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Amoureuse de ma famille

Chapitre 6

Un partenaire de branlette

Divers
Un an après notre week-end chez Paul, les choses ont bien changé. Tonton a pris un mi-temps au ministère et il passe tous ses après-midi au domaine qu’il parcourt avec son 4x4. Il a fait connaissance de la famille qui exploite les terres. Il a renégocié le prix de la viande vendue aux bouchers locaux et pour le lait, il va monter une petite fromagerie pour redonner une plus-value au lait qui était bradé et au passage créera deux emplois dont le coût sera largement compensé par les bénéfices grâce aux aides à l’emploi. Pour la partie forêt, il a mis la main sur une cinquantaine de chênes centenaires coupés il y a dix et qui valent une fortune. Tout cela, ajouté aux aides de la PAC et les actions de chasse, fait que le domaine sera bénéficiaire dès cet année. Paul et Monique en sont les propriétaires et tonton aura droit à un bonus. Bref, il a touché le jack-pot.
Nous vivons en semaine à la maison et passons les week-ends au château. Paul et moi rentrons une fois par mois et nos promenades avec Isa sont l’occasion de sacrées parties de baise.
J’avais raconté à tonton cette vision la première fois d’un type en train de se palucher à poil au bord du lac. Récemment, il m’a dit qu’il avait sa petite idée. Quelqu’un qui se balade dans le domaine c’est parce qu’il y vit et donc, ça ne peut être que le fils des métayers et qu’il en aurait le coeur net. Il suffirait d’aller chez eux mais tonton, en bon pêcheur, voulait attirer le poisson pour mieux le ferrer.
Un jour, profitant de la pause déjeuner, il partit manger son sandwich près du lac. Il faisait beau et même un peu chaud. Il en profita pour se déshabiller et s’allonger sur le capot du Range Rover et il commença à se branler tranquillement. Si le promeneur solitaire trainait dans le coin, il le verrait bien. L’attente ne fut pas longue et sur la berge d’en face apparut la silhouette d’un jeune garçon d’une vingtaine d’années environ et qui lui aussi se paluchait allègrement. Tonton lui fit un signe de la main tout en continuant sa gymnastique et ce salut lui fut rendu d’une façon presque enfantine. Malheureusement, il disparut aussi vite qu’il était apparu! Le lendemain, tonton était de retour, à nouveau dans son plus simple appareil et jouant du poignet. Là encore, son partenaire de branlette ne fut pas long à se manifester. Il était à présent à quelques mètres de la voiture, l’air un peu méfiant et à la fois curieux de savoir ce qu’il faisait là. Il lui demanda : — Tu sais qui je suis ?— Oui, je t’ai déjà vu dans la ferme avec mes parents.— Tu viens souvent ici ?— Oui! Comme ça mon père me laisse tranquille.— Pourquoi? Il veut te faire travailler?— Non, il dit qu’il veut que je le suce. Il dit que s’il m’attrape, il va m’enculer!
Tonton fut choqué par ce qu’il venait d’entendre même si sur le coup, il ne dit rien. Il règlerait ce problème plus tard! En se quittant, le garçon lui demanda s’il reviendrait le lendemain et tonton lui lança un sourire en faisant oui de la tête.
Tonton est revenu le lendemain mais cette fois, il était accompagné par Paul qui n’avait pas cours ce jour-là et qui n’avait pas résisté à la tentation. Ils étaient là tous les deux, au bord de l’eau, à se branler mutuellement. Le petit bonhomme les observait à distance respectable, piqué par la curiosité de savoir qui était ce nouvel intrus qui s’entendait à merveille avec tonton.
Paul savait que pour l’attirer, il devait lui montrer qu’il aimait, lui aussi, jouer avec sa bite. Il se touchait d’une main et de l’autre, il branlait tonton qui appréciait ce petit jeu. Le petit voyeur ne tarda pas à s’approcher et Paul lui dit : — Tu as vu sa bite comme elle est grande! Tu veux la voir de près? Il vint se placer derrière Paul qui se mit à genoux devant tonton et il accéléra son mouvement de poignet. La queue qu’il tenait en main se mit à grossir et s’allongea. Le petit fixait des yeux cette belle érection et lorsque Paul se décida à le prendre en bouche, lui aussi se mit à genoux. La scène à laquelle il assistait le laissait pantois.
