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L'amour d'une Dame - Ma belle-mère Nadine

Chapitre 2

Promenade en tête-à-tête

Inceste
Après cette incroyable expérience avec ma belle-mère Nadine, je suis rentré chez moi pour rejoindre sa fille, ma femme. Mon esprit était en train d’exploser. Je venais de faire l’amour avec ma belle-mère, sujet de mes plus grands fantasmes. Enfin, faire l’amour était un mot un peu trop fort. D’abord parce que j’avais été un pauvre éjaculateur précoce et quelques petites minutes avaient suffi pour me répandre dans sa matrice. Ensuite parce que je n’avais pas été autorisé à l’embrasser sur ses lèvres. Son corps avait bien évidemment apprécié cet épisode, mais son esprit était resté partagé.
D’un côté, Nadine n’avait pas pleinement surmonté le tabou de cette situation : coucher avec le mari de sa fille était une chose qui n’entrait pas dans ses valeurs. D’un autre côté, l’excitation qu’elle avait montrée n’était pas que physique et elle avait réclamé du plaisir.
J’étais rentré chez moi après 22h, alors que tout le monde dormait à la maison. Ma femme, Béatrice, dormait déjà et cela m’évita de croiser son regard de femme trompée. La nuit fut agitée dans ma tête en m’interrogeant sans arrêt sur la manière de gérer le jour d’après.
Finalement le jour d’après fut un jour comme les autres. Retour au train-train avec ma femme, pas de désir et des séances de masturbations pour moi devant mes sites préférées de femmes rondes et mures. L’idée d’un week-end en amoureux s’évanouit aussi. Mes masturbations se finissaient toujours en repensant à ce moment magique avec Nadine, et le désir de renouveler cette expérience devenait de plus en plus obsédant.
Deux semaines plus tard, Béatrice invita Nadine à venir déjeuner à la maison. Comme un message subliminal, Nadine arriva habillée exactement de la même manière que le soir de notre passion. Seule différence : elle porte de superbes escarpins fermés à lacets – vernis noir brillant avec un talon de 5 centimètres. Elle se força de m’ignorer au plus haut point pendant tout le temps du repas, en m’adressant à peine la parole, presque comme si je n’existais pas. Béatrice s’affairait en cuisine pour le dessert, pendant que je débarrassais la table. En prenant le verre de Nadine, et elle dit sèchement :
— Ne t’avise pas de renverser le verre sur moi, sale pervers.— Nadine, je vous prie de croire que je ne l’ai pas fait exprès. Je suis si désolé pour l’autre soir.— Arrête de dire des inepties. Tu es un pervers et tu as voulu me baiser comme un minable. Tu as profité de ma faiblesse et des années passées sans faire l’amour pour moi. Tu as été minable, loin d’être un étalon... un éjaculateur précoce, ma pauvre Béatrice doit être bien déçue.— Je ne suis pas un mauvais amant Nadine, mais votre beauté m’a fait tourner la tête. J’étais si intimidé.— Pour quelqu’un d’intimidé, la bosse de ton pantalon est bien arrogante. Tu n’arrêtes pas de me mater depuis mon arrivée. Tu regardes mes jambes et mes bas comme des trésors. Pourquoi t’excitent-elles tant ?— Parce que vous êtes la femme la plus belle que je connaisse. Tout en vous est excitant. — Ce n’est pas en me flattant que tu me remettras dans ton lit, petit vicieux.

Danielle recule alors sa chaise et relève légèrement sa robe juste au niveau de la jarretière de ses bas Dim Up. Assise, ses cuisses sont encore plus charnues. Je reste en pâmoison devant ce spectacle merveilleux. Je ne sais pas comment agir pendant quelques secondes, mais je décide d’agir. Je tends ma main pour caresser le dessus de ses cuisses, mais Nadine ne l’accepte pas. Une gifle s’abat sur mon visage et je me redresse sans comprendre son envie. Pourquoi me montrer ses bas si elle n’accepte pas mon geste ? Le feu sur ma joue est intense et si Béatrice entre dans la pièce, elle ne manquera pas de s’interroger. Béatrice revient justement au moment ; Nadine rabat sa robe pour cacher sa pudeur.
