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L'amour au temps du sex-shop

Chapitre 1

Erotique
« L’Amour au temps du sex-shop »
Cette porte, je la connaissais bien. Elle se situait sur la gauche, tout en bas de l’escalier en colimaçon, séparant le niveau d’accueil de celui de l’étage inférieur où se trouvaient les cabines. Systématiquement close, j’avais fini par considérer qu’il s’agissait de l’entrée d’un débarras quelconque dans lequel les gestionnaires devaient ranger leurs stocks de rouleaux SOPALIN si précieux aux habitués. Mais cette fois-ci, tandis que je descendais en faisant résonner l’armature métallique de l’escalier, j’entrevis une ombre glisser contre le mur. Non pas que la chose fût bien extraordinaire en ces murs où les ombres filantes des branleurs erratiques empruntaient parfois à celles de fantômes, mais le lieu d’où venait de sortir la silhouette m’interpella. La porte que je n’avais jamais vue que fermée était cette fois-ci entrebâillée. Je la poussai. Et me retrouvai immédiatement dans une première pièce comptant elle-même une autre porte.
Sur la droite, un renfoncement exigu et bas de plafonds donnait sur un miroir sans tain de belle taille. De ceux que l’on donne à voir dans ces films policiers où un inspecteur interroge le suspect tandis que l’agent de la CIA observe la scène incognito de l’autre côté. Je m’approchai et collai mon nez contre le miroir. Dans la salle, à moins de 3 mètres de la paroi, un couple occupait les lieux. Une soumise et son maître ! La femme portait pour tout vêtement un collier surmonté d’une cagoule de cuir et des bas noirs dont les lisérés s’arrêtaient à mi-cuisse. Elle était allongée sur le dos, les cuisses écartées face à la paroi où je me tenais. Mon regard s’attarda un instant sur ses seins lourds et ses cuisses un peu grasses. Elle ne ressemblait en rien à ces actrices pornos au cul maigre et au galbe parfait, mais avait cette grâce biologique des femmes véritables.
L’homme pour sa part avait gardé un tee-shirt un peu trop court et ne cachant rien de sa queue battant contre l’intérieur de sa cuisse à chaque mouvement. Il promenait un vibromasseur sur le clitoris de sa soumise tout en introduisant vigoureusement un godemiché de belle taille dans sa chatte. J’ignorais depuis combien de temps ils avaient commencé leur exhibition, mais les gémissements énamourés de la femme laissaient penser que le spectacle durait depuis plusieurs minutes déjà. Par ailleurs, les lèvres de sa chatte étaient déjà largement ouvertes et de temps à autre, le maître présentait le jouet enduit de cyprine devant le miroir tout en commentant : « Regarde ma salope comme tu as mouillé le gode, tu es une bonne cochonne n’est-ce pas ? » La soumise ne se faisait pas prier pour admettre qu’elle était une vraie salope : « Oh oui Maître, je suis une grosse chienne à défoncer... »
Le maître reprit :
— Une vide-couilles qui adore se faire spermer par des inconnus hein... — Oui maître, elle hoquetait tandis qu’il la branlait frénétiquement, une pute qui aime se faire recouvrir du foutre des inconnus...
La porte derrière moi avait claqué et un homme m’avait rejoint. Il n’avait pas tardé à sortir sa queue pour se branler devant la glace. Je n’étais pas vraiment ravi qu’un mec se masturbe à moins d’un mètre de moi, mais je ne pouvais décemment lui demander de ranger sa queue dans un lieu où tout le monde la sortait...
