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L'amour d'un père

Chapitre 1

Hétéro
Chapitre 1 : Nancy
  J’aime mes filles plus que tout au monde. Ce sont mes petites princesses. Leur mère est morte il y a quelques années. Elles étaient tous les deux encore très jeune quand c’est arrivé. Nancy, la plus grande, devait à peine être entrée dans l’adolescence. Cela n’a pas été facile. J’ai sombré dans la dépression pendant un bon moment, mais nous avons fini par surmonter cette épreuve tous ensemble, et notre famille s’en est sortie plus forte et plus unie que jamais.
  Elles sont tout pour moi. Je n’ai plus qu’elles. Je leur ai dédié toute mon existence. Quand je les regarde, je vois leur mère à travers elles. Elles représentent son héritage, et je me consacre entièrement à leur bonheur. C’est loin d’être toujours évident. Dans ce monde, être un père veuf qui élève seul ses deux filles n’est pas une mince affaire. Je ne suis sans doute pas le père de l’année, mais je fais de mon mieux. Heureusement, j’ai de la chance d’avoir deux anges adorables à la maison qui me soutiennent et qui m’aident beaucoup. Nous sommes tous très proche les uns des autres. Je crois que je n’aurais jamais survécu à toutes ces épreuves sans elles.
  J’ai essayé de me remettre avec quelqu’un depuis, mais cela n’a jamais vraiment marché. Trouver une femme qui me plait n’est déjà pas aisé, mais en plus, il faut que mes princesses l’acceptent dans la famille, et qu’elle-même supporte le fait que j’ai déjà deux filles. Autant dire que c’est mission impossible.
  Cela avait failli arriver une fois. J’avais rencontré une personne qui me plaisait beaucoup et elle aimait bien mes filles, mais après, Angela, ma cadette, s’est fait un malin plaisir de tout saboter en se montrant injustement odieuse avec elle. Je lui en ai voulu énormément de l’avoir fait fuir. Je n’ai jamais compris pourquoi elle avait fait une chose pareille. Oui, c’est certain, cette femme n’aurait jamais pu remplacer leur mère, mais était-ce une raison pour m’empêcher de trouver le bonheur ?! M’enfin, c’est du passé. Je préfère ne plus y penser.
  Aujourd’hui, mes filles ont respectivement dix-huit et vingt ans. Nous vivons tous sous le même toit, même si Angela parle déjà de partir étudier dans une université loin d’ici. L’idée me déchire le cœur, mais je peux comprendre qu’elle n’ait pas envie de faire comme sa sœur et d’aller dans la faculté de notre ville : celle-ci n’est pas très réputée pour la branche qu’elle désire suivre. Cela va me faire un choc, mais il faut que je m’y prépare. Je ne peux pas les garder pour moi tout seul toute leur vie. Il faut bien qu’elles prennent leur envol.
  Un jour, je veux parler à Nancy d’un sujet important, et je la surprends en train se masturber dans sa chambre. Bien sûr, elle me chasse en m’insultant de tous les noms, et je m’enfuis en me morfondant en excuses. Cela m’apprendra. Il faut vraiment que je respecte davantage l’intimité de mes filles, et que j’arrête de me contenter de toquer deux fois avant d’entrer sans attendre qu’elles me répondent. Ce qui me trouble le plus en fait, c’est de réaliser que ma Nancy n’est plus une petite fille, mais une femme. Je n’y avais jamais vraiment songé auparavant. C’est difficile pour un père d’imaginer que son bébé n’en est plus un, et que son corps s’est ouvert à la sexualité. Est-elle seulement encore vierge ? Je l’ignore. À vingt ans, mignonne comme elle est, je me doute que non.
  Nous sommes une famille ouverte, pourtant, je me rends compte que nous n’avons jamais parlé de sexualité. Est-ce moi qui me suis voilé la face en les prenant encore pour des enfants ? Où était simplement parce que je suis un homme, et que c’est plutôt le genre de conversation qu’elles auraient dû avoir avec leur mère ? Je n’en sais rien. La raison pourrait encore être tout autre. Dans tous les cas, me retrouver face à cette réalité me bouleverse. Mes filles sont des femmes. Je sais que c’est malsain, mais je ne peux m’empêcher de ressentir une pointe de jalousie à l’idée qu’elles puissent profiter des plaisirs de la chair tandis que je fais ceinture depuis des années.
