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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Un amour de grand'mère !

Chapitre 2

Inceste
Monique ouvrit péniblement un oil ! Quelle heure pouvait-il être, elle n’en avait aucune idée ! Elle avait dormi comme une masse ! Elle avait des courbatures de partout, néanmoins une sensation de bien-être et d’abandon emplissait tout son corps. Elle s’étira telle une chatte.Onze heures et demie ! Presque un tour de cadran ! C’est vrai qu’il était beau son petit-fils, son tout nouvel « amant » étendu là, à son côté, et qui dormait à poings fermés !
La soirée et la nuit avaient été magiques. Un vrai conte de fée !
Tout avait commencé la veille lorsqu’elle avait décidé de l’inviter au restaurant. C’était lui qui avait décidé, autoritaire, de ce qu’elle devait porter. Pas de soutien-gorge, il voulait savoir sa poitrine, libre sous la robe ! L’argument : « Mamie, tes seins sont trop beaux pour les emprisonner, et puis les bretelles, c’est moche ! ».Il lui avait fallu batailler ferme pour pouvoir enfiler tout de même une petite culotte ! Un vrai petit tyran ! C’était sa façon de lui dire qu’elle était encore belle et désirable, ce qui secrètement la flattait !
Après le petit resto sur le port, ils avaient assisté à un concert sur la plage qui était noire de monde. La nuit était tombée. Assis sur le sable, enlacés, il lui mordillait les oreilles, trouvant les mots doux pour lui dire combien il était heureux et fier d’être avec elle ! Sa main s’égarait dans l’échancrure de sa robe et caressait ses seins qu’il soupesait et pelotait. Personne ne prêtait attention à eux. Il lui avait fallu se gendarmer lorsque son autre main, glissait sous sa robe, remontait sur ses cuisses. Non pas que cela fut désagréable, au contraire ! Son corps s’abandonnait déjà et elle comprenait son impatience. La fougue de la jeunesse ! Mais pas sur la plage !Il était plus de minuit lorsqu’ils étaient rentrés. La chaleur était un peu tombée bien que l’air fût toujours aussi étouffant.
Ils avaient regagné sa chambre et c’est tout naturellement qu’il s’était allongé sur le lit tandis qu’elle se déshabillait. L’idée d’aller dormir tout seul ne l’avait pas effleuré. En petite culotte, elle était allée faire un brin de toilette intime dans la salle de bain attenante, laissant la porte ouverte. Assise sur le bidet, l’eau clapotait tandis qu’elle passait soigneusement ses doigts dans son sexe et son cul. « Il faut que je sente bon » pensa-t-elle !
Quand elle se présenta, nue au pied du grand lit, il l’attendait bras tendus pour l’inviter à venir le rejoindre. Il ne dissimulait rien de son désir. Impudique, les yeux brillants, la verge tendue, tout témoignait qu’il la désirait, qu’il voulait jouir de son corps jusqu’à plus soif ! Dieu qu’il était beau son petit Apollon !
Et c’est vrai que la nuit avait été féérique ! Il l’avait possédée dans toutes les positions, par tous les orifices semblant ne jamais être rassasié. Elle lui avait tout concédé, s’offrant sans retenue à ses assauts. Il l’avait menée au plaisir à plusieurs reprises. Léchée, sucée, dévorée dans les moindres replis ! Il avait bu entre ses jambes les traces de leur jouissance ! Le bout du nez encore tout poisseux de sperme mélangé à sa mouille, il l’embrassait à pleine bouche. Leurs langues partageaient la liqueur de leur jouissance. Et que dire des derniers soubresauts de cette queue chaude, gluante encore raide dans sa bouche pour une petite toilette, un doigt enfoncé dans l’anus ! Il y avait vite pris goût le petit cochon !
Comblé, la tête posée sur son ventre il frisotait les poils de son pubis, effleurait doucement de son ongle la peau si fine à l’intérieur de ses cuisses qui frissonnaient. Puis il s’était endormi comme un enfant qu’il était encore !
Cette relation interdite ne la gênait pas le moins du monde. L’inceste, elle l’avait commis avec son frère lorsqu’elle était jeune et même encore de temps à autre. Avec son petit-fils, elle en tirait un plaisir nouveau, celui d’une femme de soixante ans passés et qui est encore désirée !Mais elle savait bien que la situation présentait des dangers, non pas pour elle mais pour lui. Elle était sa « première femme », il fallait qu’il en connaisse d’autres, plus jeunes, pour qu’il ne fasse pas une fixation sur elle ! Il fallait penser à lui et à son équilibre, le plus rapidement possible !Le problème est qu’elle ne connaissait pas de jeunes filles de son âge. Et puis quand bien même, ce n’était pas si facile que ça. C’est alors qu’elle avait pensé, alors qu’il dormait, toujours pelotonné contre elle, à Martine la bonne.