Après le dessert, ma belle-mère Nadine propose une petite balade digestive dans le parc voisin. Béatrice décline l’offre de sa mère, mais nous encourage à faire un petit tour tous les deux. J’ai du mal à nous imaginer à nouveau en tête à tête. Je me sens à la fois intimidé et excité, et j’ai peur de ne pas pouvoir me retenir et lui sauter dessus.
Nous prenons le chemin du parc par ce joli dimanche d’automne. Les allées sont désertes malgré les températures clémentes. Nous marchons côte à côte sans dire un mot, attendant de savoir lequel va parler le premier. Moi je n’ose pas, comme si je n’avais pas le droit. Nadine regarde droit devant. Elle a une belle démarche assurée, malgré les quelques kilos en trop de son corps. Nadine sait marcher avec aisance avec ses chaussures à talons, faisant onduler ses fesses avec rythme et beauté. Je ne peux pas m’empêcher de vouloir regarder, et je prends un pas de retard sur elle, pour admirer sa démarche si sexy à mes yeux. Mon manège est vite remarqué et Nadine se retourne vers moi, avec un visage agacé :
— Mais tu n’as donc aucune cesse. Me reluquer le postérieur ... c’est tout juste si tu ne baves pas comme un chien.
La vulgarité de ses mots me surprend, et lui donne un côté dominante encore plus excitant. Elle se dirige alors vers un banc, un peu à l’écart, s’assoit et dresse sa jambe droite en ma direction.
— Mon lacet n’est pas assez serré. Viens le refaire s’il te plaît.
La gentillesse et la politesse de sa phrase masquent à peine la singularité de la demande. Ma belle-mère veut que je lui fasse ses lacets ; je reste sans voix, mais je m’approche d’elle pour être un gendre serviable. Je me penche et attrape maladroitement le pied magnifique de Nadine dans son soulier. Je desserre le lacet au moment où ma belle-mère reprend la parole.
— Que tu es empoté ! Tu vas me faire mal à tirer ma jambe en l’air comme cela ! C’est pour revoir mes bas ! Gros dégueulasse !
Je n’ai pas d’autre choix que de me mettre à genoux face à elle, comme le ferait un servant devant sa déesse. Cela provoque à nouveau une érection dans mon pantalon. Elle pose l’escarpin sur ma poitrine, sans hésiter, et attend que je relace le soulier, ce que je fais avec grand plaisir. Nadine n’hésite pas alors à poser son deuxième pied sur ma poitrine ; à genoux, le poids de ses jambes me fait partir en arrière et je tombe sur les fesses.
— J’ai les mollets un peu endoloris ? Une femme de mon âge sur des talons toute la journée, ce n’est pas facile. J’aurais besoin d’un bon massage.
Nadine fait souffler le chaud et le froid à chaque instant. Elle ne demande pas, mais elle attend de moi que je la contente. Je reprends la position à genoux et prends délicatement ses pieds pour les reposer sur ma poitrine. Heureusement que les talons sont assez carrés et peu pointus, car sinon ma chemise se déchirerait. Avec mes mains, je commence alors un massage de ses mollets à travers la finesse de ses bas noirs. Je suis aux anges de cette situation, et je ne rêve que d’accompagner ses caresses de mes lèvres. Je sens que ma belle-mère prend un certain plaisir à mes gestes et se détend un peu. Du coup, ses cuisses s’entrouvrent légèrement. La gravité fait remonter sa robe vers le haut de ses cuisses et s’arrête sur les jarretières de caoutchouc des bas.
Doucement, je tente alors de remonter mes mains sur ces cuisses, craignant une nouvelle gifle pour avoir bravé l’interdit. Heureusement, ma belle-mère ne dit rien. Je suis à bout de bras pour pouvoir pleinement m’occuper du massage du haut de ses cuisses, complètement nues et d’un blanc laiteux qui contraste avec les bas noirs. Je prends alors l’initiative de mettre ses chevilles sur mes épaules, ce qui me permet d’avancer plus près de son intimité.
