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Un amour interdit ?

Chapitre 6

Inceste
Résumé des épisodes précédents :Thomas est devenu l’amant de sa mère Mathilde.Il l’entraîne dans des jeux particuliers : hier, elle a cru sucer et avaler le foutre de son fils, mais comme elle avait les yeux bandés, elle n’a pas vu que c’était Ludo, le meilleur copain de Thomas.----------------
Le lendemain matin, ce qui réveille Thomas c’est la délicieuse sensation d’un baiser sur sa bite, heureuse victime de l’érection matinale. Il entrouvre les yeux pour voir sa mère qui lui sourit, avec sa queue bien au fond de la bouche.Le voyant réveillé, elle stoppe le jeu : « Ce n’était qu’un amuse-bouche ! Je dois m’absenter toute la matinée !— Fais-moi sentir ta chatte avant de partir que je vois si tu mouilles, adorable cochonne !Mathilde s’approche, relève sa jupe. Thomas s’assoit dans son lit et se penche vers l’entrecuisse de sa mère. Il sort rapidement sa langue pour lécher la culotte humide qu’il a sous les yeux mais sa mère se recule :« Tu es un tricheur ! Pas maintenant, cet après-midi, je serai toute à toi ! » Et elle se sauve en laissant Thomas dans un terrible état d’excitation qu’il calme par une branlette dont il a le secret et il ne faut pas longtemps pour que le mouchoir (qu’il appelle le chiffon à foutre) qu’il prend sous son oreiller recueille le fruit de son plaisir.
L’horloge de la cuisine indique deux heures et demie quand Thomas range les derniers morceaux de vaisselle qu’il vient d’essuyer. Sa mère est tout sourire : elle le regarde, enlève le tablier qu’elle avait mis pour les menues tâches qu’elle vient d’effectuer puis s’approche de lui :« Je suis toute à toi mon amour ! Qu’as-tu imaginé pour cet après-midi ?— Dis, tu y prends goût à nos jeux, on dirait !— Bah oui ! Hier, j’ai adoré te faire jouir puis jouir de ta langue ! Quand même, t’es un sacré cochon ! Ton idée de chien, ça m’a excité !— Tu aimerais te faire lécher par un chien !— Mais non, quelle horreur ! Non, c’est ton comportement avec ta langue, sans tes mains et me léchant de cette manière aussi sauvage ! Un vrai bonheur !Thomas, excité par les propos de sa mère se colle à elle pour un de ces baisers fougueux dont ils ont le secret. Chacun à son tour remplit la bouche de l’autre, de sa langue qui se faufile dans les moindres coins de l’espace à fouiller ou qui joue avec l’autre langue en s’enroulant le plus possible autour d’elle et aspirant au passage la salive du partenaire.Quelque peu essoufflée par l’ardeur de son tendre fils, elle insiste :« Alors qu’as-tu prévu pour cet après-midi ? Tu veux que je mette à nouveau ma guêpière ? (Un court silence et le sourire de Mathilde disparaît)… C’est notre dernier câlin avant ton week-end avec Ludo ! Ça va être long plus de deux jours sans toi !— Je t’aime mon amour ! Pour moi aussi, ça va être long ! (Thomas sourit à sa mère et lui caresse la joue.) … Non, pas de guêpière aujourd’hui, tu vas mettre ta nuisette mauve, pas de soutif, les bas noirs qui se fixent tout seuls et un string ou une de tes jolies culottes en dentelle, et par-dessus tout ça, ton peignoir en satin qui te va si bien ! Allez zou !Sans mot dire, Mathilde monte à sa chambre et revient rapidement avec la tenue demandée. Elle en a profité pour se maquiller un peu. Elle est vraiment excitante avec cette tenue qui laisse entrevoir ses jambes bronzées quand elle marche et qui met en valeur sa poitrine aux belles courbes suggérées.