Elle était sur place et plutôt bonne fille. Ce n’était pas le genre de fille à s’étonner de quoi que ce soit. Elle prenait tout à l’avenant depuis son plus jeune âge et n’avait jamais été aussi heureuse que depuis qu’elle était à son service.Elle allait rentrer le soir même. Elle était allée passer son jour de congé hebdomadaire, comme d’habitude chez sa mère. Son histoire était assez banale. Celle-ci, fille mère, avait rencontré son compagnon, plus âgé de vingt ans. Il était ostréiculteur et l’avait recueilli, avec sa fille Martine. Bien contente, elle l’aidait alors aux parcs à huîtres tout en étant sa maîtresse. Il n’était pas exigeant au lit : qu’elle écartât les cuisses et qu’il se « dégorgeât le poireau » comme il disait à chaque fois, lui suffisait ! Quand Martine eut pris de l’âge, elle remplaça tout naturellement sa mère dans le lit conjugal. Ce qui au fond l’avait soulagée. Et le ménage à trois avait duré jusqu’à ce que Martine tombât sur l’annonce d’offre d’emploi comme bonne.
Monique et son mari l’avaient prise à l’essai un mois et, satisfaits de ses services, ils l’avaient gardée.
Oui c’était le bon choix ! Il fallait qu’Aurélien fasse l’amour avec une autre femme. La bonne, voilà la solution dans un premier temps !Elle secoua doucement Aurélien qui dormait toujours.
— Alors, on se réveille ? Sais-tu l’heure qu’il est ? Midi !— Oh, je suis crevé, Mamie, laisse-moi !— Comment ça crevé ? Accuse-moi pendant que tu y es ! Comme si c’était moi qui avais voulu faire l’amour toute la nuit !— Mamie, tu es de mauvaise foi ! Toi aussi tu en mourrais d’envie !— Pour te faire plaisir, mon petit chéri, c’est tout ! Tu sais que je ne sais rien te refuser et tu en profites !— Laisse-moi dormir encore un peu, s’il te plait !— Non lève-toi, et puis j’ai quelque chose d’important à te dire ! Allez, Ouste, debout !
Aurélien maugréa mais finit par se lever.
— T’es sans pitié, Mamie, je devrais me venger ! Tiens, tourne-toi que je fiche une fessée, c’est ce que mérite les méchantes filles !— Il ne manquerait plus que ça !
Il s’approcha d’elle et la retourna sur le ventre. Il avait sous les yeux l’ample fessier de sa grand’mère, le cul nu qu’il5 claqua à plusieurs reprises, tout d’abord doucement comme dans un jeu, puis en appuyant davantage ses coups. La peau rougissait et Monique se laissait faire.
— Alors, on dirait que t’aime ça ?— Ce n’est pas désagréable, si tu veux tout savoir. Ton grand-père m’a initié, quand nous étions jeunes mariés aux plaisirs sado-maso !— Il faudra que tu me racontes, en attendant ça suffit ! Tiens, soulève ton ventre, que je respire ton odeur de femme, que je renifle ton cul ! Avec tout ce que tu as pris cette nuit, il doit sentir bon !
Le nez dans le sillon, il s’enivra de l’odeur forte de l’intimité de sa grand’mère il lui introduisit un doigt dans le rectum qu’il porta à sa bouche.
— Ça me met en appétit ! Mamie, on déjeune ?— T’as raison, mon petit amour !— A propos que voulais-tu me dire de si important ?
Tandis qu’ils déjeunaient, face à face dans la cuisine, elle se décida à parler.
— Voilà, mon petit chéri. Ne te fâche pas de ce que je vais te dire mais pour une fois écoute-moi ! Nous ne pouvons pas continuer comme ça !— Ah bon ! Et pourquoi ? Tu ne m’aimes plus ?— La question n’est pas là. Pour ton équilibre il faut que tu connaisses d’autres femmes que moi. C’est normal. N’oublie pas que c’est un inceste entre nous !— Mais je ne veux personne d’autre que toi, Mamie ! C’est toi que j’aime !— Ne confonds pas tout ! J’ai pensé que tu devrais faire l’amour à Martine.— Mais t’es folle, c’est la bonne !— Justement, elle est bien plus jeune que moi et je sais qu’elle ne se fera pas prier ! Elle a, toute sa vie, subi sans jamais se rebiffer. Son beau-père l’a dépucelée et la baise en présence de sa mère. Je parierai qu’elle fait l’amour à sa mère pendant que le vieux s’occupe d’elle !— Ah bon ! Mais elle est grosse !— C’est pas un monstre tout de même, elle est un peu enveloppée, c’est tout ! Et puis elle a une belle frimousse, non ?— Et comment vais-je faire ? Tu ne seras pas jalouse ?
