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Amoureuse de ma famille

Chapitre 3

Le test de Paul (2)

Divers
Chap 3
Il a avalé son urine et je l’ai félicité, car il avait bien retenu la leçon. J’ai dit à tonton en le fixant et mimant une pipe avec un doigt pointé sur son sexe :
— J’espère que tu as pris des notes...— Sois patiente, m’a-t-il répondu avec un sourire malicieux.
.............

Tonton a félicité maman pour sa performance en l’embrassant et il l’a prise dans ses bras. Elle se sentait heureuse et soulagée. Puis il a fait venir Paul et il a pris sa queue qui commençait à débander et l’a portée à sa bouche pour le nettoyer avec sa langue. Le simple contact de ses lèvres sur la bite l’a électrisé et il s’est remis au garde-à-vous. Tonton l’a fait se mettre à genoux devant lui pour lui présenter sa queue raidie par l’excitation. Paul ne s’est pas fait attendre et il a commencé à pomper tonton sans pouvoir l’avaler en entier. Il l’a léché des couilles jusqu’au gland qu’il a caressé de sa langue bien salivée. Tonton a relevé ses cuisses pour qu’il puisse accéder jusqu’à son anus. La simple vue de sa pastille noire a décuplé son énergie et il a dessiné avec ses doigts salivés des mouvements circulaires avant d’enfoncer un doigt dans son fondement. Je lui ai montré deux doigts et il s’est exécuté.
Le massage appliqué au sphincter de tonton a porté ses fruits et il lui a signifié un oui de la tête. L’occasion était trop belle pour mon titi qui en rêvait. Il a saisi son arme revigorée et il a pointé son gland sur le fion bien dilaté. Il a senti son sexe glisser en douceur dans l’intestin lubrifié et il a planté son pieu jusqu’au fond. Je regardais mon oncle adoré se faire défoncer et je savais qu’il acceptait cette sodomie sans ménagement pour montrer à Paul qu’il l’aimait comme il m’aime. L’émotion m’a gagnée et je me suis réfugiée dans les bras de maman qui a confirmé mes sentiments :
— Tu sais à quel point il vous aime et il veut mettre ton chéri en confiance et vous faire comprendre que vos désirs seront nos désirs.— Patrick, j’aime tellement ton cul. Quel plaisir, quelle jouissance !
Tonton se cambrait sous les coups de boutoir et il a lâché un râle en rejetant la tête en arrière. Maman l’avait initié au plaisir anal avec sa collection de godes. Son muscle anal retenait la bite qui a commencé à déverser un flot continu de sperme blanc et épais qui s’est écoulé lentement de son trou en chou-fleur. Paul était en sueur, mais il n’a laissé à personne le soin de déguster sa propre semence et il est venu se placer sous tonton qui s’est littéralement vidé dans sa bouche. Je suis allée chercher la part de sperme qui me revenait de droit. Je l’ai gardée en bouche un moment, car elle venait de la personne que j’aime d’une façon spéciale.
Je me suis assise entre lui et maman pour assister au dernier round et c’était enfin à Isa d’entrer en scène. Contrairement à ce que j’avais imaginé, pas de fellation, car les couilles de mon amoureux étaient vides. Pas une goutte à en tirer, mais connaissant ma sœurette, le sperme n’allait pas manquer. Elle a fait venir Poutchi qui s’est allongé sur le dos, les quatre pattes en l’air comme il en a l’habitude. Paul a vite compris le tempérament un brin pervers d’Isa et qu’il allait devoir affronter un tabou peu facile à dépasser. Elle l’a invité à se coucher sur le chien pour lui sucer son beau cigare rose. Il hésitait à approcher sa bouche et Isa lui a lancé :
— Réfléchis bien, si tu refuses, tu dégages et je récupère ma sœur pour moi toute seule.
Il nous a lancé un regard désespéré et je lui ai fait comprendre qu’Isa avait raison. Il s’est approché pendant qu’elle a fait pointer son dard hors de son fourreau. Il a approché son visage pour en connaître l’odeur et le goût. D’emblée, il n’a pas été rebuté et sa langue a commencé à titiller son bout. Il savait qu’il devait le faire et il a alors entamé un va-et-vient bien salivé qui ne déplaisait pas à l’animal. Sa queue avait atteint une belle dimension et il s’appliqua à la prendre bien en bouche. Isa est venue se placer derrière Paul qui a senti un liquide froid couler dans sa raie jusqu’à son anus. Il pressentait que les choses allaient se gâter pour lui et surtout pour son fion qui avait été épargné jusque-là.
Il a senti les doigts fins de ma sœur lui chatouiller la rondelle et ses mouvements de hanche ont signé son acceptation. Isa, qui n’attendait que ce signal, est passée à la vitesse supérieure : les phalanges de son index ont lentement frayé leur chemin et sont restées au chaud en lui massant le sphincter qui s’est progressivement détendu. Pas de doute, elle savait y faire. Le duo “index-majeur” de sa main droite alternait avec celui de sa main gauche et ma sœur chérie les lui plantait à un rythme de plus en plus accéléré et surtout sans ménagement.

