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Amoureuse de ma famille

Chapitre 7

Mon stage

Divers
— le    stage
 Début février, j’ai démarré mon stage dans la boite de François et ce, pour six mois. Cela signifie que je n’aurai droit qu’à deux semaines de congés et surtout pas en août car il est réservé à Violaine Lanthier, laDRH. J’ai atterri dans son service et je veux en profiter pour apprendre un maximum de choses à ses côtés. Lorsque nous serons seules, la secrétaire et moi, je pourrai même prendre quelques responsabilités.
Lundi matin à 8h30, je suis à mon poste et me retrouve dans le bureau de François qui me rassure en me disant que tout ira bien et que c’est une excellente occasion de mettre un pied dans la place et de comprendre le fonctionnement de l’entreprise. J’ai droit à une petite visite guidée qui se termine dans le bureau de Melle Lanthier, 46 ans. C’est une belle femme, 1m68 et légèrement enrobée, le teint clair et la chevelure brune. Elle a le regard pénétrant d’une femme sûre d’elle. La robe noire et élégante qu’elle porte, associée à un gilet gris et un petit foulard de couleur distingué, lui confère un air vraiment chic que ne gâche en rien une paire d’escarpins de marque. Je remarque surtout les bijoux : montre, bracelet, collier et autres boucles d’oreilles. C’est sûr, elle en jette et je comprends que ses collègues masculins se bousculent au portillon....
Elle m’accueille avec avec un sourire contenu et durant cette première matinée, elle m’explique le fonctionnement de son service, l’archivage des dossiers. Je comprends aussi que le fait de trouver un café bien chaud sur son bureau quand elle arrivera le matin sera très apprécié. A midi, elle m’invite à déjeuner au restaurant. Je lui raconte mon parcours étudiant et elle son goût pour le luxe, chose que lui autorise son salaire. J’ai le sentiment que je lui plait bien et qu’elle ne me traitera pas comme une gourde.
Les mois passent et j’apprends vite avec elle car elle est très pro. J’anticipe ses demandes en prenant de petites initiatives. Elle apprécie beaucoup car je lui fait gagner un temps non négligeable. Le jour de mon anniversaire, elle me demande de l’accompagner faire du shopping. Nous arrivons dans un magasin de lingerie fine qu’elle semble visiter souvent car la vendeuse l’appelle par son prénom.
    - Bonjour Violaine, tu viens admirer les nouvelles collections?    - Tout à fait, répond-elle, mais aujourd’hui c’est pour ma stagiaire que je suis là.
Je deviens toute rouge et lui explique que je ne peux pas me permettre ce genre de caprice.
    - Ne t’inquiète pas Sophie, pour le passage en caisse,  j’en fais mon affaire! Maintenant , suis-moi jusqu’au salon d’essayage.
Là, elle m’annonce que je vais devoir me déshabiller. Je ne suis pas préparée à ça mais, vu la situation, c’est assez logique. Elle m’aide à retirer mon soutien-gorge et je me charge de faire tomber ma petite culotte en coton. Son sourire en dit long.
— Tu en as de la chance, les tiens tiennent tout seul, dit-elle en prenant mes seins dans ses mains. Je ne dis rien et fais celle qui feint de ne pas être surprise. Puis la vendeuse arrive avec plusieurs tenues toutes plus belles les unes que les autres. L’une ajuste mon soutien-gorge et l’autre la ficelle de mon string entre mes fesses. Elles semblent jouer du piano à quatre mains et il est évident que cela ne peut que bien finir ! Pour l’instant, je laisse faire, mon heure viendra…Toutes ces caresses font que mon miel intime commence à perler et il ne tarde pas à être recueilli par le doigt de Violaine qui effleure mes lèvres humidifiées. Elle me regarde en souriant et elle le porte à sa bouche.
— Tu es délicieuse. Laisse-moi faire, me dit-elle en écartant mon string,
Puis elle dirige sa bouche sur mon minou et sa langue chaude et humide me fait monter en température. La vendeuse me tend ses lèvres et m’embrasse avec douceur. Sa langue me remplit la bouche. J’essaie de garder le contrôle de la situation mais je sens que ça va être compliqué car je suis entre de très bonnes mains. Sa bouche quitte la mienne et c’est sur mes seins qu’elle poursuit ses caresses qui m’électrisent. Elle alterne les mouvements circulaires, me mordille les tétons qui s’érigent puis me les pince avec ses lèvres.

— Oh oui, c’est tellement bon! Encore!