Elle se rendit compte qu’il avait implicitement accepté l’idée de baiser la bonne. Le plus dur était fait, pensa-t-elle !
— Mais non grand bête ! Laisse-moi faire et tout ira bien ! Tu verras !
Martine venait d’arriver. Il était dix-huit heures et elle trouva sa patronne assise dans un fauteuil en train de lire. Aurélien assis à ses pieds, la tête posée sur ses genoux semblait dormir.
— Bonsoir Madame.. Que dois-je préparer pour le repas de ce soir ?— Un repas froid ça ira très bien ! Vous mettrez une bouteille de rosé au frais, ça me fait envie !— Bien Madame ! Je vais me changer et je prépare le repas.— Nous mangerons dehors, il fait si chaud !
Martine monta à sa chambre au deuxième étage pour se changer. Madame était stricte sur sa tenue. Robe noire, chemisier blanc, petit tablier sur le devant et des bas ! Par cette chaleur quelle corvée, enfin c’est Madame qui commandait ! Alors !
Lorsqu’elle redescendit Monique et Aurélien étaient sur la terrasse. Elle était assise et Aurélien, debout derrière elle, la tenait enlacée par les épaules, la tête nichée dans son cou. Martine les regardait. Mais l’idée qu’il pouvait y avoir quelque chose entre eux ne l’effleura pas. C’est vrai qu’il était câlin le petit !Quand Martine servit l’apéritif, Monique, volontairement ou pas, renversa son verre sur la jupe de la bonne.
— Martine excusez-moi, ce que je suis maladroite ! Versez-y de l’eau !— Ce n’est pas grave, je vais aller me changer !— Non Martine, vous n’avez qu’à l’ôter, elle va sécher très vite !— Mais Madame, je n’ose pas !— C’est Aurélien qui vous gêne ? Ne soyez pas bête !
Elle obtempéra et se retrouva en petite culotte. Les bas sombres affinaient ses jambes potelées. Aurélien croisa le regard de sa grand’mère. Il avait compris !
— Tu n’as pas chaud avec ces bas toute la journée ?— Mais c’est ta grand’mère qui exige que je les porte !— Remarque, tu me plais bien comme ça ! — Aurélien tu vas me faire rougir, arrête !— Mais non Martine, vous devriez être flattée au contraire ! Un jeune garçon qui vous trouve à son goût ! Vous ne le trouvez pas beau, notre Aurélien ?— Si Madame, il est très beau et il n’aura pas de mal à plaire aux filles !
Aurélien l’agrippa au passage et lui caressa la croupe. Il regardait sa grand’mère qui d’un clin d’oil l’encouragea à continuer.
— Aurélien, t’es fou, que fais-tu ?— C’est sa façon de vous dire qu’il vous trouve belle, ne soyez pas courroucée !— Mais Madame !— Que diriez-vous s’il vous faisait l’amour ? Vous n’aimeriez pas être son initiatrice ?— Je ne sais pas, si Madame le dit, peut-être bien que oui !— Et toi Aurélien, t’aimerais pas que Martine te fasse des petits câlins ?
Aurélien ne répondit pas mais ses mains continuaient à batifoler. Il tenait Martine par la taille et la forçait à écarter les jambes. Il lui pétrissait la poitrine à travers le chemisier. Elle tortillait du bassin mais ne faisait rien pour se dégager.
— Enlève ton chemisier, je veux voir tes seins !— Mais ! ...— Faites ce qu’il vous demande, Martine. Vous savez que vous êtes très belle ! Vous n’aurez qu’à rester comme ça, il fait si chaud et puis moi aussi, je vais me mettre à l’aise ! Vous vous sentirez moins gênée ! De toutes façons, ici, personne ne peut nous voir !
Monique, joignant le geste à la parole, fit glisser sa robe et se retrouva en petite culotte. Aurélien comparait les deux femmes. Autant sa grand’mère, grande élancée avait la peau cuivrée, autant Martine était grassouillette, la peau blanche. Elle avait gardé son soutien-gorge et ses seins débordaient des balconnets. Un joli petit bourrelet sur le ventre, des cuisses épaisses courtes montées sur des mollets bien ronds : une petite « gorette » appétissante en diable !
— Alors Aurélien, tu ne vas pas rester planté là tout habillé ! Mets-toi à l’aise, toi aussi ! Ôte-moi ce pantalon !
Aurélien obtempéra et se retrouva en slip.