Du coup, Paul a eu du mal à se concentrer sur le bout de viande qu’il embouchait et il poussait des petits cris mêlant plaisir et douleur. Isa lui a alors enfoncé le tube de gel dans le cul en appuyant bien dessus. Le contraste chaud-froid a eu un effet apaisant, puis quatre doigts se sont engouffrés et ont commencé à écarter son orifice puis ont relâché la pression après quelques secondes. Paul a grimacé, signe qu’il supportait la charge, mais le deuxième écartement a été plus fort et plus long, donc plus douloureux.
Il a poussé un “aie !” qui ne laissait aucun doute sur l’intensité de sa douleur. Le pauvre n’en pouvait plus et il a porté sa main à son anus endolori pendant qu’il continuait à sucer le chien. Je suis intervenue pour embrasser mon chouchou et lui caresser les fesses. Il a eu droit aussi à une belle baffe et il m’a regardée sans rien comprendre.
— Evite de parler la bouche pleine, je déteste, lui ai-je dit avec un regard amoureux.
Se faire baffer devant la famille n’est pas forcément agréable, mais ça renforce sa soumission. Isa lui a susurré :
— Le meilleur est à venir. Poutchi va te monter comme une bonne petite chienne que tu es. Tu vas sentir ton cul se déchirer comme jamais et ce que je viens de te faire, ce n’est rien comparé à ce qui t’attend !
Maman demandait à ce qu’il vienne se mettre à quatre pattes, la tête entre ses cuisses. Les effluves qui émanaient de son entrejambes montraient qu’elle n’avait pas eu son compte de ce côté-là. Tonton a passé deux doigts sur son minou toujours aussi humide et il a confirmé en les sortant trempés. Il a déclaré :
— Mon cher Paul, je crois que tu ne vas pas mourir de soif...
Il m’a adressé un clin d’œil et m’a fait le geste d’ouvrir un parapluie. Je lui ai rendu son clin d’œil, mais je savais aussi que je devais rendre la pareille à mon chéri après qu’il ait dégusté mon urine.
Une fois en place, Isa lui a tartiné le fion de nutella et Poutchi est venu le laper avec énergie pendant qu’Isa le branlait d’une main agile. Les gens n’imaginent pas le plaisir que peut procurer une langue de chien. C’est à en mourir !
Ce préliminaire gourmand fini, le chien a lancé ses pattes sur son dos fin et musclé non sans lui occasionner quelques égratignures. Isa a guidé le membre vigoureux et brillant vers l’anus lubrifié, et dès que Poutchi a senti que sa bite était à l’endroit recherché, il a poussé une charge incroyable. Paul, la bouche et les yeux grands ouverts, a émis un son rauque comme si le missile qui lui était entré par le cul était arrivé jusqu’au fond de sa gorge. Il s’est fait besogner comme par un cosaque en rut et maman le tenait plaqué contre sa chatte maculée de mouille et il en avait plein la figure. Ce pilonnage en règle a duré moins d’une minute, mais il a dû lui paraitre interminable. Bien calé dans son rectum, le chien a arrêté ses allées et venues. Paul croyait en avoir fini. Après un court répit, il a senti son anus se transformer en “tunnel sous le manche” qui le perforait. La boule à la base du pénis canin se formait et gonflait de manière alarmante.
— Désolée, lui dit Isa d’un air faussement contrit, j’ai oublié de te dire qu’il ne fallait jamais laisser un chien te la fourrer jusqu’au fond. Vous allez rester coincés, le temps qu’il décharge sa liqueur. Je sais que ça doit te picoter un peu, mais son engin n’est pas si gros que ça. Un peu de crème et ça passera. C’est quand même pas un pétard à corbeaux !— Mon cul oui ! protesta Paul qui était furieux, j’ai le cul déchiré, explosé. Tu es une belle salope !— Mais non mon lapin, lui répondit maman. Isa est une enfant et elle est incapable de telles pensées. La boule du chien, ce n’est qu’un petit oubli, rien de bien méchant. D’ici peu, tu en rigoleras quand on évoquera ce souvenir.
Paul n’a pas osé répliquer à ma mère. Son ton maternel l’a même un peu détendu, lui faisant oublier un instant cette intense douleur qui devait lui tarauder son sphincter qui aurait pu gober une orange sans même rechigner.
Cette situation amusait bien tonton qui a cru drôle d’ajouter :
— Mon petit Paul, évite de conduire si tu ne veux pas que ton siège en cuir blanc ne vire au brou de noix. Ou alors, utilise une couche-culotte !
Nous avons toutes les quatre éclaté de rire, mais mon chouchou devait l’avoir saumâtre. Il a cependant fini par montrer un semblant de rictus pour signifier que c’était de bonne guerre et qu’il aurait fait la même chose s’il avait joué le rôle de spectateur.
