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L'amour d'un fils

Chapitre 5

Inceste
Je fis honneur à sa bite bien dure avec mon cul tout endolori, mais encore bien dilaté de notre nuit d’amour, dans la baignoire avant qu’il ne me sèche, m’habille et m’aide à descendre les escaliers pour nous rendre à la salle à manger. Je risquais de devenir accro à ces réveils dans les bras de mon grand amour.
— Que veux-tu manger ce matin, mon cœur ?— Je suis vidé. Tu m’as drainé, mais je suis heureux. Je pourrais manger un bœuf tout entier. As-tu assez d’énergie pour faire à manger ce matin ? Si tu veux, je pourrais nous commander à manger afin que tu prennes le temps nécessaire pour te reposer. — J’ai assez d’énergie pour un troisième round si tu veux. Dis-je en me caressant l’entrejambe, un sourire coquin accroché aux lèvres. Je veux m’occuper de toi. Je l’ai toujours fait et je veux continuer à le faire pour toi. Tu es mon homme alors, laisse-moi prendre soin de toi.— Merci de m’aimer autant, mon ange. Tu viens littéralement de me redonner une nouvelle jeunesse.— Tu as tout intérêt à te conserver en forme, car j’ai de grosses exigences. Comme on le dit souvent, femme heureuse, Ménage heureux. Dis-je en embrassant langoureusement mon papa en lui caressant le sexe.
Comme je m’y attendais de lui, notre baiser se transforma assez vite en quelque chose de torride et mon papa me renversa sur le comptoir de la cuisine pour me faire une gorge profonde. Je m’agrippais à ses cheveux en me tortillant. Mon papa me pénétra de ses doigts pendant qu’il aspirait goulûment mon sexe. Lorsque je sentis mes couilles se contracter et un éclair de désir parcourir ma colonne vertébrale, je tirai sur ses cheveux en criant tout en déversant mon sperme au fond de sa gorge. C’était le plus beau matin de ma vie à date. Je rêvais déjà d’autres matins aussi merveilleux que celui-ci. Mes efforts et ma persévérance avaient fini par payer et je ne regrettais aucune de mes actions, car j’avais l’homme de mes rêves auprès de moi.
Le petit-déjeuner se passa dans une ambiance assez agréable et décontractée. J’étais à poil, assis sur les genoux de papa pendant qu’il nous nourrissait en me tripotant de temps à autre, le cul ou le sexe. Je crois aujourd’hui vu le nombre de fois par jour qu’il me fait l’amour qu’il en est devenu accro. La moindre occasion est sujette au tripotage et à la baise. Je ne vous dirais pas que je m’en plains, mais mon cul n’est pas toujours d’accord avec moi. Je suis pris dans toutes les positions et nous avons eu l’honneur de baptiser toutes les pièces de notre maison. Je n’ai même plus besoin de me préparer pour le recevoir en moi. Mon cul s’est adapté à lui. J’adore cette belle chimie que nous avons, car, il n’y a aucun tabou entre nous.
Nous discutâmes au cours du petit-déjeuner de mes prochains examens et des universités qui s’offraient à moi pour mon master. Je fis savoir à mon père qu’il n’y avait aucune chance que je m’éloigne de lui. J’avais fait beaucoup d’efforts pour avoir ce que je possédais en ce moment alors, je ne voulais en aucun cas donner l’occasion à mon papounet d’amour de revenir sur sa décision. Le sujet fut clos assez rapidement, car il restait une seule opportunité pour moi, l’université privée de ma ville, si je voulais y continuer les études. Papa me fit aussi savoir qu’il pouvait travailler de n’importe où si je convoitais une autre université ou si je voulais du changement dans ma vie. Ce que mon papa ne savait pas, c’était que je n’avais aucune envie de poursuivre les études après ma licence. J’avais déjà tout planifié dans ma vie et j’avais informé mon directeur de programme que je ne voulais aucun sujet de recherche après ma licence, car j’avais d’autres ambitions.
J’aspirais juste à tenir ma place d’épouse et compagne et à prendre soin de mon père. Je voulais rester à la maison et être là à son retour. Je voulais faire son ménage, sa cuisine et le soutenir dans tout ce qu’il ferait. Je le lui expliquerais plus tard lorsque j’aurais réussi mes examens afin qu’il comprenne que je ne prenais pas ma vie à la légère. Au contraire. Mais en ce moment, c’était lui le plus important dans ma vie. Il me parla de sa journée de travail à venir. Son agenda était plein de rendez-vous et de rencontres avec ses actionnaires, mais il me promit de faire des efforts afin d’être présent ce soir à la maison pour le souper. Lorsque le petit-déjeuner fut terminé, je montais dans ma chambre afin de pouvoir prendre une douche et me rendre à l’université. Alors que je me dirigeais vers la porte d’entrée, mon sac sur le dos et un sourire repu sur les lèvres, il me saisit le bras, me tira vers lui et m’embrassa.
— Si tu veux être ma compagne, alors, fais-le bien et soucie-toi de moi. N’oublie plus de m’embrasser avant de t’en aller ou je pourrais douter de ton engagement. Ta mère ne sortait jamais ou ne s’éloignait jamais de moi sans prendre la peine de me serrer dans ses bras pour me souhaiter une bonne journée ou de m’embrasser. Je veux que tu suives cet exemple si tu désires un réel engagement de ma part envers toi.— Je suis désolé mon papa d’amour. Je ne savais pas quoi faire en m’en allant et si cela te mettrait mal à l’aise si je le faisais sans ton accord.— Tu ne t’es pas soucié de détails lorsque tu te baladais nu devant moi la bite à l’air pour me séduire. — Je savais que cela te ferait de l’effet et je ne me suis pas trompé. Dis-je en souriant, les bras autour de ses épaules.— Lorsque nous sommes seuls, tu peux m’embrasser autant que tu veux et je tiens à mes baisers d’au revoir ou du soir. Me dit-il en m’embrassant. Mais, lorsque nous aurons de la visite ou serons au milieu des gens, je veux que tu occupes ta place de fils et ne fasse rien qui puisse porter à confusion sur notre relation. Je tiens à toi et je t’aime. Alors, si tu veux que nous puissions vivre et profiter longtemps de cette belle relation, nous devons faire attention tous les deux à ce que nous faisons devant les autres.— J’ai compris mon amour. Je ferais plus attention à tes besoins à l’avenir.— Merci ma belle épouse. Tu es magnifique comme toujours.— penses-tu que je ferais tourner les têtes ce matin ? — Tu n’as pas intérêt à t’intéresser à quelqu’un d’autre que moi. Ton cul m’appartient, petite allumeuse.— Je me demande si je vais même pouvoir m’asseoir aujourd’hui en cours. — Au moins, il est déjà prêt pour mon retour de ce soir. Répondit papa en baissant mon pantalon pour enfoncer deux doigts dans mon cul encore ouvert de nos ébats. — J’ai bien hâte, mon amour. Belle journée. Réponds-je en caressant son sexe au travers de son pantalon.— Bonne journée, ma reine. Répondit papa en me mordillant l’oreille.
J’avais déjà bien hâte de partager ma vie avec lui, car, l’avant-goût qu’il me donnait me faisait miroiter le ciel.

Je vous laisse, car je dois aller faire quelques courses à mon sex shop favori pour ce soir. Papa m’a fait une commande spéciale ce matin. Il veut qu’à son retour, je sois habillé en serveuse sexy et couché dans notre lit, les jambes bien écartées, un gode dans le cul. Je ne veux pas le décevoir alors, je vous laisse. En vous disant à la prochaine pour la suite de ma vie. Je vous aime xxx
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