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Un amour de mère

Chapitre 2

Inceste
Un amour de mère 2
Suite de ma mère et mes sœurs, quelles salopes 3
Pour baiser et faire l’amour avec Pamela, je sais que les préliminaires sont très importants et longs, chose qui en somme me plaît bien; elle est naturellement bandante avec ses longs cheveux lisses couleur châtain foncé, coupés en franges entourant son visage d’ange, des yeux de biche d’un vert intense et profond, des lèvres bien dessinées et pulpeuses à souhait. J’ai de la chance d’avoir une sœur, si belle, et je l’aime pour cela, et aussi pour son amour du sexe, de mon sexe, toujours joviale, aimant la vie et le sexe; belle, fraîche, parfois satirique, un brin sadique et aussi saphique avec notre famille, maman, tatie, et plus tard notre petite sœur. Elle est vétérinaire de formation dans un zoo, section gros félins et éléphants.
Comme nous vivons nus, la plupart du temps, elle connaît mes attributs, comme moi, les siens; et jusqu’ici, je ne bandais pas, chaque fois que je la voyais; mais cette fois, c’est particulier, c’est elle qui est venue dans ma chambre, c’est elle qui me demande un plan baise, c’est notre première fois entre elle et moi, elle a pu me voir à l’œuvre avec notre mère, elle sait aussi que je l’aime plus qu’une sœur et elle aussi est amoureuse de moi, et le fait d’avoir deux ans de plus que moi lui donne un sentiment de supériorité; mais quand le mâle que je suis la procédera, Pam comprendra qu’elle n’est pas ma supérieure, mais mon égale, ma partenaire sexuelle et ma moitié. Le premier baiser sur la bouche entre un frère et une sœur et un moment intense et magique, sa langue qui cherche et qui trouve la mienne, baiser soudé plein de passion, suivi par une infinité d’autres de même nature.
Mon organe buccal lui lèche le visage méthodiquement suivant une trajectoire bien précise : descendant lentement dans son cou, mordillant tendrement le lobe de son oreille gauche avant le droit, prenant entre les dents sans serrer la peau de son cou comme font les félins, et entre un lion comme moi et une tigresse comme elle, les mœurs sont semblables.
Je lèche chaque centimètre carré de sa peau couleur pêche, souple, chaude et sucrée, j’aime son odeur intime, subtil mélange d’une alchimie complexe, entre hormones et fluides d’excitations de type testostérone. Mes mains descendent avec une infinie douceur sur ses épaules, puis sur ses seins que je caresse avec amour, un soupir et un imperceptible frisson m’indiquent qu’elle aime cela et m’encourage dans cette étape de pelotage mammaire, domaine où j’excelle, ma bouche entre en action, gobe ses globes que je lèche de plus belle, que je couvre de baisers, il ne fallut pas longtemps pour obtenir un gémissement, le souffle court, des contractions de plaisir, alors que ma langue joue avec ces incroyables pointes roses en titillant, aspirant, mordillant, suçant avec un amour incommensurable.
Pour bien faire durcir une poitrine; et que le plaisir soit total, j’ai fait l’amour à ses seins une heure au moins; ses timides gémissements se sont transformés en clameur, son corps ondulant, couvert et brillant de sueur sous la pleine lune, se tendant avant de s’abandonner à nouveau à mes douces caresses expertes.
Un désir brûlant, un besoin d’amour et de sexe. Pour faire jouir une femme en totalité, il faut connaître le fonctionnement de son corps, savoir étudier les zones érogènes, travailler là où c’est le plus sensibles, ce n’est pas une question de trous ou de tailles, mais de techniques, même si certains hommes sont mieux montés que d’autres. Je triture inlassablement les tétons durcis avec la langue, léchages suaves et gourmands de la gorge, jusqu’entre les seins, puis en descendant lentement sur son ventre où meurent ces léchages au profit de baisers humides et moelleux; passion et amour emplissent la chambre de senteurs hormonales puissantes, mais ô combien délicieuses, je couvre son corps de baisers toujours plus brûlants, toujours plus bas, et la langue comme une pointe de flèche pénètre son nombril lui arrachant un cri d’extase.
Je dévore et aspire le trou de vie, souffle dessus, elle finit par tremper ses cuisses de mouille chaude, liquide qu’il ne faut absolument pas perdre, je recueille donc ce fluide sur ma langue qui lape comme ‘’un chien que je suis’’. Je remonte ensuite pour reprendre là où j’en étais.
Elle ne me regardait plus comme un frère, mais comme l’homme qui lui faisait découvrir l’amour et le sexe, choses que n’avait pas su faire son ex-copain. Son dépucelage avait été un moment majeur avec moi en la présence de Cloé qui par la suite lui enseigna l’amour lesbien.
La première fois où elle s’est donné complètement à moi, les jambes bien écartées, la chatte déjà mouillée, répondant à toutes mes exigences sexuelles, et je ne me suis pas privé en lui demandant de me bouffer le cul comme je le lui ai fait, accomplissant des gorges profondes, elle venait à ma rencontre de mon sexe en poussé, soulevant haut le bassin pour une intromission profonde et totale, lors de nos multiples accouplements.
Mes mains n’ont pas quitté ses seins, comme emprisonnés, la paume roulant inlassablement les tétons insatiables goulus de caresses, durs, pointant impérialement vers le ciel. Mes lèvres gourmandes sont descendues; arrivées sur son bas-ventre, début du temple de la volupté, antre que ma pine allait dévaster le moment venu, mais avant cela, cette zone est pleine de bonnes choses : le mont de Vénus imberbe que je vais lécher et dévorer avec voracités, enduire de salive, puis nettoyer à grands coups de langue. Pam est totalement offerte, corps et âme, haletante, gémissante, les cuisses ruisselantes de cyprine gluante et odorante savourent le plaisir divin de ce cunnilingus de qualité, jouie dans un feulement sonore, un bon jet de cyprine au goût délicieux tapisse mon palais buccal, résultat d’un orgasme vulvaire, la motte dure et rougit par l’afflux sanguin. Je me concentre sur le clitoris, organe rose, qui, bien titillé, se dresse volontiers comme une petite bite.
Elle finit par un puissant orgasme clitoridien.
Pam ne crie plus, elle hurle sa jouissance comme une louve, il ne reste plus que l’orgasme vaginal à extraire avant l’accouplement charnel qui fait qu’un homme est un homme et une femme. Cette fois, c‘est la totalité de ma langue qui entre dans cette magnifique fente, se frayant un chemin entre les chairs brûlantes du fourreau vaginal, la saveur y est salée, mais pas désagréable. La recherche du point G n’est qu’une formalité; et avec l’habitude, une vague de jus de chatte m’indique que j’ai atteint mon but, orgasme que j’ignore, allant au plus profond sous le col de l’utérus, aux portes des glandes para-utérines, génératrices de l’éjaculation féminine qui va faire naître un geyser, une inondation, un raz de marée durant de longues minutes, avec un mélange et un goût différent de la cyprine pure. Il fait aimer, et moi j’adore être aspergé et boire les jets de jus d’une femme-fontaine. Pam hurle encore.
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