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L'Amour Partagé

Chapitre 6

Inceste
LE PARKING

-La Vigie! Nous y sommes, annonce Diane en désignant du doigt, aux trois autres, l’enseigne de la brasserie où Nathalie leur a donné rendez-vous.
Attablé face à la promenade qui longe la plage, Alexandre laisse errer son regard de fille en fille, s’attarde sur certaines, les déshabille mentalement. L’une d’elle qui vient dans leur direction, attire son attention. Ses cheveux châtains flottent dans la lumière et son sourire dévoile deux belles rangées de dents blanches. À travers sa robe écrue déboutonnée jusqu’à mi cuisse, sous laquelle transparaissent ses aréoles, ses jambes interminables se découpent dans le contre jour.
-Que cette fille est belle! pense-t-il à voix haute. Et elle me sourit.
Laurent se retourne pour la regarder aussi, éclate de rire en même temps que Florence et lui dit:
-Arrête de rêver mon vieux, c’est Nathalie!
Alexandre rougit de sa méprise. Depuis l’autre côté de la rue, la jeune femme agite joyeusement la main et fonce directement vers leur table.
-Nathalie, je te présente nos amis, Diane et Alexandre. Bruno n’a pas pu venir?-Non! J’arrive de l’aéroport, il a dû repartir d’urgence ce matin. Peut-être pour deux semaines. Ses nouvelles responsabilités! Je le vois de moins en moins.-Et votre nouvelle maison?-On s’y plaît beaucoup. Hélas, il n’en profite pas souvent.-On l’a vue depuis la route, elle est très belle et la vue est superbe, félicite Diane.-Merci! Enfin, le plus dur est fait maintenant... Vous venez de chez Transparences? bifurque-t-elle, pour masquer sa mélancolie.-Alexandre est tombé en admiration devant la vitrine.-Vous me montrez?-Tu connais la vendeuse? interroge Florence, tandis qu’elles déballent leurs achats.-Non, je ne suis pas cliente.
-En venant, on se demandait si elle ne serait pas bi.-Elle vous a fait des choses?-?a n’a pas été jusque là, mais elle n’a pas cessé de nous frôler, de laisser ses mains traîner partout, tant elle s’appliquait à mettre en place tout ce qu’elle nous faisait passer. Elle a dû nous faire essayer la moitié du stock.-Il fallait la remettre à sa place.-Il n’y avait quand même pas de quoi faire un esclandre, informe Diane.-Et dans sa lancée, elle a aussi montré sa chatte à Alexandre et Laurent, poursuit Florence.-Comment ça?-En se penchant pour ramasser un string qu’elle avait échappé...-Volontairement échappé! précise Diane.-En votre présence? Elle ne manque pas de culot, c’est une nymphomane!-Non, une excellente vendeuse, estime Laurent, en repensant aux achats.-Balivernes! Une fille honnête ne s’exhibe pas ainsi même pour tenter les clients.-On pourrait généraliser la méthode à d’autres professions, suggère Alexandre.-Tu aurais du voir leur tête!-Il y a de quoi! s’en réjouit encore Laurent. Son string plongeait au milieu de sa fente et ça faisait saillir sa vulve totalement glabre.-Magnifique, vraiment magnifique! ajoute Alexandre.-Mais celle-là, tu ne l’a pas rasée, ironise Florence.-J’aurais bien aimé, lui répond-il en posant gentiment sa main sur le haut de sa cuisse. Tu es bien placée pour le savoir.-Expliquez un peu? demande Nathalie, intriguée par leurs propos, s’interrogeant aussi sur la toute nouvelle liberté de langage de ses amis concernant les choses du sexe qu’elle ne leur connaissait pas et sur les liens qui pouvaient bien exister entre eux.-Quand il a vu que Diane était rasée, Laurent a tout de suite sauté sur l’occasion.-Tu as vu ça comment?-À la plage! On bronze tout nu.-Donc, toi aussi tu es...?-Comme au premier jour de ma vie!-Et par Alexandre, si j’ai bien suivi?-Tu as bien suivi.-Je n’en reviens pas!-Bref, si tu es intéressée, tu peux t’adresser à lui. Il fait ça très bien.-Je n’en doute pas. Mais... pardonnez-moi, Diane! Cela ne vous a posé aucun cas de conscience de laisser votre mari toucher son intimité? poursuit-elle, dans l’espoir d’obtenir d’autres révélations croustillantes.-Que pouvait-il lui arriver?-À lui? Rien, bien sûr! Mais à votre couple?-Nous sommes très amoureux l’un de l’autre, Florence et Laurent le sont aussi. Du reste depuis, ni elle ni moi n’avons eu à le regretter.-Regarde plutôt, au lieu de chipoter! coupe Florence en déballant boxers, mini strings arachnéens et soutien-gorge qui laissent une bonne moitié des seins découverts.-C’est très impudique.-Vous trouvez? s’étonne Alexandre.-Disons que je n’oserais pas porter ça!-Il y avait bien plus indécent, surenchérit Laurent.-?a semble pourtant difficile!-Aucun des dessous que vous portez ne devrait faire obstacle à notre espoir, souvent vain hélas, d’apercevoir vos charmes lors d’un coup d’oeil lancé dans un décolleté ou sous une jupe, plaide Alexandre. Toutefois, si vous aimez que votre poitrine soit soutenue, et votre féminité couverte, cela n’oblige en rien qu’elles soient cachées.-C’est donc dans cet esprit qu’il a choisi les miens, indique Florence.
