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Un amour interdit ?

Chapitre 2

Inceste
(partie 2)…« Enfin, c’est pas trop tôt ! » ronchonne Frédéric.Comme Mathilde veut monter à côté de lui, il lui rappelle qu’ils passent prendre Sophie et Paul, un autre couple et qu’il vaut mieux qu’elle passe à l’arrière.Dix minutes plus tard, ils sont cinq dans la voiture, en route pour le village des Dumoulain.Thomas est aux anges : sa mère est tout contre lui, Sophie étant à l’autre bout de la banquette. En plus, il découvre que cette dernière est une fada de foot qui s’est lancée dans une conversation musclée avec les hommes qui sont installés devant. Elle s’est avancée sur son siège, a posé ses coudes sur le dossier du siège avant où trône son mari.Thomas qui apprécie la situation en profite pour passer son bras droit derrière le dos de sa mère puis pose sa main sur son épaule. Grand merci aux virages à droite qui rapprochent encore un peu plus Mathilde. Voyant que la discussion enflammée sur l’équipe parisienne se poursuit, il approche sa bouche de l’oreille de sa mère :« Ce que tu es belle ! Je t’aime, maman. Je t’aime, tu peux pas savoir ! Je sais que ce n’est pas normal mais je ne peux pas m’empêcher d’avoir envie de toi ! Tu me pardonnes ?Mathilde ne bouge pas et quand Thomas se penche un peu en avant pour mieux voir son visage, il croit discerner le même sourire que tout à l’heure quand il lui avait déjà demandé pardon.« Je marque des points ! » pense-t-il.
Le paysage défile, le foot remplit toujours l’habitacle de la voiture et ils ne sont toujours pas d’accord. Thomas fait une folle tentative : « Je te remercie d’avoir mis la petite robe jaune mais … ce serait encore plus joli avec rien en dessous ! »Mathilde se tourne vers lui, l’air courroucé.Thomas ne baisse pas les yeux et sourit. Mathilde repositionne son regard vers l’horizon et son cœur bat plus fort qu’elle ne le voudrait.Ce sera le dernier échange avant leur arrivée et pourtant ça bout dans leurs têtes. Thomas croit qu’il est possible d’espérer bien davantage : elle n’a rien dit au sujet d’hier après-midi et il y a ces sourires certes légers mais réels qu’il a cru observer.Mathilde est à nouveau excitée comme une folle. Le contact de son fils, qu’elle a pourtant souvent connu, n’a plus la même saveur. Elle sait qu’il a envie d’elle et ça la trouble même si elle se crie bien fort dans sa tête que c’est un cochon et qu’elle n’est pas une salope !Le repas est déjà bien entamé chez les Dumoulain et la maîtresse de maison, Roselyne, a eu la merveilleuse idée de placer Thomas à la droite de sa mère.Thomas est radieux : Mathilde, en arrivant, a demandé où étaient les toilettes et elle en a profité pour enlever slip et soutien-gorge. Il se dit qu’elle l’a fait pour lui, pour lui plaire. Il se met à rêver à des moments torrides qu’elle lui offrirait.
Aussi souvent qu’il le peut, il tourne la tête vers sa mère et plonge ses yeux sur la poitrine ferme qui semble vouloir jaillir du vêtement de Mathilde ou pose son regard sur les cuisses en partie visibles ; son imagination va bon train. Il se dit qu’elle est à poil en-dessous et que dix centimètres plus haut, c’est sa chatte qu’il pourrait voir.
Le destin, totalement inattendu, va l’aider au-delà de ses espérances : Mathilde et Roselyne se sont lancées dans une discussion qui s’envenime de minute en minute sur la place des immigrés en France. Mathilde défend leur intégration alors que Roselyne souhaite leur renvoi hors de nos frontières. Le ton monte, monte et Thomas qui n’aime pas voir sa maman se mettre en colère pose sa main gauche sur la main droite de Mathilde (celle-ci a ses deux mains sur ses cuisses) et lui dit : « Maman, laisse la dire, tu vois bien que tu n’arriveras pas à la convaincre ! » Frédéric s’en mêle aussi : « Thomas a raison, vous avez chacune votre opinion et vous n’en démordrez pas, on vous connaît ! »Mais Mathilde n’entend pas leurs demandes, continue son argumentaire et pour être plus convaincante, dégage sa main droite de l’emprise de son fils, pour pointer du doigt Roselyne.Roselyne est troublée par la force du ton employé par Mathilde et décide de la laisser parler sans faire de commentaire.