Je n’avais pas remarqué les trous dans la paroi et il fallut que mon voyeur de compagnon y glisse son engin avant de comprendre qu’il s’agissait d’un aménagement type « gloryhole ». Simultanément, le maître s’était déplacé de quelques mètres pour se saisir d’un nouveau jouet dans son cabas. Il était manifestement organisé et avait l’habitude de ces exhibitions. À moins qu’il n’ait tout spécialement bien préparé son affaire. Toujours est-il qu’il empoigna un gode aux dimensions impressionnantes. Au moins deux fois plus gros que celui dont il se servait jusqu’alors. Sans aucune transition, il l’enfonça d’un coup d’un seul dans l’intimité de sa soumise. Elle feula. L’espace d’un instant, j’ai craint qu’il ne lui ait fait mal (que voulez-vous, je suis un cœur d’artichaut) ; mais non, il n’y avait pas lieu, si elle se tordait, c’était bien sous la morsure du plaisir et elle se pâmait à se faire fouiller de la sorte par ce jouet gigantesque.
Le gars à côté de moi a accéléré sa cadence de branle. Si l’on devait en juger au rythme de sa respiration, il n’allait pas tarder à jouir. Il a cogné contre la cloison. Juste ce qu’il fallait. Le maître a saisi sa soumise par les cheveux, fermement, mais sans brutalité, et lui a ordonné de s’occuper cette queue intrusive. La femme s’est levée et a fait les quelques pas la séparant de mon branleur de voisin. Je la voyais debout pour la première fois. Un peu trop en chair peut-être, mais avec de jolis traits et des lueurs salopes dans les yeux dépassant de loin toutes les beautés conformes. Elle s’est rapprochée, a collé ses seins plantureux contre la vitre tout en branlant vigoureusement mon camarade de circonstance. Il n’a pas dû tenir plus de 10 secondes et a lâché un jet de foutre qui s’est écrasé sur le sol deux bons mètres plus loin. Elle a eu un petit sourire en plantant son regard dans le reflet de son image, juste à hauteur des yeux de l’homme qu’elle venait de faire jouir.
Le type a remballé son affaire et s’est éclipsé sans un mot de remerciement. Un cuistre quoi ! Un nouvel ordre a claqué et la femme a repris sa position initiale sur la table de massage. Le maître lui a donné le gode gigantesque à sucer. D’une manière générale, je trouvais ça un peu ridicule, je veux dire ces femmes qui suçaient des bouts de plastique en prenant des airs de contentement ; mais elle y mettait tant d’application, se plongeait avec tant de réalisme dans son rôle, que je pouvais sentir le rythme de mon sang battre ma hampe. Le maître a saisi le flacon de lubrifiant posé contre la table. La soumise a compris instantanément et a écarté plus encore ses cuisses. L’homme a exercé une pression et le gel s’est répandu le long des lèvres largement entrouvertes de la femme. Le maître a enfoncé deux doigts dans le sexe béant pour finir de le lubrifier :
— Et maintenant ma putain, je vais te fister comme une traînée, comme la petite traînée et la salope à foutre que tu es...
Elle n’a pas traîné pour répondre !

— Ouiiiiii, maître, fistez ma chatte de putain, j’ai envie, vas-y putain ouvre moi la chatte...
Je n’avais jamais vu aucune femme se faire fister, hormis dans les productions des sites X bien sûr, et je regardais la main imposante s’introduire peu à peu dans le sexe de la soumise. Elle était manifestement coutumière de l’exercice et la main se frayait un passage sans difficulté. La soumise geignait de plaisir en criant des « Oh putain, c’est bon... C’est bon, oui, allez maître éclate-moi la chatte, oh putain, ouiiiii ! »
Je ne touchais pas ma queue et j’étais pourtant à deux doigts de jouir devant le spectacle. Le maître la pilonnait littéralement sa soumise et chacun des allers-retours de sa main tirait des cris d’extase à son esclave volontaire. Après quelques instants de ce traitement et une ultime accélération, tout le corps de la femme se raidit, ses yeux se révulsèrent et elle partit dans une jouissance à peine concevable. J’ignorais si le vendeur recevait des clients à l’instant même, mais si c’était le cas, ils ne pouvaient pas nourrir le moindre doute sur ce qu’il se passait à l’étage inférieur. Après un ultime soubresaut extatique, le maître se pencha sur la femme et l’embrassa langoureusement. Un vrai baiser d’amour auquel celle-ci répondit avec une passion égale. C’était frais, vrai, rassurant, l’amour demeurait. Je n’osais pas porter la main sur ma queue de crainte de jouir immédiatement dans mon jean. Je pensais que c’en était fini lorsque le maître est retourné vers son cabas magique.