Laurent se penche vers Nathalie et pour ajouter à sa confusion, il ajoute:
-Pour les fois où elle en met!-Parce qu’Alexandre choisit ta lingerie? Enfin quand tu en portes... Et toi Laurent, tu trouves ça normal?-J’ai bien choisi ceux de Diane.-De mieux en mieux!-?coutez! exulte Alexandre qui s’était détourné un moment de la conversation pour lire une publicité dans un journal.
?Après Paris et Bordeaux, pour la première fois sur la Côte d’Azur, Salon de l’Erotisme. Avec la participation de nombreuses stars du porno. Projections de films, publications, gadgets, spectacles, élection de Miss Sexy Côte d’Azur?.
Si on y allait? Belles comme vous êtes, vous remporteriez le concours.-Je ne pense pas que cela nous apporte grand chose, estime Nathalie. Venez plutôt visiter la maison et me tenir compagnie.
    *
-Tu en as fait une tête quand nous avons parlé de cette vendeuse et de son attirance pour les femmes. Elle t’a sautée dessus? demande Florence, en gagnant, avec Nathalie, sa voiture.-Je t’ai dit que je ne la connaissais pas.-Ne me racontes pas d’histoires, tu as piqué un de ces phares et tu te tortillais comme un ver coupé.-Qu’est-ce tu vas chercher!-Je te connais bien... On s’est toujours tout dit! relance-t-elle, au bout d’un moment. Alors?-Eh bien... j’ai fait l’amour avec une femme! finit-elle par lâcher d’un trait, en baissant les yeux, soulagée de s’être enfin confiée à quelqu’un.-Il n’y a pas de quoi se mettre dans des états pareils, ce n’est pas un délit.-Je ne sais toujours pas ce qui m’a pris ce soir-là. Depuis je suis tourmentée, car, pour ne rien te cacher, j’y ai pris beaucoup de plaisir... Tu ne dis plus rien. Tu penses que ta copine Nathalie est devenue lesbienne.-Ce que je pense? C’est que tu as bien fait! Et puis, ne confonds pas, bisexuelle avec homosexuelle.-Tu vois, tu te moques de moi!-Je ne me moque pas. Toutes les expériences sont bonnes à faire et le saphisme en est une. Il faut prendre le plaisir dès qu’il passe à notre portée.-Cela t’est arrivé?-Non! Mais cette éventualité ne m’est pas désagréable.-Eh bien! En même temps que tes dessous, tu t’es aussi débarrassée de tes grands principes d’avant!-Comme toi, je les mets au goût du jour!-Je ne savais pas aussi libérée.-Mais tu ne sais pas tout!-À ce propos, que faites-vous donc ensemble, tous les quatre? Cette intimité entre vous m’intrigue beaucoup.-Plus tard! Bruno est au courant?-Non, et j’ai peur qu’il ne l’apprenne un jour.-Ne te fais pas de soucis, tu sais bien que c’est un de leurs grands phantasmes que de voir deux femmes ensemble.-À la différence près, c’est qu’il n’y était pas pour voir.-Comme quoi, les absents ont toujours tort! conclue sentencieusement Florence. Comment s’appelle-t-elle?-Alexandra.-Elle est belle?-Très belle!-Raconte! Allez, cesse de minauder! insiste-t-elle, en la voyant hésiter. Ne me fais pas languir davantage.-Je n’avais pas le moral, comme à chaque fois que Bruno est en déplacement. Pour me changer les idées, ma copine Valérie m’a entraînée, presque contre mon gré, à une fête donnée par Arnaud, le frère d’Alexandra.S’il n’y avait seulement, parmi la vingtaine de personnes présentes, que quelques spécimens masculins intéressants, toutes les femmes étaient belles et pour la plupart, très légèrement vêtues, en particulier une qui portait une robe constituée de deux lés de soie disposés en diagonale sur son corps depuis ses épaules et se croisant à la taille, devant comme derrière, sous une large ceinture de