Puis tonton dit à Paul d’arrêter sa caresse buccale et lui demanda de rester avec l’invité pour faire plus ample connaissance. Il pensait qu’entre personnes du même âge, les choses se passeraient bien et que ce serait pour Paul l’occasion de se faire un nouvel ami. Tonton resta dans la voiture observant les deux mignons qui se regardaient. Il vit le jeune garçon poser sa main sur le sexe de Paul et il commença à le branler délicatement. C’était pour lui une expérience nouvelle et il ne fallait pas le braquer en voulant aller trop vite. Puis ce fut au tour de Paul de lui rendre la pareille et il prit son sexe et le branla avec une certaine énergie. Son partenaire leva la tête et ferma les yeux, signe qu’il aimait les caresses qu’il recevait. Son souffle s’accéléra et il poussa un râle de plaisir en éjaculant sa semence qui tomba sur la terre humide de la berge. Paul le serra dans ses bras et l’embrassa sur la bouche. J’espère qu’il ne tardera pas à me le présenter et une promenade à quatre ne serait pas pour me déplaire…
Quelques jours plus tard, tonton est passé à la ferme pour régler la vente de quelques bêtes. Il en profita pour prendre à part Lucien, le père et il le fit monter dans le Range et ils se dirigèrent vers le lac. Il semblait étonné et le regard contrarié. Arrivés au bord de l’eau, ils descendirent et le père demanda :— Il y a un problème?
— Oui, et un gros! Il parait que tu essaies de mettre la main sur le petit. Tu crois que tu peux abuser comme ça de ton fils?— Il est adopté. Il refuse toujours de m’obéir et il faut juste le dresser un peu …— Ah d’accord! Et bien maintenant, c’est toi que je vais dresser, comme tu dis si bien. Fous-toi à poil!
Lucien semblait interloqué par cette demande inattendue.— Ça va pas, non!— Si tu veux continuer à vivre au domaine, je te conseille de faire ce que je t’ai demandé.
Il savait parfaitement pourquoi tonton le lui demandait et ce qu’il risquait si ses turpitudes arrivaient aux oreilles des gendarmes. Il n’avait pas vraiment le choix. Il se déshabilla sans trop savoir quelle serait sa punition. — A genoux, lui ordonna tonton. Maintenant, c’est toi qui va me sucer. Tu vois, tu n’es pas le seul à aimer cela!
Il le prit par les cheveux et approcha son sexe de sa bouche et sans lui laisser le temps de l’ouvrir, il força le passage et s’enfonça dans sa gorge et en ressortit de suite, ce qui le fit tousser et cracher sa salive.— Vas-y, montre-moi tes talents de suceur de bite. Comment tu la trouves?— Elle est bonne, répondit-il pour ne pas le fâcher.— Alors applique-toi bien et lèche-la avec douceur, je veux que tu la sentes glisser dans ta gorge. Je veux que tu apprennes à être très obéissant et tu viendras ici chaque fois que je te le demanderai. C’est compris?— Oui, je ferai tout ce que vous me direz mais laissez-moi rester au domaine, c’est ici que je suis né.— Je verrai. Autre chose, ne touche plus jamais au petit. Il viendra avec moi et je trouverai de quoi l’occuper. Allez, prends ce tube de gel et prépare ton fion avec un doigt. Tu voulais l’enfiler aussi, alors tu vas voir ce que c’est de se prendre un bon suppositoire!
Appuyé contre le capot, Lucien se préparait à recevoir le morceau qui sortait de sa bouche et lorsqu’il se présenta, à l’abri dans sa capote, il rentra au pas de charge et se fraya un chemin dans son boyau. Il se faisait secouer sans ménagement et ses grimaces le montraient bien.— Alors, c’est bon de se faire ramoner? Je suis sûr que tu aimes ça!Tonton accéléra le rythme et il sentit que sa lave blanche allait commencer à s’ecouler. Cinq longs jets suffirent à lui vider les couilles et il battit en retraite et retourna dans sa bouche se faire nettoyer.
— Lèche bien, je veux que ce soit propre. Tu vas retirer la capote et avaler mon jus, ça effacera le mauvais goût que tu dois avoir en bouche!
Une fois son affaire faite, tonton est reparti en le laissant rentrer seul à pied. De toute façon, il ne risquait pas de se perdre.— Pense à tout ce que je t’ai dit et quand je t’appellerai, tu viendras immédiatement!— Oui, oui, je ferai tout ce que vous me direz, c’est promis!
Je crois qu’il a bien compris la leçon. En chemin, il a croisé Luc qui était allé aux champignons. A son regard, il a tout de suite compris qu’il avait assisté à la punition et il le remercia en se jetant dans ses bras. Il le raccompagna à la ferme et en repartant, il lui dit :— Luc, tu oublies ton panier.— C’est pour toi, cadeau!
Tonton lui répondit par un pouce tendu. Le panier contenait des cèpes et des trompettes qui faisaient leur apparition en cette fin d’été. Rien ne pouvait lui faire plus plaisir. A présent, Luc l’accompagne souvent dans ses déplacements sur le domaine et il se fait au passage un peu d’argent de poche ainsi que quelques pauses-branlette. Il lui a également avoué que Paul vient le voir de temps en temps et qu’il lui a fait découvrir le sport anal. Ça lui a plu et il a confessé qu’il aimerait bien inviter tonton et ainsi agrémenter les sessions de branlette de quelques bonnes enculades. Je sens qu’il promet et je suis certaine qu’Isa saura lui apprendre le plaisir au féminin.
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