Mes gémissements puis mes cris annoncent un orgasme d’une grande intensité. J’essaie de me contenir mais je finis par exploser et mon corps électrisé se contracte, ma vulve ruisselle mon jus intime sur la langue de Violaine qui savoure ces petites gorgées de plaisir liquéfié. Petit à petit, la tension retombe. Mes jambes tremblent et je peine à tenir debout, me laissant finalement tomber sur le fauteuil.
— Je te félicite, Sophie, tu as été merveilleuse, me dit Violaine en m’embrassant. Tu es une collaboratrice efficace et tes talents multiples ne sont pas pour me déplaire. Je saurai corriger certaines petites choses. Dommage que je parte en vacances la semaine prochaine. De toute façon, je bloque mon agenda du vendredi après-midi et nous resterons dans mon bureau toutes les deux pour ton planning du mois d’août…
J’arrive au bureau ce jour-là et le chemisier est suffisamment translucide pour permettre d’apprécier l’ensemble qu’elle m’a offert et ma cheffe le repère immédiatement. Elle ne me dit rien mais son sourire en dit long. Elle le souhaitait et là encore, j’ai su anticiper son désir. Tous les prétextes sont bons pour venir me voir à ma table de travail et plonger son regard sur mon chemisier échancré. Elle me souffle à l’oreille les corrections à apporter sur mon fichier Excel. Tout à coup, elle esquisse un reniflement et arrête de parler. Elle cherche à reconnaitre le parfum que je porte. J’ai profité d’un passage aux toilettes pour glisser deux doigts dansma fente humide puis venir déposer mon miel intime juste sous l’oreille comme je le fais avec mon Chanel nº 5. En quelques secondes, sa respiration change et sa langue vient confirmer ce qu’elle avait découvert quelques jours auparavant.
Elle se relève pour baisser le store mais elle ne pense pas à verrouiller la porte, pensant que personne ne viendra nous déranger. Elle revient vers moi et me retire des mains le smartphone et le pose sur son bureau. De toute façon, le SMS est envoyé et le micro activé…
    - Tu dois savoir que si j’ai accepté de te prendre avec moi, c’est pour faire de toi ma ressource humaine au service de mon seul plaisir et de mes caprices de femme. Tu es là pour satisfaire mon appétit sexuel insatiable.
Elle retire son pantalon puis fait glisser son string le long de ses cuisses jusquà ses chevilles. Je dois m’agenouiller devant elle et tenir le verre qu’elle me tend. Je devine alors qu’elle va me demander de recueillir sa miction dorée et j’approche le verre sans qu’elle me l’exige. Elle écarte ses lèvres intimes et le liquide s’écoule en un jet rapide qui remplit le verre.
    - Bois ! Une pisseuse comme toi doit boire de la pisse !
Sans me démonter, je vide le verre sans exprimer le moindre dégoût, ce qui doit l’intriguer un peu.Alors, son regard aimable change. J’ai en face de moi la vraie Violaine, dominatrice et sans état d’âme. Elle arbore le sourire prédateur de la lionne qui s’apprête à s’offrir la frêle gazelle en festin. J’en ai la confirmation quand je reçois la première gifle qui claque comme un coup de fouet et manque de me faire tomber de la chaise.
    - Mon adorable petite salope, il est temps que tu deviennes mon jouet, ma petite chienne. Tu vois cet adorable plug, c’est dans ton petit cul qu’il va finir !
Je suis maintenant allongée sur son bureau, les jambes relevées pour lui offrir mon intimité sur le point d’être malmenée. Il entre d’abord dans mon petit nid d’amour qui est suffisamment humide pour le recevoir sans douleur. La sensation du métal froid m’est désagréable mais elle s’estompe vite. Cela ne m’empêche pas d’exprimer ma douleur :
— Arrête, tu me fais mal. Nooon, je ne veux pas !    - Personne ne croit à ton cinéma, tu n’es qu’une petite pisseuse !    Il en sort presqu’aussitôt pour être pointé sur mon anus qu’elle perfore sans aucune retenue.
    - Non, pas dans mon cul, tu me déchires !
Mes yeux sont en larmes mais cela ne l’attendrit en rien. Elle semble ivre de lubricité en maltraitant mon oeillet pourtant plus souple qu’il n’y paraît. Je dois même contracter mon sphincter pour qu’il oppose plus de résistance.