cuir. À chaque pas qu’elle faisait, le tissu, qui glissait sur ses cuisses, s’ouvrait jusqu’à l’aine dévoilant furtivement un peu de son ventre. Deux autres avaient de longues robes, généreusement décolletées sur la poitrine et le dos, faites de deux pans de mousseline dévoilant leurs formes dans le contre-jour des éclairages. Serrées à la taille par d’étroites ceintures dorées, elles laissaient donc, sur toute la hauteur de leurs corps, des chevilles jusqu’à l’épaule, une longue ouverture dans laquelle aimaient à s’égarer les mains de leurs cavaliers... Tu imagines l’atmosphère?-Elles étaient nues dessous?-À proprement parlé, non. S’il était facile de voir que leurs seins l’étaient, je n’ai découvert que bien plus tard, lorsqu’on les a déshabillées, qu’elles ne portaient qu’un minuscule string fait de fines chaînettes dorées entrecroisées. Autant dire rien.-Alexandra était de celles-là?-Non... J’ai beaucoup dansé, poursuit-elle, au bout d’un moment, surtout avec Brice, un de ces beaux mâles. J’étais bien dans ses bras. Peu à peu j’oubliais ma solitude. Je l’ai même laissé m’embrasser. Au fil des danses, il s’est enhardi et a commencé de me caresser. Il me serrait de si près que je sentais sa virilité dressée entre nous. Prenant sans doute ma passivité pour un encouragement, il m’a proposé de s’isoler un peu.-Et alors?-Je lui ai répondu que j’étais flattée de son attrait pour moi, que j’étais troublée de sentir son désir mais que j’avais déjà été trop loin en l’embrassant et que je n’étais pas disposée à tromper mon mari.-Le pauvre! Tu n’as rien fait pour lui?-En voyant son dépit, je me suis collée à lui et j’ai commencé de le caresser à travers ses vêtements. Je n’étais plus moi-même. Il m’a laissée faire un moment, puis il m’a pris la main et l’a glissée sous la ceinture de son bermuda... J’en ai pris plein les doigts. Penaude, j’ai continué jusqu’à ce que son sperme soit absorbé par ma peau et celle de son pénis. Je ne sais toujours pas comment j’ai osé faire cela. Quand j’ai enfin réalisé, je redoutais d’avoir tous les regards posés sur nous, mais personne ne semblait s’être intéressé à notre manège, et pour cause.-Et Alexandra, dans tout cela?-J’y viens! Le Champagne qui coulait à flots depuis le début de la fête commençait à tourner les têtes, surtout la mienne d’ailleurs, continue Nathalie, après une pose. Pendant cette longue série de slows, certains couples s’étaient déshabillés et se caressaient de plus en plus intimement, sans que personne ne s’en offusque. À l’inverse, d’autres se contentaient de regarder. J’ai su par la suite qu’ils se connaissent tous, que le mélangisme et surtout l’échangisme sont les seuls buts de ces fêtes qu’ils organisent chacun leur tour, essayant à chaque fois d’inviter des têtes nouvelles. Tu te rends compte dans quelle soirée Valérie m’avait entraînée.-Qu’est-ce que tu appelles le mélangisme?-C’est faire l’amour avec son mari ou son ami en compagnie d’autre couples mais sans échange de partenaire.-Ensuite?