Je commence à devenir fou d’excitation. Je voudrais abandonner une main sur son corps, pour me caresser le sexe, mais je décide de ne pas le faire. A la place, je soulève la robe et la coince dans la ceinture, pour dévoiler son bas-ventre couvert de la même culotte en satin que la première fois. Il y a une auréole très prononcée sur le gousset, au droit de sa vulve. C’est peut-être de la cyprine, ou de l’urine ; à son âge, un peu d’incontinence ne serait pas surprenant. Je ne résiste pas longtemps à l’odeur incroyable que se dégage de son sexe. A la fois piquante et musquée, elle m’invite à commettre à nouveau un sacrilège.
— Non, il ne faut pas faire cela, ce n’est pas bien... Tu es un vrai démon de tentation... Mon Dieu, aide-moi à ne pas succomber.
Je plonge mon visage sur son intimité et j’embrasse délicatement son sexe à travers le tissu. Il est trempé par ses sécrétions et bien vite, par ma salive. Je décide d’arracher la culotte sans ménagement, comme une bête qui ne se contrôle pas. Le mont de Vénus de Nadine apparaît, avec ses longs poils gris qui s’étalent bien largement sur le haut, et sont recouverts légèrement par les plis de son ventre charnu. Je pose mes lèvres sur ses lèvres intimes et je les embrasse que je le ferai avec une bouche. Nadine s’agite sous mes assauts de langue, et s’électrise quand ma langue touche son clito tout mouillé. Je le lèche, le lape, le mordille, et ma belle-mère perd pied en étant prise de spasmes.
Je suis si excité, que d’une main, j’ai ouvert mon pantalon et libéré mon sexe dur. Je me caresse d’une main pendant que l’autre continue à caresser ses cuisses. Je glisse cette main sous ses fesses et je décide d’introduire un doigt dans son vagin pendant que je continue mon cunnilingus. Il n’en faut pas plus pour passer à la vitesse supérieure. La jambe gauche de Danielle retombe au sol et son tibia se retrouve contre mon sexe branlé. Ma langue s’agite toujours et grâce à l’action de mon index, la jouissance de Nadine est toute proche. Je ne suis pas en reste et je frotte mon gland contre le nylon de son bas.
Encore quelques secondes de cette gymnastique, et Nadine explose dans une jouissance si forte, qu’elle lâche un râle de plaisir incroyable. Jamais je n’avais fait jouir une femme de manière aussi intense. Il n’en faut pas plus ; mon gland rouge du frottement sur le bas est brillant de précum. Je jouis minablement en envoyant des giclées de spermes sur les divins bas de ma belle-mère. Je crie pitoyablement : en voyant mon éjaculation sur elle, elle me repousse de son pied et je retombe à nouveau à la renverse.
— Je savais bien que tu n’étais qu’un chien. Tu te donnes du plaisir comme les chiens. Tu devrais avoir honte. Moi j’ai si honte... je ne peux pas rentrer dans cette tenue.
Je comprends alors qu’il faut que je nettoie mes bêtises. Je prends sa culotte déchirée et je tente maladroitement d’essuyer mon sperme sur les bas. C’est une catastrophe : je ne fais que l’étaler. Je me baisse donc et, avec ma bouche, je suce et aspire mon propre sperme sur les jambes de Nadine. Que pense-t-elle de ce geste ? Un homme qui avale son propre sperme. L’excitation est retombée, mais Nadine ne perd pas de vue la situation.
— Considère cela comme ta pénitence pour m’avoir fait faire des choses immorales. J’ai consulté le prêtre de notre paroisse lors de ma confession de la semaine dernière. Il dit que le diable est en toi et il faudra que tu ailles te confesser également.
Nadine se relève et repositionne sa jupe, comme si de rien n’était. Seules ses joues empourprées trahissent qu’elle vient de jouir comme une adolescente. Je reste à genoux pendant que ma Reine s’éloigne.
A suivre
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