    - Quel plaisir de violer ton petit trou encore vierge. Je veux que tu gardes un souvenir inoubliable de ce si beau moment. Te voir pleurer m’excite encore plus, dit-elle en me lançant une nouvelle gifle qui me laisse la joue toute rouge.    Elle passe trois doigts dans sa chatte qui coule comme une fontaine et dont elle recueille le jus poisseux puis elle me les fourre dans la bouche.
    - Lèche, m’ordonne-t-elle. Je laisse sa mouille glisser dans ma gorge. Elle est délicieuse mais je dois simuler un haut-le-coeur pour rester    crédible. Quel pied de la voir si sûre d’elle! Son rire éclatant est à la hauteur de son sentiment d’impunité.
Et pourtant, son visage se glace en une seconde, le temps pour François, mon patron et futur beau-père, de franchir la porte restée négligeamment ouverte. Il devient rouge de colère en voyant la scène qui se déroule sous ses yeux : moi quasiment nue, le visage rouge et larmoyant. Et puis il y a cet objet enfoncé dans mon anus.
    - LANTHIER !!!! Vous êtes devenue folle ? Qu’est-ce qui vous prend de violer une stagiaire dans votre propre bureau? Prenez vos affaires et    allez vous rhabiller ailleurs ! Passez dans mon bureau quand vous serez présentable.
Le ciel vient de lui tomber sur la tête et elle commence à réaliser qu’elle vient de mettre un terme à son parcours dans l’entreprise. Elle bredouille un semblant d’excuses qui lui reste dans la gorge et court se cacher dans les toilettes.
Une fois Violaine sortie du bureau, le patron redevient François, celui que nous aimons tous à la maison. Je récupère mon téléphone pour envoyer l’enregistrement audio que mon tonton adoré attend avec impatience. Enfin, je me jette dans les bras de François qui m’embrasse. Ses mains glissent sur mon dos et viennent se poser sur mes fesses et ses doigts entrent en contact avec le bijou anal. Il me dit :
    - Tu sais, tu peux le retirer maintenant.    - Un jouet comme celui-là en or et platine, serti de jolis petits brillants, ça ne court pas les fions. J’y tiens et je veux le garder bien au chaud.    Il me fait du bien... Le plaisir en suppositoire en quelque sorte!
    - Bravo ma puce, tu en as du caractère. Lorsque tu m’as fait part de ton plan, j’ai un peu tiqué car la Violaine, c’est une sacré garce et moi-même    je n’ai pas réussi à la prendre en défaut. Je t’en dois une même si je crains le pire quant au prix que ça va me coûter.... Je ne dis rien et me rhabille.
Puis François m’interpelle :
    - Rejoins-moi dans mon bureau qu’on puisse accorder nos violons avant que Lanthier arrive.    - Je te rejoins, le temps d’effacer ces traces de souillure et de me repoudrer le nez.
Whaou !! Ça aété chaud mais j’ai bien tenu le coup et suis plutôt fière de moi. J’ai même le temps de lire le message de tonton qui me félicite pour ce « coup de maitresse ». Une fois dans son bureau, nous nous mettons d’accord sur la version des faits à présenter puis elle arrive, le rimmel emporté par un torrent de larmes, brisée, vaincue. Face au rapport accablant qu’égrène François,elle n’a aucune objection à présenter et lorsqu’il évoque de possibles conséquences pénales, elle s’écroule.
    - Non, pas ça ! Je ferai tout ce que vous voulez mais pas ça ! Supplie-t-elle.    - Je veux votre lettre de démission pour demain avec reconnaissance des faits. N’oubliez pas que tout a été enregistré !
Le lendemain, un coursier vient déposer la lettre de démission dûment signée. Reste à négocier un accord à l’amiable sur les indemnités de réparation que je recevrai. De toute façon, elle n’est pas en mesure de négocier quoi que ce soit.
Une semaine plus tard, le rendez-vous est donné sur le parking du personnel où l’attend un chauffeur qui devra la mener jusqu’au lac où tonton a prévu un grand pique-nique. Il est convenu qu’elle voyagera les yeux bandés, des écouteurs et sans téléphone pour éviter tout repérage visuel, sonore ou par géolocalisation. La voiture roule pendant trois heures alors que nous nous trouvons à vingt minutes d’ici. Lorsqu’elle arrive, nous sommes tous là, la famille au grand complet. Elle est visiblement perturbée de voir tout ce monde. Nous voir tous à poil la surprend davantage et lui donne une petite idée de ce qui l’attend.Pour commencer, le chauffeur vient déposer deux magnifiques sacs Vuitton. Le premier contient tous ses bijoux et montres. Chaque pièce est numérotée avec ticket de caisse et le certificat d’authenticité. Il y en a pour près de deux kilos d’or ! L’autre contient 250 000 € en petites coupures.