  Je sais que je ne devrais pas penser comme ça, mais depuis, à chaque fois que je la vois, je réalise à quel point elle est devenue une belle femme. Petite, mince, le visage brillant moucheté de taches de rousseur, elle a de longs cheveux auburn qu’elle laisse tomber jusqu’à ses épaules. Nous n’avons pas reparlé de cet incident, et je préfère ça. Je crois que nous avons tous les deux très honte de ce qui est arrivé et qu’on préfère l’oublier. Pourtant, j’ai toutefois l’impression que quelque chose à changer en elle. Elle me parle différemment, de façon plus directe. Elle me fait de drôle de sourires en coin, et multiplie les allusions coquines au cours de certaines conversations. Est-ce le fruit de mon imagination, où ma fille est-elle en train d’essayer de me séduire ? Je chasse cette idée de mon esprit. Je crois que je deviens tout simplement pervers. Le manque de sexe doit me faire délirer.
Un soir, nous regardons tous les deux la télé alors qu’Angela est déjà couchée. Elle est blottie contre moi. Le film ne nous intéresse pas tant que ça, du coup, nous parlons de choses et d’autres, quand soudain, elle me demande :
— Papa, tu n’as jamais eu envie de retrouver quelqu’un ?
La question me gêne. Pourquoi aborde-t-elle ce sujet maintenant ? Est-ce en rapport avec l’incident ? A-t-elle remarqué que je la regardais d’un peu trop prêt ces derniers temps ?
— Bien sûr, ma chérie. Mais ce n’est pas évident, tu le sais. J’ai déjà essayé.
— Je sais, mais je me sens triste pour toi. Cela ne doit pas être facile de rester seul aussi longtemps. — Je ne suis pas seul, j’ai deux charmantes demoiselles rien que pour moi à la maison.  J’essaie d’adopter un ton léger pour cacher à quel point cette conversation me met à mal à laise. — Ne sois pas bête, papa, sourit-elle. Tu sais bien ce que je veux dire. Tu dois bien avoir envie de... Enfin, tu vois... de... — Faire l’amour ?— Oui, voilà, c’est ça.
  Je n’en reviens pas qu’on ait ce genre de discussion. M’enfin, c’est peut-être ça mon problème : de toujours éviter de parler de sexualité. Elle est adulte maintenant : cela ne devrait plus être un sujet tabou. Je prends mon courage à deux mains, et lui réponds honnêtement :
— Bien sûr que j’en ai envie. Je suis un père, mais je reste un homme. Mais c’est comme ça, c’est comme ça. Je le vis bien, tu sais. — J’aimerais.... pouvoir t’aider. — Tu ne peux pas y faire grand chose.— Ben, si... Je pourrais peut-être te... soulager...— M’enfin, qu’est ce que tu racontes, ma chérie ?!
  Je suis choqué. Les choses sont en train de déparer, je ne comprends même pas comment nous en sommes arrivé là. Qu’est ce que j’ai bien pu faire pour lui donner des idées pareilles ?
— Tu me trouves jolie ? — Bien sûr, mon ange. Tu es ma fille, et tu es belle comme un cœur. — Non, je veux dire, je te plais, non ? Je vois bien comment tu me regardes depuis l’autre jour.
  Merde, c’est donc bien moi qui ai provoqué indirectement tout cela. J’ai terriblement honte. Je ne me rendais pas compte moi-même que je la regardais avec des yeux un peu trop envieux. J’aurais dû faire plus attention. Certes, je découvre seulement aujourd’hui que c’est une femme, et qu’elle est très attirante, mais c’est avant tout ma fille. Il faut que je règle la situation au plus vite :
— Je suis désolée, ma chérie. Je ne sais pas ce que tu t’es imaginée, mais tu te fais des idées. Je ne te regarde pas plus différemment que d’habitude. Qu’est ce qui ne va pas ?!— Je veux juste t’aider, papa. Je t’aime, et je n’aime pas te voir souffrir. Laisse-moi m’occuper de toi.
Sur ces mots, elle pose une main sur mon entrejambe. Je sursaute de surprise et de gêne. D’autant plus que cette conversation a provoqué chez moi une érection que j’avais déjà bien du mal à cacher. Qu’est ce qui ne tourne pas rond chez moi ? C’est ma fille, mais dans un autre sens, je n’arrive pas à nier que j’en ai très envie...
— Chérie, tu ne devrais pas faire ça. Comme je viens de te le dire, je suis ton papa, mais je reste un homme. Si tu continues, je pourrais... céder... — Alors cède. J’en ai très envie moi. — Tu ne peux pas, il ne faut pas...— C’est normal que tu dises ça. Tu es un bon papa. Laisse-moi faire. Si tu n’en veux vraiment pas, tu n’auras qu’à me repousser.— Nancy...
