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Amoureux de mon meilleur ami

Chapitre 1

Gay
Cela faisait 10 ans, que je connaissais Rinaldo. Il était d’origine italienne et il vivait à Paris avec sa copine Lise dans un très belle appartement situé dans le 13ème arrondissement.Je l’ai toujours trouvé très beau et il m’attirait énormément et ce depuis longtemps peut être même depuis la première fois où j’ai fait sa connaissance. Il faut reconnaître, qu’il était physiquement battit comme un athlète. Trente-trois ans, grand, brun, avec de magnifique yeux verts, une belle musculation entretenue par des heures d’entraînements en salle de sport et un look vraiment sexy.J’enviais sa petite amie actuelle et d’ailleurs, à chaque fois qu’il me présentait une nouvelle copine, ça n’enrageait. Mais bien sûre, j’évitais de le lui montrer.
J’avais rencontré quelques mecs mais la relation avec ces derniers ne duraient jamais très longtemps. A trente ans, j’avais décidé d’arrêter les rencontres par-ci par là, cherchant désespérément un gars qui puisse me plaire et avec qui, je pourrais faire un bout de chemin. Malheureusement ou peut être fort heureusement, la vie m’avait ouvert les yeux sur la réalité des choses. Néanmoins, j’étais un peu « fleur bleue » et que vous le vouliez ou non, chaque être humain à besoin d’un peu d’amour. Donc, même après m’être fixé cette règle, mon cœur lui, restait sur sa position. Enfin, la chair est faible! Et puis, laissons le destin faire les choses.
Nous étions en début de mois de juin, et la température avoisinait les 25° C maximum durant certaines journées. Aussi, pour ce second week-end, Rinaldo m’avait invité à passer trois jours dans un gîte que Lise et lui avaient loué dans une petite bourgade rurale pas très loin d’Orléans. Histoire de ce donner des airs de vacanciers avant la période fatidique des grandes vacances.L’habitation était charmante. A l’intérieur il y avait un petit salon, une cuisine plutôt spacieuse, deux chambres, une salle de bain et toilettes séparés ainsi qu’un super jardin qui se trouvait juste derrière la maisonnette, où on s’imaginait faire un barbecue le soir même.
Après avoir fait le tour de la maison et installé nos affaires dans les chambres, nous sommes partis faire quelques courses au supermarché du coin, de quoi organiser notre petit barbecue et se restaurer durant tout le week-end.En rentrant, nous avons aidé Lise à préparer le dîner. Aussi, pendant que nous étions affairés à la cuisine, vous ne pouvez pas imaginer à quel point j’étais agacé par les embrassades incessantes de Rinaldo et sa compagne qui n’arrêtaient pas. Un bisou par ci, un autre par là, et que tu me touches ici ou là, franchement, ça m’énervait.
Puis à l’heure du dîner, nous nous sommes retrouvé autour de la petit table de jardin à prendre l’apéro pendant que les steaks et les merguez cuisaient gentiment sur le barbecue. Il faisait bon et la soirée s’annonçait agréable. Nous étions en train de discuter de tous et de rien, ont riaient et on blaguait sentant la délicieuse odeur de la viande grillée et la chaleur qui envahissait l’atmosphère sous l’effet de l’alcool, de nos rires et l’excitation provoquée par cette ambiance chaleureuse et amicale. D’ailleurs, je commençais à sentir davantage cette exhalation quand Rinaldo recula sa chaise se mettant légèrement à l’écart de la table rassasié par ce fantastique repas. Il s’était mis plus à l’aise sur son fauteuil de jardin et avait amplement écarté ses jambes laissant apparaître un paquet vraiment bien épais. Mon pénis réagit aussitôt à la vue de ce renflement qui tirait sur l’entre cuisses de son bermuda.
Nous étions les meilleurs amis du monde et je n’avais jamais vu son sexe mais je me suis souvent imaginé comment il était monté. Pour ma part, je savais qu’elle devait l’être pas mal. Car à chaque fois que j’en avais l’occasion, je laissais mon regard s’évader dans son entre jambes pour évaluer la taille de sa marchandise. En jean, en pantalon ou en bermuda comme ce soir, j’apercevais toujours la forme de sa queue qui certainement était et devait être bien grosse.On dit que les Blacks sont bien membrés mais les Italiens aussi.
