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en amoureux

Chapitre 1

trajet aller

Hétéro
Je ne sais trouver les mots pour vous rapporter dans toute son intensité ce moment de pur plaisir que je viens de passer. Je vais néanmoins tenter de vous le transcrire afin de vous le faire partager car l’amour est partage.
Nous avons décidé, ma femme et moi, de passer quelques jours seuls en amoureux en laissant les enfants à ma mère. Avec les mesures de confinement et autre, cela fait un sacré bout de temps que nous ne nous sommes pas retrouvés seuls sans les enfants.
Couple de la quarantaine, nous sommes amoureux comme au premier jour. Ma femme est magnifique. Les cheveux longs, des formes là où il faut, une belle poitrine en 90b et un postérieur à damner un saint. Personnellement, je suis classique, encore mince et un peu musclé, je me maintiens en forme. C’est dans l’arrière-pays niçois que notre choix s’est porté, dans un airbnb d’un petit village de montagne, calme. Nous adorons la nature et la marche.Les enfants déposés, nous voilà partis. Pour l’occasion, j’ai demandé à ma femme de mettre une robe d’été et de la relever avant de s’asseoir et, bien entendu, de ne pas mettre de soutif. Elle a accepté mon idée car elle aime me faire plaisir, mais je remarque une certaine gêne malgré tout. Je passe outre, je ne l’ai pas forcé, j’accepte son cadeau avec plaisir et une certaine excitation.
C’est moi qui conduit. L’autoroute est tranquille, je peux mater ses formes, passant de temps en temps la main dans son corsage. Sa robe est relevée jusqu’à la lisière de son string. Ses tétons pointent, la situation ne la laisse pas indifférente. Elle baisse le dossier du siège pour mieux ouvrir les jambes et me sentir. Je suis obligé du coup d’abandonner le haut, trop loin de ma main et de me concentrer sur son bas ventre. Ma main passe et repasse, appuyant sur son mont Vénus ou effleurant son sillon à travers les tissus. J’entends son souffle s’accélérer un peu et les mouvements de ses jambes m’indiquent qu’elle apprécie ces caresses.
Après quelques minutes, elle se redresse brusquement et se jette sur ma braguette, qu’elle ouvre, sort mon sexe et le prend dans sa bouche. La conduite devient dangereuse, je ralentis, me rabats sur la file de droite et maintient le régulateur de vitesse à 80km/h.
Je sens sa langue tourner autour du gland, puis sa bouche s’enfoncer le plus loin possible malgré l’inconfort de la position. Un régal. Je veux la stopper car je dois dépasser un camion mais elle m’en empêche. Tant pis. Je dépasse lentement le camion. Je pense que l’allure de mon véhicule aura intrigué le chauffeur qui doit regarder à sa fenêtre. Que voit-il ? Je me le demande. Au moins le string de ma femme, peut être même peut-il la voir me sucer. Cette situation fait monter mon jus à grande vitesse alors je lui demande d’arrêter sous peine de tout avaler.
Comme elle veut jouer encore, elle m’obéit et se redresse. Elle se rend compte alors de la présence du camion à sa droite et de peur, essaie de cacher son string en criant.Je rigole et accélère. Derrière nous, le chauffeur klaxonne, comme pour nous remercier du spectacle. Madame boude un peu. Elle n’aime pas ne pas contrôler, ne pas tout savoir avant, ne pas avoir pu donner son avis. Mais mon doigt se faufile dans son string et caresse une vulve bien ouverte et trempée. Cela la calme rapidement car, au fond, ce n’était pas grand-chose. Bien chauffée par mes caresses, la pipe et maintenant mon doigté, elle abandonne toute retenue, enlève son string, pose le pied droit sur la tablette et prend mon doigt pour se masturber avec.
La situation est d’une chaleur volcanique. J’ai envie de m’arrêter, de la jeter sur le capot de la voiture et de la prendre, bestialement. Alors comme ce n’est que le début du voyage et que j’aime beaucoup torturer ma femme, je mets le clignotant sans la prévenir et engage la voiture dans la sortie pour la station d’essence. Affolée, elle m’engueule, se redresse et tente de se rhabiller vaille que vaille. Je m’arrête déjà devant la boutique qu’elle n’a pas encore pu remettre son string. Je lui dis alors d’aller dans le magasin ainsi, nue sous sa robe et de m’acheter un coca. Elle refuse tout d’abord, puis finit par accepter et sort de la voiture.
Qu’elle est belle. Ses seins libres donnent envie d’être caressés. Je suis sûr qu’elle n’a pas pensé qu’ils vont se dresser sous l’action de la climatisation et attirer l’attention des mâles. S’ils savaient qu’en plus elle n’a pas de culotte..... Je ne suis pas candauliste. Je ne fantasme pas de l’imaginer se faire prendre dans les toilettes. Mais savoir que ma douce va involontairement faire rêver des hommes alors que c’est à moi qu’elle se donne satisfait assez mon ego.
