Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 327 J'aime
  • 15 Commentaires

L'amour en mère

Chapitre unique

Inceste
Cette journée avait pourtant très bien commencé...
Nous étions partis, mes parents et moi, pour un week-end de bronzage, de baignade et de détente sur la côte charentaise à bord d’un bateau flambant neuf. Chacun gère ses démons de midi comme il le peut ; et pour mon père, médecin bien installé à La Rochelle qui avait déjà un bel appartement et ne s’intéressait pas trop aux voitures, cela s’était traduit par l’achat d’un yacht de belle taille. Ma mère, Apolline, avait un peu rallé au début devant cette nouvelle folie, puis elle avait fini par voir le bon coté de la chose et maintenant c’était elle la plus motivée par nos virées marines.
Je dois bien l’avouer, la perspective de passer le week-end sur l’océan m’avait pas mal motivé pour quitter Bordeaux où je faisais mes études de médecine (le fruit n’était pas tombé très loin de l’arbre) et rejoindre mes parents que je délaissais un peu depuis que j’avais découvert les joies de la vie étudiante.
Nous étions en train de parfaire nos bronzages tout en dégustant de délicieuses Margarita concoctées par ma mère lorsque nous reçûmes un message d’alerte. Comme tout marin qui se respecte, mon père avait vérifié la météo avant de partir. Il savait qu’il y avait une petite tempête en préparation, mais d’après notre position, elle ne devait jamais nous impacter plus durement que quelques remous. C’est du moins ce que pensait mon père. Malheureusement il avait tort.
La tempête avait déviée pendant que nous étions occupés à profiter du soleil et nous n’avions désormais plus d’autre choix que d’affronter l’océan déchainé sur l’ensemble du retour jusqu’à La Rochelle. Bien vite, nous réalisâmes que la fête était finie. Le ciel s’assombrit et le bateau commença un écœurant balancement au rythme des vagues de plus en plus imposantes. Je m’assis dans la cabine, la tête contre le mur et les yeux fermés pour éviter le mal de mer. Mon père était aux commandes, dans le cockpit au dessus de ma tête, bravant les éléments déchainés avec un stoïcisme de façade qui ne trompait personne. Je préférais le laisser seul afin de ne pas le déconcentrer. Après tout, mes connaissances maritimes étaient à peu près nulles et je n’aurais rien pu faire pour l’aider dans tous les cas.
Des bruits d’escarpins résonnant sur les escaliers métalliques qui séparaient le cockpit de la cabine me tirèrent de ma rêverie. Une seconde plus tard, Apolline, ma tendre mère, entra comme une furie dans la cabine pour se mettre à l’abri. Elle portait toujours son bikini bleu marine que je n’avais pu m’empêcher de trouver assez sexy quelques heures auparavant tandis qu’elle bronzait à coté de moi sur le pont. A l’instant présent, ce n’était plus ma préoccupation principale. D’autant que je me rendis vite compte que la colère maternelle rivalisait avec les éléments déchainés. Elle se fraya un chemin jusqu’au bar en titubant sous l’effet du ressac tout marmonnant :
— Ah Dorian, tu es là ! Je te jure, ton père va me rendre folle avec son imbécile de bateau !
Pour mon plus grand étonnement, elle ouvrit le frigo et se servit une bière malgré le temps tumultueux.
— Il t’a mis dehors, c’est ça ? Demandais-je sarcastiquement, lui faisant lever un sourcil.— Bien vu Sherlock ! Sois disant que le déconcentre… J’aurais tout entendu !