-Face à moi, assise sur un canapé, Emmanuelle, la petite cinquantaine, qui n’avait plus que son chemisier totalement déboutonné, se caressait et masturbait son voisin sans quitter un seul instant des yeux Laetitia et Julien, qui se déshabillaient langoureusement au rythme de la musique. Lorsque tous leurs vêtements jonchèrent le sol, elle demanda à la fille de faire bander son partenaire en se servant uniquement de sa bouche. Même au repos, le sexe de Julien a une taille très largement au dessus de la moyenne et j’attendais avec impatience de le voir en érection. Laetitia s’est mise à genoux et l’a englouti presque entièrement. À chaque succion, on voyait ses joues se creuser et ses lèvres pulpeuses repousser peu à peu son prépuce. Elle n’a pas mis longtemps pour parvenir à ses fins. Avec un sourire possessif et triomphant, surtout destiné aux autres femmes, elle se retira pour qu’elles admirent le fruit de son savoir faire. Je n’ai jamais vu un gland pareil!-Pourquoi tu t’arrêtes? demande Florence.-Tu ne m’écoutes plus.-Au contraire, j’imagine.-Quelqu’un suggéra alors qu’ils s’accouplent debout, sans qu’ils ne s’aident en aucune manière de leurs mains. Agrippée après lui, le corps penché en arrière, Laetitia se hissa sur les pieds de son amant pour se grandir un peu et enroula une jambe autour de sa taille. Prodiguant leurs conseils, tous les gens s’amusaient beaucoup de leurs tentatives infructueuses. Malgré leurs efforts, Julien ne put trouver le chemin de son ventre. Ils prirent finalement pitié d’eux, et lui accordèrent qu’il la prenne en levrette, ce qu’il fit après que Laetitia se soit mise à plat ventre sur une table les bras croisés sous sa tête. Julien s’enfonça en elle lentement, profondément et lui offrit un premier orgasme. Pendant un temps, il ne bougea plus, laissant son sexe gonfler encore puis se mit à aller et venir sortant presque entièrement de son ventre pour mieux la reprendre.Il la fit mettre sur le dos et la pénétra de nouveau. Laetitia avait la bouche ouverte mais aucun son n’en sortait. Il est très endurant. Il lui fit l’amour longtemps et l’a fait jouir à plusieurs reprises.Nicolas, le mari de Laetitia, s’avança vers elle et lui mit son sexe dans la bouche. Sous les coups de rein de Julien, elle avait un mal fou à le sucer. Ses yeux étaient exorbités et l’on pouvait lire sur son visage le plaisir qu’elle avait. C’est le moment que choisit le type du canapé pour asperger la main de sa voisine qui prit un plaisir évident à sucer ses doigts et étaler le reste de son sperme sur sa vulve et ses seins.-Et Nicolas?-Il s’est vidé dans la bouche de sa femme. À chaque poussée de Julien, son sperme s’échappait de ses lèvres. Elle en avait partout mais elle continuait malgré tout sa fellation. Quel spectacle! Je commençais à être un peu saoule et surtout très excitée, comme jamais je ne l’avais été. Je suis sortie dans le parc, complètement sonnée. Il me fallait remettre de l’ordre dans mes idées. Peine perdue! Marc, le mari d’Emmanuelle faisait l’amour avec une fille allongée sur une table. Sa robe repliée sous les aisselles dévoilait son corps intégralement bronzé. Un homme qui sortait de la piscine s’est arrêté près d’eux pour les regarder aussi. En tendant la main, elle s’est emparée de son sexe et dès qu’il fût en érection, elle le prit dans sa bouche. Je me suis demandée ce que je faisais ici, parmi tous ces gens qui s’échangeaient librement, mais j’étais fascinée et l’envie de voir encore me retenait de partir. Je me souviens qu’elle avait une poitrine superbe et à mon corps défendant, je me suis mise à désirer lécher ses mamelons durcis par le plaisir et la fraîcheur de la nuit. J’avais une envie folle de faire l’amour! Mes seins étaient tendus, presque douloureux.-Tu t’es jointe à eux?-Tu es folle! Je me suis juste tripotée à travers ma culotte. Elle était trempe, comme lorsque Bruno me prend en douce quelque part et que son sperme s’écoule ensuite dedans...