Thomas se retrouve ainsi avec sa main gauche au contact de la cuisse de sa mère. Que c’est doux !Et pris par une audace qu’il n’avait pas préméditée, il entreprend de remonter sa main plus haut vers l’entrejambe de Mathilde. Celle-ci a baissé de ton, la discussion s’est nettement apaisée et désormais, elle plaisante avec Roselyne sur leur divergence d’opinion, en disant qu’elle réussira à la convaincre, elle en est persuadée et Roselyne, pour adoucir le climat qui était en train de dégénérer, ne fait que sourire.La main de Thomas progresse et il sent le contact des poils de la chatte de sa mère. Il craint qu’elle referme ses jambes mais ébahi, il les sent au contraire, s’écarter un peu plus. Il franchit la dernière étape : ses doigts viennent d’atteindre le mont de Vénus de Mathilde : il repère rapidement son bouton et entreprend une caresse circulaire en plaçant son index et son annulaire de chaque côté du clitoris et en frôlant son majeur tout autour de cette petite bite qu’il fait saillir davantage en écartant les doigts. Mathilde s’est tue comme tétanisée par cette délicieuse caresse qui la foudroie. Pour accroître encore son excitation, par instants, Thomas plonge le majeur dans son vagin où il baigne dans sa mouille avant de reprendre sa caresse sur son bouton d’amour.Elle sent la jouissance arriver et, à nouveau bloquée par le fait que c’est son fils qui lui donne ce plaisir fou, elle se lève d’un bond et se dirige vers les toilettes.Elle s’enferme et se regarde dans le miroir placé au-dessus du petit lavabo placé en côté.« Mais qu’est-ce qui m’arrive ! J’étais sur le point de jouir de la main de mon fils ! Il ne faut pas ! C’est immonde ! » Son corps n’est visiblement pas de cet avis. Il réclame la jouissance mais Mathilde ne veut pas céder. Elle remonte sa robe et s’asperge le sexe d’eau froide. « Non, non et non ! » se dit-elle (initiative pour le moins saugrenue – note de l’auteur).Ce soir, je veux que Frédéric me baise, que les choses redeviennent normales ! Je ne dois plus laisser Thomas me toucher ; il faut que je le lui dise ! »Quelque peu refroidie, (en fait, de manière bien superficielle), elle regagne sa place à table et se détourne ostensiblement de Thomas. Elle se mêle à toutes les conversations qui jalonnent la fin du repas et quand elle croit avoir oublié ce qui s’est produit tout à l’heure et qu’elle dirige enfin son regard vers Thomas, c’est pour voir celui-ci portant à son nez les doigts de sa main gauche.Elle rougit comme une pivoine, sent son entrecuisse réagir immédiatement et pour couper court à cette émotion qui la transperce, demande à Roselyne, de faire un petit tour de jardin.Finalement, l’après-midi passe plutôt vite : les hommes sont à la pétanque et les femmes ont pris les vélos pour une balade le long du canal.Au dîner, Mathilde demande à Roselyne d’intervertir leur place. Roselyne accepte sans faire de commentaires.Pendant tout le repas, Mathilde évite le regard de son fils.Et pourtant, Thomas est confiant. Il se dit qu’il faut qu’il soit patient mais plus de doute, sa mère a envie de lui ; simplement, elle lutte contre ses préjugés et sa bonne morale.