Après d’interminables minutes, un bruit de succion a marqué la fin de son martyr. Isa, qui n’est jamais à court de malices, avait prévu un verre et elle a rapidement récupéré le précieux nectar qui a commencé à couler de ce qui avait été autrefois un “petit trou” et qui désormais ressemblait à l’entrée d’une grotte. A son sperme se mêlaient quelques filets de sang qui attestait du déchirement qu’il avait subi. Il a compris qu’il boirait le vin jusqu’à la lie et, sans qu’on le lui demande, il a ouvert la bouche et Isa lui a versé le contenu sans en perdre une goutte.
Je le fixais attentivement pour voir sa réaction et je n’ai pas été déçue. Il m’a lancé un regard noir et m’a dit :
— Tu as raison, ma puce, il a du chien, ce sperme... et même beaucoup !
Je ne pouvais pas lui en vouloir de se montrer un brin rancunier, car j’avais vraiment été vache avec lui sur ce coup. En même temps, il sait maintenant qu’il ne pourra pas avoir le dernier mot avec moi, même si je le laisse gagner de temps en temps. Soigner son amour propre comme dit tonton et au fond, il a raison.
Maman est intervenue pour le rappeler à ses obligations. Il a mis un point d’honneur à nettoyer son minou comme l’aurait fait Poutchi. Puis elle lui a demandé de maintenir sa bouche bien ouverte et elle a écarté ses lèvres luisantes de salive et lui a balancé une deuxième salve de pisse dans sa bouche vite remplie. Là encore, mon p’tit cœur se démenait comme il pouvait pour avaler, mais sa cavité buccale ne désemplissait pas. Rien ne lui avait été épargné.
Rien ou presque puisque Isa a demandé un temps mort à la dernière seconde. Elle est venue lécher le visage de Paul et l’embrasser sur la bouche en guise de félicitations. Puis elle lui a montré sa main droite badigeonnée de lubrifiant qui faisait un mouvement de rotation.
— Comment ? Encore ? a-t-il lancé sans aucune conviction, et sa tête est tombée en signe de capitulation. La main d’Isa n’a pas eu à forcer la rondelle qui ne se refermait plus et elle est entrée en douceur. La sensibilité de son antre anal était extrême et il se cambrait au contact de ses doigts.— Tu l’as à ta main toi aussi, lui lança tonton qui appréciait la délicatesse et la précision des gestes dont Isa faisait preuve.
Isa a sorti sa main qu’elle a utilisée pour lubrifier sa voisine de gauche et celle-ci est venue s’introduire dans sa cavité. Paul continuait de grimacer, car la main, même correctement lubrifiée, ne pouvait éviter la douleur provoquée par ses microlésions internes. Le bouquet final est venu lorsque la main est sortie pour venir se coller à l’autre. Isa savait que l’occasion était trop belle, peut-être même unique de le ramoner à deux mains. J’ai pensé lui dire que c’était trop risqué, car je ne voulais pas qu’il finisse aux urgences. Je ne me voyais pas en train d’expliquer comment on en était arrivé là. Le fait est qu’Isa semblait très concentrée et sûre d’elle et son regard était tout ce qu’il y a de plus sérieux. Nous l’avons regardée faire dans un silence où la tension était réelle. On aurait dit un acte chirurgical de grande précision.
Les deux mains unies ont avancé millimètre à millimètre avec la plus grande douceur possible, et les gémissements de Paul ne trahissaient pas une douleur croissante alors qu’on pouvait s’y attendre. Elles ont fini par disparaître dans son cul, puis après un court séjour dans le rectum dévasté, elles sont ressorties avec les mêmes délicatesse et savoir-faire de mon amour de sœur. Le résultat de cette torture anale s’est tout de suite vu sur les deux mains d’Isa couvertes de lubrifiant, de sécrétions anales, de sang et même de traces chocolatées. Isa les a exhibées en triomphe et s’est mise à lécher ses doigts en guise de victoire, puis elle est passée nous les offrir. Nous avons tous passé nos langues sur ses mains souillées et même Paul y a eu droit. Son visage a été enduit de ce mélange et sa langue a fini de nettoyer les traces du crime sur ses belles mains.
Pour clôturer cette soirée spectaculaire, nous nous sommes regroupés autour de Paul pour le féliciter et le remercier d’avoir tenu jusqu’au bout et pour lui signifier qu’il appartenait désormais à la famille avec tout ce que cela impliquait comme droits et devoirs.
Durant les jours qui ont suivi, le jeûne sexuel décrété nous a fait à tous le plus grand bien et il a surtout permis à Paul, via un traitement adapté, de retrouver sa sensibilité et le fonctionnement normal de l’extrémité de son système digestif. Il a reconnu par la suite avoir vécu le moment le plus intense de sa jeune vie et que les moments douloureux ont été effacés de sa mémoire, et pour finir, il a déclaré :
— Je n’aurais jamais assez de mots pour tous vous remercier du fond du cul, mais aussi du cœur !
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