Elle ouvre ma braguette et en sort mon sexe à moitié dur. Elle commence à me branler d’une main. Je dois admettre que c’est bon. Cela fait bien longtemps qu’une femme ne m’a pas caressé de cette façon. Ma queue grossit de plus en plus sous ses doigts, et elle la regarde avec fascination. Je suis d’une taille impressionnante, et elle ne doit jamais en avoir vu des pareilles.
— Papa ! Elle est magnifique ! — Il ne faut pas dire des choses pareilles ma chérie. C’est mal ! Très très mal !
Je dis ça, mais je suis parfaitement incapable de bouger, ou de la refuser. Mon esprit résiste, mais corps en a envie.
— Ne t’inquiète pas, papa, je vais prendre soin de toi.
J’ai le souffle coupé. Elle se penche vers moi et me prends dans sa bouche. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir. J’avais presque oublié la sensation sublime d’une gorge bien chaude atour de mon pénis. Elle me suce doucement en se servant de sa langue. Elle fait ça bien. J’en déduis que ce n’est pas sa première fois, et, quelque part, j’en suis profondément blessé. Ma petite fille n’est ni vierge, ni innocente. Penser qu’un garçon à déjà violer le sanctuaire de son inimité me rend anormalement jaloux. J’ai une envie irrésistible d’elle.
— Chérie, c’est mal !
C’est tout ce que j’arrive à faire pour me défendre. Je n’arrive pas à me résoudre de la repousser. Au fond, je ne veux pas qu’elle s’arrête. Si seulement c’était une autre femme qui me faisait cette fellation, n’importe qui, même une de ses copines, par exemple, je pourrais m’abandonner pleinement à mon plaisir, mais là, je suis troublé par la honte.
— Détends-toi, papa, me dit-elle en reprenant son souffle, ça va aller.
Puis elle me ravale goulument.
Elle essaie de me prendre le plus loin possible, et elle me fait même une ou deux gorges profondes. Je n’arrive pas à croire que c’est ma petite Nancy qui me fait ça. Elle est si belle. Elle est si mignonne. Jamais je ne l’avais envisagé sous un jour coquin. Ou plutôt, je n’ai jamais osé y songer.
  Je pose ma main sur sa tête pour l’encourager, et lui caresse les cheveux. Je ne peux pas lui résister. Cela fait trop longtemps que je ne me suis pas masturbé. Je suis en manque, je dois avoir les couilles pleines, et j’ai maintenant trop envie d’éjaculer. Il n’y a plus de retour en arrière possible.
— Je t’aime, ma chérie, fais-je en soupirant.— Moi aussi, papa. Je suis heureuse. Elle est si belle. J’aime beaucoup te sucer. C’est triste de se dire qu’elle n’a pas servi depuis longtemps. — Elle est à toi, maintenant, rien qu’à toi.— Hmm, je vais me régaler.
Je prie que sa sœur ne se réveille pas. J’ai encore plus honte en pensant à elle. Si elle savait... qu’est-ce qu’elle dirait ? Elle serait tellement déçue de voir que son papa est un tel pervers, mais je n’y peux rien, je n’ai pas profité de la chaleur d’une femme depuis si longtemps.
— Laisse-toi allez, papa. Jouis dans ma bouche dès que tu en as envie. J’avalerais tout, c’est promis.
Je vais décidément de surprise en surprise. Alors comme ça, elle connait déjà le gout du sperme ? Cette perspective de lui gouter le mien m’excite davantage que cela ne le devrait. Sa mère avait l’habitude de me faire ce genre de gâterie, et j’adorais ça. Elle me manque tellement.
  Ma fille redouble de vigueur. Elle me fait don de toute son expertise pour me faire du bien. Elle me lèche la bite de haut en bas pour bien me faire voir le travail de sa langue, et elle fait tournoyer celle-ci sur mon gland autour de mon méat. Où-t-elle appris un truc pareil ? Je ne préfère ne pas savoir. Je prends grand plaisir à la regarder faire. Elle est si belle quand elle s’applique. Cela me fait l’aimer davantage. Je n’en reviens pas que je me fasse sucer par ma fille.
— Je ne vais pas tarder à jouir, ma chérie, c’est trop bon !
