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L'amour d'une Dame - Ma belle-mère Nadine

Chapitre 3

Son seul plaisir

Inceste
Le retour à mon domicile pour retrouver ma femme Béatrice a été étrange dans mon esprit. D’abord parce que je venais d’accomplir un acte érotique incroyable en léchant le sexe de ma belle-mère Nadine. Ensuite parce que j’avais été un pitoyable amant en me masturbant comme un adolescent tout juste pubère sur ces bas ; comble ma honte j’avais joui en quelques secondes sur le nylon et j’avais fait acte de contrition en léchant ma propre semence pour la nettoyer. 

Mais j’aurais payé une fortune pour avoir la chance de recommencer cette délicieuse expérience. En dépit des apparences que Nadine me renvoyait, autoritaire et frigide, je savais au fond de moi que ma belle-mère avait pris du plaisir. Et je me berçais donc d’espoir que ce deuxième acte de jouissance de ma déesse ne serait pas le dernier.

En même temps, je ne savais pas quoi penser de son attitude versatile ; mélanger des moments où elle me montrait ces atours sans pudeur, sachant qu’elle réveillait chez moi mon excitation pour les femmes très matures, et des moments de violence en me giflant, me laissait interrogatif.

Je dus rentrer seule car Nadine ne prit même pas la peine de m’attendre pour rentrer du parc. Ma chemise salie par les talons de Nadine, j’en trais à la maison en passant directement à la buanderie pour la retirer. Je me nettoyais le visage de peur de croiser Béatrice en portant les marques de sécrétions de Nadine sur mon visage. Enlever ses traces sur mes lèvres me donnait l’impression de lui manquer de respect. Ma fugace amante était si belle que je ne pourrais rien lui refuser.

Enfilant un T-shirt, j’entre dans la cuisine et je vois ma femme et sa mère en discussion, juste l’une en face de l’autre, comme si elles intriguaient quelques secrets. Leurs paroles sont inaudibles, mais elles s’arrêtent dès mon entrée, comme si je gênais. Je ne demande pas mon reste et je quitte la pièce pour le salon.

Au bout de 5 minutes, Béatrice entre dans la pièce. Prétextant avoir les jambes un peu engourdies, ma femme me demande de ramener sa mère chez elle en voiture. Je remarque ainsi que Nadine est repassée en mode – j’ignore mon gendre – refusant de me demander directement cette faveur. Le ton de ma femme est, comme d’habitude, sans nuance. C’est plus un ordre que souhait.

Suite aux épisodes précédents, comme ne pas accepter de bon cœur cette mission, mais sans trop montrer mon enthousiasme. Il est hautement improbable que Béatrice se doute de ma passion pour les vieilles dames, et pour sa mère en particulier. Et je compte bien me faire encore discret sur ce sujet. 

Nadine reste impassible devant ma réponse favorable. Je prends les clés, et nous quittons la pièce en direction de la voiture. Danielle se présente à la portière de droite, mais ne prends pas la peine d’ouvrir la porte. Je comprends son intention et je me charge de le faire. En s’asseyant, sa robe est remontée jusqu’à la hauteur de ses jarretelles, et, comme à table, elle ne se donne pas la peine de recouvrir ses belles cuisses dodues.

Nous roulons quelques centaines de mètres, car Nadine vit juste à côté de chez nous. Je prends conscience qu’elle ne porte plus de culotte, puisque je l’ai déchiré et que j’ai étalé mon sperme sur ses bas avec. Chaque pensée de ces moments me rappelle que je n’ai pas été un bel étalon mais un minable.


-      Comment compte tenu te faire pardonner de m’avoir arraché et fait perdre une culotte sale pervers ?-      Je suis désolé Nadine, je ne sais pas ce qui m’a pris. Je ne suis pas un homme violent d’habitude-      Et bien tu seras quitte de m’en acheter une autre la prochaine fois que tu m’emmèneras faire mes commissions-      Oui Nadine, mais je ne serais jamais choisir, ni le modèle, ni la taille-      Ne t’inquiète pas pour cela, je t’expliquerai. En attendant, puisque tu es là, j’aurais besoin d’un peu d’aide pour ranger quelques étagères. Entre quelques instants.

Nous entrons dans son logement, dans lequel je n’étais pas revenu depuis notre première aventure. J’ai l’impression de revenir sur les lieux de mon forfait. Nadine arrive dans le séjour, moi la suivant, et se retourne brusquement.