Minuit passé, il est temps de rentrer. Chacun a repris sa place dans la voiture mais l’atmosphère est beaucoup plus calme. Sophie s’est endormie, les hommes, devant, échangent tranquillement sur la prochaine coupe du monde de foot et Mathilde, après quelques kilomètres sur la route tortueuse est littéralement collée à son fils. Thomas, loin de se plaindre, a passé comme à l’aller son bras droit dans le dos de sa maman et sa main droite caresse doucement le haut du bras de Mathilde.Il colle sa bouche à l’oreille de sa mère et murmure :« Ce que tu es belle ! Tu me fais bander, c’est pas possible ! Tu étais sur le point de jouir ce midi, hein ! J’ai tellement envie de faire l’amour avec toi ! Je sais, il ne faudrait pas mais on en a envie tous les deux ! Ce sera notre secret ! »Mathilde est restée de marbre du moins en apparence. Elle devrait lui dire que c’est honteux d’avoir de telles idées en tête, qu’elle ne peut s’intéresser à lui mais sa volonté est absente. Et le veut-elle ?Thomas s’est tu et elle sent la main droite de son fils se glisser dans l’échancrure de sa robe !« Comme ils sont beaux tes seins ! » lui glisse-t-il à l’oreille avant de déposer un baiser sur la joue, le plus près possible des lèvres de cette femme qu’il désire plus que tout. Sa main droite chatouille d’abord le téton qui ne tarde pas à durcir avant de glisser ses doigts sous le sein pour une douce caresse qui procure à sa mère un bonheur qu’elle tente de dissimuler en se mordillant les lèvres. Son supplice empire encore quand elle sent l’autre main se plaquer sur son sein gauche à même le tissu.« Je t’aime, tu es mon amour et … je veux faire l’amour avec toi ; pas « baiser », non, faire l’amour avec toi ! »« Que c’est bon ! pense Mathilde mais il ne faut pas, il ne faut pas ! Je dois me sortir de cette situation !
Elle interpelle alors son mari, pendant que deux mains lui caressent les seins d’une manière divine :« Ce serait plus raisonnable que je conduise ! Tu as pas mal bu ce soir ! »Thomas, déstabilisé, remet ses mains dans une position convenable.« Tu crois ? » répond Frédéric.— Deux apéros, plusieurs verres de vin, y’a pas photo ! T’es bon pour la suspension de permis ! »Visiblement convaincu, Frédéric range la voiture le long de la route.Le changement de conducteur s’opère rapidement en réveillant Sophie.Pour Thomas, c’est la grande désillusion. Son sexe qui depuis un bon moment était raide comme un « i » a repris une forme moins glorieuse.
Tout le monde est couché. Mathilde a fait des avances à son mari pour qu’il lui fasse l’amour (ça fait plus d’un mois qu’il ne l’a pas touchée).Dans le silence de la nuit, Mathilde pleure à chaudes larmes. Son mari ne lui a pas fait l’amour, il l’a baisée ; il a vidé ses couilles en elle ; à peine un regard après, un « bonne nuit ma chérie » et elle s’est retrouvée plus seule que jamais et insatisfaite ! Son sexe réclame du plaisir ; elle l’a offert à son mari, elle voulait tellement qu’il chasse les idées impures et immorales qui germent en elle mais il a tout gâché !Finalement, sachant que le sommeil ne viendra pas, elle allume la lampe de chevet, prend la boîte de Lexomil, fait glisser un cachet dans sa main qu’elle porte à sa bouche avant de boire une gorgée d’eau de la bouteille qui l’accompagne chaque nuit.
Le réveil sonne à sept heures. Son mari se lève et gagne la salle de bain. Elle le rejoint pour prendre une douche. Elle est encore plus triste qu’hier soir. Malgré les efforts qu’elle fait pour qu’il porte un regard sur ses seins qu’elle prend à pleines mains ou sur son sexe qu’elle fait exprès d’entrouvrir avec ses doigts, rien n’y fait ! A aucun moment, il ne s’aperçoit qu’elle est là, charmeuse à souhait.« A ce soir, ma chérie ! Je prendrai mon petit déjeuner en route, je suis à la bourre ! » Et le voilà parti.
Mathilde est assise dans la cuisine, la mine sombre.Elle ne peut s’avouer que sa volonté d’empêcher un acte contre nature l’a fuie depuis un bon moment !Mathilde cherche un soutien pour la dissuader de commettre l’irréparable !Elle déjeune, seule, et a posé à côté d’elle sa tablette.Elle a tapé « inceste » mais ne valide pas son choix. Trop brutal ! Elle modifie sa recherche : « amour mère-fils ».Son cœur bat plus vite et plus fort en découvrant les réponses proposées. Les deux premières mènent à des sites pornos ; la troisième l’envoie sur un forum où une femme explique qu’elle est amoureuse de son fils et qu’elle projette de faire l’amour avec lui ». Les avis des internautes sont pour le moins partagés, les uns la traitant de salope et les autres, largement majoritaires l’encourageant à aller jusqu’au bout. Ce n’est pas la réponse qu’elle espérait. Elle aurait voulu que ce soit l’unanimité contre ce genre de relation.Lasse, elle tourne en rond dans la cuisine n’arrivant pas à penser de manière sereine. Elle retourne dans sa chambre enfiler son jogging et part pour une sortie qu’elle veut épuisante pour évacuer ce poids qui la ronge.Elle court, elle court, les écouteurs dans les oreilles lui distillant la musique du groupe ABBA. Quand enfin ses jambes ne répondent plus, elle s’assoit sur le premier talus qu’elle rencontre.Petit à petit, elle récupère de son effort trop violent ; elle a lâché les écouteurs, son cerveau fonctionne à nouveau ! Une idée lui vient : « Lucie ! Je vais tout expliquer à Lucie et elle, elle saura trouver les mots pour m’empêcher de faire l’inimaginable (qu’elle est en train d’appeler de tous ses vœux !).