Puis, avec un sourire coquin, elle ajoute:
-J’aime bien sentir ma chatte baigner dans notre jouissance.-Eh! Tu es bien moins sage qu’il n’y paraît. Mais continue, on reparlera de ça plus tard.-Je suis restée en retrait à les observer tout le temps qu’ils se sont aimés. J’étais tellement obnubilée par ce que je voyais que je n’ai pas remarqué la présence d’Alexandra juste derrière moi. Je ne sais plus ce qu’elle m’a dit au sujet du trio, mais son souffle tiède sur ma nuque m’a fait perdre la tête. Intérieurement j’ai su que je ne me défendrais pas si elle tentait quelque chose. J’ai définitivement été perdue quand elle ma prise par la taille et qu’elle s’est plaquée contre mon dos.Encouragée par mon absence de réactions hostiles, elle a fait remonter ses mains le long de mon buste. Elle a ouvert mon caraco et s’est mise à caresser mes seins. Ils n’attendaient que ça. Quand je me suis tournée un peu vers elle, elle a doucement posé ses lèvres sur les miennes.-C’était bon?-Jamais je n’ai été embrassée comme elle m’a embrassée. Ensuite, tout a été très vite. Elle a fini de me déshabiller et à mon tour j’ai fait glissé, de ses épaules, les fines bretelles de sa robe que j’ai laissée tomber à ses pieds. Elle était nue, totalement épilée. J’ai cru défaillir quand elle m’a serrée dans ses bras, quand ses seins se sont enfoncés dans les miens quand son ventre a touché le mien. Nous sommes restées un long moment à nous embrasser et à nous caresser puis nous avons regagné la maison.Sur la terrasse, chevauchant un homme, Valérie, que je découvrais sous un nouveau jour, suçait le frère d’Alexandra. Un troisième est venu la sodomiser. Nous sommes restées vers eux le temps de voir ses trois amants jouir en elle. Il était tard, certains étaient déjà partis, d’autres, s’étaient égaillés dans la maison. Dans le salon, il ne restait plus que deux hommes qui se masturbaient assis sur le canapé, en regardant un troisième prendre en levrette Laetitia qui léchait dans le même temps la fente d’une dénommée Christelle, allongée sous elle. Lorsque les trois hommes se furent succédés dans son ventre, elle plia les genoux et posa son sexe regorgeant de leurs spermes sur la bouche de sa partenaire.
-Viens me faire pareil, m’a chuchoté alors Alexandra en m’entraînant vers sa chambre.
Non seulement je ne lui ai opposé aucune résistance, mais j’avais hâte d’être seule avec elle. Sur le palier, en haut de l’escalier, une fille lapait, sur le sein d’une autre, la semence qu’elles venaient d’obtenir de leur amant commun. Dans la chambre située en face de celle d’Alexandra, deux filles se caressaient et s’embrassaient à pleine bouche, l’une empalée sur Brice, l’autre assise sur son visage. Je ne dis pas dans quel état j’étais!-Comme cela? demande Florence en lui ôtant la main du volant pour la déposer sur sa fente inondée.-Oh oui! soupire-t-elle en essayant mollement de la retirer.-Et toi?-Je suis aussi mouillée que toi!
Tremblant de tout son être, Florence glisse une main sous la jupe de Nathalie. Celle-ci l’attire à elle, lui prend un baiser. Tendrement ses lèvres picorent les siennes. Leurs langues s’unissent, s’enroulent l’une à l’autre, restent soudées un temps infini. Florence trouve ce baiser entre femmes infiniment plus sensuel que celui d’un homme, mais ne préfère pas l’un à l’autre.
-Voila, maintenant tu sais tout.-Et l’épisode de la chambre?-Alexandra s’est mise à genoux devant moi. Ses mains plaquées sur mes fesses, elle est restée un moment à frotter son visage contre mon ventre avant de plonger sa langue dans ma fente. Quand elle s’est relevée, nous nous sommes embrassées. Sa bouche était parfumée de mes saveurs. Elle m’a pris la main et m’a entraînée vers le lit. Longtemps nous nous sommes repues de nos seins gonflés par le désir, longtemps nous nous sommes caressées, laissant nos lèvres et nos doigts explorer toutes les parties de nos corps. Je me suis dit que j’étais folle, mais jamais ça.-Et après? s’impatiente Florence, en pesant fermement sur la main que Nathalie ne cherche plus à retirer, l’obligeant même, du mieux que le permet la situation, en écartant davantage les jambes, à enfoncer ses doigts plus loin dans son sexe.-Après?-Alexandra s’est mise tête-bêche au dessus de moi et nous nous sommes léchées jusqu’à en avoir les lèvres boursouflées et nos vulves endolories. Nous nous sommes endormies au petit jour dans les bras l’une de l’autre, complètement épuisées. Jamais je n’ai vécu pareille nuit d’amour, jamais je n’ai autant joui de ma vie.-Soulage-le! supplie Florence, en déplaçant la main de Nathalie sur son bourgeon éclos. Je n’en peux plus.
