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Amour secret avec ma tante

Chapitre 4

Hétéro
Je me réveille doucement mais avec un sentiment désagréable, et oui, aujourd’hui je vis avec Sophie mes derniers instants en tant que son petit ami. Je me pose plein de questions, comment l’après va-t-il se passer ? Après ce séjour en amoureux, les moments que je passerais avec elle me sembleront bien courts et moins intense que ce qu’on a pu vivre pendant ces quelques jours.Je chasse bien vite ces doutes pour pouvoir profiter de ces quelques derniers instants avec ma femme éphémère. Mais en bougeant un peu les bras je me rends compte que je suis seul dans le lit, Sophie n’est pas là pour me tirer des bras de Morphée. Je pousse doucement la porte de la chambre pour découvrir Sophie, en nuisette transparente, laissant apparaitre un string minuscule, dans la cuisine en train de préparer le petit déjeuner. Voulant profiter une dernière fois de ce corps somptueux, je me glisse discrètement derrière elle, le sexe dressé dans sa direction. Je l’attrape par les hanches et dépose un baisé dans son cou, elle sursaute légèrement mais n’interrompt pas ce qu’elle fait. Je soulève sa petite nuisette et fait basculer la ficelle de son string sur une de ses fesses afin d’avoir un accès de rêve à ce que je convoite.Innocemment, Sophie a laissé trainer sur un des comptoirs de la cuisine le gel anal que nous avons utilisé la veille. Je prends cela comme une invitation, j’attrape donc en un instant le tube de gel et en dépose une bonne quantité sur ma bite dans un premier temps puis entre les fesses de Sophie. Pour la préparer à mon membre, j’introduis plusieurs de mes doigts dans son petit cul mais je ne m’attarde pas trop, j’ai bien trop envie de profiter d’elle. Je la pénètre alors lentement, profitant de toutes les sensations qui me submergent alors que ma bite s’enfonce petit à petit dans les fesses de Sophie. Elle n’est pas en reste puisqu’elle savoure aussi ce moment d’amour charnel, dans cette pratique que nous avons tous les deux découvert hier.
— Alors tu aimes ça hein Antoine ?— Pas autant que toi apparemment.
Sophie, comme à son habitude, ne se retient pas de gémir aux pénétrations que je lui offre. Elle réagit à merveille à mes mouvements de va et vient, le sexe anal parait tellement naturel alors que ce n’est que la deuxième fois qu’on le pratique. Il y a une sorte d’alchimie entre nous qui fait que tout ce que nous faisons ensemble parait naturelle, que ce soit sexuelle ou non.Sophie ne cesse de me surprendre, à chaque fois que nous faisons l’amour ses orgasmes sont de plus en plus intenses. Je dois avouer que cela flatte un peu mon égo, ça fait toujours plaisir de savoir qu’on a pu donner autant de plaisir à une femme, pouvoir satisfaire sa compagne au lit c’est le rêve de tous les hommes.Mais là, je n’en reviens pas, j’étais perdu dans mon extase à faire machinalement mes va et vient quand je sens Sophie défaillir, elle a du mal à tenir debout, si bien que je suis obligé de la retenir par les hanches pour éviter qu’elle tombe par terre et comme à son habitude lors de nos ébats elle éjacule jusqu’à tremper une bonne partie du sol de la cuisine. Je n’étais plus étonné lors de ses orgasmes à répétition où elle recouvrait le lieu de nos ébats avec ses éjaculations impressionnantes mais cette fois ci je ne l’ai pas caressé, je me suis contenter des pénétrations anales. Je viens donc de lui procurer un orgasme juste en pratiquant la sodomie, je suis surpris et flatter.Pour m’assurer qu’elle va bien je me retire immédiatement pour pouvoir la faire s’asseoir par terre. Elle est toute transpirante, la respiration haletante et les joues rouges. La tête entre ses mains, elle essaye de reprendre ses esprits, quelques spasmes se font encore ressentir signe que le plaisir est toujours présent dans le bas de son ventre.Ne sachant trop quoi faire de mes mains je la réconforte et lui apporte un peu d’eau.Après quelques minutes Sophie émerge de son état de choc, encore un peu rouge. Elle me regarde avec des étoiles plein les yeux, je vois de l’amour dans ce regard.