Il faut dire que maman aurait pu facilement déconcentrer n’importe qui dans cette tenue. Etait-ce le stress, les quelques verres que j’avais pris cet après-midi, un début d’insolation ou bien le fait que je n’avais pas eu de petite amie depuis plus de six mois ? En tout cas, je ne pus m’empêcher de regarder ma mère et son bikini avec des yeux nouveaux ; des yeux d’homme en rut. Ce maillot la mettait tellement en valeur qu’il était impossible de ne pas la trouver sexy. Malgré ses quarante-sept ans, maman avait un corps dont bien des jeunes filles auraient pu rêver. Tout me captivait en elle en ce moment : ses cheveux blonds légèrement mouillés par les embruns, ses seins rebondis que le tissu mouillé du bikini moulait parfaitement, son ventre plat sur lequel glissaient quelques gouttes d’eaux chanceuses en direction de son aine… Et puis, con cul, ferme et rebondi, sur lequel elle m’offrit une vue imprenable lorsqu’elle se tourna pour jeter la capsule de sa bouteille de bière dans la poubelle derrière elle. J’étais en pleine réflexion sur la façon, dont les lanières du bas de son maillot étaient accroché autours de ses hanches quand une phrase inattendue me tira de ma rêverie.
— Je rêve ou tu es en train de me reluquer ?
Oh merde, je venais de me faire griller ! Mes yeux quittèrent les fesses maternelles pour tenter de donner le change mais c’était trop tard. Elle prit une gorgée de bière directement à la bouteille, ses lèvres charnues entourant le goulot d’une manière très suggestive… mais putain, qu’est-ce qui m’arrivait ? C’est ma mère que j’étais en train de sexualiser ! Heureusement pour moi, elle ne semblait pas énervée par la situation, juste amusée de me prendre en flagrant délit dans une situation embarrassante. Elle se contentait de me fixer en souriant, sa bouteille de bière toujours en bouche. Il y avait une lueur étrange dans ses yeux, comme si elle était flattée. Au point ou j’en étais, il me semblait idiot de nier :
— Euhhh… Oui. Désolé maman, mais je trouve que ce bikini te va très bien. Il est nouveau ? Demandais-je en rougissant.
A ma grande surprise, elle sembla ravie de ma réponse. Elle me lança un sourire espiègle puis baissa les yeux sur son propre corps en s’accrochant d’une main au comptoir tandis que notre monde tanguait de plus belle.
— Oui, les collègues de bureau n’arrêtent pas de me dire que je suis trop pâle. Je me suis dit qu’avec celui-là je pourrais facilement prendre des couleurs. Tu l’aimes vraiment ? Demanda-telle en tournant légèrement sur elle-même pour me montrer son bikini sous toutes ses coutures.— Oh oui ! Il te met vraiment en valeur. Il faut absolument le garder ! Répondis-je un peu trop enthousiaste.— Merci mon chéri. Ça fait plaisir que quelqu’un s’en rende compte. Ton père ne m’a rien dit. Dit-elle en jetant un regard noir en direction du plafond au dessus duquel papa bravait actuellement les éléments.
D’ailleurs, mon père dut avoir les oreilles qui sifflaient car ce fût à ce moment précis qu’il utilisa le speaker pour nous envoyer un message de la plus haute importance :
— Hey la famille, je viens d’avoir des nouvelles des gardes cotes. A priori, on est parti pour trente minutes de gros temps. Accrochez-vous parce que ça risque de pas mal secouer.
Nous nous regardâmes tous les deux sans trop savoir comment réagir quand le ciel se zébra d’un énorme éclair. Dans la minute qui suivit, le léger roulis se transforma en vagues de plus en plus menaçantes. Notre bateau pouvait facilement affronter ce genre de tempête mais il y avait un risque majeur de se faire éjecter par-dessus bord. Pour couronner le tout, mon père n’avait fait installer qu’une seule ceinture de sécurité, précisément sur le siège où je me trouvais. Maman fût projetée au sol par une vague aussi violente que soudaine. Je lui fis signe de vite me rejoindre sur le siège tout en attachant ma ceinture. Elle s’assit rapidement sur mes genoux et j’enroulais mes mains protectrices autour de son corps tandis que le bateau nous balançait de haut en bas. Nous étions tous les deux en maillot de bain, si bien que son dos humide se collait contre mon torse nu. Ses bras s’accrochèrent aux miens tandis que mon menton se posait agréablement sur son épaule. Les effluves familières de sa peau dorée remplirent mes narines.
— Tu crois que ça va aller ? Demanda-t-elle avec une voix ou perçait pour la première fois un soupçon de peur.— Ne t’en fait pas, papa sait ce qu’il fait. Répondis-je sans en avoir la moindre idée.