?Il est saillant comme celui d’Alexandra, un peu plus peut-être.? remarque celle-ci.
-Caresse tes seins! demande Nathalie, qui a incliné à l’horizontale les sièges de la voiture.
Dans ce coin reculé du parking, Florence remonte son bustier, les prend dans le creux de ses mains, caresse tendrement ses aréoles et ses mamelons.Avec son majeur, Nathalie fait des petits ronds sur le clitoris de son amie puis le pousse dans ses chairs intimes, le laisse réapparaître. Elle l’abandonne un instant, plonge dans son vagin, revient sur lui, le pince, le roule entre ses doigts trempés de mucus.Florence tressaille, sa tête dodine, ses reins se cambrent. Elle sent naître son orgasme. Il s’amplifie et survient avec une violence inouïe. Ses cuisses s’ouvrent puis se referment, s’écartent de nouveau et se resserrent fermement sur la main de son amante.
-C’était bon, soupire-t-elle, une fois que son corps, parcouru de convulsions, se fût apaisé.-On devrait partir maintenant, ils doivent être arrivés.-Ne t’inquiètes pas pour eux, continue!-Le lendemain, lorsque je me suis réveillée, Alexandra exhibait devant mon visage un gode qu’elle tenait par les testicules. Je n’en avais jamais vu auparavant, mais celui-ci était la parfaite réplique de l’anatomie masculine, comme s’il avait été directement moulé sur un homme. L’enveloppe avait la couleur et la douceur de la peau. Le moindre détail était reproduit avec un souci étonnant de réalité. En plus d’une vibration continue, sans doute mû, par un mécanisme sophistiqué, il changeait périodiquement de volume.
-Laisse-moi faire, tu vas jouir longtemps, tu vas jouir comme jamais tu n’as joui, me promet Alexandra. Il est infatigable!
Elle l’a passé sur ma bouche, le long de mon cou, autour de mes seins qu’elle a effleurés avant de venir sur mes mamelons. La vue de ce phallus qui se gonflait et se dégonflait là, juste devant mes yeux et les vibrations sur mes pointes dressées m’ont fait jouir une première fois. Tu ne peux pas t’imaginer l’effet que cela fait. J’attendais, impatiente, le moment où elle allait enfin me pénétrer avec.Elle s’est attardée sur mon pubis. J’étais tendue vers lui. Avec une lenteur insupportable, elle l’a fait glisser le long de ma fente avant de me le mettre jusqu’à la garde. Je ne pouvais détacher mon regard de cette excroissance dont le prolongement palpitait en moi. Alexandra le faisait tourner, aller et venir, le retirait, le posait sur mon clitoris, l’enfonçait de nouveau. J’ai cru que j’allais m’évanouir tant les orgasmes qu’elle me procurait étaient intenses et rapprochés. Plus je hurlais plus elle continuait. Puis elle l’a fait éjaculer en comprimant ses bourses. Je ne sais pas combien de fois j’ai joui, ni pendant combien de temps je suis restée ensuite sans réactions, pantelante dans ses bras, à me laisser cajoler.
-Plus tard ce sera à ton tour de me faire jouir, m’a-t-elle promis quand je lui ai dit tout le plaisir qu’elle venait de me donner sans que ce fût, pour l’instant, réciproque.
Après le petit-déjeuner que nous avons pris sur le balcon de sa chambre, Alexandra m’a glissé dans la main un tout petit objet imitant l’ivoire, recourbé comme une banane, qu’elle venait de sortir d’un coffret auquel je n’avais pas prêté attention.