Deux heures après, elle est chez son amie. Elle a laissé un mot sur la table de la cuisine pour Thomas en lui indiquant ce qu’il pouvait manger ce midi, elle, étant invitée chez Lucie.Lucie qui connaît bien son amie, voit bien qu’elle est toute secouée. Patiemment, elle attend que Mathilde parle. Pour l’instant, elles en sont aux banalités d’usage et c’est en fin de repas que Mathilde ose enfin :« J’ai besoin de ton aide Lucie !— Tu sais que tu peux compter sur moi !— C’est pour cela que je suis venue ! Il m’arrive quelque chose d’horrible !Lucie sourit et attend que son amie se lance.« Voilà ! Y’a qu’à toi que je peux en parler. Je sais que tu garderas le secret ! »Lucie hoche la tête puis invite Mathilde à aller dans le salon.Elles sont côte à côte sur le canapé et Lucie a pris la main de Mathilde, comme pour l’encourager.« Je, …, Thomas, … je n’y arrive pas ! C’est trop impensable ce qui m’arrive !— Reprends ton souffle, calme-toi, dis-toi que ça te fera du bien de tout m’expliquer !— Voilà ! Thomas, mon fils, … est amoureux … de moi. Il m’a fait des avances, m’a même caressé les seins, le …, le … sexe dans des circonstances que je t’expliquerai plus tard, il m’a dit qu’il voulait faire l’amour avec moi ! Et le pire, j’ai lutté, tu sais, mais le pire, c’est que je meurs d’envie de jouir de ses doigts, de sa langue et de son sexe ! Je suis folle, n’est-ce pas ! Dis-moi que je suis folle, ça me fera du bien !— Mais non, tu n’es pas folle ! Tu n’es pas la première ni la dernière à qui ça arrive ! Vous êtes consentants tous les deux, vous ne faites de mal à personne, sauf peut-être à ton mari mais tu m’as déjà fait comprendre qu’il te délaissait depuis pas mal de temps. Alors, vas-y ! Fonce !— C’est toi qui me dis ça ! Toi, mon amie !— Tu sais Mathilde, il faut que je t’avoue quelque chose ! Je t’ai dit que depuis quelque temps, j’avais un jeune amant qui avait l’âge d’être mon fils et ça ne t’a pas plus choqué que cela. Tu m’as même dit que mon mari était un con de me négliger comme il le faisait. Ce que je ne t’ai pas dit, c’est que ce jeune homme, c’est … mon neveu ! — Ton neveu ! Lequel ?— Sébastien !— Sébastien, mais c’est un gamin encore tout boutonneux !— N’empêche que c’est un amant merveilleux et que je ne regrette rien de ce que j’ai pu faire et de ce que je continue de faire avec lui ! Il m’a même fait découvrir un pan de ma personnalité que je ne connaissais pas : être soumise aux demandes d’un homme !— Ça alors ! J’en suis baba !
Une tension ambiguë flotte au-dessus de leurs têtes. Lucie se lève, va chercher ce qui semble être un livre et le tend à son amie : « J’ai pour habitude de tenir un journal intime. Personne ne l’a encore vu. Tiens, lis à partir de cette page et tu vas mieux comprendre à quel point je suis heureuse ! »— Au point où on en est ! Je venais pour que tu me remettes dans le droit chemin et toi, au contraire, tu veux me pousser à commettre l’interdit !
Mathilde n’a plus la force de penser ; elle est atterrée par ce qu’elle vient d’entendre. Elle regarde le livre ouvert qu’elle tient devant elle et n’ose poser le regard dessus. Lucie, cette fois, va s’asseoir dans le fauteuil placé en face du canapé et insiste :« Allez, lis, tu vas voir que … que c’est le plaisir qui compte ! »Finalement, elle décide de laisser Mathilde seule et retourne dans la cuisine.
