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Un amour de vampire

Chapitre 15

Découverte de nouveaux plaisirs

Lesbienne
Point de vue d’Emilie

Peut-on mourir de bonheur ? C’est la question que je me pose en observant Melissa dormir profondément. C’est le petit matin et pour une fois, je me suis réveillée avant elle et je me plais à la regarder.
Quelle soirée ! Je n’en reviens toujours pas de tout ce qu’il s’est passé hier, mais surtout depuis ces trois dernières semaines. Lorsque je me suis inscrite sur ce site de rencontres, j’étais à mille lieues d’imaginer le bouleversement de ma vie qui allait suivre. Avant que Melissa ne vienne me parler, j’étais déjà assaillie par une horde de femmes aux envies diverses et je discutais sans réel entrain avec elles. Quand j’ai reçu le message de Melissa, je me disais que cela allait être une nouvelle demande de plan cul ou que sais-je d’autre. Et quand j’ai vu sa photo... Mon cœur a loupé un battement tant je suis tombée sous le charme. Après quelques échanges, elle m’avait déjà conquise.
Et voilà que quelques semaines après, je me réveille à ses côtés, après m’être fait chasser de chez moi, je lui ai avoué mon amour qu’elle partage et j’ai l’occasion de prendre un nouveau départ dans cette vie que je détestais avant elle. D’autant que ce n’est pas tous les jours qu’un vampire vous avoue son amour !
Souriant à cette pensée, j’effleure l’endroit où elle m’a mordue hier, sentant quatre petites irrégularités dans ma peau. Malgré l’étrangeté de cet acte, j’adore sentir ses crocs percer ma peau et ses toxines immobiliser mon corps. J’aime me sentir sous sa totale emprise à ce moment-là, percevoir mon fluide vital qui s’échappe de moi pour venir la nourrir. Comme elle m’a sauvée de ma solitude et des sombres pensées qui me traversaient, je trouve approprié de lui rendre la pareille en lui permettant de survivre grâce à mon sang. Je repense alors au pendentif qu’elle m’a offert hier, le prenant dans ma main pour l’analyser plus en détail. Il est absolument magnifique, ce rubis taillé en forme de goutte avec son sang à l’intérieur...
Ce cadeau est tellement original, tellement bien pensé que mes yeux s’humidifient tellement il me touche. Je le porte à mes lèvres pour l’embrasser quand du mouvement se fait sentir sur le lit. Ce n’est qu’Amon qui se réveille à son tour et qui vient me voir en ronronnant pour réclamer ses câlins du matin, décidément, tel chat, telle maîtresse, pensé-je en rigolant !
Pour éviter à Melissa de devoir le faire à son réveil, je me lève pour aller nourrir sa ménagerie. Me levant précautionneusement, je vais ouvrir aux chiens qui sortent précipitamment pour faire leurs besoins à l’extérieur et je leur prépare une gamelle que je positionne dans le garage que je laisse ouvert pour qu’ils puissent aller et venir à leur guise, comme Melissa le fait. Amon réclame également sa pitance et une fois tout le monde rassasié, je cours me replonger sous l’épaisse couette et retrouver le corps chaud de ma belle endormie.
— Hmmmm... grogne-t-elle en sentant mon corps refroidi contre elle.
Passant un bras autour d’elle, je m’amuse à titiller un de ses tétons, dessinant des cercles autour du bout des doigts.
— Quelle heure ? demande-t-elle d’une voix d’outre-tombe en ouvrant avec peine les yeux.— L’heure de te réveiller mon amour, répondis-je en l’embrassant dans le cou.