-?carte tes jambes, tu vas aimer cela, me dit-elle en le plaçant au fond de mon vagin.-Un truc analogue aux boules de geishas? demande Florence.-Tu as deviné! Tu t’en es déjà servi?-Jamais! Mais comme tout le monde, j’en connais les vertus.-Tu pourras l’essayer et le gode aussi, Alexandra me les a offerts.-Ton amante est bien équipée! Qu’a-t-elle donc encore dans sa panoplie?-Je ne sais pas, elle m’a rien proposé d’autre. Heureusement d’ailleurs, je crois que je serais morte de plaisir.-Et après?-Allons nous préparer, je t’emmène en ville, m’annonce-t-elle.-Avec ça dans le ventre?-Surtout avec ça! Passe cette robe, tes vêtements sont tout froissés! me dit-elle en me tendant l’une des siennes en voile de coton blanc.-Sans rien dessous, j’avais l’impression, bien qu’elle m’ait assurée du contraire, d’être complètement offerte aux regards des gens tant le tissu, s’il n’était pas réellement transparent, était léger. En se disloquant et se réunissant à chacun de mes pas, le mercure qui circulait à l’intérieur propageait ses ondes de choc à tout mon système nerveux.-Les effets sont-ils à la hauteur de la réputation de cet accessoire?-Je n’ai pas arrêté de jouir. C’est extraordinaire, à la limite du supportable lorsque tu le gardes longtemps. Plusieurs fois, en pleine rue, Alexandra a dû me soutenir, mes jambes se dérobaient sous moi et je devais me mordre les lèvres pour ne pas crier. Je ne sais pas à quoi je ressemblais, mais j’avais l’impression que tous les gens se retournaient sur notre passage. Heureusement que j’étais loin de chez moi.-J’espère que tu as remercié Valérie te t’avoir emmenée à cette soirée, interrompt un instant Florence. Vous allez vous revoir?-Elle me l’a proposé, mais cet attrait soudain pour le saphisme m’inquiète. Avant cela, je trouvais ridicule et même répugnant que des femmes puissent s’aimer. Maintenant je les regarde différemment. Je me surprends même à en désirer certaines. Je ne me reconnais plus. Une femme est plus douce, plus câline, plus sensuelle, pratiquement inépuisable et surtout elle sait ce que peut aimer une autre femme, explique-t-elle, pour satisfaire la curiosité de Florence. C’est très différent d’avec un homme. Jamais je n’aurais imaginé y trouver pareil plaisir.-Elle aime aussi les hommes?-Pareillement. Elle est vraiment bisexuelle!-Tu vois bien que ce n’est pas incompatible, mais complémentaire, ajoute Florence comme pour se rassurer elle-même. Tu l’aimes?-Je ne sais pas si je peux dire que je l’aime... Ce que je sais, c’est que j’aime sa bouche, ses seins, sa chatte, que j’aime l’embrasser, la caresser, la faire jouir sur moi et moi, jouir sur elle.-Si tu l’aimes, tu dois être logique avec toi-même!-Tu as sans doute raison, mais je suis tellement embrouillée dans mes sentiments depuis cette aventure.-Tu aimes toujours Bruno?-?videmment!-Suggère donc à Alexandra de le séduire. Cela te permettra de l’introduire dans votre couple. Ainsi vous pourrez faire l’amour tous les trois et quand il ne sera pas là, toutes les deux.-Tu vas vite en besogne. Cela demande réflexion!
Malgré le risque d’être surprises, Florence déboutonne la robe de Nathalie. Brûlante d’émotion, elle effleure ses seins. Ses aréoles se froissent, ses mamelons se dressent. Elle se courbe pour les sucer. Pour la première fois, elle découvre sur sa langue, la souplesse d’un sein et la fermeté de sa pointe érigée. Son autre main s’insinue sous son slip, caresse ses fesses, contourne sa hanche, trouve sa fente grande ouverte dans laquelle elle glisse un doigt, puis un deuxième. Elle s’agenouille devant le siège, retire le slip de son amie, pose sa bouche sur ses lèvres intimes qu’elle tend vers elle.
-Tu aimes? lui demande Nathalie en la sentant monter à la rencontre de son clitoris émergeant de son capuchon.-Oui! J’aime lécher ta chatte, j’aime te boire.