Tandis que nous étions ballotés au grès des vagues, je ne pouvais m’empêcher de jeter des coups d’œil au corps appétissant qui se blottissait dans mes bras. Son dos élancé, nu à l’exception de deux bandes de tissu sur son cou et ses cotes. Son cul, pressant de plus en plus contre mon sexe, uniquement séparés par deux fines couches de tissus mouillés. C’était vraiment le pire moment pour avoir ce genre de pensées mais c’est comme si la tempête sur l’océan faisait écho au maelstrom dans mon crane. L’océan nous entrainait dans sa course, provoquant des frottements de plus en plus nets de ses fesses sur mon aine. Je sentais un grondement sourd monter dans mes reins et j’avais de plus en plus peur d’avoir un début d’érection. J’essayais de la lever doucement, pour lui permettre de chevaucher mes jambes, mais les mouvements la ramenaient inéluctablement au point de départ, son cul fermement planté entre mes cuisses qu’une chaleur engourdissante commençait à envahir.
— Maman, je crois qu’il faudrait qu’on bouge…— Non chéri, il ne faut surtout pas bouger. La tempête va bientôt se terminer, ne t’inquiètes pas.
Elle avait chuchoté cette phrase doucement, son corps appuyé contre le mien, comme pour me rassurer, complètement inconsciente du danger grandissant dans son dos. Je sentais mon sexe qui se dressait petit à petit, tentant désespérément de sortir de mon maillot. Je voulais protester mais je n’en eu même pas le temps car le chaos s’abattit sur nous sans prévenir. Nous avions dû passer une vague encore plus grande que les autres car nous restâmes pendant un bref moment comme en apesanteur. Mon cœur s’emballa et pas seulement à cause du vertige. Crispée par la peur, ma mère était descendue de quelques centimètres le long de mes jambes pendant la chute avant de remonter rapidement lors de l’impact. Ce faisant, elle avait emporté avec elle mon maillot de bain, libérant mon sexe tuméfié. Un halètement qui n’avait pas grand-chose à voir avec de la peur sorti de sa bouche lorsque mon sexe gonflé vint se loger parfaitement entre ses deux fesses après l’impact.
Nous n’avions pas prononcé un mot, laissant l’océan nous soumettre à sa volonté. J’aurais voulu m’excuser mais aucun son n’arrivait à quitter ma bouche. Je la sentais vulnérable, presque fragile entre mes bras. Je n’en menais pas large non plus et en même temps j’étais tellement heureux de tenir maman serrée contre moi en cet instant précis ; de sentir son corps contre le mien. Son sexe n’était plus séparé du mien que par la fine couche de tissu de son bikini et cette situation taboue renforçait mon excitation malgré les cris intérieurs de ma conscience qui me répétait à quel point c’était mal. Je tentais tant bien que mal de me convaincre que le corps de ma mère que je reluquais quelques secondes auparavant ne provoquait aucune excitation en moi, mais mon érection grandissante était le signe triomphant de ma défaite annoncée.
De son coté, ma mère ne faisait aucun commentaire. Elle se contentait de regarder droit devant elle en frissonnant dans mes bras, le teint légèrement rosi par le soleil et l’alcool. Qu’est-ce qui occupait son esprit ? Je n’aurais su le dire. Elle devait forcément le savoir. Elle devait me sentir entre ses jambes. Le contraire était impossible.
C’est à ce moment que je sentis quelque chose qui remit toutes mes certitudes en question. Est-ce qu’elle venait de bouger ? Non, c’était probablement un mouvement du bateau, ou bien mon imagination qui me jouait des tours. Pourtant, pendant un instant, j’eus l’impression que la pression exercée par ses fesses contre mes hanches durait un peu trop longtemps pour être uniquement due au mouvement des vagues. Et puis, cela recommença : un mouvement de balancier sur mes genoux qui contredisait la gravité. Oh mon dieu, est-ce qu’elle était vraiment en train de se frotter délibérément à moi ?