Point de vue de Melissa

Je m’extirpe difficilement des bras de Morphée et contemple Emilie. Voir son visage s’illuminer lorsqu’elle me dévisage me touche droit au cœur.
— Bonjour vampire chéri, dit-elle en m’embrassant.— Bien dormi petit cœur ? — Très bien oui même si... je suis épuisée, mais... revigorée dans le même temps. — L’amour, ça nourrit, dis-je en souriant. — Et ça creuse ! J’ai une faim de loup ! — Alors viens petit cœur, ne va pas mourir d’inanition, j’ai bien d’autres projets.
Nous nous levons et Emilie dévore littéralement tout ce qui lui tombe sous la main pendant que je la regarde, amusée. Nous partons ensuite nous promener dans la neige après nous être chaudement couvertes de pantalons de ski et d’épaisses parkas.
— Hmmmm, dit Emilie en inspirant profondément. J’adore cette douce morsure du froid, la neige, le ciel bleu, le soleil se reflétant...— Et moi j’adore autre chose, dis-je en embrassant sa joue, le seul endroit accessible, emmitouflée comme elle l’est dans son bonnet et sa doudoune.
Elle me tend ses lèvres dont je m’empare avec avidité et nous échangeons à nouveau un long baiser. J’ai l’impression que nous devons passer plus de la moitié de nos journées à nous embrasser tant nous sommes avides l’une de l’autre. Le contact de l’autre est comme une drogue dont nous ne sommes jamais rassasiées.
Posant ses mains sur ma poitrine, elle me pousse soudainement et je tombe à la renverse dans l’épaisse poudreuse.
— Hé ! Que fais-tu vilaine ?— Je refroidis tes ardeurs, répond-elle en riant. — Tu vas voir petite garce.
Je me redresse et la saisis par les chevilles pour la faire tomber également. Elle s’étale de tout son long dans la neige avant de se redresser et de rouler vers moi pour me plaquer et me maintenir au sol. Echangeant un regard, nous éclatons de rire ; on aurait dit deux gamines découvrant la neige. Picorant nos lèvres, nous restons dans la neige, les chauds vêtements imperméables que nous portons nous isolant du froid, le manteau de poudreuse faisant de son côté un matelas très agréable.
— Je t’aime, murmure Emilie.— Moi aussi je t’aime petit cœur. — Moi plus que toi, dit-elle d’un air espiègle. — Tu veux lancer un concours ? Attends que l’on soit à la maison et on va voir. — Pourquoi attendre ?
Elle retire ses gants et glisse sa main sur les boutons pressoirs de mon pantalon. Les faisant sauter un à un, elle dénude juste mon entrejambe qu’elle couvre immédiatement de ses lèvres froides qui contrastent avec sa chaude langue humide.
— Oooh petit cœur... soupiré-je de bonheur. Vas-y mon amour, continue, ne t’arrête surtout pas !
Cette petite diablesse s’améliore très rapidement. Ses coups de langue deviennent habiles, maîtrisés, possessifs. Je n’ai plus à la guider et au contraire, elle expérimente par elle-même, fouillant mon intimité, agaçant mon clitoris, cherchant les zones qui me font le plus gémir et elle les trouve ! En quelques minutes, un premier orgasme me foudroie et je soupire longuement de bonheur, goûtant ce plaisir de me faire lécher, alanguie dans la neige. La petite bouche de mon amour quitte malheureusement mon antre des plaisirs et elle referme rapidement mon pantalon pour que je ne prenne pas froid.
— Goûte-toi mon amour...
Elle me tend à nouveau ses lèvres et sa langue part aussitôt à l’assaut de ma bouche, me faisant sentir ma propre saveur.
— Alors ?— Tu remportes cette manche petit cœur, concédé-je. Mais méfie-toi, sinon je vais te sortir le grand jeu. — Je n’attends que ça, dit-elle en caressant mes lèvres du bout des doigts.
Insérant un doigt dans ma bouche pour me le faire sucer, elle se pique d’elle-même sur un de mes crocs et une goutte de sang perle, tombant sur ma langue. Ma bouche s’enflamme aussitôt avec le goût de son liquide vital et je faillis mordre davantage son doigt pour en avoir plus. Riant aux éclats, elle retire son doigt et se relève en m’aspergeant le visage de neige.
— Espèce de petite salope, grogné-je en me redressant. A la maison ! Je vais m’occuper de toi ! Les petites filles indisciplinées, je les corrige moi !
Émoustillée par ce programme, elle prend la direction de la maison en courant pendant que je la poursuis. Son rire cristallin résonne et me nargue. Aussi, après lui avoir fait croire qu’elle me distance, je la rattrape en un clin d’œil grâce à mes capacités vampiriques. La soulevant dans mes bras, je tâche de prendre un air de prédatrice, mais à peine ai-je croisé son regard que je me sens à nouveau fondre d’amour.
— Ce n’est pas juste... Tu triches !— J’utilise tous les avantages que j’ai à ma disposition chérie. Tu es à moi, et tu ne m’échapperas jamais, dis-je en l’embrassant. Maintenant, je dois toujours te corriger, car tu es une vilaine fille non ? — Très... Très... Vilaine... minaude-t-elle.
