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Amoureuse de ma famille

Chapitre 4

Les parents de Paul

Divers
Il a reconnu par la suite avoir vécu le moment le plus intense de sa jeune vie et que les moments douloureux ont été effacés de sa mémoire et pour finir, il a déclaré :
— Je n’aurais jamais assez de mots pour tous vous remercier du fond du cul, mais aussi du cœur !
.....

Les mois ont passé et nos deux familles ont appris à mieux se connaître. Les parents de Paul nous ont invités à passer le week-end chez eux. Il est évident que ce serait pour eux l’occasion de nous en mettre plein la vue. Une propriété de plus de cinq cents hectares dont la moitié est constituée d’une forêt pleine d’arbres centenaires et surtout de petit et gros gibiers, un magnifique lac. A cela s’ajoute un corps de ferme où on élevait tous les animaux de basse-cour et bien sûr, les champs de céréales pour alimenter tout ce cheptel. Pour couronner le tout, un superbe château du dix-huitième siècle parfaitement restauré sans être tape-à-l’œil. Mon tonton, lui, a tout de suite flashé, car il adore la pêche, la chasse, aller aux champignons et aux châtaignes. Il se sentait au paradis. Il a même été choqué quand le père de Paul lui a avoué qu’il mettait rarement les pieds en dehors du château sauf quand il invitait ses meilleurs clients à une partie de chasse annuelle.
Il avait pris soin de sortir sa collection de voitures sportives de luxe. C’est sûr, il y en avait pour du pognon ! Là encore, mon tonton n’a pas manqué de lui dire à quel point il était impressionné par tous ces bolides hors de prix qui ne pouvaient qu’appartenir à quelqu’un qui a brillamment réussi dans la vie.
L’intérieur du château n’avait rien à envier à ce qui était dehors : marbres, sculptures et grands tableaux révélaient une décoration de bon goût. On sentait qu’il était plutôt fier de ses différentes collections : montres de luxes, bouteilles d’alcool les plus exclusives... Pour finir de nous épater, une visite de sa cave à vins qui ne contenait que des pépites d’or : les plus grands crus dans les meilleures années. Des bouteilles centenaires qui regardaient passer le temps. Là encore, tonton était le seul capable d’apprécier la valeur de cette collection digne des plus grands palaces parisiens. Il n’a pas hésité à lui passer la pommade dans le dos en qualifiant d’une des plus belles collections privées de France. Le père de Paul est devenu fier comme un paon et j’ai cru qu’il allait nous faire la roue ! En tout cas, il a vraiment apprécié le compliment et nous a promis de nous inviter à goûter ses meilleurs vins.
Le repas servi était du trois étoiles et il a été particulièrement bien arrosé et les langues se sont déliées. Des plaisirs de la table, on est vite passé à ceux du lit et mon futur beau-père était clairement branché cul. Ses compliments appuyés sur ma mère ne sont pas passés inaperçus ainsi que sa main posée sur la cuisse de maman qui laissait faire. On se lançait des regards tous les quatre et j’ai vite compris que maman le laissait faire, car elle était sur le point de ferrer le poisson.
Les parents sont restés entre eux pour le café, et Paul, Isa et moi sommes partis nous promener. Je pouvais compter sur tonton pour savoir ce qui allait se mijoter. Voici ce qu’il m’a raconté :Le père de Paul a pris la parole :
— Je ne vais pas tourner autour du pot. Monique et moi pratiquons l’échangisme depuis longtemps. J’espère que ça ne vous choque pas et j’avoue même que j’aimerais beaucoup qu’on puisse s’amuser ensemble tous les quatre.
Ce à quoi j’ai répondu :
— Même si nous n’avons jamais franchi le pas, l’idée nous a toujours paru séduisante. La crainte que la première expérience soit négative nous a freinés, car ce n’est pas évident de trouver le couple idéal. Vous êtes un couple beau à voir et ... pourquoi pas !
François et Monique se sont regardés en se disant que c’était dans la poche. François a pris la main de maman pour lui montrer la serre et Monique m’a emmené sur la terrasse qui donnait sur un magnifique jardin à la française. Je savais que j’avais beaucoup à gagner à savoir pouvoir accéder au domaine avec le moins de restriction possible et qu’avec l’aide de maman, j’allais pouvoir réaliser mon rêve. Maman a fait comprendre à François que pour prendre son petit trou, il fallait négocier avec moi qui suis plutôt adepte du donnant-donnant, à savoir que si François voulait la sodomiser, il fallait d’abord qu’il se fasse enculer par moi et ça, ce n’était pas gagné d’avance. Cela dit, son sang approchait du point d’ébullition et maman s’est retrouvée à poil au milieu du couloir. François semblait très excité. Maman le faisait terriblement bander.