    - Voilà, dit-elle, c’est tout ce que j’ai, lance-t-elle d’un ton laconique.
Puis elle se dirige vers moi et s’agenouille.
    - Pardonne-moi pour tout le mal que je t’ai fait. Je mérite ce qui m’arrive. J’accepte la punition que vous voudrez me faire subir.
Puis elle me tend un jeu de clés qui est celui d’une voiture, un Range Rover Sport 5.0 flambant neuf.
    - Tu la trouveras sur le parking. Les papiers sont à mon nom mais je prends en charge tous les frais, assurance, entretien et réparations.
Enfin, elle demande à pouvoir soulager sa vessie et s’hydrater. Qu’à cela ne tienne, je lui tend la gamelle d’eau de Poutchi. Le puissant jet de pisse qu’elle lâche ne tarde pas à la remplir.
    - Maintenant, désaltère-toi, lui dis-je en lui montrant l’écuelle.                Elle veut croire que c’est une blague mais elle comprend vite que je ne suis pas d’humeur à plaisanter. Elle réalise aussi que je ne fais que lui    rendre la pareille, ce qui est de bonne guerre. Elle se met à quatre pattes et se met à boire son urine encore chaude. Elle a intérêt à aimer car elle ne boira que ça...
Elle se relève et je prends le temps de lui lécher les quelques gouttes qui coulent de son menton. Je veux aussi qu’elle sache que tout cela n’est pas une affaire personnelle mais une stratégie d’entreprise. Elle acquiesce du regard car elle aussi a brisé plus d’une carrière au nom de ce principe.
Pour commencer cette belle journée d’août, nous allons faire trempette dans l’eau fraiche de l’étang pour nous rafraichir puis nous mettons à table. Violaine doit rester sous la table pour nous servir d’urinoir. Pour son repas, elle partage la pâtée du chien.
La sieste qui suit le repas se révèle plutôt crapuleuse, comme c’était à prévoir. Notre esclave d’un jour nous sert de vide-couilles en offrant ses orifices à qui le veut. Mon Paul a envie d’une fellation. Elle prend en bouche la moitié de son sexe mais il en veut plus et pilonne sa gorge jusqu’à la luette. Elle a du mal à respirer entre deux apnées et peut à peine crier la douleur qu’il lui inflige en lui pinçant fortement le bout des seins. Paul sent qu’il va exploser et c’est dans sa gorge qu’il se répand en de longues saccades. Il se retire et je me dévoue pour lui nettoyer le sexe maculé de sperme et de salive pendant que Violaine reprend son souffle.
Puis maman prend le relais pour se faire brouter le minou. La langue experte qui va et vient sur sa fente la fait monter en température. Elle mouille abondamment et commence à geindre de plaisir en sentant deux doigts venir fouiller son intérieur. Son corps se tend sous les caresses internes qui l’électrisent. François s’approche alors pour recueillir ce foutre avec deux doigts et il entame un massage circulaire de son oeillet. Maman lui tend sa croupe et reçoit avec plaisir ce toucher rectal. Elle glousse comme une dinde et lâche enfin un orgasme sonore qu’elle ne peut plus réprimer.
C’est au tour de François et tonton qui optent pour un double vaginal. Violaine vient s’empaler sur François qui entre en elle comme dans du beurre. Elle va et vient en coulissant sur sa tige. Tonton, lui, se place derrière elle et se fraye un passage avec son bel engin. Elle semble se détendre et son visage devient plus expressif malgré les risques qui pèsent sur elle. Une condamnation pour viol lui ferait passer quelques années à l’ombre. Elle sait que le moindre faux-pas lui serait fatal. En attendant, mes deux hommes alternent leurs mouvements de bassin et notre invitée savoure les deux beaux morceaux, bien au chaud dans sa grotte humide. Sa respiration s’accélère et retrouve cette sensation de plaisir jouissif et intense qui l’a toujours habitée. Paul, quant à lui, prépare le deuxième acte en lubrifiant la voie étroite à deux doigts. Elle sait que tout cela va finir par bel orgasme comme elle les aime.
-Aaah ouiiii !Vos belles bites me font un bien fou, j’avais vraiment besoin de me sentir remplie.