  En entendant cela, elle m’engloutit pour me pomper de plus en plus fort. Elle cherche à me finir. Je sens les prémices de mon éjaculation arriver. Je laisse ma tête retomber sur le divan en poussant un gémissant bruyant. Je sens la sève grimper le long de ma tige, j’ai à peine le temps de la prévenir :
— Nancy... Ça vient ! Ça vient !
J’explose dans sa bouche, et lui envoie de copieux jets de sperme. Je l’entends gémir de plaisir tandis qu’elle m’avale. Je n’arrive pas à y croire. Ma fille avale mon propre foutre, et j’aime ça. Je me laisse aller. Je veux tout lui donner ; comme s’il s’agissait d’amour liquide. J’éjacule une quantité impressionnante avant de m’apaiser. Nancy continue de me sucer pour s’assurer qu’il n’en reste plus rien. Quand elle relève la tête, je remarque qu’elle n’a pas pu tout garder, et qu’une partie de mon jus a débordé sur son menton. Je trouve cette vision terriblement érotique.
— Ça va mieux mon papa ? Tu as aimé ?— Je... oui ma chérie... J’ai adoré. Mais qu’est ce que nous venons de faire ?— Rien de mal, répond-t-elle. C’est juste une preuve d’affection d’une fille pour son papa. J’en avais très envie.
Elle remet mon sexe dans mon pantalon, ferme ma braguette, et se colle tendrement contre moi pour regarder la télé comme si rien ne s’est passé, du sperme dégouline toujours de ses lèvres. Je ne sais plus où me mettre. Je suis en train de réaliser ce que nous avons fait. J’ai envie de m’enfuir. Je ne sais plus ce que je dois faire. À la première occasion, je trouve le courage de lui dire au revoir, et d’aller me coucher. Je la laisse seule dans le salon et part pour une nuit agitée. Je ne comprends pas ce qui lui est passé par la tête, et encore moins dans la mienne.
  Le lendemain, épris de honte, je l’évite autant que je peux. Comme pour lorsque je l’avais surprise en train de se masturber, je n’ai pas envie d’en parler, je veux oublier et de faire comme si ce n’était jamais arrivé. Le matin, dans la cuisine, elle me fait quelques sourires en coin. Je détourne le regard en rougissant. Je prie qu’Angela ne remarque rien. Son comportement me fait peur. Elle n’a pas du tout l’air de regretter ce qu’elle a fait.
  Dieux merci, les jours suivants se passent sans autre incident. Je pense que tout ceci est dernière nous, jusqu’à ce qu’un matin, Nancy entre dans la salle de bain alors que je suis sous une douche. Elle pénètre sans gêne dans la cabine, pour me surprendre en pleine masturbation. Elle me sourit en prenant ça comme un juste retour des choses.
— Mon pauvre papa, tu as de nouveau envie ? Mais il fallait me le dire ! Je t’aurais aidé !
    C’est la première fois que je la vois entièrement nue. Enfin, depuis qu’elle était bébé, je veux dire. Je la trouve vraiment magnifique. Elle a des petits seins, mais ils me font terriblement envie. Ils sont juste assez gros pour tenir dans la main.   Elle s’agenouille devant moi et me fait une fellation. Une fois encore, je ne peux pas lui résister. Surtout que c’était à elle que je pensais en m’astiquant. Elle me pompe avec amour et me fait jouir sur son visage. Je lui en mets partout, et la trouve splendide. MA fille couverte de MON sperme. Je suis vraiment un pervers.
  Quelques jours plus tard, j’ai encore envie, mais je n’ose pas lui en parler. Je résiste pendant longtemps, avant de faire sauter définitivement tous mes verrous. J’essaie de me justifier en me disant que le mal est fait, deux fois déjà, que nous ne faisons rien de grave, que nous sommes tous les deux des adultes consentants, et que ce n’est juste qu’une manière de montrer qu’on s’aime très fort. Du coup, je profite d’un moment que sa sœur n’est pas là pour l’aborder et la prendre tendrement dans mes bras. Je la caresse par derrière, en lui embrassant tendrement le cou, et elle comprend tout de suite où je veux en venir.
— Tu as encore envie, mon papa ? — Hmm, oui ma chérie.— Tu veux que je te suce ? — Oui, ma puce. Tu veux bien m’aider ?— Toujours !
Et c’est ainsi qu’elle me fit éjaculer pour la troisième fois.