Agenouillée sur le sol, elle a fait tomber son pantalon et le boxer qui cachaient un beau morceau et elle s’est mise à caresser doucement son sexe déjà dur et les va-et-vient de sa main experte ont accéléré ses pulsations. Elle a déposé un baiser sur son gland tout en le fixant dans les yeux. Il était passablement excité alors qu’elle n’avait pas encore commencé à le sucer. Elle a poursuivi en lui léchant sa hampe en remontant de la base jusqu’à sa pointe dure et gonflée qu’elle a alors pris en bouche. Sa langue et ses lèvres chaudes ont continué à le faire monter en température. Maman a glissé sa main dans son sexe qui mouillait et elle a enduit deux de ses doigts de son jus intime et les a remontés vers la bouche de François. Ce parfum de femme l’a fait monter d’un cran. On aurait dit un ours en rut attiré par l’odeur du miel intime de maman.
Les deux se sont retrouvés couchés sur le sol et son visage est venu se fourrer entre ses cuisses pour lui lécher son minou à grands coups de langue. Il a enfoncé deux doigts pour aller recueillir tout ce que sa langue ne pouvait atteindre. Enfin, il a joué avec son clitoris et là, c’est maman qui n’a pas résisté en laissant exploser cet orgasme qu’elle ne pouvait plus contenir. Elle en voulait plus et lui a demandé de la pénétrer sans plus attendre. Il n’attendait que cela et il a présenté sa belle bite à l’entrée de sa vulve qui dégoulinait, l’a embrochée sans contemplations et s’est mis à la marteler. Elle a joui comme une garce :
— Remplis-moi bien mon trésor, je veux sentir ta liqueur couler en moi !
Après quelques aller et retour, à bout de force, il s’est vidé en elle en de nombreux jets en s’affalant sur elle et il s’est allongé sur le sol, repu de plaisir. Maman lui a offert un dernier plaisir en nettoyant sa bite couverte de mouille et de sperme puis elle s’est assise sur son visage pour lui rendre son sperme qui a coulé sur lui et elle s’est retournée pour récupérer son nectar et l’avaler goulûment. Elle savait bien que dans ces conditions, il n’allait pas se contenter de ce délicieux moment de baise et qu’il allait en reclamer davantage. Elle le tenait et grâce à elle, le bonheur familial était à portée de la main.
Entre Monique et moi, la chose s’est passée en douceur, en caresses et baisers. Je la complimentais sur sa beauté et son air doux et sensuel. Elle fondait comme la neige au soleil sous mes caresses expertes. Quel plaisir pour elle de sentir une main délicate palper ses seins puis glisser dans son dos et parcourir son relief ! Que je prenne le temps de lui dire combien elle était belle et désirable l’a beaucoup touchée. Maman a parié avec moi qu’elle allait finir follement amoureuse. C’est vrai que le seul préliminaire qu’elle connaissait, c’est une bite dans le cul sans lubrifiant. Décidément, on jouait sur du velours.
Nous nous sommes retrouvés au salon pour un premier bilan jugé très positif et extrêmement prometteur selon François et Monique. Bien évidemment, maman et moi ne pouvions qu’être d’accord à cent pour cent.
Les choses ont pris une nouvelle tournure quand François m’a demandé de le suivre dans son bureau. Il a pris soin de fermer à clé pour ne pas être dérangé.
— Laura m’a expliqué les conditions en matière de sexe anal. Pour moi, c’est un peu compliqué et je coince. Mais laisse-moi te faire une proposition : aux dires de ta femme, je crois avoir compris que tu apprécies particulièrement le domaine. Ça tombe bien, je cherche un gérant dont la mission sera de rendre le domaine bénéficiaire sur le plan financier. D’après mon comptable, c’est relativement facile, mais moi, je n’ai pas le temps de m’y consacrer. Tu auras le contrôle total du domaine sauf pour le château et la partie de chasse annuelle. Je te présenterai à la famille de métayers qui exploitent les terres et surveillent le domaine. En principe, c’est parfaitement compatible avec ton boulot au ministère. J’ai pleinement confiance en toi et je te propose vingt mille net par mois et la possibilité de loger au château tous les quatre, nourris, logés et blanchis, et mise à disposition du majordome et de la cuisinière.
Je l’ai chaleureusement remercié, conscient que je venais de toucher le jackpot. Puis nous avons reparlé de Laura.
— En ce qui concerne nos conditions, elles ne s’appliqueront jamais à toi. Je veux seulement que tu saches qu’elle est spécialement sensible à la façon dont elle aime être traitée. Te connaissant, elle voudra que tu sois son César et qu’elle soit ta Cléopâtre. Elle aime être couverte de mots tendres et de cadeaux. Ne la traite jamais comme une pute, mais comme une reine, comme Monique et nos moments d’échangisme seront des feux d’artifice.— Nous sommes faits pour nous entendre, a déclaré François.— Et pour en finir maintenant qu’on est entre hommes, je vais te montrer ce à quoi tu renonces. Tu vas faire tout ce que je te dirai, tu ne diras rien. Si les choses vont bien pour toi, tu n’auras qu’à dire “encore” et on continue ou “stop” et j’arrête tout.
Après lui avoir bandé les yeux, François s’est retrouvé à poil et assez tendu. Je lui ai parlé de Laura qui avait confessé avoir pris son pied. Je lui ai caressé le dos et les épaules puis mes mains sont redescendues vers ses reins et ses fesses. Paradoxalement, je l’ai senti moins crispé. C’était la même réaction qu’avait eue Paul lors de sa“punition”...
— La main qui caresse ton sexe, c’est celle de Laura et la bouche qui va te sucer, c’est la sienne aussi. Que dis-tu ?— Encore...