Arrivées à la maison, je la jette sur le lit et ôte ses vêtements et les miens à toute vitesse, les envoyant valdinguer dans tous les sens. Me mettant à califourchon sur elle, je m’empare de ses lèvres, telle une prédatrice et je l’embrasse passionnément, de façon très possessive, presque sauvage.
— Tu es à moi petit cœur... Rien qu’à moi...— Oui mon amour... Toute à toi...
Je glisse une main sur sa gorge et serre doucement, l’étranglant très légèrement, testant sa réaction face à cette pratique. Voyant qu’elle ne dit rien, je resserre un peu plus ma prise et je sens que sa déglutition passe moins bien. Pour autant, elle ne me demande pas d’arrêter bien au contraire. Faisant jouer mes doigts et la pression, je jauge sa résistance à la strangulation, y allant très doucement pour ne pas la brusquer.
— Ça m’excite... croasse-t-elle difficilement. Continue... C’est... Bon...
En effet, son intimité devient brûlante alors qu’elle se fait malmener. J’accentue encore un peu la pression, tout en dirigeant une main vers son antre. Grands dieux ! Elle est littéralement trempée et ses petits borborygmes qui s’échappent de sa gorge érotisent follement la situation.
— Tu aimes ça mon amour ?— Ouiiiii... répond-elle d’une voix étouffée.
Me penchant vers elle, je m’empare à nouveau de ses lèvres. Elle râle, ouvre la bouche et accueille ma langue inquisitrice qui part à l’assaut de ce doux écrin humide. Puis je me relève d’un coup.
— Où... Où vas-tu ? me demande ma belle en reprenant son souffle.— Patience... Ne bouge pas. Je te l’interdis.
Je me dirige vers un placard et en sors divers accessoires. Premièrement, un bandeau avec lequel je l’aveugle ainsi que des cordes. Je lui dispose les membres en croix avant de l’attacher à chaque extrémité du lit.
— Tu me fais confiance mon bébé ? lui demandé-je, tout de même attentive à son plaisir et à son ressenti.
Elle hoche vigoureusement la tête. Brave petite... Je me harnache d’un gode ceinture, d’un modèle plus gros que celui auquel je l’ai habitué pour le moment et m’équipe en plus d’un martinet aux longues lanières de cuir. Je ne suis pas spécialement branchée SM, mais dans certaines circonstances, j’aime jouer un rôle de dominatrice, tant que cela reste soft et très sensuel. Me dirigeant vers ma proie alanguie, je savoure le tableau, prenant même quelques photos avec mon portable pour lui montrer par la suite. Puis, armant mon bras, je lui donne un petit coup de martinet sur le ventre. Très léger, juste légèrement appuyé pour qu’elle ressente le claquement du cuir sur sa peau. Surprise, son corps s’arque et un gémissement s’échappe de sa bouche. Aussitôt, je viens lécher son visage et murmurer à son oreille.
— Laisse-toi faire mon ange... Tu vas aimer... Abandonne-toi à moi, entièrement... Tu le veux bien mon amour ?
Nouveau hochement de tête, moins marqué. Apparemment, elle a un peu d’appréhension, mais quoi de plus normal ? Souriante, je lui redonne un coup, empaumant de ma main libre un de ses seins pour le malaxer. Nouveau coup, je m’empare de son téton. Encore un. Je lui pince. J’alterne ainsi les coups, que j’appuie un peu plus, en lui donnant dans le même temps du plaisir. Alors que je la doigte, je la frappe sur les seins. Elle gémit. Ce coup-là était bien appuyé, mais elle mouille abondamment. L’estimant prête, je la pénètre alors d’une traite avec mon gode. Elle crie, du moins elle essaye, mais ma bouche prédatrice posée sur la sienne contient ses gémissements. Bien au fond d’elle, je m’immobilise et viens à nouveau caresser son visage de ma langue.
— Chuuuut mon ange, mon cœur, mon bébé... Tout va bien... Tu te sens bien pleine non ? Je sais que tu n’es pas habituée, mais tu vas aimer rapidement... Regarde...
Titillant son clitoris dans le même temps, je commence à donner des coups de reins, lents, mais profonds, sortant presque le gode avant de me réintroduire tout au fond d’elle. Et effectivement, ses réactions évoluent. Elle soupire de plus en plus, son corps s’arquant nerveusement, son vagin lubrifiant abondamment la pénétration. Elle adore.
— Tu en veux encore ? dis-je en me retirant totalement.— Oui... OUIIIII ! crie-t-elle, en proie à l’extase. — Dis-le. Dis-moi ce que tu veux que je te fasse. — Pénètre-moi encore s’il te plaît. Plus fort, remplis-moi je t’en prie !
Quelle brave petite... J’accélère le rythme et il me faut peu de temps pour la faire jouir dans un concert de cris tant elle est excitée... Vidée par son orgasme, elle sombre dans une demi-inconscience alors que je la détache pour me lover contre elle et caresser son si sublime corps, que je pourrais vénérer des heures durant.
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