Thomas la fait tourner une fois sur elle-même, siffle pour montrer son contentement puis dit : — On va d’abord aller dans le salon comme hier.— On recommence le même jeu qu’hier ?— Je n’ai pas dit ça !Thomas prend sa mère par la main et l’entraîne dans la pièce voisine. Il pousse la table de salon de manière à laisser une large place devant le canapé puis sort d’un tiroir le masque des yeux utilisé hier.« Tu vas à nouveau avoir les yeux bandés pour que les sensations soient encore plus fortes ! »Docilement, elle laisse son fils placer le masque sur ses yeux.« Comme hier, nous allons nous taire. Pas le moindre bruit ! Je vais d’abord te déshabiller. Tes mains devront absolument rester dans ton dos (à l’écoute de ces mots, elle les place comme il le souhaite). Pour que ce soit plus sensuel ce déshabillage, je vais mettre des gants ! Tu verras, ils sont très doux !Quand tu seras nue, tu te retourneras ; le canapé est juste derrière toi. Tu te mettras en position comme pour une levrette et tu placeras tes mains sur le dossier du canapé et elles ne devront plus bouger quoi que je fasse !— Que me feras-tu ?— Tu verras. Le but est toujours le même : te faire jouir et jouir aussi de toi ! Tu es prête !Mathilde hoche la tête pour lui indiquer son accord. Elle se tient bien droite, les mains derrière le dos attendant le début du jeu.Quelques instants de silence et elle entend le même bruit qu’hier. Thomas se déshabille près d’elle. Enfin, c’est ce qu’elle croit toujours !
Pourtant Thomas est à plusieurs mètres de là ; il se met à poil également puis prend le caméscope en main et commence à filmer.Auprès d’elle, c’est Ludo qui est à nouveau là.Il est nu comme un ver et vient d’enfiler les gants noirs, longs, brillants comme ceux que l’on voit dans des scènes sadomaso. Il bande comme un diable, Thomas zoome sur sa bite qui paraît plus grosse qu’hier : l’excitation est tellement forte ! Il sait qu’il va baiser, baiser, lui le puceau qui a connu hier sa première pipe, et quelle pipe ! Et qui va aujourd’hui déshabiller sa première femme. Et quelle femme ! La mère de son copain ! Il la connaît depuis si longtemps, s’est branlé tant de fois en imaginant des moments torrides, persuadé de ne jamais pouvoir réaliser une pareille chose. Aujourd’hui, pourtant, il va la baiser. On peut imaginer facilement son émotion, l’émotion de la première pénétration !Il tremble un peu quand il pose ses doigts sur le cordon retenant le peignoir de Mathilde.Il s’est mis légèrement en côté et tire sur le bout de tissu qui permet de découvrir les trésors cachés dessous.Avant d’aller plus loin, il glisse sa main gauche sous le peignoir entrouvert pour empoigner le sein droit de Mathilde, qui immédiatement réagit. Le téton se dresse et semble vouloir transpercer le tissu qui le recouvre. La mère de Thomas gémit, espérant visiblement que la caresse dure, dure.Ludo en profite pour admirer le spectacle qui est devant lui. Il bande encore plus fort, si cela est possible. Quelle bite !Les veines ressorties donnent un caractère encore plus obscène à l’image qu’il dégage.
D’un geste félin, il glisse la seconde main sous le vêtement protecteur et le peignoir se retrouve vite sur le sol.Une douce transparence lui permet de distinguer les aréoles brunes des seins gonflés de Mathilde.Il pose maintenant ses mains sur les épaules de la femme qui va bientôt accueillir sa bite et d’une simple tirée, la nuisette rejoint le peignoir sur la moquette du salon.
Ses mains n’ont pas quitté le corps de Mathilde. Elles redescendent doucement sur les belles et grosses mamelles que Ludo, dans un premier temps, frôle du bout des gants. Les tétons, fièrement, pointent vers l’avant.Puis, la main droite reprend sa marche en descendant le long du flanc de Mathilde. Celle-ci sourit, ravie de cette douceur sur son corps. Ludo, encouragé, laisse cette main arriver à la culotte de dentelle fine de couleur blanche qui cache le tendre sexe féminin. Trois doigts gantés se faufilent sous l’élastique et gagnent rapidement les lèvres vaginales qu’ils entrouvrent avant de se glisser à l’intérieur et de se baigner dans le jus de chatte.Mathilde ne peut alors s’empêcher de manifester sa joie par des gémissements et transgresse le silence imposé : « Vas-y mon amour, fouille-moi avec tes doigts ! Tu peux en mettre d’autres, ma chatte est tellement ouverte et dégouline de cyprine ; ça va glisser tout seul ! »Ludo n’en demandait pas tant. Ce sont maintenant quatre doigts qui pénètrent le vagin de cette femme si respectueuse qu’il fouille amoureusement.Alors qu’il se rend compte que Mathilde va bientôt jouir, il retire immédiatement sa main de la culotte de la Belle.