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L'amour d'un fils

Chapitre 4

Inceste
Je me réveillai le lendemain matin avec un pénis bien au réveil appuyé et se frottant contre ma raie. Lorsque je bougeais mon fessier, j’entendis papa soupirer de plaisir derrière moi.
— Bonjour mon papa d’amour. Comment as-tu dormi cette nuit ? Dis-je en me retournant pour lui faire face.— J’étais aux anges toute la nuit avec toi ainsi blotti entre mes bras. Cela fait longtemps que j’ai pas vécu un tel bonheur. Depuis le départ de ta maman, je n’avais plus dormir avec personne. Je suis loin d’être chaste, mais cela ne me paraissait pas normal d’en garder dans mon lit toute la nuit.— Donc, je pourrais recommencer à l’avenir ? Dormir avec toi ?— Faudra faire toutefois attention pour ne pas se faire surprendre par les autres. Tu connais assez bien la famille de ta mère. S’il découvre quoi que ce soit, ça sera fini pour moi et de ma vie. Je finirais derrière les barreaux assez vite. Et, puisque je viens de te retrouver, je refuse de te perdre aussi.— De vrais rabat-joie c’est gens-là. Mais, je te promets que cela restera notre secret et de faire attention à mes agissements. En plus, je ne trouve pas qu’on fait quelque chose de mal, on ne fait que passer du bon temps entre adultes consentants qui s’aiment. Je suis majeur donc, je devrais être en droit de choisir avec qui faire ma vie sans que personne n’ait à intervenir.
Alors que je parlais et vociférais contre le monde entier, mon père glissa sa main entre les draps et saisit fermement mon sexe qui dégoulinait déjà dans l’attente de ses caresses. Il entama de langoureux va-et-vient sur mon sexe en s’assurant de faire traîner son pouce sur mon gland afin d’y récolter de mon nectar. Il me caressa ainsi quelques minutes avant de me surprendre de la plus belle des manières.
— Ça te dirait qu’on fasse l’amour ensemble mon cœur ?— Tu n’as pas à le demander mon amour, je suis disponible et prêt pour toi quand tu veux. Mon corps est à toi aussi longtemps que tu voudras de moi.— Je meurs d’envie de m’enfoncer bien profond en toi et de te marquer de ma semence.— Je ne te savais pas aussi coquin mon papa d’amour.
Mon père me fit grimper sur lui et se mit à me masturber vigoureusement. Ses doigts étaient doux et savaient où toucher pour me faire crier et me tordre de plaisir. Au bout d’un moment, il se mit à me caresser l’anus de ses doigts jouant comme un artiste de mon corps. Je me figeais lorsque je sentis entrer en moi un doigt épais et glissant de lubrifiant, laissant place à une brûlure que je ne pus ignorer. Mon père me lécha les joues en me murmurant des mots doux afin de calmer mon angoisse.
— Chuuuttt mon cœur. Ça va aller. Papa va bien prendre soin de toi et de ton trou d’amour. Allonge-toi sur mon torse et laisse-moi te faire du bien.
C’est ce que je fis sans hésiter. Le laissant me mener au plaisir. Lorsque je me fus habitué à son index, il fit entrer un second doigt afin de pouvoir détendre un peu plus mon trou. Ses doigts touchèrent ma prostate et lorsque j’émis un cri de pur bonheur, papa se consacra sur cette zone afin de faciliter l’accès de ses doigts. Cela me détourna de ma douleur jusqu’à ce que je sente cogner à ma porte son épais gland. Je me raidis. Mon papa n’était pas d’un petit calibre. La douleur ressurgit lorsqu’il força mon anneau à s’ouvrir pour le laisser passer. Il était immense. J’eus peur de me faire déchirer par ce monstre tellement je me sentais forcé et écartelé. Lorsque le gland de papa passa ma première barrière de résistance, je criais de douleur et mon corps se couvrit de sueur. Je n’avais encore jamais eu aussi mal de ma vie, mais je refusais de lui demander d’arrêter. Je le voulais tout entier au fond de moi.
