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Amoureuse de ma famille

Chapitre 1

Divers
Quand notre père nous a abandonnées, toutes les trois, sans oublier Poutchi notre labrador, ça a été très dur pour maman qui n’arrêtait pas de déprimer alors qu’elle a toujours été d’une grande vitalité. Ma mère s’appelle Laura, elle a 47 ans et c’est une très belle femme, mince et brune et qui a toujours su prendre soin d’elle. Elle aurait pu facilement retrouver un homme, mais elle avait opté pour notre stabilité émotionnelle. Moi, Sophie, j’ai 19 ans et ma sœur Isa en a 18 et nous sommes ses deux prunelles.
Et puis il y a mon oncle Patrick, veuf de la sœur de maman. Tonton est bel homme avec une carrure de sportif à ses 49 ans. Il est surtout très doux et aimant et il n’a pas perdu son esprit serein et positif malgré le décès de ma tata qui nous manque beaucoup. Il a toujours cultivé un air réservé même s’il adore les plaisirs de la vie, de la table et du lit ! Il a été là quand on a eu besoin de lui. J’ai tellement confiance en lui que je lui raconte tout et il connaît mes secrets les plus intimes. Il prit le temps de nous expliquer la situation, ce que maman ne pouvait pas faire, et cela nous fit du bien, surtout à Isa à qui il a fallu du temps pour assimiler.
— Mes chéries, ce que vous avez vécu est difficile à comprendre et surtout à accepter, mais vous êtes fortes et courageuses comme votre mère. Tout ira bien.
C’est avec notre chien que maman apprit à combler ce vide dans sa vie. Nous ne l’avons pas su tout de suite, car maman profitait des longs moments qu’elle passait seule à la maison pour satisfaire son appétit sexuel. Nous nous rendions un peu compte que Poutchi dormait beaucoup quand nous rentrions du lycée. Le fait d’avoir mis la main sur une de ses petites culottes trempées de sécrétions diverses nous mit sur la piste. Elle sentait la pisse, la mouille et surtout le sperme de notre ami canin. Comment pouvions-nous le savoir ? Je dois avouer que Poutchi est notre partenaire privilégié en matière d’éducation sexuelle. Le goût et l’odeur de son sperme n’ont plus aucun secret pour nous.Un jour, je suis allée voir maman dans la cuisine et je lui ai dit :
— Je sais que tu t’amuses bien avec Poutchi, on a vu ta petite culotte dans le panier à linge.
Elle s’est approchée de moi et m’a prise dans ses bras :
— Je suis votre mère, mais je reste une femme avec ses besoins de femme. Je ne voulais pas d’un homme qui aurait été un inconnu pour vous. L’idée de le faire avec notre chien m’est venue en vous voyant jouer avec lui. Ça avait l’air bien innocent jusqu’à ce que je comprenne... Vos petites culottes parlent aussi pour vous !— Nous ne te jugeons pas, nous t’aimons et sommes contentes de partager les mêmes goûts. Cela dit, tonton et toi, vous seriez bien ensemble. Il pense le plus grand bien de toi, il me l’a dit !— C’est quelqu’un de merveilleux et j’aimerais lui ouvrir mon cœur et mon corps aussi, mais je ne veux pas me passer de mon Poutchi !
Nous avions fini par la surprendre en entendant, un week-end à l’heure de la sieste, un bruit anormal dans la chambre de maman. La porte n’était pas fermée et elle était à quatre pattes sur le sol et se faisait monter allègrement, à la différence près que le sexe long et rose qui la faisait jouir était planté dans son cul. Sa respiration était saccadée. Ses doigts malaxaient ses grosses lèvres et recueillaient la mouille qui coulait de sa vulve pour aller finir dans sa bouche.
— Continue mon bon toutou, tu me fais mourir de plaisir. Je veux que tu me remplisses de ta liqueur de mâle.
Les coups de reins étaient puissants et maman faisait bouger son bassin en cadence. Ils ont stoppé leur danse et Poutchi a commencé à déverser son flot de sperme dans l’anus dilaté de maman qui s’est affalée sur la couverture posée le parquet de la chambre. Elle respirait bruyamment et notre ami en a profité pour lui laper le fion et récupérer le fruit de son éjaculation. Nous avons refermé la porte et sommes retournées dans ma chambre. J’aurais bien aimé y goûter, mais je ne voulais pas briser ce moment de plaisir intense qui n’appartenait qu’à elle seule. Voir sa mère se faire sodomiser par un chien peut impressionner, mais cela ne nous a pas choquées plus que ça.Finalement, nous cherchions la même chose, c’est-à-dire le désir et les plaisirs du corps, et c’est grâce à Poutchi qu’Isa et moi n’étions plus vierges.Isa m’a lancé :