— Pfff, fait-elle en revenant dans la voiture, qu’est-ce que tu ne me fais pas faire ! Et moi qui t’obéis. J’étais gênée, j’avais les tétons qui pointaient en plus. On ne voyait que cela. Le caissier m’a regardé droit dans les seins tellement il était hypnotisé. Merci ! Merci !
Je rigole doucement et nous voilà repartis. La voiture n’est pas arrivée sur l’autoroute que ma femme a déjà relevé sa robe, écarté les jambes.
— Fais-toi pardonner, caresse-moi encore, me dit-elle en prenant ma main et la posant sur sa vulve.
Je ne me fais pas prier. Mon doigt se balade pour ouvrir les portes des lèvres et passer du clito au vagin. Je constate que, loin d’être asséché suite à l’interruption, au froid et au passage dans la boutique, cet endroit est ouvert, glissant.
— Tu as tant détesté la situation que cela ? Je lui pose la question d’un petit air mi-innocent, mi-narquois.
Elle ne me répond pas, remet le siège en arrière, tient ma main pour ne pas qu’elle s’arrête et ferme les yeux. J’ai envie de profiter encore de la situation et de voir si, comme il est dit dans les textes érotiques, le chauffeur du poids lourd aurait une vue plongeante sur la chatte de ma femme. J’aperçois au loin un camion et commence à ralentir doucement tout en continuant mes caresses. La voiture est maintenant à la hauteur de la cabine. Pour ne pas prendre ma femme totalement en traître, je lui dis d’ouvrir les yeux. Elle voit alors le camion, tente de se redresser puis se laisse aller. Elle comprend que c’est un jeu que j’ai envie de découvrir et n’y voit pas d’inconvénient. Elle referme les yeux et se laisse aller sous mes caresses, sous les regards momentanés de cet inconnu.
Le dépassement se termine. J’ai pu vérifier la validité de cette information et les klaxons du camion indiquent que le spectacle était intéressant. Le trajet continue et mes caresses aussi. Je pense que ce tourment sans orgasme va finir par agacer et frustrer ma femme. Que faire. Arrêter mes mouvements et laisser tout le monde se calmer ? Je suis bouillonnant moi. Non, je décide de stopper à nouveau sur une aire d’autoroute, sans station d’essence. Je m’engage dans la bretelle d’accès. Ma femme ouvre les yeux du coup et se redresse pour voir où je vais. Je m’arrête, sors de la voiture.
— Arrêt pipi lui dis-je.— Cela tombe bien, j’y vais aussi répondit-elle.
Je vais vite côté homme et, une fois là, regarde autour de moi s’il y a du monde. En cette fin de vacances, l n’y a pas grand monde. Je vais vers les toilettes des dames et attends sa sortie. La porte s’ouvre, je la repousse tout en lui disant que c’est moi, pour qu’elle ne hurle pas au viol lol.Je ferme à clef, la retourne, mes mains sur les toilettes, soulève sa robe et plonge mon dard en elle. Et oui, cette coquine n’a toujours pas remis son string. Hummmm, c’est accueillant, ouvert, chaud, glissant. L’heure n’est pas à la tendresse. Mes mains sur ses hanches, je la besogne assez profondément. Ces seins libres bougent au rythme des coups et elle tente de taire ses gémissements comme elle peut.
Mes mouvements s’accélèrent, j’ai envie de jouir. Sauf que madame n’est pas d’accord et arrive à passer un pied entre nous pour me repousser. Elle se redresse, me saisit par le tshirt et me force à m’asseoir sur le trône pour s’empaler sur moi et reprenne cette gigue endiablée, mais à son rythme et selon ses préférences car elle a besoin d’un orgasme après avoir tant été chauffée.
Elle monte et descend sur mon vit. C’est plus une caresse, profonde, le clitoris se frottant contre moi. Et je vois l’orgasme se former peu à peu. Son souffle change, ses gémissements s’intensifient, ses mouvements perdent de leur régularité.
Pendant ce temps je profite de la position pour la caresser, triturer ses seins, la mordre, pincer ses tétons. Je mets deux doigts dans sa bouche qu’elle suce avec ardeur comme si c‘était une vraie bite.
Et voilà, elle explose, silencieusement mais intensément. Ses mouvements s’arrêtent. Il suffirait de pas grand-chose pour lancer l’orgasme suivant. Je contracte simplement mon sexe. L’afflux de sang fait légèrement gonfler mon sexe, les conséquences m’étonnent à chaque fois. Elle frissonne, se mord la lèvre et recommence à bouger.
Mais comme nous devons repartir et que la situation n’est pas vraiment glamour, elle se relève, rabat sa robe et va pour ouvrir la porte.
— Ben et moi ? Je n’ai pas le droit de jouir ?— Non mon chéri, c’est pour te punir d’avoir eu ces idées saugrenues. Répondit-elle avec un grand sourire.— Et puis, je veux moi aussi te torturer longuement à notre arrivée.
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