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Un amour de tante

Chapitre 6

Inceste
Un amour de tante - Chapitre 6
Résumé : Lors de notre deuxième jour en Grèce, nous avons décidé de visiter l’île de Cythère, autant pour observer les vieux vestiges que pour se laisser tenter par les folies érotiques offertes par les beautés de l’ile.

En ce matin de troisième jour d’escale en Grèce, nous nous levions, moi et ma très chère tante enlacés l’un dans les bras de l’autre, le regard fixé sur l’horizon : une mer d’un bleu éclatant, la plage à perte de vue et des falaises aussi hautes que dangereuses. Vers 9h, nous décidons de sortir de notre lit pour entamer un petit déjeuner complet. A peine fut il finit qu’Alicia se dirigea vite fait aux toilettes pour y vomir ce qu’elle venait d’engloutir (c’était un des inconvénients du début de la grossesse). Je la laissais seule un instant pour sortir acheter un petit quelque chose pour lui faire plaisir. En revenant avec son petit cadeau une demi-heure plus tard, j’entendis de petits gémissements qui provenaient de la salle de bains. J’entrais aussitôt et la découvrit dans la cabine de douche, elle était debout, collé face contre le mur et se faisait enfiler par le frère de Clémence. Je découvris leurs corps complètement nus, ruisselant d’eau de partout qui modelait leurs courbes. Je commençai à me branler et restai là, sans rien faire. Il la souleva pour s’enfoncer au maximum dans son cul, je voyais sa chatte béant, complètement ouverte d’où coulait sa mouille brillante, puis il s’adossa au mur et ils se retrouvèrent face à moi, Alicia m’aperçut mais ne fit aucun bruit, aucune remarque, mais m’envoya un clin d’œil coquin que je lui connaissais bien. Puis, après m’être caressé le sexe devant ce duo inattendu, je me dis que c’était à moi « d’aller me laver ». Alors devant elle, je me mis nu, mon sexe tendu vers le plafond et allai dans la douche pendant qu’elle, toujours nue, se faisait ramoner les intestins. Trop occupé à enculer ma tante et à y prendre du plaisir, le jeune homme ne m’entendit pas entrer dans la cabine, et j’en profitais pour insérer à mon tour, mon sexe dans un des orifices d’Alicia. Je jetais parfois un coup d’œil rapide sur lui. Il ne remarqua pas tout de suite et commença à glisser deux doigts vers la chatte de ma tante, mais tombais nez à nez avec mon sexe. Surpris, il s’arrêta net, mais c’est Alicia qui lui dit de ne pas s’inquiéter et de continuer de lui enfoncer sa grosse queue dans son anus dilaté. Après une dizaine de minute, elle se tordit de plaisir et joui sur ma bite encore collé à son utérus, je fixais ses gros seins fermes, alors elle les prit chacun dans une main et se mit à les masser sensuellement. Giannis, le frère de Clémence, venait de remplir profondément les intestins de ma tante. Il émit lui aussi un faible gémissement, puis il se retira du cul où il se trouvait et vint trouver la bouche de ma tante pour un baiser langoureux. Alicia retira ma queue de son con, et nous prit la main pour nous mener sur le grand lit, et s’y allongea de tout son long. Je m’approchais d’elle et enfourna ma queue suintante de mouille, au plus profond du con de ma compagne. Giannis lui touchait les seins, et accentuai le geste en mettant sa main sur sa tête pour enfoncer ma verge au plus profond de cette bouche dont les lèvres douces, frottaient sur son sexe. Il ne put se retenir plus très longtemps, car elle se débrouillait tellement bien. D’un côté, elle le suçait en enfonçant sa queue tout au fond de sa gorge et de l’autre me branlait rapidement entre deux prises en bouche, mais j’essayais de retenir mon éjaculation qui se faisait imminente. Elle lui lécha tout d’abord le gland. Puis, lors de ses mouvements de va et vient, elle fit rouler sa langue sur son prépuce, avalant