Il s’immobilisa et prit ma bouche voracement afin de pouvoir sucer ma langue et m’embrasser de tout son soûl. Sa langue visita tous les recoins de ma bouche et par la suite, il se mit à me caresser sur tout le corps en me mordillant le cou. Il alternait morsures et suçons. C’était si délicieux que la douleur reflua au second plan. Au bout de plusieurs avancées lentes et de douleur de ma part, les couilles de papa cognèrent finalement contre mes fesses. Il s’arrêta afin de me permettre de m’habituer à sa grosseur et sa présence dans mon corps. Je n’y croyais pas encore. Mon papa d’amour était enfin en moi. Tout au fond de moi. Bien au chaud et en sécurité au fond de ma grotte. Malgré la douleur, j’étais en extase. Papa se remit à me caresser le sexe, car avec la douleur qui avait suivi sa pénétration, j’avais perdu de ma rigidité. Lorsque je fus à nouveau bien dur, il se mit à faire de lents va-et-vient, m’habituant à sa présence et me permettant de prendre mon rythme.
Lorsque son gland cogna pour la première fois sur ma prostate, mes orteils se crispèrent et je criai de bonheur.
Papa changea donc d’angle afin de pouvoir faire vibrer mon corps à coups de bite. Cela fut par la suite, merveilleux, extatique et jusque magnifique. Le rythme accéléra et papa me pénétra de plus en plus vite. Ses coups devinrent frénétiques pendant qu’il me mordillait l’oreille et me disait des je t’aime sans arrêt. Je m’accrochais à lui comme si ma vie en dépendait et lui soufflait d’aller plus fort, car je voulais pouvoir le sentir pendant plusieurs jours lorsque je marcherais.
— Tu es si fin que j’ai peur de te faire mal. Je refuse de te faire mal.— Tu ne me feras aucun mal papa. Au contraire. S’il te plaît, fais-moi l’amour plus fort. Baise-moi vite et fort. Que je sache à quel point tu tiens réellement à moi. Je veux que tu me prouves à quel point tu m’aimes.
À mes mots, la bête fut lâchée. Papa me souleva du lit et me plaqua contre le premier mur à sa portée. Là, il me pilonna comme un fou. On n’entendait plus que des bruits de corps qui s’entrechoquent, des bruits de respirations et mes cris qui sortaient sans aucun contrôle. Papa me baisa vite et fort. Lorsque je sentis ma sève monter le long de mon membre et mes bourses remonter, je m’accrochais plus fort à lui en criant afin de libérer ce liquide trop longtemps retenu. Mon orgasme fit resserrer mon sphincter autour de sa queue à plusieurs reprises, ce qui provoqua l’orgasme de papa. Ses poussées devinrent frénétiques.
— Jouis en moi mon chéri. Donne-moi tout.
Papa jouit en moi en me serrant très fort contre lui. Cinq longs jets de sperme plus tard, et il s’écroulait tout haletant sur son lit, avec moi toujours serré entre ses bras.
— Merci papa. C’était magnifique. Tu étais magnifique et je suis très heureux de t’avoir fait du bien. Dis-je au bout de quelques minutes, après que nous ayons retrouvé un peu de notre calme.— Merci à toi mon chéri pour ce réveil mémorable. Ce fut l’un des meilleurs réveils de ma vie.— Depuis maman ?— Même avec ta mère, le sexe n’a jamais été aussi bon. J’ai toujours fait attention lorsque je lui faisais l’amour, car elle a été souvent malade donc, assez fragile. Mais avec toi, j’ai pu être moi-même. Ton trou a été fait pour ma bite. Une merveille sur terre.— Si tu veux, on pourra le refaire quand mon cul se serra reposer. Ce soir même si tu es d’accord.— Ça sera un honneur pour moi. Dit mon père en m’embrassant langoureusement. Et si on prenait une douche et qu’on allait ensuite déjeuner ? Tu as cours ce matin ?— Je ne pense pas que je puisse marcher jusqu’à la salle de bain et ensuite tenir debout. Mes pieds sont tout tremblants de cet orgasme que tu viens de me donner.— Et si je te portais jusqu’à la baignoire et qu’on se prenait un bain ? Je pourrais te frotter le dos que peut-être te masser l’anus ? Dit papa en souriant de manière coquine.— Fais donc cela mon amour. Dis-je en tendant les bras vers mon père afin qu’il me mène à la salle de bain attenante à sa chambre.
Envie de la suite de mon aventure, faites-le-moi savoir afin que je prenne le temps nécessaire pour vous l’écrire. Merci de continuer à me lire et vos commentaires me donnent le courage de vous raconter cette merveilleuse partie de ma vie sans aucune gêne. En attendant, je vous laisse et je retourne m’occuper de mon homme. J’ai un sexe prêt à l’emploi qui m’attend dans notre chambre tout en grognant de mon retard. À bientôt j’espère.
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