Elle me fait des pipes régulièrement depuis. Je n’hésite plus à réclamer, ni elle à proposer. La honte s’est dissipée pour le plaisir de l’acte et l’excitation du danger et de l’interdit. Je n’ai plus aucune gêne à le penser : j’aime ma fille, je la trouve belle, j’ai envie d’elle et veut qu’elle me suce et me fasse jouir. Mais j’ai envie de plus aussi. J’ai envie de lui faire l’amour. Je fantasme sur sa petite chatte et ses petits seins, mais j’ai peur d’aborder le sujet et de l’effrayer.
  Une fois, tandis qu’elle me suce, je lui demande si elle ne veut pas que papa l’aide à jouir elle-aussi. Je lui explique je me sens égoïste d’être toujours le seul à prendre du plaisir, et que je pourrais la doigter ou lui faire un cunni.
— Ne t’inquiète pas, papa, me répond-t-elle. Je me masturberais très fort après en pensant à toi, mais toi, jouis pour moi, maintenant, s’il te plait.
  Pourquoi ne me laisse-telle pas prendre soin d’elle comme elle prend soin de moi ? Est-ce là encore une étape qu’elle refuse de franchir ? Pour quelles raisons ? Je ne comprends toujours pas pourquoi elle fait tout ça avec moi, mais je m’exécute et jouis dans sa bouche. Elle m’avale avec amour. Je crois que je suis devenu accro.
  Plusieurs semaines passent encore, puis je décide de passer enfin à l’acte et de lui en parler directement. Elle est à genou devant moi, en train de me sucer avec amour. Elle me fixe d’yeux pétillants qui me font fondre. Ses taches de rousseur illuminent son visage comme des étoiles. Je suis à ma limite, mais au lieu d’éjaculer, je l’interromps, et lui confesse :
— Ma chérie, j’ai envie de te faire l’amour.
  Elle baisse des yeux en rougissant. Son silence m’inquiète. J’ai peur d’avoir dépassé les bornes :
— Je m’excuse, je n’aurais jamais dû dire des choses pareilles. Ce n’est pas digne d’un père. Je... oublie ça s’il te plait...— Ce n’est rien papa, répond-t-elle. Moi aussi, j’en ai très envie pour être honnête. — Vraiment ? Mais alors, pourquoi n’en as-tu jamais parlé ?
  Cet aveu me trouble et me remplit de joie.
— Je ne sais pas. La pipe, c’est quelque chose, mais là, c’est encore différent. Je n’étais pas sûre que tu le veuilles vraiment. Et puis... tu en as une assez grosse, papa, j’ai un peu peur... — Elle n’est pas aussi grosse que ça, fais-je en gloussant. Ce n’est pas un monstre. Mais je peux comprendre que ce soit plus que ce à quoi tu es habituée.
  Ces mots me déchirent la gorge. Penser qu’un homme a déjà pénétré son intimité... Et pourtant, je la supplie de pouvoir lui faire la même chose. Je suis secoué par des sentiments contradictoires.
— Tu veux bien de moi ? Tu as envie de moi ? me demande-t-elle.— Bien sûr, puisque c’est moi qui te le demande. Et toi, tu en as envie ? — Oui. J’ai envie de faire l’amour avec toi, papa.
  Heureux de sa réponse, je l’emmène dans sa chambre pour être plus tranquille. Nous nous asseyons tous les deux dans le lit. Elle semble être aussi nerveuse que moi. Nous avons l’air un peu ridicule. Nous ressemblons de deux adolescents qui vont baiser pour la première fois.
— Ça va ? fais-je pour m’assurer qu’elle est prête.
    Elle ne m’a pas l’air très rassurée.
— Oui. Je suis un peu stressée, mais impatiente.
Nous nous regardons un moment dans le blanc des yeux sans dire un mot.
— Et maintenant ? finit-elle par demander.— Et bien, je peux toujours commencer par t’embrasser.
Je l’enserre amoureusement contre moi en rapprochant mon visage du sien, et mes lèvres rencontrent les siennes. Elle ne tarde pas à rendre mon baiser, et nos langues finissent par s’entremêler. C’est ma fille, mais je l’aime, plus que tout au monde, et j’ai envie de lui faire sentir non comme un père, mais comme un homme.
  Je quitte ses lèvres pour son cou, et je me mets à la caresser tendrement. Je lui enlève son haut, et entreprends de me débarrasser de son soutien-gorge. Je lui défais sa bretelle, mais elle fait soudain preuve d’une étrange pudeur en empêchant le vêtement de tomber en le retenant au niveau de ses bonnets. Elle parait troublée.