Je n’étais pas sûr de mon coup, mais je le sentais de mieux en mieux. Ma langue a caressé son gland pendant que je massais ses couilles. Il faut reconnaître qu’une bonne bite douce et chaude dans la bouche, c’est bon ! Lui aussi le savait et le voir passer sa langue sur ses lèvres était bon signe. Le cochon bandait de plus en plus et je sentais ma cavité buccale bien remplie. Les va-et-vient sur sa tige l’ont rendue dure et j’ai osé un doigt sur son anus.
— Que dis-tu ?— Encore, a-t-il répondu avec une respiration qui s’accélérait.
Je me suis relevé et j’ai pris sa tête entre mes mains et je l’ai embrassé à pleine bouche, ma langue cherchant la sienne, mêlant nos salives.
— Je t’aime mon bel ours. Tu m’as si bien baisée aujourd’hui que je n’ai pas arrêté de jouir comme une cochonne. Ma chatte est encore toute trempée.
Ce petit jeu lui plaisait et sa façon d’en rire était surtout un signe de complicité. Progressivement, je sentais qu’il se décoinçait. Puis mon doigt est sorti de sa bouche pour revenir caresser sa rondelle noire. Ses mouvements de bassin étaient lents et sensuels et j’ai rentré la première phalange. Il n’a même pas attendu que je lui pose la question et il a lancé un “encore” qui était presque une supplication pour que je lui enfonce tout le doigt. J’ai initié un massage de son sphincter qui se détendait petit à petit.
— Je ne savais pas qu’un fion pouvait donner autant de plaisir. J’en veux un deuxième...
Mon majeur est venu rejoindre son petit frère et ils ont été happés par son trou noir.
— Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah, comme c’est booooon ! Ne t’arrête pas.— Mon chéri, ma chatte dégouline de plaisir, mais c’est mon cul qui réclame ta belle bite. Viens m’enculer sans tarder.— Oui ma belle Laura, je n’ai qu’une envie, c’est de remplir ton petit trou à merde.
J’ai écarté mes fesses puis j’ai saisi sa queue pour la pointer sur ma rondelle.
— Fais-moi maintenant ce que tu voulais me faire. Punis-moi, défonce-moi, fais-moi mal...
Une fois en place, c’est moi qui ai poussé pour le faire entrer. Un puissant coup de reins de sa part a fait rentrer sa queue jusqu’au fond de mon intestin.
— Oh oui, mon amour, c’est bon de se faire déchirer par un étalon. Je veux te sentir jouir dans mes entrailles.
Il me pilonnait sans faiblir et je me suis allongé sur son bureau, car mes jambes ne me portaient plus. Lui aussi n’en pouvait plus et il a joui comme un animal en se vidant en moi. Quelle enculade !En sortant de mon cul meurtri, je lui ai demandé de mettre sa bouche et recueillir son propre jus. J’imagine son état d’excitation pour avoir obéi sans rechigner ! Nous avons partagé ce délicieux baiser salé.Il a retiré le bandeau, visiblement ravi de cette expérience, et c’est lui qui est venu m’embrasser et il m’a susurré à l’oreille:
— A ton tour maintenant !
Et il s’est agenouillé pour me pomper et caresser mes testicules remplis d’un sperme qui ne demandait qu’à finir dans son cul. Son manque d’habitude était compensé par une envie de bien faire et j’appréciais ses efforts. J’ai récupéré le sperme qui sortait du cratère de mon cul pour en enduire ma bite.
— Tu vas maintenant subir ce que tu as fait endurer à ma Laura.

