de mon fils car les grands-parents aiment tellement leurs petits enfants qu’ils le sermonnent rarement pour toutes les bêtises qu’un enfant peut faire.Je ne le regrette pas. Car non seulement aujourd’hui je suis très fier de mon fils mais en plus j’ai eu une carrière professionnelle enrichissante.
Cinq après le décès de ma femme j’ai rencontré Ela. Grande (1,76m) longiligne (57 kg), elle m’a tout de suite plu.Nous nous ne sommes pas mariés mais pacsés. Elle a tout de suite adopté mon fils Noé, à l’époque six ans, qui aujourd’hui l’appelle toujours maman, même si ce n’est pas vraiment le cas. Ses grands-parents maternels ont accepté cette nouvelle situation et je suis en très bons termes avec eux.Léa, tout comme moi, a un énorme appétit sexuel. Dès le début de notre attachement nous avons conclu un contrat déstructuré. Nous pouvions avoir des relations sexuelles hors couple mais à cela trois conditions :Ne jamais ramener un amant/ou maîtresse à la maisonNous raconter nos parties de jambes en l’air
Terminer nos relations hors couple dès que nous sentions que des sentiments commençaient à s’immiscer entre nous et nos amants/ou maîtresse.Jusqu’ici le contrat a été respecté et nous sommes toujours très amoureux.Léa a une petite sœur, un peu plus petite qu’elle mais qui lui ressemble beaucoup. Un accident pour ses parents puisque les deux sœurs ont 22 ans d’écart. Léa (tout comme moi) a 40 ans, Corinne sa petite sœur 18 ans et Noé mon fils 19 ans.Voici le décor planté.Léa, Noé et moi avons l’habitude de nous promener totalement nus dans la maison, ceci depuis des années. Nous avons même pratiqué quelque temps le naturisme. Nous sommes aussi tous les trois rasés de partout. Bien sûr au fil des ans nous avons constaté le développement du corps de Noé, enfant, ado, adulte. C’est un grand gaillard d’un mètre 83, costaud et beau garçon et je pense qu’il en profite auprès des filles. Léa me dit souvent qu’elle le trouve séduisant, et si je la taquine en lui disant qu’elle en ferait bien son affaire, elle bafouille en me répondant qu’elle est sa presque mère.
Dans ces moments moi aussi je suis troublé. Je suis d’autant plus troublé que de plus en plus souvent, lorsque je suis dans la salle de bain avec Noé et qu’il me frôle lorsque nous sommes nus, j’éprouve comme une sensation de désir. Non pas qu’instantanément je suis en érection mais j’ai le pénis qui perle et ça je sais bien ce que ça veut dire, j’ai de l’attraction pour le corps de mon fils. Quelle horreur ! Je me fais honte. Et pourtant si quelques dizaines de minutes plus tard je me retrouve seul à la maison, je me masturbe en pensant à lui. Ah oui j’ai oublié de vous dire que depuis trois à quatre ans je suis maintenant bi et très fier de l’être. Léa elle, est bi depuis sa jeunesse.Ce matin, Léa est partie de très bonne heure pour son travail. Je suis en train de raser mon intimité, Noé passe derrière moi comme d’habitude il m’effleure avec son sexe, quoi de plus normal si ce n’est qu’il est en train de bander. Je lui souris avec gène dans le reflet du miroir.« Tu es en forme ce matin » lui dis-je en tentant de rigoler.

— Oui je pensais à une copine
Mais il reste derrière et je sens encore un peu mieux son pénis contre mes fesses. Putain voilà que ça me reprend, j’ai le gland qui perle mais cette fois en plus je perçois mon sexe en train de se redresser. Le rasoir dans la main en train de raser les testicules, j’ai peur de me couper car je suis émoustillé.« Pousse-toi un peu » lui dis-je sans conviction. Tout en tentant de l’écarter maladroitement, ma main touche sa bite. Pour moi c’est une électrocution. Ma main est collée contre sa queue toute raide, je ne peux ou plutôt ne veux pas l’enlever.