-     Tu pues comme un bouc en rut. Tu t’es donné du plaisir et tu as rangé ton zizi sans même le nettoyer. Ton caleçon doit être dans un état pas possible. Je n’accepte pas cela de toi. File dans la salle de bain, prend un gant de toilette et du savon et lave toi la nouille.-     Mais je n’ai pas de tenue de rechange, pourquoi me laver si je remets mon caleçon sale ?

Une gifle s’abat sur ma joue. Nadine n’aime pas être contredite, et je reçois le coup comme une humble leçon. Penaud, je prends le chemin de la salle d’eau. Je trouve le nécessaire, et j’enlève mon pantalon et mon dessous. 

Je suis devant le grand miroir, mon sexe est mou et mon prépuce brille de mon éjaculat. Je perds mes repères et je ne me sens pas le droit d’avoir une érection. Je fais donc couler de l’eau froide pour m’aider et le savon très féminin. Je me lave consciencieusement et me sèche délicatement. Nadine entre sans faire aucunement attention ma pudeur et se retrouve face à moi, en me regardant dans les yeux. Elle ne veut pas regarder en dessous de mon t-shirt.

Elle me tend alors une culotte ivoire pliée. Je la regarde interrogatif. C’est une culotte de femme de toute évidence. Son regard ne me permet pas de discuter et je prends la pièce d’étoffe que je déplie. C’est une belle gaine culotte en tulle et brodée de dentelle, bien galbante et qui remonte haut. C’est une culotte de femme de 70 ans, qui permet de cacher le ventre et la cellulite. J’entrouvre la culotte et fait passer mes jambes à l’intérieur. La remonté jusqu’à mes hanches est facile, mais Nadine arrête mon geste juste avant le passage de mes hanches. Elle ouvre le tiroir d’un meuble et ressort une grande pochette de protection périodique, contre l’incontinence des personnes âgées. Je suis hypnotisé de la situation et je la laisse agir. D’un geste agile et prend une protection, qu’elle colle au fond de ma propre culotte.

-     Remonte ta culotte. Avec la protection, je sais au moins que tu ne vas pas la souiller comme une pauvre branleuse. Et puis la gaine culotte, ce n’est pas facile pour se masturber sale porc

J’obéis et je remonte le beau tissu, non sans mal, car je suis large de hanche. Je comprends alors que je fais la même taille de culotte que ma belle-mère : du 44/46. Elle passe sa main sur le plastron de ma culotte, en touchant fortement le renflement de la couche. Men sexe est indétectable, et la compression du tissu ne va pas l’aider à retrouver de la vigueur Nous sortons de la pièce. A ce moment, je ne pense même pas à ce que je vais pouvoir raconter à Béatrice en rentrant avec un tel dessous, peu importe, carpe diem….

Nous passons dans le salon, à la hauteur de la bibliothèque. Nadine me demande de prendre un escabeau pour atteindre le dernier niveau d’étagère. Je prends la position et je cherche. 5 minutes, dans cette posture, et je ne trouve pas ce qu’elle me demande, à croire qu’elle le fait exprès pour me faire passer pour un imbécile.

Exaspérée, ma belle-mère me demande de redescendre, et monte sur l’escabeau à ma place. Je me sens comme un imbécile sans savoir quoi faire. Les paroles de Nadine me sortent de ma torpeur, et elle me demande de la tenir pour ne pas perdre l’équilibre

Idiotement, ou très naturellement je me dirige vers ses pieds et attrape fermement ses chevilles. Mon mouvement me conduit à caresser le nylon, et il me manque de doigt de courage pour poser mes lèvres sur ses mollets.

-       Imbécile, tu veux me faire tomber !

Par réflexe elle m’envoie un coup de talon sur le torse, qui me fait valser à terre. Je me relève vite car je ne sens pas ma belle-mère très assurée sur le tabouret. Je lâche un pardon et pose, délicatement cette fois, mes mains sur ses hanches. Je sens sous mes doigts ses divines poignées d’amour, rondes et généreuses. Nadine s’affaire, sans rien dire. Mes gestes sont font un peu plus sensuelles, et je passe mes doigts  tout autour de sa taille. Mon maintien se transforme en massage de son ventre, de ses hanches, et même du haut de ses fesses. Nadine semble cette fois-ci apprécier la manœuvre et elle me laisse faire.

