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en amoureux

Chapitre 2

découverte de la maison

Hétéro
Nous voici enfin arrivés. J’étais au bord de la jouissance dans ces toilettes. j’ai accepté de ne pas lâcher la sauce tout à l’heure. Retarder l’échéance n’en fait que décupler le plaisir. Néanmoins, le feu couve dans mon boxer. J’ai passé le reste du voyage à imaginer ce que j’allais lui faire.Me venger en lui sautant dessus, la prenant à la hussarde, éjaculant en quelques mouvements et la laissant en plan, frustrée et languissante ? Non, cela ne serait pas un bon orgasme. Et si je veux qu’elle soit ouverte à mes désirs, je n’ai pas intérêt à la mécontenter. On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre.Lui faire des préliminaires pendant un long moment jusqu’à ce qu’elle me supplie de la pénétrer ? Hum oui l’idée me plait mais ce n’est pas encore assez. Ça y est, j’ai trouvé……
Nous descendons les valises, nous dégourdissons les jambes et respirons tranquillement l’air de la montagne. La maison est en au du village. Un balcon le surplombe et offre une vue imprenable sur les montagnes. Il fait beau mais l’altitude rend la température agréable, pas trop chaude. A l’intérieur, il y a un étage, avec un bel escalier en bois pour accéder aux chambres. Chaque chambre a elle aussi un petit balcon donnant sur la montagne. Ma femme visite toute la maison. Elle n’a toujours pas remis son string et cela ne semble plus la déranger. Je la suis comme un toutou, en chaleur, et ne rate pas une occasion de la peloter, de la caresser. La savoir nue, aussi offerte m’excite énormément.
— J’ai envie de toi, viens là !!
Elle sent cette envie et cela l’émoustille. Rieuse et joueuse, elle se dérobe à moi, m’embrassant, me mordillant, caressant mon sexe bandé avant de passer dans la pièce suivante.
— Tu es sûr d’avoir très envie ? Me dit-elle moqueuse, prouve le moi.
Je craque. Littéralement. Toute l’énergie accumulée dépasse le point de non-retour. J’enlève mon short, mes chaussures et me précipite vers elle. En criant de joie, elle tente de s’enfuir mais se retrouve acculée sur un balcon d’une chambre. J’attrape son bras, colle son corps à moi et l’embrasse avec ardeur. Cet endroit me convient bien, je vais continuer dans l’esprit du trajet.
— Tu es à moi !— Oui mon amour, prends moi, baise moi ! Me glisse t’elle à l’oreille en me la mordillant et empoignant ma verge.
Je me colle à elle, la poussant contre la rambarde. Mes mains glissent le long de ses cuisses et remontent en soulevant la robe. Si jamais quelqu’un nous voyait, il ne pourrait que deviner ce qu’il se passe. Mais c’est excitant.
Je m’accroupis devant elle et commence à embrasser ses cuisses, ses lèvres, son clitoris. Ma langue s’insinue le long de sa fente. Elle n’a aucune difficulté à prendre possession de la place car ma femme est trempée. Les lèvres sont gonflées, écartées, le clitoris est énorme et chaque petit coup de langue la fait tressaillir. Deux doigts se présentent à l’entrée de son vagin qui, grand ouvert et lubrifié, semble les aspirer en lui.
C’est lorsqu’ils commencent à masser l’intérieur, s’enfonçant jusqu’au col puis revenant en massant le point g que je sens deux mains saisir ma tête et me la maintenir contre son clitoris.
Les gémissements de ma femme deviennent audibles et lorsque se rajoute ma langue, venant masser le clito en cercles concentriques, les sons se font crecendo.
— Tu me rends folle de plaisir, continue ! Dit-elle entre deux soupirs.
Je lève les yeux vers son visage. Elle est penchée en arrière, complètement offerte, ses mains caressent mes cheveux. Elle donne l’impression d’être sur une autre planète, Vénus sans doute. Je maintiens mes actions et j’appuie même un peu plus sur la paroi de son vagin. Au niveau sonore de ses cris, à la pression de ses mains, voir de ses cuisses qui par moment m’enserrent comme pour m’étouffer, je déduis que le plaisir monte et peut être même qu’un orgasme approche.
— Je viens !!!
Oui voilà, elle jouit ma belle. Je sens sous les doigts, un petit afflux de liquide. Elle les arrache brusquement de son corps car la tension est trop forte. Ses jambes flanchent un peu.Je me relève, la laissant reprendre ses esprits. Je l’embrasse à pleine bouche, lui faisant partager ses sécrétions. Maintenant popole réclame sa part. La bête veut son dû.
— A moi maintenant, je vais te défoncer !
Je retourne ma femme, toujours contre la barrière du balcon, relève sa robe, la coince avec la petite cordelette et m’insère en elle. Hum que c’est bon. Son vagin est si lubrifié, si chaud, que j’ai l’impression d’être au paradis.Je dois me contrôler, maîtriser mes mouvements malgré la furieuse envie que j’ai de foncer pour jouir, libérer cette énergie tant retenue. Mon sexe entre et sort, lentement. C’est un torrent de sensations qui envahissent mon cerveau au glissement de ma verge sur son sexe, à l’entrée de mon gland ouvrant son vagin.
Je m’appuie sur elle. Mes mains la caressent, tirent les cheveux en arrière pour qu’elle m’offre ses lèvres dans un long baiser ardent. Je la mords dans le cou, je caresse ses seins que je fais sortir de la robe. Le village entier peut ainsi admirer sa magnifique poitrine. Quiconque regarderait vers la maison verrait ma femme, seins à l’air, en train de prendre son pied, d’onduler sous les mouvements de mon bassin.
Cette idée m’excite trop, je n’ai même pas besoin de vérifier si effectivement un voyeur profite du spectacle. Je pelote ses seins, pince les tétons, lui enfonce des doigts dans la bouche dans une imitation de fellation. Je sens sa langue se creuser, les lécher comme un pénis.Je ne peux m’empêcher de l’insulter.
— Humm salope, ta fellation me rend fou.
L’excitation cérébrale est à son paroxysme. Ajoutée aux sensations sur mon sexe, je sens le plaisir monter inexorablement. Mon sexe continue son œuvre, j’alterne mouvements lents et tranquilles, puis brutaux et profonds, pour retarder l’orgasme le plus possible. Je finis par craquer. Je tire ma femme en arrière, la tiens par les hanches. Elle s’agrippe à la rambarde du balcon, sa tête repose dessus. Je la bourre sans ménagement, sans m’arrêter. Je me penche sur elle pour que mon sexe s’enfonce encore plus. Je lui saisis les seins que je pince fortement. Puis je me redresse pour accélérer le mouvement et j’en profite pour la fesser.
L’orgasme est proche, enfin le mien. Dans ces instants, seul celui-ci compte tellement il est pressant. Hum il me foudroie sur place. Je me tends soudainement, mes cuisses tétanisent, je contracte le sexe puis tout explose. Dans ma tête les hormones se diffusent. Dans son vagin, le sperme jaillit et se répand.
Puis le calme. La sensation de retour, trop rapide, trop brutale.
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