Mathilde soupire un bon coup et pose ses yeux sur l’élégante écriture bleue nuit qui remplit plusieurs pages.
Elle lit :« Ça fait longtemps que Sébastien vient passer les vacances de Noël et d’été à la maison ; ses parents, à ces périodes-là de l’année, sont accaparés par les nouvelles collections de lingerie et ils nous le laissent pour les vacances. Nous, on est heureux parce que ça nous fait de la compagnie vu qu’on n’a pas pu avoir d’enfant.J’ai un homme si peu bavard que rien que le fait de parler au gamin me remplit de joie.Et, le petit Sébastien, je ne l’ai pas vu grandir ! A sa dernière venue, il avait complètement changé, le bougre ! Lui, si timide d’habitude, s’est permis de ces choses ! J’ai su pourquoi et surtout qui l’avait métamorphosé. Mais bon, que je prenne les choses dans l’ordre.Il est arrivé comme d’habitude, en soirée, le samedi, bien crevé par six heures de train, a demandé sa chambre et on ne l’a pas revu de la soirée.Le lendemain matin, j’étais en train de faire la vaisselle quand il est descendu. Bertrand (c’est le mari de Lucie – note de l’auteur) était dans le salon en train de faire ses éternels mots croisés. J’avais les mains pleines de savon et il est arrivé guilleret derrière moi, m’a, et c’était la première fois, fait un bisou très appuyé dans le cou, avant de me glisser à l’oreille : Je ne veux pas que tu mettes de pantalon quand je suis là ! Tu as de très belles jambes et je veux les voir !J’étais estomaquée par ce qu’il venait de me dire ! Comme j’étais flattée, un peu troublée, que je trouvais que ça ne portait pas à conséquence et que ça me faisait bigrement plaisir de savoir que mes jambes puissent encore plaire, quand j’ai eu fini ma vaisselle, je suis allée me changer.J’ai eu droit à un grand sourire quand il m’a vue redescendre en jupe.La journée s’est passée normalement sauf que j’ai trouvé qu’il était d’une gentillesse extrême vis-à-vis de moi, cherchant à m’aider dès qu’il le pouvait.Le lendemain matin, j’étais encore en train de faire la vaisselle du soir quand il est arrivé, Bertrand étant à ses mots croisés, dans le salon. Il s’est littéralement collé contre moi, en m’embrassant dans le cou.J’ai senti son sexe contre moi ; il était dur et me paraissait énorme. Je n’ai pu m’empêcher de rougir d’autant plus qu’en même temps, il venait de plaquer ses mains sur mes seins. J’étais scotchée, aucun son ne sortait de ma bouche. Après m’avoir bien peloté les seins, il les a lâchés, s’est reculé un peu avant de se coller à nouveau contre moi et de me glisser à l’oreille : « Je ne veux pas que tu portes de sous-vêtement quand je suis là ! » et avant que je n’ai pu réagir, il s’est mis à genoux derrière moi et j’ai senti ses mains remonter le long de mes cuisses, agripper mon slip et le faire glisser le long de mes jambes. Il m’a soulevé une jambe puis l’autre, a récupéré la culotte, l’a portée à son nez et m’a dit : « Tu mouilles cochonne ! On va en faire des choses tous les deux ! » et il s’est sauvé comme il était venu. Il est redescendu un quart d’heure après, m’a fait signe d’approcher et quand j’ai été près de lui, il m’a dit : « Je viens de me branler et de jouir en reniflant ta culotte ! Et tu m’enlèves ce soutien-gorge ; tu as des seins si durs qu’ils n’ont pas besoin de ça ! Allez, obéis !»Pour éviter toute réponse de ma part, il s’est précipité vers son oncle pour lui proposer une sortie à vélo, ce qu’il a accepté.
Incroyable encore il y a quelques heures, j’ai osé !J’étais excitée comme c’est pas possible. Je suis allée dans la chambre, j’ai enlevé le soutien-gorge et … je me suis fait jouir en pensant à Sébastien, en imaginant les cochonneries qu’il pouvait me faire. Et des cochonneries, il m’en a fait faire mon adorable neveu ! »Mathilde relève la tête voulant interroger Lucie qui n’est pas réapparue. Elle pense tout haut : « Lucie, accroc au sexe, je ne l’aurais jamais cru ! » puis relit la dernière phrase : « Et des cochonneries, il m’en a fait faire ! »
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