Aussi, dans mon obsession pour Rinaldo, il m’était arrivé plus d’une fois de sentir ses sous vêtements surtout quand j’allais chez lui et que je prétextais une envie de pisser. J’allais alors dans sa salle de bain, et comme toujours je fouillais dans le bac à linge salle cherchant un de ses caleçons sales afin d’y sentir l’odeur de sa queue et de son anus. Une fois, j’en ai carrément volé un. C’était simplement pour le renifler encore et encore quand je me masturbais ou me doigtais en pensant à lui. Cela me donnait l’impression qu’il était prêt de moi et qu’il me baisait.
— Bon, il commence à se faire tard, dit Rinaldo.— Effectivement, répondis-je.— Une heure du mat. ...déjà, dit Lisa étonnée.— On débarrasse tous ça et on fera la vaisselle demain, dit Rinaldo.— Attends, on peut quand même faire la vaisselle rapidement, si on s’y met à trois, rétorqua Lisa.— Mais non ma puce, ça peut attendre demain et puis d’ailleurs fait moi penser à dire au proprio de foutre un lave-vaisselle dans son gîte, histoire de lui rappeler que nous sommes au 21ème siècle.
— Ok, les gars c’est bon, ne vous inquiétez pas, je vais faire la vaisselle, répondis-je.— Déconnes pas, je vais t’aider à la faire Arthur, proposa Lisa.— Écoutes Lise, c’est nickel, montes avec Rino te coucher. Moi, ça va, je gère, dis-je en me levant afin de débarrasser la table.— Tu es sûre...ça ne te déranges pas, me dit-elle.— Mais non, allez-y, répondis-en me dirigeant vers la cuisine.
Pendant que je commençais déjà à nettoyer assiettes, couverts et ustensiles, Lise et Rinaldo terminèrent rapidement de vider la table.
— Merci Arthur, lança Lisa en montant les escaliers.— Merci mon pote, t’es un vrai chef, me dit Rinaldo en prenant ma tête entre ses mains pour m’embrasser sur le front.— De rien...Allez ,dépêchez-vous de monter, dis-je ravi de ce petit baiser amical qu’il me faisait parfois dans les moments où je lui sauvais la mise.
Une fois la vaisselle terminer et la cuisine rangée et propre, je suis monter me coucher. Néanmoins, avant d’aller dormir, je voulais rapidement prendre une douche. En rentrant dans la salle de bain, je fus heureux de voir que Rinaldo et Lisa étaient eux aussi passés par là. Car, le caleçon moulant de Rino traînait sur le bac à linge sale. Ce qui éveilla quelques idées coquines dans mon esprit. Ça, c’est bien lui de toujours laisser errer quelque chose. En tous les cas, à mon avantage.J’ai donc pris un bon bain. Puis, avant de sortir de la salle de bain entouré d’une simple serviette de toilette, j’ai attrapé vivement le sous-vêtement et je me suis rendu dans la chambre.
En passant dans le petit couloir qui mène à celle-ci, j’entendis des gémissements provenant de la chambre de Rinaldo et Lisa. Par curiosité et pour une fois que j’avais l’occasion, je me suis rapproché de la porte qui était à peine fermée, avec juste une fente pour mieux entendre mais malheureusement, rien voir. Seulement, l’envie étant trop forte et ayant un peu d’audace, j’ai doucement poussé la porte. J’aperçus alors Rino en train de pénétrer Lisa allongée en position du missionnaire, les jambes entourant les hanches de son mec, l’obligeant presque à aller de plus en plus loin en elle. La faible lumière du chevet droit du lit me permettait quand même de distinguer l’action que provoquait ces ébats sur les fesses de Rinaldo qui se contractaient quand il s’enfonçait dans le vagin de sa copine pour ensuite se relâcher, dévoilant ainsi un super cul bien bombé et ferme. C’est à ce moment que ma bite c’est carrément redressée. Je n’avais qu’une envie, c’était de rentrer dans la chambre et prendre la place de Lise. Ne voulant en voire davantage, de peur de commettre une connerie, je suis donc allé dans la mienne, qui se trouvait non loin de la leur.