Je posais ma tête sur son épaule et la serrais encore plus fort contre moi. Son corps était bouillant, tout comme mon esprit. Je restais un moment hésitant : devais-je rendre le risque de bouger moi aussi ? J’en mourrais d’envie mais j’étais également terrifié. Un dernier regard plongeant dans son décolleté finit de me convaincre. Et puis merde, à la vague suivante je soulevais mes hanches délibérément, accompagnant parfaitement l’ondulation du bassin maternel qui, cette fois-ci j’en étais sûr, était lui aussi délibéré. Un halètement discret s’échappa de ses lèvres et elle s’appuya à nouveau contre moi. Encouragé par sa réaction, mes mains se posèrent sur ses cotes, comme pour la stabiliser. Elle attrapa les accoudoirs du fauteuil à deux mains et amplifia ses mouvements de bassin contre ma queue maintenant dure comme de la pierre. Maman avait les yeux fermés et s’adossait complètement à mon torse en amplifiant de plus en plus la friction entre nos sexes. Je ne pus résister longtemps à la senteur de sa peau et commençait à embrasser son épaule.
— Dorian, qu’est-ce que nous sommes en train de faire ? Haleta-t-elle.
L’entendre dire mon nom d’une telle manière me fit frissonner. Je léchais délicatement son épaule, goutant le soupçon de sel sur sa peau. Elle gémit de nouveau, s’appuyant plus fort contre moi tandis que mes doigts pétrissaient son corps. Ma bouche remonta le long de son épaule puis de son cou, jusqu’à la base de son menton. Des mèches de ses cheveux mouillés caressaient mon front et une légère odeur de shampoing envahit mes narines. Elle ronronnait de plaisir tandis que mon souffle chaud se perdait dans son cou. Lorsque son oreille passa à porté de bouche, je commençais à sucer le lobe de son oreille, lui arrachant un petit gémissement de plaisir.
C’est alors que notre monde bascula. Une nouvelle vague puissante percuta le bateau, nous entrainant avec lui dans un mouvement plus ample que d’habitude. Mon maillot s’échappa pour de bon et je sentis ma bite compresser le maudit bikini qui le séparait de son objectif et foncer tel un missile à tête chercheuse entre les cuisses maternelles. Nous laissâmes tous les deux échapper un gémissement mêlant surprise et désir. Mon sexe se positionna avec bonheur à l’entrée des lèvres soyeuses de ma mère. Je pouvais presque tout ressentir à travers le tissu : sa chaleur, son désir, le contour de sa fente. Ses jambes s’écartèrent encore un peu pour me faciliter le passage. Je recommençais mon mouvement de bassin, frottant mon gland lubrifié de pré-sperme contre son bikini inondées de cyprine. C’était complètement immoral et diablement excitant.
— Oh mon dieu Dorian, c’est tellement mal ! Il faut que nous arrêtions ! Ronronnait-elle, tout en remuant de plus belle contre ma queue.— Je sais maman, mais c’est tellement bon !
Elle oscillait au dessus de moi, en taquinant le bout de mon sexe avec sa vulve. Mes sens étaient en ébullition. Seul ce maudit bikini me séparait du septième ciel. Elle se pressa plus fort contre moi et ma bite commença à pousser le tissu trempé à l’intérieur de sa fente. Elle se retira immédiatement, mais revint se frotter contre mon sexe encore et encore. C’était un terrain glissant et nous savions tous les deux ce qui se passerait si nous n’arrêtions pas.
Soudain, quelque chose sembla différent. En baissant les yeux, je remarquais que les bretelles du bas de son bikini s’étaient défaites sous l’effet de nos frottements répétés. Par conséquent, le bas de son maillot se froissait et s’éloignait de son aine à chacun de nos mouvements, ouvrant progressivement la voie vers la chatte maternelle à mon sexe qui n’attendait que ça. Maman s’en rendit compte également et un halètement indéterminé lui échappa tandis qu’elle se penchait en avant pour rattraper son bikini défectueux. Je faillis hurler de frustration. Mais, pour ma plus grande surprise (et mon plus grand plaisir), elle attrapa le bas de son maillot et le fit glisser le long de ses jambes dans un mouvement fluide avant de s’en débarrasser complètement. Elle revint alors s’appuyer contre moi et nos frottements reprirent de plus belle, cette fois-ci sans plus aucune protection entre sa fente tant désirée et ma verge turgescente.