François et tonton accélèrent la cadence et ne tardent pas à décharger leur foutre qui remplit son vagin bien dilaté. François, lui, sort et se vide dans sa bouche bientôt pleine. Elle veut garder en elle cette semence chaude et m’invite à me glisser entre ses jambes pour déguster ce nectar à la source. C’est un détail que j’apprécie, d’autant plus que c’est celui de l’homme que j’aime le plus!
C’est au tour d’Isa de prendre l’initiative. Elle veut sa part elle aussi et avec sa finesse habituelle et sa dextérité, elle parvient à glisser sa main dans l’antre de Violaine et lui arrache des petits cris de jouissance. Elle en ressort couverte de sperme et de fluides qu’elle se met à lécher jusqu’à la dernière goutte.
    - Je suis sûre que tu vas apprécier la surprise que je te réserve. Viens là mon toutou que je te présente ta chienne.
La pauvre ne veut pas croire ce qui l’attend. Isa commençe à caresser le fourreau de Poutchi et son membre rose et luisant pointe d’abord sur une dizaine de centimètre. Elle demande à Violaine d’approcher son visage puis elle le prend en main, le hume et finit par le prendre en bouche. C’est une sensation complètement nouvelle et l’odeur de la bite animale ne la rebute pas. Je dirais même qu’elle y prend goût. Entre temps, le vit canin a presque doublé de taille  mais elle peut l’avaler en entier suite au traitement infligé par Paul à sa gorge.
De son sexe s’écoule un liquide clair en jet continu. Elle se relève, se positionne à quatre pattes et lui tend son fessier. Le chien s’empresse d’aller laper son intimité. Les caresses de sa langue râpeuse font merveille et lui arrachent des soupirs d’extase. Peu d’hommes ont pu lui donner autant de plaisir et les muscles de son corps électrisé se tétanisent. Elle s’affale sur le sol en maintenant son cul en hauteur pour recevoir la saillie qu’elle désire maintenant. Poutchi, qui montre son impatience, sautille sur place. Il monte sa partenaire et son dard vient butter contre ses fesses mais il trouve rapidement la voie étroite de sa femelle. Il vient de s’introduire en elle comme un missile dans son boyau. La douleur est intense car son sphincter semble explosé par l’impact. Son anus endolori encaisse les coups de boutoir de l’animal qui stoppe son pilonnage, le temps que la boule se forme. Il est maintenant soudé à sa femelle qu’il inonde de son sperme. Violaine comprend que son fion vient d’exploser en vol et laisse échapper quelques larmes. Elle pleure, elle souffre, mais elle jouit du cul comme jamais, ivre de plaisir comme jamais. Elle se demande comment elle a pu passer à côté d’une telle source de jouissance et de bonheur.
Un bruit de succion vient signaler la débandade et Poutchi se retire, laissant couler une rivière de semence canine. Comme toujours avec Isa, elle prend soin de recueillir ce nectar pour l’offrir à notre invitée. Elle s’éxécute sans rechigner et laisse couler le breuvage qu’elle trouve pourtant répugnant. Le visage de Violaine ne peut masquer la douleur qui l’assaille et elle porte sa main pour constater qu’un cratère a remplacé son adorable petit fion. Isa veut elle-même constater les dégats et sa main est attirée comme un aimant vers ce trou fumant. Elle y enfonce une main puis l’autre avec une habileté diabolique et Violaine veut hurler sa douleur mais rien ne sort de sa bouche. On dirait même qu’elle n’en a plus la force. Elle veut se relever mais elle tient à peine debout.
Nous nous réunissons tous autour d’elle pour la remercier et la féliciter d’avoir été à la hauteur d’un tel défi. Tonton la prend dans ses bras et lui offre son épaule où elle pose sa tête puis lui tend ses lèvres qui se joignent en un long baiser langoureux et presque amoureux. Décidément, il a le chic pour se faire aimer de tous. Je lui dit :
    - Tu vas maintenant démarrer une nouvelle vie. N’oublie jamais le moment que tu viens de vivre et j’espère de tout coeur qu’on se reverra....    - Merci ma chérie,  je comprends maintenant pourquoi tu es si amoureuse de ta famille. J’aimerais tellement en faire partie !
Et mon tontond’ajouter.
    - Le destin est capricieux et il y a dorénavant quelque chose de nous en toi...
Je trouve son propos surprenant. Blottie contre lui, je sens sa main caresser mon ventre en d’agréables mouvements circulaires. Je retourne et il me regarde avec un sourire plutôt énigmatique. Je n’ose y croire...
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