— Voyons, ma chérie, ce n’est plus la première fois que je te vois nue. Qu’est ce qui ne va pas ? — J’ai... de tous petits seins. J’ai un peu honte.— Ils sont sublimes, ma puce. Ils me font rêver. Montre-les moi.
  Elle s’exécute, et je peux les admirer à nouveau. Mes yeux s’écarquillent devant cette vision divine, et je la sens plus détendue. De quoi a-t-elle eu peur ? Qu’elle ne me plaise pas ? Mon dieu, mais elle est belle comme un ange !
  Je lui caresse un sein d’une main, et lèche le téton de l’autre. Je peux enfin jouer avec sa poitrine. Cela commençait à faire longtemps que je fantasmais sur ce moment. Je prends mon temps. Je la découvre à mon aise. Elle soupire de plaisir, et pose ses mains contre ma tête pour m’encourager. Elle s’allonge, et je me courbe sur elle. Ma main peloteuse descend lentement vers son entrejambe. Je la sens frémir lorsque je la glisse en dessous de son pantalon et qu’elle atteint sa chatte. Je suis ébahi par l’humidité de sa culotte. J’ai maintenant la confirmation qu’elle en a autant envie que moi, et cela renforce ma détermination. Je joue un instant avec son petit minou, avant d’y enfoncer deux doigts. Je la fouille gentiment avant de retourner l’embrasser.
— Ca va, ma chérie. Tu es bien ? — Oui, papa, c’est bon. Continue s’il te plait.
  Je la sens écarter les cuisses. Elle s’offre à moi. Cela me rend encore plus amoureux. Ma petite fille qui s’offre à son papa. J’ai envie de la prendre tout de suite, mais je me retiens. Nous avons tout notre temps.
    Je lui donne un dernier baiser, puis m’éloigne pour me positionner à genou devant elle. Je lui enlève le bas une bonne fois pour toute et admire sa fente de mes propres yeux. Elle est magnifique. Ça donne envie de s’y enfoncer. Je m’en approche et commence à la lui lécher. Elle gémit. Je la broute comme si ma vie en dépendait. Je joue avec ses lèvres et son clitoris. Je l’entends respirer bruyamment. Elle pose ses mains contre ma tête pour me guider et me tire par les cheveux. Son corps ondule sur mes coups de langue.
— Oh... papa... Je t’aime !
Elle mouille abondamment, et je la bois avec délectation. Elle a le gout de l’amour. Le vrai, le pur. Je sens qu’elle n’est plus très loin de jouir, quand elle m’arrête soudain :
— Papa, attends ! — Qu’est ce qui ne va pas ? dis-je d’un air inquiet.
Ai-je fais quelque chose de mal ?
— Je... je veux que tu me fasses l’amour... me dit-elle. — Moi aussi, lui souris-je.
  Nous y sommes. J’ai atrocement faim de sa chatte. De la chatte de mon bébé. Je prends mon sexe en main et le présente devant sa fente. Je lui caresse les lèvres gonflées un moment, avant de la pénétrer lentement. Je suis doux et tendre. Mon gland disparait d’abord en elle, puis je fais entrer peu à peu ma tige. Je me fige à la moindre résistance, à l’écoute de son corps. Je n’entre pas entièrement ; pas maintenant, tout du moins. Lorsque je la sens prête, je commence un léger va-et-vient. La sensation est tout bonnement fantastique. Cela fait si longtemps que je n’ai pas profité de la douceur d’un vagin, et ce n’est pas n’importe lequel, c’est celui de Nancy, ma propre fille. Rien que le fait d’y penser m’excite.
Elle passe ses mains dans mon dos pour me coller plus prêt d’elle. Nos regards plein de passion se croisent. Je craque, et je l’embrasse.
— Nancy...— Papa...— Je t’aime, ma chérie, si fort...— Moi aussi, papa. S’il te plait, fais-moi l’amour !
  J’accélère le rythme et m’enfonce plus profondément dans son con si accueillant. Elle me sert plus fort contre elle en guise d’approbation. J’ai envie de pleurer de bonheur, je baise ma propre fille. Elle est si belle, si douce, si parfaite. Je regrette de ne pas avoir son âge et de ne pouvoir être son homme à part entière.
— Tu es si belle, ma chérie. Papa est si fier de toi. Je voudrais te faire sentir combien je t’aime. — Alors fais-le moi sentir, s’il te plait. J’ai tant besoin de ton amour, papa. — Oh, mon bébé !