— Antoine, tu m’as fait vivre un instant incroyable. Je ne pensais pas que c’était possible de ressentir un plaisir aussi intense.— Je suis vraiment heureux de t’avoir fait découvrir ça, surtout pour notre dernière matinée ensemble.— J’essayais de ne pas y penser mais tu as raison, après ça c’est fini, on retourne à nos vies respectives. J’espère quand même qu’on aura des moments pour se retrouver.— J’espère aussi, je sais qu’on ne pourra pas passer des moments comme ceux qu’on a vécu ces derniers jours mais je ferais tout mon possible pour qu’on se voit le plus possible.
Après cette courte discussion, Sophie remarque mon sexe toujours en érection et se rend compte que je n’ai pas éjaculé. Malgré son état encore un peu choqué elle se dirige vers ma bite à quatre pattes comme une lionne en chasse.Elle pose sa main sur mon sexe comme si elle lui appartenait, et c’est le cas, et commence à me branler énergiquement. Pour être plus à l’aise elle me demande de me mettre debout, ce que je fais immédiatement, elle profite de cette posture pour me faire une fellation dont je me souviendrais pendant le reste de ma vie tant elle est parfaite. Sa bouche parcourt mon membre dans toute sa longueur pendant que sa langue suit le mouvement, titillant de temps à autres mon gland. Elle est devenue experte dans ce domaine, ce qui fait que je ne tarde pas à la prévenir que je vais éjaculer. J’ai déjà été surpris par son orgasme anal mais elle va me surprendre encore plus.
— Je vais pas tarder à éjaculer Sophie.— D’accord. Antoine, j’aimerais que tu éjacule sur mon visage.
Je reste sans voix à cette demande. Je dois avouer que c’est ce qui m’a toujours fait fantasmer quand je regardais des films porno, alors je ne savais pas si j’étais capable de faire ça et en même temps, l’idée de recouvrir le visage parfait de Sophie de sperme m’excite énormément. Alors quand Sophie défait l’emprise qu’elle a sur ma bite je reprends le relai et essaye de me finir pour éjaculer sur le visage de Sophie. J’ai un peu de mal à faire monter l’excitation au début mais quand je vois le visage de Sophie avec son regard qui fixe avec envie le membre que j’agite devant ses yeux je ne tarde pas à atteindre l’extase. De longs jets de spermes s’échappent alors avec force de l’extrémité de mon sexe, ces jets viennent s’écraser sur le visage souriant de Sophie. Malgré son air confiant et son sourire, elle est surprise quand les premiers jets touchent son visage, loin de la dégouter, cette sensation a pour effet d’amplifier son sourire. Un peu de sperme, en contact avec sa bouche, ne fait pas long feu sur son visage puisqu’en un coup de langue elle déguste mon fluide d’amour.Je trouve la situation particulièrement érotique, le visage de Sophie recouvert de sperme me pousse à lui faire une demande farfelu, d’ailleurs j’ai peur qu’elle le prenne mal. Au moment où elle commence à diriger son index vers les filets de spermes sur son visage pour se nettoyer je la stop immédiatement.
— Attends !— Quoi, j’ai envie de déguster ce que tu m’as offert.— Avant que tu fasses ça j’aimerais te demander quelque chose.— Oui quoi ?— J’aimerais te prendre en photo, pour garder à jamais cette image de toi.— D’accord vas-y.
Je n’attends pas longtemps avant de dégainer mon appareil photo, elle me sort son plus beau sourire pour parfaire la photo. Une seule prise suffit à avoir une photo parfaite qui révèle toute la beauté de Sophie.Une fois l’appareil rangé, Sophie se délecte de ce que recouvre son visage, elle profite du moindre gramme de sperme qui rentre dans sa bouche. La scène est absolument incroyable, j’aimerais voir ça tous les jours.Malheureusement, après une rapide douche et un peu de ménage il est temps de rendre les clefs du bungalow et rentrer à la fac. Pendant le trajet en voiture je me remémore chacun des moments qu’on a passé tous les deux et je regarde Sophie avec un air mélancolique. Le trajet passe à une vitesse folle, je n’ai même pas le temps de discuter avec Sophie de ce qu’il va se passer par la suite.
Arrivé à la fac je décharge le matériel avec Sophie, et vient le temps des au revoir. A l’abri des regards, à côté du van j’enlace Sophie et l’embrasse avec passion pendant plusieurs minutes, laissant aller mes mains de ces hanches vers ces fesses que je ne pourrais peut etre pas toucher de si tot, je devrais attendre un moment où l’on se retrouvera tous les deux tout seuls.Je m’apprête à lui tourner le dos, non sans mal, pour me diriger vers l’arrêt de bus, mais quand je me retourne je vois ma mère au loin en train d’attendre. Immédiatement dans ma tête je me dis qu’elle a vu toute la scène et que je vais passer un mauvais quart d’heure, et je n’étais pas loin de la vérité.Une fois dans la voiture ma mère ne m’adresse pas un mot, un lourd silence s’installe alors. Jusqu’à ce qu’elle pose la question qui allait embrayer sur une conversation que j’aurais préféré éviter.
