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L'amour en forêt comme cadeau d'anniversaire

Chapitre 1

Hétéro
Cette expérience se déroule le jour de mon anniversaire, à la mi-juillet. Il fait beau et chaud. Ma femme a toujours de grosses journées au boulot sur cette période. Mais je lui propose par SMS d’aller faire une balade après le dîner. Elle me répond que cela la tente bien mais elle verra si elle n’est pas trop fatiguée.
A son retour j’ai préparé le repas, léger et de saison et nous buvons un peu de rosé mais très raisonnablement. Je lui suggère d’aller prendre une douche et de se changer. Moi pendant ce temps je prépare un petit sac... Parce que j’ai toujours une petite idée derrière la tête.
Je l’attends près de la voiture, et je la vois arriver en jean basket, un petit haut tout simple, prête à aller marcher un peu. Je lui annonce que je l’emmène sur la voie verte à quelques kilomètres de chez nous : nature et pas de voiture.
Arrivés sur place nous nous mettons en marche. Ma femme me demande ce que j’ai dans mon sac à dos. Je lui réponds très simplement « l’appareil photo, mon téléphone et un pull ». Elle porte le sien sur les épaules mais ne souhaite pas que je la débarrasse.
Nous marchons main dans la main mais rapidement, chaque mouvement est une tentative pour moi de l’effleurer. Il faut dire que je sais déjà où je veux aller et cela m’échauffe les sens. Ainsi régulièrement ma main dans la sienne se pose sur son sexe ou sur le mien, souvent juste après avoir croisé des marcheurs ce qui la fait râler ! Mais j’aime bien...
Arrive un moment où nous avons le choix entre la voie verte bétonnée et une boucle qui contourne un bosquet en pente pour redescendre au travers de celui-ci. Je lui propose de faire la boucle puis de revenir sur nos pas pour rentrer ensuite à la maison.
Le soleil couchant face à nous nous chauffe la peau. Arrivés en haut, je lui dis que la lumière est belle et que c’est l’occasion de faire quelques photos. Elle prend la pose. Je la regarde l’appareil photo dans les mains, mais sans bouger.— Si tu restes le bras le long du corps tu ne risques pas de prendre de photo !— Bah c’est-à-dire que je pensais prendre des photos de toi nue...— Ça ne va pas non ? On a croisé plein de monde on pourrait nous surprendre !— Cela pourrait être excitant...— Non !— Enlève ton soutien-gorge... Sous ton haut ainsi on réduira les chances de se faire surprendre.— Tu es pénible, me répond-elle le sourire en coin mais en exécutant la manœuvre.
La voici les seins libres sous son haut.— Lève ton haut que je puisse les voir...Elle lève son t-shirt. Je prends quelques photos, je constate que ses tétons sont érigés, tendus très fort...— Un peu froid peut-être ?
— Un peu oui...— Viens, on va aller derrière la botte de paille là-bas je voudrais prendre tes fesses en photos.— Non, il y a trop de monde ce soir !— Si tu te mets à quatre pattes derrière la botte de paille, tous les passants penseront que je prends le panorama en photo (la prendre en photo nue en public sans qu’on la voie est un fantasme).— Non, hors de question !— Bon bah bien enlève au moins ton haut que je fasse quelques photos de tes seins...
Elle s’exécute.— Prends-les en mains ! Super ! Lèche-toi les tétons ! Oui vas-y encore mais en me regardant...— Bon allez, c’est bon, on va finir par nous surprendre !
Elle remet son t-shirt mais je range son soutien-gorge dans mon sac. Elle sent ma frustration, me tend la main et m’embrasse pour se faire pardonner.Nous avançons un peu dans le bosquet, la végétation est dense en cette période. Après 10 minutes de promenade, sentant ma frustration, elle me tire par la main et nous fait quitter le chemin. Nous nous enfonçons dans la végétation. Puis après un tour, elle s’agenouille devant moi et sort mon sexe de son écrin. Elle me prend, directement en bouche. J’aime commencer à bander dans sa bouche...Elle s’applique à me faire une belle pipe. M’engloutissant quasiment entièrement, ce qu’elle n’aime pas d’habitude. Elle m’excite, s’agite sur mon pieu. En quelque temps je suis sur le point de jouir ! Je l’arrête.— Baisse ton pantalon et mets-toi à quatre pattes !— Par terre ???!!
Je sors de mon sac une serviette de bain et l’étale sur le sol... Je suis d’un naturel prévoyant... Le pantalon au niveau des genoux, elle se met en position sur la serviette. Et force est de constater que je ne suis pas le seul à être prévoyant: Madame ne porte pas de culotte, et la situation l’excite puisque je peux voir le fond de son jean mouillé...— Attends là cela mérite la photo !— Comme ça ??— Ah oui !— Attends un peu...
Elle se lève et à ma grande surprise elle retire en deux secondes chaussures, chaussettes et pantalon. Je lui fais enlever son haut sans aucune réticence de sa part. La voici entièrement nue au milieu des bois. Je mitraille encore un peu et commence à lui masser le cul: elle adore ça.Rien qu’à lui tirer un peu sur la fesse, je vois sa chatte béante luire avec les quelques rayons couchants qui passent au travers des branchages.Je lui enfonce sans mal deux doigts dans la chatte sur toute la longueur. Je flatte la petite excroissance dure à l’intérieur de son ventre. Elle se dandine sur mes doigts, m’encourage « oh oui c’est bon ça, prends-moi ! »Je ressors mes doigts de son sexe de plus en plus humide et je sors un double gode de mon sac à malice. Je ne lui dis rien, je le suce un peu puis le rentre sur la moitié de sa longueur. Elle couine instantanément. Je commence de longs allers-retours tout en lui malaxant les fesses. Une fois de temps en temps une bonne fessée. C’est rare qu’elle déclare aimer cela mais là l’excitation est plus forte: elle réclame !