« On ! Non ! Tu n’as pas le droit de me faire ça ! J’allais jouir ! »Mathilde est décontenancée. Elle s’inquiète de ne plus sentir la moindre présence près d’elle : « Tu n’es plus là ? »Pour toute réponse, elle sent avec ravissement, se poser sur ses hanches les deux mains de son fils (c’est toujours ce qu’elle croit !). La voilà rassurée !Ludo est à genoux, la tête à la hauteur de la chatte de Mathilde. A l’aide de ses deux mains, il fait glisser la culotte de la mère de Thomas mais s’arrête à mi-cuisse.Il rapproche son nez du con féminin pour respirer les effluves qui s’en dégagent.Il voudrait mettre sa langue mais hésite de peur qu’elle ne se doute de quelque chose.Le parfum de cyprine s’avère délicieux et Ludo, apercevant les tâches sur la culotte en partie descendue, se dit que ce slip est un trophée qu’il a bien l’intention de garder. Il fait donc glisser le sous-vêtement jusqu’aux pieds de Mathilde qui les soulève sans attendre pour être totalement nue. Elle se retourne alors et se met dans la position indiquée tout à l’heure par son fils. Se voulant provocante pour lui, elle se cambre et il faut dire que le spectacle qu’elle donne ravit les deux jeunes hommes. Elle attend la suite des opérations guettant le moindre son. Elle ne peut qu’entendre un léger froissement qui correspond au rangement de la culotte dans une poche du jean de Ludo.Puis, elle sent sur ses hanches la douceur des gants que celui-ci vient de poser en bas de son dos. Il caresse longuement les fesses de Mathilde qui se tortille de bonheur. Par instants, elle sent ce qu’elle croit être (à juste titre) une pointe de bite qui se frotte contre ses cuisses.Ludo, tout tremblant d’émotion prend sa queue dans sa main droite, se penche un peu sur le côté pour … la voir s’engouffrer dans la chatte de Mathilde. Il pousse son engin jusqu’à ce que son ventre vienne se coller contre le cul féminin.Il entame de lents va et vient et sent que la jouissance va arriver trop vite. Il se retire complètement du ventre de Mathilde, laquelle grogne son mécontentement. Il en profite pour saisir le tube de vaseline que lui tend Thomas.Il se remet en position, plonge dans le vagin trempé de mouille. Une fois bien calé au fond du con de Mathilde, il prend le temps de verser de la vaseline en haut des fesses de sa Belle qui ronronne de plaisir sous les coups de bite que donne maintenant Ludo.Ludo se débarrasse alors du tube en le jetant sur le canapé.Voulant ressentir au mieux ce qu’il va faire, il ôte son gant droit puis approche ensuite le pouce dénudé, de la vaseline, s’en enduit le doigt avant de le glisser lentement le long de la raie qui sépare ces fesses majestueuses de provocation jusqu’à frôler l’entrée du cul qu’il a bien l’intention de pénétrer avec sa queue.Mathilde glousse de plaisir quand Ludo entame une caresse circulaire autour de sa tendre rondelle. Il prend son temps, le bougre, aux anges de vivre un tel moment de luxure. « Encore, mon amour, encore, que c’est bon ! Continue, oui, doucement, doucement ! Hum ! Tu es en train de me l’ouvrir mon cul, tu vas m’enculer, hein gros cochon ! Tu vas me dilater la rondelle avec ta grosse queue ! Ludo, sentant qu’elle est prête enfonce le pouce dans le cul de Mathilde.D’abord, quelques millimètres, ressortant son doigt avant de le remettre au chaud puis de sortir à nouveau, d’entrer encore mais un peu plus loin jusqu’à ce que Mathilde, le feu au cul lui lance : « Mets-le en entier, à fond, à fond, oui, comme ça ! Oh ! Le salaud qui me transperce avec son pouce ! Ta queue ! Je veux ta bite, maintenant ! Défonce-moi le cul tout de suite sinon je vais jouir avant !Ludo n’a aucun mal à obéir ! Il abandonne sa caresse, reprend sa bite en main, la place à l’entrée du cul de Mathilde et, d’un vif coup de rein, l’encule jusqu’à la garde, d’une manière si frénétique que Mathilde ne peut s’empêcher de crier. Un cri de surprise mais aussi de plaisir ! Plaisir de sentir cette queue bien au fond de ses entrailles !Ludo enlève sa main gauche restée sur la fesse de Mathilde et Thomas qui filme voit que les deux amants ne sont désormais reliés que par une bite qui va et vient dans le cul de sa mère. Il se déplace un peu pour bien être derrière son copain, se baisse un peu pour prendre en gros plan la pénétration. Ludo voyant cela, pose son pied droit sur le canapé offrant ainsi une vue imprenable sur une belle chatte surmontée d’une grosse tige qui va et vient dans le cul de sa mère et une paire de couilles qui viennent buter de manière régulière contre le fessier maternel.