— Alors c’est elle ta prof qui s’occupe de ton stage ?— Ouais c’est elle, elle s’appelle Madame Henault.— Ah donc elle est mariée. C’est pas l’impression que j’ai eu…
Ca y est, elle a jeté un pavé dans la mare, je sais à ce moment-là que les choses vont mal tourner.
— Ah bon, pourquoi ?— Et bah vous aviez l’air proche au moment de vous dire au revoir.— Ah tu as vu ?— Un peu oui, comment j’aurais pu rater mon fils et sa prof en train de s’embrasser et de se peloter ?
Qu’est-ce que je peux répondre à ça ? Je pouvais dire n’importe quoi pour essayer de me justifier ça n’aurait fait qu’empirer les choses.Et là, elle me dit LA chose que je redoutais.
— Je ne veux plus que tu la vois.— Quoi ?!— Tu veux que je prévienne l’académie qu’une prof fréquente un élève ? Tu veux que je dise à son mari que qu’elle le trompe avec un gosse ?— Je suis pas un gosse !!— Ah bon ? Il faut croire que si, sinon tu aurais un peu réfléchis avant de faire ce que tu as fait. Réfléchis un peu !— Mais on s’aime ! — Oh arrête tes conneries !— De toute façon tu peux pas comprendre.— Et bien ça tombe bien parce que je n’ai pas envie de comprendre, ce que je veux c’est que tu arrêtes de la voir.— Je m’en fou, je pourrais la voir pendant les heures de cours, tu ne pourras pas m’empêcher d’aller en cours.— Nan c’est vrai mais je peux t’empêcher de retourner dans cette fac.— Et si j’ai pas envie de changer de fac ?— Eh bien, j’irais rendre une petite visite à son mari.— Ca ressemble à du chantage.— Vois ça comme tu veux mais je ne cautionne pas cette relation, donc je fais ce qu’il faut pour que ça cesse.Je ne réponds plus à ma mère, je vois bien que ça ne sert à rien d’argumenter avec elle, elle est bien trop bornée.
Les derniers jours de vacances ont été un véritable calvaire, ma mère surveillait mes moindres faits et gestes, elle filtrait mes appels et m’autorisait le moins possible à sortir, pensant que je profiterais d’une prétendue sortie entre potes pour voir Sophie.J’ai quand même réussi à avoir quelques fois Sophie au téléphone mais rien de plus. Cette période a été vraiment très dure, ne pas pouvoir voir Sophie était une réelle épreuve, surtout après tout ce qu’on a vécu dans ce camping.Ma mère insiste pour que je fasse avec elle les demandes d’inscription dans des facs de villes lointaines. Bien sûr elle a choisie des villes qui ne sont pas proches d’Amiens, pour que je ne puisse pas revenir en douce en train ou autre chose. Je me dis que quitte à devoir quitter Amiens et ma vie ici, autant choisir une ville où je pourrais me plaire. Je choisi donc à contrecœur de partir vers la ville de Montpellier.
Et à partir de là tout va très vite, la recherche de l’appartement, la préparation de mes bagages. Je pense évidemment pouvoir dire au revoir à Sophie, et aussi pouvoir entretenir notre relation secrète malgré la distance. Mais évidemment, comme depuis ce retour du camping, tout se passe mal. Avant de partir pour Montpellier je n’ai même pas le temps de voir Sophie, ou plutôt c’est ma mère qui m’en empêche. Pendant les premiers mois de ma vie à Montpellier j’arrive à communiquer facilement avec Sophie mais au fil du temps je sens que l’on s’éloigne, je ne sais pas pourquoi mais le fait de ne pas pouvoir se voir rend la relation à distance très difficile, et malgré le fait que je l’aime à la folie je n’arrive pas a concevoir l’avenir avec elle.
Les mois passent et Sophie et moi nous ne nous parlons plus, mais malgré ça je garde des sentiments forts pour elle, c’est sans doute à cause de ça que je n’arrive pas à nouer une relation avec une fille de mon âge.
(l’histoire ne s’arrête pas la et continuera, la suite sera toujours publié sous le même nom mais cela n’aura plus grand chose à voir avec le thème du début)
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