Je vois son œillet cligner au fur et à mesure de mes caresses. Il m’attire. Elle n’est pas très anale mais elle me laisse lui lécher, et marque même son intérêt pour la chose. Rapidement je darde ma langue pour lui enfoncer. Je veux ce petit trou du cul. Une fois bien lubrifié, je présente le gode et entre le gland dans son cul de cochonne. Je lui fais mal. Je le maintiens mais ne bouge plus. — Dès que cela va mieux je te laisse t’empaler dessus...Assez rapidement elle pousse un peu, et l’enfonce encore. Je ne peux pas résister : je fais des photos. Puis je change ma position pour la lécher autour du gode.— J’ai envie que tu me prennes ! Je veux que tu jouisses avec moi !
Je me place derrière elle. Elle est superbe ! C’est aussi pour ça que je l’aime ma jolie cochonne...Sa chatte est trempée, elle coule le long de ses cuisses. Je maintiens le double gode planté dans ses deux orifices et je me déshabille. Rapidement je suis derrière elle je frotte ma queue sur son clitoris, ainsi je pousse avec mon ventre sur le gode.— Tu vas me faire jouir, enlève-le et viens...
C’en est trop. Je suis comme un fou devant ce spectacle. Je place ma bite sous le gode et je la plante lentement. Ma femme lâche un gémissement qui ne ressemble en rien à une plainte. Elle avait trois bites en elle, une dans le cul et deux dans sa grosse chatte de cochonne. J’ai poussé aussi loin que j’ai pu. Puis j’ai bloqué le double gode sur mon ventre avec une main. J’ai commencé à la limer de plus en plus fort et de plus en plus vite. Elle se caressait le clito. Une grosse claque sur son petit cul !— Tu aimes ça ma petite salope d’amour ? (Première fois que je l’insultais mais c’est venu tout seul)— Oh oui c’est bon...— Imagine que des mecs nous regardent en se branlant !
Je l’ai pilonné. Elle a joui fort en essayant de ne pas être trop bruyante. Mes couilles étaient trempées et cela coulait sur mes cuisses.— Tu as joui, toi ?— Non mais j’ai adoré...— Je veux te faire jouir mais retire-moi tout c’est trop là!
Je recule et retire les trois chibres en même temps du ventre de ma femme... Là elle exprime un peu de douleur. Je m’excuse. Elle se tient le ventre et me dit que ça va aller.— Je ne veux pas te sucer après que tu m’as pénétré... Cela te va si je te branle ?— J’avais pensé à autre chose...
Je reprends le sac à malices. J’y range le double gode souillé de mouille, de foutre et d’autres sécrétions corporelles. Et j’en sors un gode ceinture...— Cela te tente ?— Ici ?— Oui...— Si tu veux, mais je me rhabille j’ai froid.
Elle enfile son pantalon, remet son soutif, puis se harnache le gode ceinture autour des hanches. Qu’est-ce que ça peut m’exciter !Je me désape et me positionne à quatre pattes devant elle sur la serviette. Je lui tends du gel. Je sens qu’elle létale sur ma rondelle, c’est froid, je frémis...Je n’ai pas manqué de prendre quelques photos pour immortaliser ce moment.
Elle s’approche me fait baisser le bassin pour être à la bonne hauteur. Positionne le gland sur mon cul et pousse lentement, elle ne s’arrête pas à l’entrée du gode, mais continue à pousser j’ai l’impression qu’il est très long et pourtant non. Ça y est je sens son ventre contre le mien même si son débardeur est entre nous. — Ça va ?— Oh oui c’est bon ma chérie tu peux y aller...
Elle commence de petits va-et-vient en restant fiché bien au fond de mon cul. Je lui réclame plus d’amplitude. Elle commence plus vite, puis me pilonne littéralement le cul.— Je te fais mal ?— Non, j’adore...— Imagine qu’on te regarde...
A ces mots elle me gifle le cul pour la première fois et me baise ensuite avec force. Accrochée à mes hanches elle me défonce et j’adore ça. Je sens le plaisir monter mais pas l’explosion. Alors je me branle en même temps. L’orgasme arrive pendant que j’éjacule de longs jets elle me baise encore... C’est trop bon: le plaisir anal, la baise en extérieur, l’éjaculation, la sensation de lui appartenir et de m’abandonner à elle: je suis aux anges.Elle ralentit puis sort de moi. On s’embrasse fougueusement et amoureusement.
Je me rhabille. On range nos petites affaires puis on repart sans en parler. Après un bon quart d’heure de balade on découvre un endroit charmant.— Tu pourrais me prendre debout contre la clôture, ici avec le gode ceinture ?— Non c’est bon là on rentre.— Ne fais pas ta rabat-joie !— Quoi ? Je peux te dire que t’en trouveras pas beaucoup qui acceptent tout ça !!!
Elle a sûrement raison, ma petite salope d’amour, ma jolie petite cochonne que j’aime... Qui vient de redevenir la mère de famille un peu bourgeoise qui m’excite tant...Quand j’y repense, je bande instantanément... Et souvent je me branle en regardant les photos de ce jour-là.
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