J’ai commencé tout en douceur, car je voulais qu’on savoure ensemble ce dépucelage anal. Chaque centimètre qui lui rentrait dans le cul était bien accueilli.
— Encore mon amour, j’en veux plus. Pousse jusqu’au fond. Comme c’est tellement bon de se faire mettre.
Je sentais ma queue prisonnière de ce cul tout neuf et délicieusement étroit et je ne pouvais plus me retenir.
— Prépare-toi à recevoir ta première dose de sperme. Ce sera la dernière si tu en décides ainsi, mais avoue que ce serait dommage.— Le plaisir anal est vraiment addictif et je ne peux pas m’arrêter en si bon chemin. Pour l’instant, tu seras le seul à y accéder. Considère qu’il t’appartient.— Ce sera avec le plus grand plaisir. D’ailleurs, je veux que tu saches que ton anus m’a procuré le même plaisir que quand j’ai dépucelé celui de ton fils. Son cul aussi m’appartient. Je ne perds pas une occasion d’élargir ses horizons et lui les miens. Ce serait génial une petite soirée entre mecs. J’aimerais offrir à ton fils une double pénétration anale comme cadeau de mariage.
François en est resté bouche bée, mais je savais que l’idée allait faire son chemin.
— N’oublie pas qu’on est quatre plus le chien à la maison. Ça en fait des trous à remplir et ça nous promet de belles soirées en perspective...— Vous formez une famille merveilleuse. Partagez votre bonheur avec nous et nous partagerons tout ce que nous avons...
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