  Je deviens plus fougueux. Je fantasme tellement sur son corps que je veux en profiter. Je la caresse et l’embrasse partout. Je suis maintenant en elle jusqu’au raz des couilles, mais je lui donne des coups de bassins comme si je voulais aller plus loin encore. Sa chatte est si serrée, j’ai l’impression d’être dans un délicieux fourreau onctueux. J’ai peur de lui faire mal, mais c’est elle qui insiste :
— Plus fort, papa ! Prends-moi plus fort ! — Nancy... ma petite princesse... — Je t’aime, papa. Je t’aime si fort. Je rêve de cet instant depuis si longtemps, si tu savais. — Moi aussi.— Non, tu ne comprends pas. C’est à toi que je pensais le jour où tu m’as surprise en train de me masturber ; et ce n’était pas la première fois que ça arrivait.— Ma pauvre chérie. — Je sais que ce n’est pas bien, mais je t’aime trop. Depuis, je voulais tout faire pour que ce fantasme devienne réalité. Je suis désolée. — Ce n’est rien, ma puce. Je suis heureux de te faire l’amour.— Moi aussi je suis si heureuse. Je veux que tu sois à moi, rien qu’à moi.— Je suis toute à toi, mon bébé. Je t’aime. — Fais-le moi sentir ! S’il te plait ! Jouis en moi !— Tu es sûre ?! dis-je, troublé. — Oui ! Je veux te sentir éjaculer en moi ! Je veux être remplie du sperme de mon papa d’amour ! — D’accord, mon ange. Papa va jouir pour toi.
Je l’embrasse et la prends plus violement. Je lui pilonne la chatte pour me faire venir. J’en ai tellement envie. Son corps tremble sous mes coups. Elle m’embrasse le cou en me maintenant contre elle. Ses jambes s’enroulent autour de mon bassin. Elle est comme une femelle en chaleur qui a besoin que je la féconde de ma semence. Je trouve ça magnifique.
— Ne te retient pas, papa. Viens en moi !
Je ressens de plus en plus le besoin de jouir dans cette jeune chatte qui est celle de ma fille. J’ai désespérément besoin de la bourrer et de lui faire ressentir tout mon amour. Il y a des moments comme ça, où les mots, les câlins, et les caresses ne suffisent plus à exprimer ce qu’on ressent, il n’y a plus que les coups de bites qui y parviennent. C’est comme si c’était une manière animal de dire je t’aime, et je l’aimais à en mourir.
— Fais-moi tienne, papa ! Possède-moi ! — Ça vient, mon ange, je vais venir ! — Oui ! Vas-y ! Souille-moi ! Souille ta fille ! — Nancyyyyy !
    Trop, c’est trop. Je grogne en sentant mes couilles éclater. J’explose dans son vagin en l’éclaboussant de foutre. Au même moment, je sens son corps secouée par un orgasme. Ce phénomène m’émeut. C’est la première fois que je fais jouir ma fille, et nous jouissons ensemble. C’est un instant magique qui n’appartient rien qu’à nous.
— Papa ! Je te sens ! Ouiiiiiiiiii !— Aaaah ! Mon bébé ! — Donne-moi tout, papa ! Donne tout ton amour ! Je suis si heureuse !
Je me vide en elle sans aucun scrupule. Je rêvais tellement de ce moment. C’est divin. Cela faisait si longtemps que je n’avais pas senti la chaleur d’une femme, sentit tout son amour pour moi, sa dévotion. Je ne pensais pas que j’aurais la chance de pouvoir revivre une chose pareille un jour. Il n’y a qu’avec ma fille que ce genre de chose puisse être possible ; je m’en rends compte à présent. Je ne pourrais jamais aimer personne d’autre de cette manière, ni être aimé.
  Nous nous apaisons enfin tous les deux. Je m’écroule à ses côtés. Je ne me suis pas senti aussi bien depuis des années. Elle se relève partiellement en ouvrant les cuisses. Elle passe une main sur sa chatte tandis que mon jus coule sur ses draps.
— Waow ! Je n’arrive pas à y croire ! Je suis remplie du sperme de mon papa ! — Je suis désolé, ma puce.   Je ne trouvais rien d’autre à dire.— Il ne faut pas. C’est ce que je voulais. Tu m’as fais tellement du bien. — Tu as aimé ?— Oui, beaucoup. J’espère qu’on... qu’on recommencera. — Quand tu voudras.
Elle me lance un sourire puis vient se blottir contre moi. Je l’enserre affectueusement. Nous restons ainsi pendant au moins une heure, sans rien nous dire, juste à apprécier la présence l’un de l’autre, avant de nous séparer.