Au bout de quelques minutes, Nadine soulève brusquement sa robe pour m’offrir le spectacle de ses grosses fesses blanches et dodues. Je suis en pamoison devant ses si beaux globes. Je n’hésite pas et j’embrasse la chair qu’elle m’offre. Elles sont froides mais je sens la chaleur de son corps quand elle rabat la robe sur ma tête. Je suis sous la robe de ma belle-mère en train de lui embrasser les fesses. Sous cette cloche de coton, les odeurs intimes de la belle sont multipliées. Elle m’a reproché mon odeur négligée, mais elle n’est pas un modèle. Son odeur intime mélange l’urine, la mouille de son excitation, la transpiration un peu acide de son corps légèrement gras, et enfin une petite odeur âcre d’un derrière pas très bien essuyé.

C’est une tempête dans mon esprit et je commence à dévorer son intimité avec ma bouche. Je bise, je lèche, je mordille sa peau comme un festin, tout en caressant ses lourdes cuisses couvertes de ses Dim Up. Je pourrais rester des heures entières à m’occuper de son corps. Nadine commence à vaciller, et recherche l’équilibre que je ne lui donne plus. Elle lève sa jambe droite et la pose sur l’étagère, ouvrant ainsi complètement son intimité. Le geste fait remonter sa robe également et je peux ajouter la vue à mon bonheur. Je suis toujours derrière et la cuisse relevée révèle sa vulve  et les poils longs qui dépasse. Nadine écarte une fesse avec une main pour bien dégager son anus. Il est lui aussi poilu, d’un léger duvet gris. Son trou est légèrement boursoufflé et rougis. C’est le moment et j’approche ma langue du petit cratère. Je la pose comme sur un bon et caresse son intimité doucement. Nadine soupire de satisfaction et me laisse agir. Une main tient l’étagère et l’autre sa fesse. Elle est prisonnière volontaire, et je peux que me laisser faire. Le gout de son anus et pareil à son odeur.  Je suis peu conscient des choses qui se passent, mais je suis persuadé que Nadine n’a jamais connu la sodomie. L’introduction de ma langue est sans doute une première, et elle accueille mon geste avec plaisir et gémissement. L’introduction de ma langue est difficile, car l’anus et serré. Mais j’appuie fortement pour lui donne maximum de sensation. Son plaisir et  là et son sexe sécrète du plaisir, qui coule par goute sur le sol. Nadine vibre fort, et je dois lâcher une main de ses cuisses, pour enserrer son corps et la maintenir

Nadine se laisse aller encore plus son plaisir est en train de monter à chacun de mes mouvement de langue. Je veux en donner encore plus. De mon autre main, je passe deux doigts sur sa vulve, qui s’écarte comme une rose.

-     Mon Dieu, tu es le diable mon gendre. Ce que tu fais à une pauvre dame comme moi est abominable. Je suis au supplice….

Je décide alors de l’achever, et j’introduis directement deux doigts dans son vagin. Je néglige son clitoris, pour aller chercher son point G. Le vagin est toujours aussi étroit, même pour mes deux doigts. Je bouge frénétiquement dans son antre, et mes doigts sont trempés. Cette fois, Nadine crie de mon incursion. J’ignore ses suppliques, et me concentre sur mon anulingus et mon doigté. Il lui faut encore 30 secondes, puis elle éclate dans une jouissance encore plus forte que les fois précédentes. Et pour une fois, je n’ai pas pensé à mon plaisir, mais seulement au sien.

Nadine s’est transformée en poupée de chiffon, relâche sa fesse, m’obligeant à sortir ma langue de son intimité anale. Il m’en reste un petit goût sale que j’apprécie particulièrement parce qu’il vient d’elle. De mes bras, je l’aide à descendre et je la garde plaquée contre mon corps. J’ai envie de l’embrasser. Le regarde Nadine est plongé dans le mien. Je sens que les choses pourraient basculer. Elle pose une main sur mon épaule et m’impose une distance de 30 cm. Elle se ressaisie, et baisse ma culotte gainante d’une geste brusque.

Mon sexe apparait, toujours recroquevillé. La protection périodique est trempée, et je regarde comme elle le résultat de cette séance. Elle reste froide extérieurement, mais j’ai l’impression qu’elle est satisfaite intérieurement. J’ai éjaculé dans sa culotte sans même m’en rendre compte. Je suis si effondré. J’ai honte, elle retire la protection et me la présente devant la bouche. Je comprends que je dois lécher, encore. Une fois fait, elle remet la protection en place ainsi que la culotte. Je suis tétanisé

Elle m’embrasse sur la joue, et me dit « Va-t’en »

A suivre
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