— Mais dis-donc petit cochon, tu ne serais pas en train de bander ? Martine, regardez la bosse !— Oh oui, Madame, vous avez raison !— On ne va pas le laisser comme ça, le pauvre ! Il faut qu’on le soulage ! Aidez-moi !
Martine était maintenant prise par l’action. Elle ne se posait plus de question. C’est vrai que cette bite de gamin lui plaisait bien. Elle fit glisser le slip et prit délicatement la verge dressée dans sa main. Elle commença à branler le garçonnet, sa main montant et descendant sur la tige qui gonflait encore. Elle sentait le sang affluer. Enhardie, elle décalotta le gland violacé.
— Vous pourriez peut-être le sucer ? Non ?
Tout en parlant Monique s’était approchée de Martine par derrière et avait empoigné ses seins qu’elle malaxait. Il y avait bien longtemps qu’elle n’avait plus pratiqué les plaisirs saphiques !
— Vos seins sont splendides, Martine, il faut les libérer ! Permettez que j’enlève votre soutien-gorge.— Putain ! Ces nichons qu’elle a Mamie ! Regarde, de vraies tétines !
Monique avait rejoint Martine qui, assise sur ses talons, suçait Aurélien. Tout en profitant du spectacle, elle pelotait la bonne qui, pour ne pas perdre l’équilibre, écartait les jambes. Elle en profita pour glisser une main dans la fourche et glisser un doigt sous la culotte. Ça devait être une chaude car elle mouillait déjà ! L’introduction d’un doigt dans son vagin surprit Martine. Elle gloussait ! Aurélien sentait monter son plaisir, il voulait autre chose qu’une fellation ! En bon petit mâle qui apprenait vite, il décida de la suite des opérations !
— Mamie, allonge-toi, Martine va se mettre au-dessus de toi. Vous pourrez vous lécher la chatte pendant que je vais prendre Martine à quatre pattes !
Martine, le nez fourré entre les cuisses de sa patronne, lui léchait la vulve, ses mains écartant les grandes lèvres. Monique lui rendait la pareille, tandis que la bite d’Aurélien allait et venait dans la chatte de la bonne. Elle aimait l’odeur forte de Martine. Les couilles de son petit-fils ballotaient sous ses yeux claquant contre le périnée ! Il la défonçait sec, le petit bougre ! Et « la Martine » n’avait pas l’air de craindre, une bonne petite femelle en train de se faire ramoner ! A chaque coup de reins, les petits cris qu’elle poussait, le clapotis de la pine dans sa chatte détrempée, manifestaient son plaisir. Monique happa, gourmande, la bite luisante de la cyprine qui s’était échappée du vagin. Après quelques chatteries du bout de langue, elle la saisit et branla la fente avec le gland pour le pointer sur l’anus de Martine.Quand Aurélien força le passage étroit, elle cria sous la douleur. Elle n’avait jamais aimé se faire prendre dans le cul.
— Non pas ça ! Ça fait trop mal !
Insensible à ses protestations, Aurélien guidé par la main de sa grand’mère, força l’oillet et réussit à introduire le gland dans le rectum. Quelques va-et-vient et le muscle distendu n’offrait plus de résistance ! La Martine se faisait ramoner le fion comme une reine !
— Alors, salope, tu la sens ma queue dans tes reins ? Tu vas voir comme je vais te le nettoyer le boyau !— Oui, mon chéri, bourre-la bien à fond, fais-la gueuler ! Fous-lui un gros paquet !— Oh Madame ! Il me défonce ! Doucement Aurélien tu m’esquintes le cul ! Tu me déchires !
Encouragé par leurs propos, il se déchaînait dans ce fourreau étroit. , Il sentit monter le plaisir en lui. N’y tenant plus, il éjacula. Les giclées se succédaient. Sa bite barbotait dans le rectum rempli de son sperme. Il se retira, épuisé ! Martine, les jambes flageolantes s’écroula sur sa patronne qui récupérait sur sa langue le jus qui s’écoulait de l’anus, glissant le long de la fente. Aurélien fourra sa queue grasse dans la bouche de sa grand’mère pour un petit nettoyage !
— Alors, ma cochonne ! T’as vu ce que je t ’ai mis ! Ça c’est un sacré apéritif ! Hein Mamie ?— Oui et j’ai gagné une partenaire qui m’a comblé avec sa langue ! Martine, vous êtes parfaite !— Merci Madame, quand Madame voudra, je suis tout à son service !— J’ai faim ! Ça m’a creusé l’estomac ! On recommencera ce soir, vous êtes d’accord ?— Tout ce que tu voudras ! Nous sommes tes choses, mon petit amour, tu le sais bien !
Chris. A suivre....
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