— Tu as vu ? On a jamais songé à le faire comme ça. Rien qu’à l’idée d’y penser, j’en ai mal au petit trou, dit-elle tout en passant un doigt sur le tissu de son short entre ses fesses.— Bah moi, vu que maman en a pour un petit moment à se remettre de ses émotions, j’aimerais bien que tu me caresses le mien avec ta langue.— Carrément, a-t-elle répondu. Je ne l’ai jamais fait ! Tu es sûre que je ne risque rien ?— Quelle gourde ! Je me suis passé une lingette. On pourrait manger dessus !
Isa a hésité, mais elle a fini par s’exécuter. Les caresses de sa langue humide étaient aussi maladroites qu’agréables. Sa langue allait et venait sur mon minou et je sentais une chaleur douce envahir mon corps. Poutchi faisait des merveilles avec sa langue épaisse et baveuse, mais Isa était plus appliquée et précise et elle me faisait fondre de plaisir. Elle titilla mon petit bouton et me fit ronronner puis elle recueillit ma mouille qui s’écoulait lentement vers mon anus. Elle entama un mouvement circulaire autour de mon œillet. Je savais que cette zone pouvait être très sensible et je pressentais qu’elle deviendrait, avec le temps, une source fabuleuse de plaisir.
— Isa, caresse-moi maintenant avec ton doigt.
Elle commença à étaler ma cyprine et me massa le pourtour. C’était délicieux et je sentais mon sphincter se contracter puis se relâcher. Puis son doigt s’est montré plus insistant en pointant sur mon petit trou bien lubrifié. Sans même le lui demander, elle anticipa mon désir en enfonçant une phalange puis deux dans mon intimité anale. Quel bonheur ! L’appréhension initiale s’est estompée et j’en voulais plus.
— Deux ma chérie, lui murmurais-je.
Mon envie de jouir grandissait et je sentais maintenant ses deux doigts qui frayaient leur passage en moi. Un mouvement latéral de mon bassin a éjecté ses doigts de mon fondement. Je suis restée allongée à savourer ce moment que je venais de vivre. Ce premier essai avait été transformé, et de quelle manière !
— Hors de question que je reste sur ma faim. A ton tour maintenant !
J’ai repris mes esprits et me suis appliquée à lui rendre le plaisir qu’elle m’avait donné. Elle a baissé sa culotte et m’a tendu ses fesses. Je les ai écartées pour y glisser ma langue tout en reniflant comme une petite odeur suspecte...
— J’étais aux toilettes quand tu m’as appelée pour aller voir maman. C’est toi qui ne m’as pas laissé le temps de terminer de bien m’essuyer ! a-t-elle dit en me clignant de l’œil.
Ma langue finit ce qu’Isa n’avait pu faire et je la fis tourner autour de son trou qui opposait une certaine résistance. Je ne voulais pas la brusquer et la laissais marquer le rythme. Peu à peu, elle se détendit et j’en profitais pour introduire tout doucement mon index et chatouiller sa paroi anale. Elle appréciait une telle stimulation. Ses expirations silencieuses me firent comprendre que nous étions sur la même longueur d’onde. Quelle chance j’avais d’avoir une sœur avec qui je pouvais partager de tels moments !Quand j’ai appelé tonton et que je lui ai raconté le spectacle que nous avait offert maman sans omettre le moindre détail, il n’a pas semblé choqué lui non plus.
— Elle le fait parce qu’elle en a besoin et qu’elle aime vraiment ça. La solitude est difficile et pesante et elle doit aussi penser à son bien-être. Pour être sincère, j’adorerais partager un tel moment avec elle, voir son visage radieux lorsqu’un orgasme la secoue. Et je suis prêt à parier que toi aussi, ma belle.— Tu sais tonton, tout serait plus facile si vous étiez ensemble. Rien ne pourrait nous rendre plus heureuses, toutes les trois.— Moi aussi je vous aime et vous êtes comme trois rayons de soleil pour moi, mais c’est à elle de décider.— C’est tout décidé! Demain, vous coucherez ensemble. Laisse-nous toutes les deux lui annoncer la nouvelle. Isa est à côté de moi et elle en pleure de joie.
Nous sommes allés la voir sur la terrasse, le regard sérieux et ému :
— J’ai parlé à tonton et Isa et moi, nous avons décidé qu’à partir de demain, il viendra vivre avec nous. Bien évidemment, il dormira dans ton lit !— Vous êtes folle ! Il est assez grand pour décider lui-même ! Ça se trouve, je ne suis pas son type de femme.— Tu nous prends vraiment pour des gourdasses ! Tu as vu comment tu le regardes ? Et comme tu sembles heureuse quand il te serre dans ses bras chaque fois qu’il s’en va ?
Maman ne pouvait pas nier ce qui était une évidence. Le lendemain, Isa et moi sommes parties en promenade à vélo toute l’après-midi. Nous voulions qu’ils soient tranquilles pour pouvoir se dire ce qu’ils avaient sur le cœur. Nous avons passé la soirée en vraie famille puis nous nous sommes tous couchés.Au matin, nos pas de souris se sont arrêtés devant la porte de la chambre et nous avons tendu l’oreille. Nous avons entendu maman nous dire :
— Venez, ne restez pas derrière la porte !
Nous sommes entrées pour les rejoindre dans le lit comme quand nous étions toutes petites. Isa s’est blottie contre maman et moi contre tonton qui se tenait sur le côté pour cacher une belle érection. J’ai alors soulevé le drap qui le couvrait et j’ai pu vérifier qu’il était en grande forme. Il m’a regardée sans se formaliser alors que je prenais sa belle queue dans ma main pour en apprécier la douceur. Je voulais profiter de ce moment de bonheur. Nous étions désormais une famille unie prête à TOUT partager. Je savais au fond de moi-même que le sexe entre nous quatre n’était qu’une question de temps...
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