Il en a tiré un ustensile que je n’avais jamais vu. Comment le décrire ? Il s’agissait d’une tige en aluminium d’environ 60 centimètres incurvé et dessinant un début d’arc de cercle. À une extrémité, on distinguait un anneau et à l’autre bout une boule proéminente. Un peu comme ces boules sur lesquelles l’on accrochait autrefois les caravanes pour les remorquer. Le maître a ordonné à sa soumise de se mettre à quatre pattes : « [Tu sais ce que tu as à faire. Tu vas montrer aux voyeurs quelle chienne tu fais n’est-ce pas ? »
— Oui, Maître...
L’homme asséna une claque appuyée juste comme il faut sur le postérieur rebondi de la femme.
— Tu vas bien faire voir aux branleurs comment tu ouvres ton cul de putain n’est-ce pas ?
Ce n’était pas vraiment une question, plutôt un ordre déclamé sur un mode interrogatif.
— Oui, maître, tout ce que vous me demanderez...
Joignant l’acte à la parole, la femme tourna son cul pour l’entrouvrir à pleine main. L’étoile présentée de son cul invitait au voyage ! Le maître fit recouler une bonne dose de lubrifiant le long du sillon fessier. Puis, il introduisit la partie renflée peu à peu dans l’anus de sa soumise. J’étais à deux doigts de me répandre sans même m’être touché. Cependant, je ne comprenais toujours pas où il venait en venir avec cet ustensile. S’il s’agissait « seulement » de la sodomiser avec un jouet, pourquoi ce drôle d’ustensile ? Puis l’homme a approché l’autre extrémité munie d’un anneau du collier de la soumise. D’un geste rapide et cependant précis, il attacha l’anneau de l’ustensile sur un petit crochet situé sur l’arrière du collier recouvrant la nuque de la femme.
Elle a eu un hochement de tête et toute l’ingénuité du dispositif m’est apparue instantanément. À quatre pattes, il lui suffisait de bouger sa tête de bas en haut pour faire entrer et sortir le renflement d’aluminium positionné dans son cul. En d’autres termes, chacun des mouvements de sa tête impulsait un mouvement de va-et-vient à l’ensemble du dispositif. Nantie de ce drôle d’appareillage, la femme pouvait désormais choisir le rythme, l’intensité et la profondeur de son enculade.
L’homme a soufflé : « + vite salope ! », et la soumise s’est immédiatement exécutée. Elle s’est mise à hocher la tête comme une dératée et la boule s’est mise à entrer et à sortir de son cul à un rythme effréné. Très rapidement, ses gémissements se sont transformés en râles. Ça, pour sûr, c’était une jouisseuse magnifique, une pure merveille, et je contemplai comme hypnotisé la boule ouvrir et fermer son cul au gré des mouvements de sa nuque. Elle a eu un nouveau soubresaut puis est partie dans une envolée plus prononcée encore que la précédente. J’ai pensé que c’était beau, une femme qui se donnait de la sorte. Il y avait là une sorte de majesté érotique dont à vrai dire je n’avais jamais observé l’équivalent jusqu’alors. Le maître a laissé la soumise se remettre du tsunami qui l’avait parcourue durant quelques secondes. Un être délicat que cet homme ! Puis après quelques instants, un drôle de sourire lui est venu aux lèvres :
— Très bien, ma putain, on va aller faire un tour dans les couloirs pleins de branleurs maintenant.— Oui Maître, elle a répondu.
Et pour avoir la suite de l’histoire, il vous faudra désormais commenter.
Honoré de Zalbac
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