Que d’émotions aussi pour Thomas. Voir sa mère se faire défoncer le cul l’excite au plus haut point ! Il a le sentiment d’en avoir fait sa pute, sa putain d’amour comme il dit et il pense que ce n’est qu’un début et que ces films d’hier et d’aujourd’hui sont un excellent moyen de pression. Il en sourit, imaginant la suite qu’il a déjà programmée !
Ludo voudrait pouvoir faire durer le plaisir encore et encore mais la jouissance le frappe rapidement et il fait un effort surhumain pour ne pas crier sa joie ! Son corps est collé à Mathilde, il est tendu à l’extrême !En réponse, la mère de Thomas, sentant les giclées de foutre couler en elle, laisse exploser la jouissance qu’elle aussi retardait !Thomas jubile devant le spectacle de ces deux êtres qui viennent de jouir et il continue de filmer ces deux corps inertes reliés encore quelques instants par la bite de Ludo puis n’y tenant plus, se soulage sur un mouchoir qu’il avait posé près du caméscope. Frustré d’un côté mais tellement heureux du comportement de sa putain d’amour !Ludo se relève, prend rapidement ses vêtements, montre son contentement à Thomas en levant son pouce droit avec en prime, un clin d’œil et se sauve sans demander son reste.Thomas s’assoit à côté de sa mère et la prend dans ses bras. Elle a toujours le masque sur les yeux.« Oh ! Mon amour ! Mais, tu vas me tuer de plaisir à me faire jouir comme ça ! »Thomas lui glisse la langue dans sa bouche chaude et accueillante.Un baiser tendre, rempli de complicité, de sérénité, de bonheur effréné.« J’ai soif, tu vas me chercher un verre !— Oui, ma p’tite maman ! »Quand il revient, il découvre sa mère allongée sur le ventre sur le canapé. « Qu’elle est belle ! » pense-t-il. Dès qu’elle a bu, Mathilde reprend sa position initiale.Thomas est à même le sol et caresse ce tendre corps féminin qu’il aime plus que tout.Sa queue n’en demande pas plus pour se redresser à nouveau.Il se relève, enjambe le corps de sa mère pour bien placer ses jambes de part et d’autre de cette belle paire de fesses qu’il s’empresse de pétrir une fois assis sur les jarrets de Mathilde. Celle-ci sent la bite de son fils effectuer des soubresauts sur son corps.« Mais tu es insatiable ! Une vraie bête de sexe ma parole ! »Pour toute réponse, Thomas se penche en avant jusqu’à se coller au corps de sa mère. Il l’embrasse tendrement.Cette douce chaleur irradie le corps de Mathilde qui se laisse bercer par le câlin de son fils.Ses mains sont entrées dans la danse et elle ne tarde pas à ronronner de plaisir.Thomas se glisse légèrement en arrière avant de pousser en avant. Le premier essai n’est pas le bon. Sa bite glisse sur les fesses de sa mère.La seconde fois, il glisse sa main gauche entre leurs deux corps et cette fois, sa bite retrouve le chemin emprunté par son copain.« T’es vraiment un cochon ! Deux fois dans mon cul, à suivre !— Mais tu adores ça, mon adorable salope ! Tu aimes être enculé, je le sais !— Oui, j’aime quand tu m’encules ! Surtout quand tu es bien au fond et que tu me donnes des coups de bite ! Les sensations sont encore plus fortes ! Et puis aussi, quand tu vas et viens et que j’ai tes couilles qui me tapent les fesses comme des petits marteaux ! … Et ton foutre qui me coule du cul ! J’ai encore celui de tout à l’heure et tu vas m’en remettre une bonne giclée ! Hummmmm ! Que c’est bon d’avoir le cul rempli comme ça ! … Et dire que sans toi, je n’aurais jamais connu ça !— Hummm ! Ma putain d’amour ! Tu n’es pas au bout de mes jeux, tu sais ! Je vais faire de toi une vraie grosse salope !— Tout ce que tu veux mon amour ! Tant que je n’ai que du plaisir, tu peux faire tout ce que tu veux de moi !— Je retiens ta phrase : je peux faire tout ce que je veux de toi si tu as du plaisir ! Je t’en promets de belles !
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