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Un amour de vampire

Chapitre 4

Découverte du plaisir

Lesbienne
Emilie se remet à trembler. L’excitation mêlée d’angoisse qui parcourt son corps transparaît fortement, aussi, je la prends dans mes bras pour la rassurer.
— Tout va bien se passer chérie... Détends-toi. N’oublie pas que c’est toi qui décides. Un mot de toi et j’arrête tout, OK ?— OK... Vas-y...
Je la fais s’allonger sur l’épais tapis moelleux et chaud devant la cheminée. La chaleur des flammes sur nos peaux nues est un véritable délice. Je reprends dès lors mon exploration là où je l’ai arrêtée, descendant plus bas que ses seins, léchant la ligne droite partant de sa poitrine jusqu’à son entrejambe, faisant une pause pour embrasser son nombril avant de stopper ma progression juste avant son mont de Vénus. Au lieu de m’en emparer tout de suite, je trace plutôt avec ma langue le contour de son petit vagin encore terra incognita, salivant d’impatience devant la petite fente d’où dépassent deux petites lèvres. Emilie respire fortement, son état d’excitation grimpant en flèche, en même temps que son stress. De mon côté, je dois me maîtriser pour ne pas venir dévorer son intimité illico, préférant la faire languir encore en partant lécher et embrasser ses jambes, caressant de mes ongles toutes les zones de son corps sauf son vagin.
— S’il te plaît... gémit-elle.— Oui ma chérie ? la taquiné-je en revenant l’embrasser sur la bouche. — Je... J’ai envie que... — Que quoi ?
Je m’amuse beaucoup à la faire languir.
— Tu sais... S’il te plaît...— Patience... Ça va venir, mais laisse-moi profiter de ton corps si magnifique.
Je reprends ma torture érotique, en couvrant de petits baisers la jonction entre son pubis et ses jambes. Elle gémit de plus en plus et lorsque je souffle doucement sur sa fente, elle ne peut s’empêcher de plaquer ma tête dessus.
En riant, je me dis que je l’ai assez fait languir, aussi, je lèche d’un grand coup de langue toute la longueur de sa féminité. Cela lui fait l’effet d’une décharge électrique. Son corps s’arque et elle pousse un petit cri de plaisir. Hmmm, je découvre le goût de son jus intime, un vrai délice. Je l’ai tellement chauffée qu’on dirait qu’une saison de mousson se passe dans sa cavité tellement il y fait chaud et humide. Riant de ma comparaison, je me mets à lécher avidement, découvrant son petit clitoris en pressant deux doigts autour. Et lorsque je pose ma bouche dessus, elle crie son plaisir.
— Oui ! Oui ! Oh putain... C’est trop bon, continue !
Cette jeune fille est chaude comme la braise, au sens propre comme au figuré. Mes habiles coups de langue et mes petits mordillements de son bouton d’amour ont rapidement raison d’elle et un orgasme puissant la submerge. Elle est prise de tremblements incontrôlés et elle pousse un tel cri de jouissance qu’Amon, qui observe la scène de son coussin près du feu, rabat les oreilles en arrière et feule de déplaisir.
La laissant reprendre ses esprits, je remonte pour me coller contre elle et couvre son visage apaisé de petits baisers en lui susurrant de petits mots doux.
Parler ayant risqué de gâcher le plaisir, nous restons silencieuses, savourant le contact du corps chaud de l’autre contre le sien, mélangeant nos odeurs corporelles, caressant nos corps du bout des doigts. Le tableau dut plaire à mon coquin de chat, car il descend de son trône et vint se lover à sa place favorite, entre mes seins, ronronnant de plaisir. Il avait apparemment pardonné à Emilie son cri, car il frotte au passage, sa tête contre elle, arrachant à la jeune fille un petit rire, mais elle est encore trop exténuée par sa jouissance pour bouger.
Un long moment s’écoule, sans que quiconque n’esquisse un geste. Ma torpeur de solitude me parait très lointaine désormais. Alors que je caresse du bout des doigts un sein d’Emilie, mon autre main gratte Amon entre les oreilles. Il a fermé les yeux de plaisir et ronronne, puis il s’assoit et plonge son regard dans le mien, commençant son jeu favori.
Ce chat est une véritable perle, toujours d’humeur câline, un regard à vous attendrir du granit et je me demande réellement si ce n’est pas un être humain incarné dans un chat, car il adore particulièrement jouer avec mon corps. Je me laisse toujours faire, car ces petits jeux me procurent toujours un plaisir étrange.