Je ne pus m’empêcher de remonter mes mains le long de son corps jusqu’au niveau de ses seins magnifiques que je soupesais tels deux melons bien mûrs. Mes doigts se glissèrent entre son maillot presque détaché et ses tétons érigés que je caressais doucement. Elle gémit de plus belle et se pressa contre moi, frottant ses lèvres humides contre mon sexe totalement humidifié par sa propre cyprine. Je relevais mes hanches pour tenter de me frayer un chemin vers ce conduit que je désirais plus que tout mais elle se déroba au dernier moment. Pour combler ma frustration, je libérais le haut de son bikini qui alla rejoindre sa deuxième moitié sur le sol de la cabine.
Maman redescendit à nouveau, glissant le long de mon membre, tandis que je pétrissais ses seins. Elle avait les jambes serrées, emprisonnant ma queue entre ses cuisses. Je sentais la caresse de ses poils humides contre mon nœud prêt à exploser. J’étais complètement ivre de la chaleur de son corps et de son odeur musquée. Je sentais bien qu’elle était tremblante de désir mais elle résistait toujours au tabou ultime. Elle se contentait d’aller et venir le long de mon sexe, tentant chaque fois le destin et frôlant dangereusement la pénétration mais se résorbant au dernier moment, refluant au rythme des vagues.
Et puis, il y eu l’instant fatal où je ne pus plus tenir. Alors qu’elle glissait vers l’arrière dans un long mouvement sensuel, mes mains quittèrent ses seins pour l’attraper fermement au niveau de ses hanches, lui empêchant toute retraite. Elle tourna la tête vers moi, les yeux pétillants de sauvagerie et de désir, mais ne fit rien pour se libérer de mon étreinte. Mon gland écarta doucement les plis velouté de son sexe, cherchant désespérément l’entrée du paradis. La délicieuse caresse de sa fente contre le bout de mon sexe me rendait fou mais il m’en fallait plus ! Quand le bateau se cabra, nous suivîmes le mouvement. Doucement, gentiment, elle coulissa le long de ma queue, me faisant pénétrer centimètre par centimètre dans un univers de plaisir inédit. Un gémissement profond jaillit simultanément de nos deux bouches quand elle finit par s’assoir complètement sur moi. Les chairs brulantes de sa chatte enveloppaient parfaitement mon sexe. J’étais de nouveau à l’intérieur de ma mère ! Totalement possédé par ces nouvelles sensations, je commençais un lent mouvement de piston et je sentis ses ongles griffer mes bras. Elle me tenait comme un étau et je n’avais jamais rien ressenti d’aussi bon de toute ma vie !
— Oh mon dieu Dorian ! Tu es en moi ! ohhhh !
Ses jambes s’écartèrent encore d’avantage, m’offrant un accès complètement dégagée vers sa fente inondée que je m’employais à pénétrer de plus en plus vite. Ses cris de plaisir remplirent la cabine pour être instantanément noyé par la fureur de l’orage. Ses doigts s’enroulèrent dans mes cheveux, tirant ma tête vers l’avant. Dans un mouvement de contorsion impressionnant, ses lèvres se posèrent sur les miennes dans un baiser fougueux. Je faillis défaillir tandis que sa langue prenait possession de ma bouche avec passion. Je découvrais un aspect de ma mère que je n’avais jamais suspecté et qui m’excitait au plus haut point. Nous ne faisions plus qu’un. Je la pénétrais avec fureur, presque bestialement, la faisant hurler de plaisir.
— Oooh Dorian, c’est tellement bon ce que tu me fais ! Oh oui, baise moi ! Baise ta chienne de mère !!!