    Il ne nous faut pas longtemps pour remettre ça. Dès le lendemain, elle vient me voir alors que sa sœur n’est pas là, et je la reprends dans sa chambre. Notre baise est plus intense. La gêne et l’embarra de la première fois ont disparu, et cela rend la chose encore meilleure. Je la saute en levrette. Elle reste à quatre pattes devant moi, totalement offerte, me suppliant que je la besogne. Si belle et si femme. Je suis définitivement amoureux. Elle n’est pas avare de mots durant l’acte, et ses aveux me touchent profondément :
— Papa ! Je suis si heureuse que tu me fasses l’amour ! — Moi aussi, ma chérie.— J’avais peur que tu ne m’aimes pas.— Bien sûr que je t’aime, ma chérie ! Tu le sais !— Oui mais... j’avais peur que tu ne m’aime pas... comme ça...— Je t’aime si fort que je ne trouve pas de meilleure façon que de te l’exprimer ainsi... — Oh, papa, moi aussi je t’aime. C’est pour toi que j’ai largué mon ancien copain. — Je... je ne comprends pas.— Il n’était pas toi. Il m’a fait réaliser que c’est toi que j’aimais. Je te voulais toi, rien que toi. Je ne veux personne d’autre. J’aurais été si malheureuse si tu m’avais refusée.— Oooh, mon ange. Je suis là. Rien que pour toi. — Alors fais le moi sentir, papa ! Fais-moi sentir tienne !
  Je la prends encore plus fort jusqu’à la faire jouir, puis je me lâche et éjacule à mon tour dans sa chatte.
    Les jours passent, et nos ébats se multiplient. Elle est insatiable ; ce qui me convient très bien vu que je le suis tout autant après ma trop longue période de disette. Malgré que nous devions nous cacher d’Angela, nous prenons de plus en plus de risques. Nous ne baisons plus seulement dans sa chambre, mais aussi dans la mienne, ou dans la salle de bain, et même une fois aux toilettes. Elle se découvre elle-même un côté coquin. Je ne sais pas si c’est seulement parce qu’elle n’avait pas beaucoup pratiqué avant, ou si c’est parce qu’elle habite avec son amant, ou si c’est seulement parce que notre relation est très forte, mais elle s’épanouit sexuellement à une vitesse ahurissante. Elle n’a aucun tabou, et me fait des trucs que même sa mère n’aurait pas osés. Par exemple, elle m’a sucé un matin en plein milieu de la cuisine. Elle avait pris l’initiative sans même me demander mon avis. Elle s’est approchée de moi, a baissé mon pantalon, et m’a avaler d’un trait.
— Chérie, tu es folle ? lui dis-je. Ta sœur va bientôt se lever ! — Alors tu as intérêt à jouir vite !
  Mon ange est devenu un vrai petit démon !
  Elle m’a pompé avec vigueur comme si sa vie en dépendait. Elle s’est donnée entièrement sans rien demander en retour. Elle voulait juste m’offrir ce petit plaisir. Ce genre de petit jeu pervers devait l’amuser. Mon cœur battit la chamade lorsque j’entendis Angela dans les escaliers. J’éjaculai rapidement dans la bouche de Nancy, et j’eus à peine le temps de remettre en place mon pantalon avant l’arrivée de sa sœur. Elle avala ce qu’elle avait gardé de mon sperme en sa présence. Par chance, ma cadette ne remarqua rien. Nous n’avons jamais été aussi proche de nous faire prendre, mais je trouvai néanmoins la situation particulièrement excitante.
  Moi aussi, je commence à laisser libre court à mes instincts pervers. Parfois, quand j’ai envie, j’entre dans sa chambre, juste pour tirer un court. Je la prends sur son lit, je me sers d’elle pour me faire jouir, puis je l’abandonne, repus d’amour. Je lui dis des choses de plus en plus crues aussi parfois. Comme lorsqu’elle m’a chevauchée l’autre soir dans le salon, et que je lui ai crié :
— Prends ma chérie ! Tu la sens la bite qui t’a fait naitre ?!— Ouii ! Elle est énorme ! C’est la mienne maintenant ! Je l’adore, mon papa d’amour ! Donne la moi ! Je la veux !
  Peu après, elle m’a fait jouir sur son visage. Mais ce que je ne savais pas, c’est qu’Angela n’était pas loin, et qu’elle venait de tout voir...
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