Son jeu favori en l’occurrence est d’effectuer de petites pressions avec ses pattes avant. Sauf que là où les autres chats font ça sur un coussin, une couverture ou que sais-je d’autre, ce coquin d’Amon adore faire ça... sur mes seins.
Je ferme les yeux en riant de sentir ses coussinets palper mes seins et c’est alors qu’une petite voix s’élève.
— Je vais être jalouse, dit Emilie en observant la scène d’un œil amusé.
Je l’embrasse sur le front.
— Si tu lui demandes gentiment, je suis sûre qu’il le fera avec toi aussi. Bien remise ?— Oui... soupire-t-elle. C’était incroyable. Tellement puissant. Mes petites masturbations ne m’ont jamais prodigué un tel plaisir, j’ai cru mourir de bonheur. — Tu as affaire à une experte chérie.— Mais tu ne m’as pas... dépucelée... — Doucement, chaque chose en son temps... On a tout notre temps. A moins que tu ne doives partir ? — Plutôt mourir que de devoir me lever. Je suis beaucoup trop bien dans tes bras. — Moi de même chérie. Ferme les yeux.
Elle s’exécute et je penche la tête pour respirer profondément dans le creux de son cou. L’odeur de son sang agit comme un aimant et je me mets à lécher sensuellement son cou.
— Hmmm c’est bon, soupire-t-elle.
Je mords doucement sa peau ! Merde, je perds les pédales, il ne faut pas que je la morde ! Pas tout de suite ! Mais l’odeur me fait tourner la tête... Heureusement, une phrase qu’elle prononce me ramène brusquement à la réalité.
— On croirait un vampire, rigole-t-elle. Tu comptes boire mon sang avec tes crocs ? lance-t-elle d’un ton taquin.— Tu n’as pas idée, me dis-je. Mais son intervention a le mérite de me faire reprendre mes esprits. — Je suis sûre que ton sang doit être un délice comparable à ton jus intime, lui murmuré-je à l’oreille avant de lui mordiller le lobe.
Elle rougit de l’allusion.
— Je... Je peux... venir goûter le tien ? demande-t-elle d’une petite voix. — Chérie... Non seulement tu peux, mais tu le dois. Viens... Viens goûter au plus délicieux breuvage de la femme.
J’ôte Amon de mon ventre qui part en miaulant, mécontent, mais c’est un cas de force majeur. Emilie commence par embrasser doucement mon buste puis descend plus bas, sur ma poitrine, l’embrassant avant de me lécher les seins, sensuellement, prenant exemple sur moi, mais avec quelques maladresses. Elle me mord un téton un peu trop fort, me faisant grimacer.
— Aïe !— Oh pardon ! s’excuse-t-elle avec un air affolé. Je suis vraiment navrée ! — Pas de souci ma belle rassure-toi. Mais vas-y plus doucement. Reprends-le en bouche. Voilà, pose tes dents, applique une légère pression. Hmmm, oui là c’est parfait, pas plus. Ouiiii...
Elle s’occupe longuement de mes seins, apprenant à les connaître, avant de descendre plus bas, vers mon entrejambe. Etant folle d’excitation, sentant mon vagin palpiter, je ne lui laisse pas le temps de me faire languir comme je lui ai fait et plaque directement sa bouche dessus.
— Lèche... haleté-je. Goûte-moi. Enfonce ta langue. Explore. Oh putain oui... Inspire à fond, tu sens mon odeur ? Remonte un peu, prends mon bouton d’amour dans ta bouche. Lèche-le, suce-le, tout doucement, redescends désormais la bouche vers ma fente, frotte-le de tes doigts, fais-le rouler... Oh putain chérie... C’est trop bon !!!!!
Je guide Emilie dans son premier cunnilingus, et malgré ses coups de langue hasardeux, elle y met une telle passion que je sens mon orgasme poindre.
— Ouiii ! Vas-y, aspire mon bouton ! Un peu plus fort, je viens ! Oui. Oui. Ouiiiiiiiiiiii !
Le plaisir me submerge et je plaque sa tête contre mon intimité, aspergeant le beau visage d’Emilie de ma mouille. Lorsque la vague passe, elle se redresse et la vision de son visage d’ange innocent, décoiffé ethumide de mon plaisir est un tableau d’un érotisme puissant.
— Comme tu es belle, murmuré-je.— Ce... C’était... — Félicitations chérie ! Tu m’as fait jouir, et d’une très belle manière. — Merci, dit-elle en souriant tout en se léchant les lèvres. Et ton jus est... Très goûteux. — Approche ma beauté. Laisse-moi te nettoyer.
Je me mets à lécher son visage, goûtant à ma cyprine que j’adore et lorsque nous recommençons à nous embrasser, le goût puissant de mon jus intime accompagne nos lèvres et nos langues qui dansent un ballet torride.— Prête pour la suite ? lui murmuré-je en glissant deux doigts sur sa fente.
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