les filets de jus, pendant qu’avec son autre main, elle me caressait les testicules. Je ne pus résister à tant de plaisir, et remplissais la chatte de ma femme à ras-le-bord. Giannis n’eut pas vraiment de succès car il lui éjaculait dans la bouche, seulement trois jets de sperme en criant :« -Salope, tu aimes le goût de mon sperme ? »Je le trouvais bien confiant alors qu’un quart d’heure plutôt, il semblait gêné de baiser avec ma tante alors que moi-même je lui fouillais le con de mon sexe turgescent. Après quelques minutes il nous annonça qu’il devait repartir travailler dans les autres chambres de l’hôtel. Ce fut pour nous le moment de plier les bagages et de partir en direction du ferry qui nous emmènera en Catalogne. Sur le ferry, je demandais quelque détails à Alicia sur « comment en est-elle arrivé à se faire baiser par le frère de Clémence ? ». Elle me dit que lorsqu’elle se prépara pour aller se doucher, elle entendit quelqu’un frapper à la porte, mais pensant que c’était moi qui avait oublié ma clé, elle décida d’ouvrir en petite tenue (nuisette rouge lui moulant les seins et arrivant à ras les fesses). Surprise de trouver Giannis de l’autre côté de la porte, elle l’invita à rentrer et enfila un peignoir avant d’entamer la conversation :— Que voulez-vous de si bon matin ?— Je suis ici car chaque matin je fais la tournée des chambres pour aider ma sœur à ranger le bazar que font les clients durant les nuits, mais habituellement, ils ne sont déjà plus là à cette heure-ci.— Je suis désolé, mais j’ai eu quelques vomissements dût au fait que je suis enceinte. Et je suis resté seule ici, en attendant mon compagnon, et j’ai décidé de prendre ma douche, mais vous êtes arrivé juste à ce moment-là. (Elle aperçut dans l’entrejambe du garçon qu’une bosse énorme se formait.) Peut-être est-ce un coup du destin qui fait que je vous ai ouvert la porte dans cette tenue, et peut-être est-ce pour la même raison que vous vous retrouvez dans cet état-là, bandant, prêt à faire exploser le zip de votre pantalon ? dit-elle avec un sourire aguicheur et deux doigts sur la bosse de Giannis.— Oui, il se peut, mais je pense plutôt que c’est vous qui faite que mon sexe forme une bosse à mon jean’s, vous êtes si désirable, si belle et rayonnante.
Il aimait apparemment ça puisqu’il sortit vite sa queue complètement bandée aux yeux d’Alicia, il la lui donnait pour qu’elle lui nettoie le sexe à coups de langue. Puis, elle se leva devant lui et l’emmena vers la cabine de douche, le jet d’eau chaude leur coulait dessus, augmentant les effets des caresses. Elle se mit en face à lui, prit dans chacune de ses mains un sein qu’elle mit autour de sa queue et lui fit une branlette espagnole tout en lui donnant des coups de langues sur le gland vu la longueur de son engin. Un orgasme qui le fit crier de plaisir, plaçant ses mains sur ma tête et criant :— "Oh oui espèce de cougar, tu me fais jouir, continue !"Il lui écarta les globes fessiers, et utilisant sa langue comme substitut de sexe, il s’amusait avec sa rondelle. Il introduit ensuite un doigt dans ce trou magnifique, ce qui la fit se trémousser de plaisir. Puis, au bout de 2 minutes d’anulingus intense, elle jouit, une main sur sa tête, comme pour le pousser dans cet orifice, et l’autre accompagnant son autre main pour peloter ses seins. Elle décida de prendre sa bite dans sa main et de la conduire vers son anus dilaté et de se faire ramoner par ce jeune homme à peine plus vieux que moi. Elle finit son récit à cet instant-là car quelques secondes plus tard, j’entrais dans la chambre.Arrivé en Espagne, j’hurlais un « Viva España ! » car fan de foot, je suis complètement fou de Barcelone, la ville où nous avions débarqué. A peine arrives dans le centre-ville, nous fûmes emportés par une foule de manifestants