— Tu fais quoi mon papounet ?
Son souffle est dans mon cou.
— Heu, rien... ... heu ...... Désolé ...... Heu
Il a pris ma main et il me fait faire de lents, très lents mouvements de haut en bas.De son autre main, il a pris mon rasoir et l’a jeté dans le lavabo, puis il est revenu vers mes couilles pleines de mousse à raser et il les malaxe.
— Tu aimes mon papa — Non ... bien sûr que non, tu es fou — Pourquoi tu bandes autant alors ? — Bé ...... Heu ... — Tu sens ma bite contre ton cul ? Tu me fais bander mon papounet — M’enfin ... t’es malade ...... Non ... arrête...... on peut pas — Le père de Gaétan m’a dit que tu étais bonne suceuse — Qui ? Enfin non ...... Il est fou ce type — J’ai vu une petite vidéo, tu suces bien ma salope de papa — Impossible... ... heu ... ce n’était pas moi
Cette fois ma bite est super tendue. Mon fils a quitté mes couilles pour me branler la tige, son gland s’est glissé entre mes fesses et il humidifie ma rosette. Je deviens dingue, en plus j’aime être insulté.
— Tu étais mignonne avec ta nuisette et tes bas — Non...... heu...... non...... je te dis que ce n’était pas moi ... — On s’est bien branlé avec Gaétan en te regardant et en t’entendant couiner comme un goret quand son père a déchargé sur ta chatte anale
Je suis coincé, d’autant plus coincé que son gland a bien lubrifié mon anus et qu’il me procure un bien fou. Un instant de lucidité et je repousse mon fils. Je bondis vers ma chambre pour me vêtir vite fait afin de mettre fin à cette situation.Noé, toujours nu, m’a suivi. Je n’ai passé qu’une jambe dans mon boxer. Mon fils s’allonge sur mon lit, il relève ses jambes et les écarte.
— Lèche-moi le fion salope
Je détourne mon regard mais c’est plus fort que moi. Je le regarde, le contemple, l’admire, le désire.Je ne sais plus ce que je fais. Je n’ai plus la notion de temps. Ma tête est entre ses cuisses, je déguste l’anus de mon enfant, ma langue tourne, entre, sort, se fait dure, tendre, amicale, charmeuse, son cul, ses couilles, sa bite, il décharge, j’avale, je crache, j’avale à nouveau, je lui dis que je l’aime, que je suis à lui, sa chose, sa salope, je deviens dingue, il bande à nouveau, il se lève et il me balance un string à dentelles de Léa en m’ordonnant de le passer, il m’encule en me disant qu’il va aussi baiser sa mère, je m’entends lui répondre oui baise aussi maman, sa bite revient dans ma bouche, lui aussi me suce, à nouveau il me sodomise, j’aime ça, être sa chienne, enfin il me féconde.Je suis rincé. Ailleurs. Qu’ai-je donc fait ?Noé me ramène à la réalité.
— Papa — Oui — Tu seras mon vide couilles maintenant — Jamais, tu m’entends jamais — Mais si, ma salope de papounet
Il me prend la nuque et me roule une pelle. Je ne résiste même pas.
— Tu seras mon vide couilles mon papa — Oui mon fils — C’est bien ma chienne, garde le string de maman toute la journée, je vérifierai ce soir. Lèche ma bite pour la nettoyer maintenant
Je fais ce qu’il me demande, non pas par contrainte ou par peur, mais parce que j’aime ça. Sa queue reprend de la vigueur. Je me mets à genoux, il me tient derrière la nuque, pendant au moins 10 minutes il me baise la gorge. Je fais du mieux que je peux pour ne pas avoir de haut de cœur mais parfois je suis obligé de sortir sa bite tant il me bourrine, sa queue est pleine de salive et je l’enfourne aussitôt. Au moment de jouir, il sort vite fait sa bite et il décharge sur mon sexe, dans le string.
— Garde bien le string ma traînée
À suivre ...
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