Inversant les rôles, Nathalie finit de la déshabiller, dispersant ses vêtements dans la voiture. Nues toutes les deux, bouche contre bouche, seins contre seins, ventre contre ventre, elles laissent leurs mains se découvrir. Leurs vulves gonflées par le désir mouillent leurs cuisses qu’elles ont réciproquement appuyées contre. Leurs sexes impatients réclament d’être léchés et elles se mettent tête-bêche.Florence a l’impression d’être observée. Elle se dégage un peu de son amoureuse, l’informe qu’elles ont un admirateur, ce qui ne fait qu’exciter d’avantage Nathalie.Penché sur la porte de la voiture, le jeune gardien du parking assiste à leurs ébats. Conscient de s’être fait repérer, il arrête instantanément la caresse qu’il se faisait à travers son pantalon. Baissant à peine la vitre de la voiture, Florence lui ordonne de sortir son sexe et de se masturber. Obéissant sans même se rebeller, il fait glisser le zip de son pantalon, sort son membre raidi et commence timidement ses va-et-vient, couvrant et découvrant un gland de belle dimension.Trouvant qu’il n’y met pas suffisamment d’ardeur, elle le houspille et lui dit qu’elle veut voir jaillir son sperme. Toute étonnée de son autorité, elle reprend son cunnilinctus, le regard rivé sur le pénis du jeune homme. Au moment précis où il éjacule sur la vitre, Florence aspire fortement entre ses lèvres le clitoris de Nathalie, lui arrachant un cri de jouissance puis succombe à son tour.
?Et Diane, se laisserait-elle tenter par les plaisirs lesbiens? se demande-t-elle en revenant à elle. J’aimerais bien faire l’amour avec elle.?
Puis elle s’interroge encore:
?Comment faire pour le savoir? Je ne peux quand même pas me jeter sur elle de but en blanc et avoir la honte de ma vie ou pire détruire notre amitié. Alors, comment m’y prendre...? C’est ça, utiliser un subterfuge, faire un geste qui lui paraisse involontaire, maladroit. Dans le feu de l’action, m’appuyer contre elle ou laisser habilement une main traîner sur elle.?
-Tu as bien fait de te dévergonder. Sans Valérie, sans Alexandra, sans toi je n’aurais peut-être jamais fait l’amour avec une femme. Quand je pense que tout à l’heure tu jouais les offusquées de me savoir rasée, de ne pas mettre de culotte et de dieu sait quelles autres horreurs! Tu savais, pourtant, par expérience personnelle que je n’étais pas la seule.-Je ne voulais pas me dévoiler.-Après Diane, je vais m’employer à te convertir, prévient Florence en lui confisquant son slip. -On verra...-Tu sais ce que dit Laurent? Non? Qu’une femme comblée de met pas de culotte.-À ton tour maintenant de te confesser, exige Nathalie, tandis qu’elles se rhabillent. Que me caches-tu d’inavouable?-Rien de plus inavouable que toi. Que veux-tu savoir?-Depuis quand connais-tu Diane et Alexandre? Tu ne m’as jamais parlé d’eux.-Depuis pas mal de temps, un peu. Bien plus depuis quelques jours.-De là à laisser Alexandre choisir tes dessous et raser ta chatte.-C’est vrai que nous nous entendons bien...-Que faites-vous d’autre ensemble? questionne-t-elle encore, en déposant un baiser sur les lèvres que Florence tend vers elle.-L’amour, ma chérie, l’amour! Au point de ne plus penser qu’à ça, de ne plus faire que ça! Alexandre me le fait divinement bien, lui confie-t-elle en lui rendant son baiser, et Diane adore aller avec Laurent. En un mot comme en cent, nous nous aimons et nous sommes heureux. Nous avons même décidé de vivre ensemble.
Tandis qu’elles quittent le parking, Florence commence de lui raconter par le menu, toute leur histoire.
-On a fait des tas de photos et des petites vidéos de nos ébats, on te les montrera.
De retour chez Nathalie, elles trouvent effectivement Diane flirtant avec son mari et Laurent.
-Vous en avez mis du temps, sermonne gentiment Alexandre, nous commencions de nous inquiéter.-Vous ne donnez pourtant pas cette impression... Nous avions tant de choses à nous dire.

À suivre...
mberrierchaput@hotmail.fr
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