militants pour l’indépendance de la Catalogne. Au niveau de la place publique, j’agrippais Alicia et la tirais hors de cette foule, nous tombions fasse à un grand hôtel, « El amor boig » (ce qui, en catalan veux dire « L’amour fou »). Nous nous y installions après avoir réservé une chambre à ‘accueil et nous sommes vite partis visiter la Sagrada Familia, la cathédrale la plus connue de toute l’Espagne et de l’Europe je pense. L’architecture imposante de cette église faisait d’elle une beauté artistique, et je voyais les vitraux se refléter dans les yeux de ma jolie petite femme, elle qui était si belle au naturel, s’embellissait encore plus aux couleurs de ses verres colorés.De retour à l’hôtel, elle se mit à me faire un jolie petit strip-tease dont elle avait le secret. Je lui ôtais délicatement ses bas et les ballerines et elle s’allongea sur le lit et tapotant le côté en face d’elle me disant de la rejoindre. Je ne savais pas par quoi commencer et m’avançant à quatre pattes sur le lit, j’arrivai jusqu’à elle et commençai à lui lécher le corps, faisant suivre à ma langue les traits de ses formes arrondies pour arriver à ses seins où je m’attardai de nouveau, à son visage et l’embrassai à pleine bouche, roulant ma langue avec la sienne, mes mains parcourant et pelotant tous les endroits de son corps, pendant qu’elle, avec sa main me prit le sexe et me branla un peu. Je lui dis qu’avant tout, je voulais qu’elle me branle avec ses seins, comme elle l’avait fait avec Giannis ce matin même. Je me mis alors au-dessus d’elle, plaçant mon sexe entre ses deux globes qu’elle pressa sur celui-ci. Nous étions tellement excités par la tension sexuelle qu’elle me criait des saloperies pendant que je lui répondais à mon tour des insanités comme :— "Alors salope, on couche avec d’autres jeunes hommes ? Ce n’est pas bien ça ma chérie ! »Elle aimait cela et continuait sa branlette avec beaucoup de sensualité, prenant parfois le bout de ma queue dans sa bouche et la suçant. Soudain, sentant l’orgasme venir, je lui lâchai tout dans sa bouche, puis elle me montra sa « récolte » et l’avala directement avec un érotisme torride. C’était vraiment une salope, une obsédée sexuelle que je baisais et j’aimais ça, car je l’aimais, elle et tout chez elle : sa poitrine, son cul, sa bouche et sa chatte. Je voulus alors la prendre en levrette comme le mari que je me devais d’être à ses yeux, ne pouvant pas l’être aux yeux de la loi, elle se laissa faire, écartant même ses lèvres, pour laisser passer mon membre que je faisais rentrer dans toute sa longueur, tout doucement jusqu’à l’extrême, poussant pour la pénétrer au plus profond d’elle-même. Je commençai alors, un va et vient, nos deux sexes se claquaient dans un bruit qui m’excitait encore plus, frappant de plus en plus fort. C’était bon, à la fois chaud et humide par toute la mouille qui s’y trouvait, elle se trémoussait doucement poussant de petits cris et parfois, accélérait le rythme, puis, au bout de 5 minutes, j’explosais comme des litres de sperme dans les recoins les plus profonds de sa chatte, alors que, presque en même temps, elle eut un orgasme qui accentua notre plaisir. J’étais alors épuisé et tombai sur le lit, mais elle, véritable nympho, se leva et se mit sur moi. Elle me monta comme une cavalière monterait un cheval, et s’empala sur ma colonne de chair, pour que je lui remplisse le con une deuxième fois, ce que je fis au bout d’une heure et demie étant donné qu’elle m’avait déjà vidé deux fois en trois quarts d’heure.Le lendemain, surexcité par nos visites d’aujourd’hui je me levais à 8h30, je pris ma douche, m’habilla et fila vers le centre d’entrainement du FC Barcelone. Que vais-faire ? Que va-t-il m’arriver ? (La suite au prochain chapitre…)
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