J’étais stupéfait des mots qui franchissaient les lèvres de cette femme que je croyais connaitre mieux que personne. Je ne reconnaissais plus ma mère. J’avais devant moi une femme en manque de sexe et j’étais bien décidé à assouvir toutes ses envies. D’un coup, elle s’empala fermement sur mon sexe, puis elle arrêta tout mouvement, maintenant ma queue prisonnière de son vagin brûlant. C’était à la fois très agréable et en même temps fort bienvenu car je n’aurais pas pu tenir très longtemps à ce rythme et elle devait le sentir. Elle tourna lentement son visage vers moi, tout son corps tremblant de plaisir :
— Alors mon chéri, tu l’aimes la chatte de maman ?— Oh oui, j’adore ça maman ! Tu es tellement serrée! Oooh, je t’aime !— Oooh, je t’aime aussi mon fils !!!
Sa voix atteignit des tessitures que je ne lui connaissais pas tandis que je la pilonnais de toutes mes forces tout en pétrissant ses seins. C’était incroyable : ma bite entrait et sortait de son vagin à un rythme démentiel, faisant danser son cul parfait devant mes yeux. Je m’aidais de mes mains autour de son corps pour accompagner mon mouvement de piston et la pénétrer le plus profondément possible. C’était primal ! J’avais besoin de la faire jouir au plus vite.
— Oui, comme ça ! Ne t’arrête pas ! Oh oui, maman va jouir ! Maman va jouir sur ta grosse queue !!!
Tout son corps sembla se contracter comme un ressort. Je plongeais en elle aussi fort que je le pouvais pour lui donner un maximum de plaisir. Elle s’adossa violemment contre moi dans un orgasme intense. Son corps tremblait sous l’effet du plaisir qui l’inondait vague après vague. Ses doigts griffaient la peau de mes bras et ses jambes cherchaient désespérément appui sur le sol tandis que tout son corps vivait une intense délivrance lubrique. Il ne m’en fallait pas plus pour craquer moi aussi.
— Maman, je suis proche… je vais…
Un peu chancelante, elle se libéra de mon emprise et se jeta à genou entre mes jambes. Elle attrapa fermement ma bite et l’avala sans aucune hésitation. Je me vidais dans sa gorge en poussant un râle guttural qui me surprit moi-même par son intensité. Elle me dévora, pompant ma bite tandis que mon corps était secoué de spasmes de plaisir incontrôlés. Ma propre mère me vida les couilles, avalant tout mon sperme avec avidité, sans en laisser une seule goutte.
Le temps sembla se suspendre. Nous restâmes un moment presque immobile, maman toujours agenouillée entre mes jambes en train de nettoyer consciencieusement mon sexe qui rétrécissait à vue d’œil. Puis, je finis par reprendre mes esprits. Je me rendis compte pour la première fois que la météo s’était largement améliorée. Ce n’était pas un temps parfait mais le bateau tanguait nettement moins qu’avant. Une fois remis de mes émotions, je baissais les yeux vers cette femme ravissante qui se léchait les doigts avec délice tout en me regardant avec un sourire diabolique. Ce fut elle qui brisa le silence :
— Eh bien, c’était… inattendu… dit-elle en se relevant entre mes jambes.
Elle se tenait serrée contre moi, me regardant dans les yeux et caressant gentiment mes hanches. Nous partîmes dans un éclat de rire commun qui dura plusieurs minutes et détendit complètement l’atmosphère. Elle me jeta un regard intense en penchant légèrement sa tête sur le coté et me demanda :
— Comment tu te sens mon chéri ?— A vrai dire, je ne suis pas sûr…— Comment-ça ?— Je ne ressens aucune gêne, aucun regret. Je sais que c’est immoral, mais c’est comme ça…— Bien.
Elle me sourit chaleureusement et je lui souris en retour, l’esprit plus serein que jamais dans la clarté d’esprit qui suit l’orgasme. Nous remîmes nos maillots en place et elle s’assit sur mes genoux. Elle se lova contre moi, ses bras enroulés autours de mon cou. Il n’y avait aucune tension sexuelle, rien de gênant. Juste une mère et son fils qui se prélassent. C’était bon et réconfortant. Au loin, les nuages s’écartèrent petit à petit et on aperçut la côte. Bientôt, nous serions au port et nous pourrions reprendre notre vie comme si rien n’était jamais arrivé.
La journée avait bien commencé… et elle se terminait de la plus belle des manières.
Diffuse en direct !
Regarder son live