Couché sur mon lit, j’arrivais à entendre les gémissements de Lisa. Alors, trop excité par les pensées qui envahissaient ma tête et imaginant ce qu’elle faisait avec mon meilleur ami, j’ai détaché la serviette autour de ma taille, j’ai posé le caleçon sale de Rinaldo sur mon visage en commençant à renifler son odeur de bite, de sueur et de cul. Ensuite, j’ai empoigné ma queue, débutant ainsi des vas et viens. Pour me faciliter la tâche, j’ai craché sur la paume de ma main afin de bien la lubrifier pour qu’elle glisse mieux entre mes doigts, en fantasmant sur Rinaldo.Lisa criait de plus en plus, et plus elle criait plus j’astiquais ma verge.
— Aaaaaaahhhh !!! cria t-elle.
Je bandais comme une bête.
— Vas-y, défonces-moi, supplia t-elle.
A ce moment, le sous-vêtement de Rinaldo toujours sur mon visage, je pris ma main gauche pour me pincer fortement les tétons l’un après l’autre.
— Aaaaaaahhh! C’est bon, ouiiiiiii! Encore, continua t-elle.
Je me suis mis à me caresser les boules bien rasées pour ensuite me mettre le majeur dans l’anus qui l’était tout autant. Je mouillais tellement, que je me suis servi de ma mouille pour me lubrifier le cul.
— Aaaaaaaaaaahhh! Putain, encore, baise-moi, poursuit-elle.
Je m’enfonçais maintenant deux doigts dans le fion.J’entendais également les râlements de Rino qui m’excitaient encore davantage. Puis après un bonne demi-heure, ne cessant de me retenir de jouir, Lisa s’est mise à crier plus fort:
— Ah! Ah! Ah! Ah! Ah! Ah! Vas-y, plus fort, défonces-moi, Aaahh, cria t-elle sous les coups de reins de plus en plus violents de mon meilleur pote.— Oh putain, je vais jouir, dit Rinaldo.
En l’entendant prononcer ces quelques mots, je sentis l’excitation monter et m’envahir le bas du ventre, mes mouvements de va et vient s’accélérèrent dans mon cul et sur ma queue.
— Allez, jouis, vas-y, jouis dans ma chatte, dit Lisa à haute voix.— Aaaaaaahhh! Puuutaaaaainnn, Oooooohhh! dit Rino en déversent certainement sa purée dans la moule de Lise.
Au même instant, je me suis mis à expulser toute ma sauce blanchâtre qui avait arrosé tout mon visage, mon ventre, ma poitrine, mon oreiller et souillé certains endroits de mon drap. J’ai alors sorti mes doigts de mon anus que j’avais bien dilaté et je les ai léché. Avec ma main droite, je rassemblais chaque goutte de mon sperme que j’avalais en pensant à Rinaldo. D’ailleurs, il y avait un peu de ma semence sur son caleçon que je me suis empressé de nettoyer afin qu’il ne s’aperçoive de rien. Ensuite, je fini de me nettoyer en m’essuyant avec la serviette de bain avant d’aller rapidement remettre son sous-vêtement à sa place. En passant dans le couloir, il n’y avait plus que le silence. Après tant d’actions, c’était certains qu’ils dormaient. Je suis donc retourné en faire autant, néanmoins un peu déçu de ne pouvoir vivre ce que Lisa à délicieusement enduré ce soir.
Aussi, le week-end, se déroula formidablement bien. Lisa et Rinaldo ne recommencèrent pas leur partie de jambes en l’air. Mais, cela ne m’empêchait pas à moi, de me masturber à nouveau avec les caleçons de Rinaldo dont l’odeur m’enivrait de plus en plus.Puis, vint le moment de rentrer sur Paris afin de reprendre une nouvelle semaine de travail.
Deux semaines après notre virée à Orléans, je reçus un coup de fil de Rinaldo.Nous étions samedi soir, il devait être 23h00 et j’étais devant la télé à regarder un film d’action. Je décroche alors mon portable.
— Allô, répondis-je.— Salut Arthur, je ne te déranges pas, j’espère, me dit-il.— Non, tu sais très bien que tu ne me déranges jamais, Rino. Il y a quelques choses qui ne va pas? demandais-je.— Je peux passer te voir?— Bien sûr, sans problème, dis-je, me demandant ce qui avait bien pu se passer avec Lise. Car il était évident qu’il s’agissait de cela.— Ok, j’arrive, dit Rinaldo.— A tout de suite.
Habitant le 15ème arrondissement, Rinaldo ne prit pas longtemps pour arriver chez moi. A peine une trentaine de minutes. Une fois au bas de l’immeuble, je lui ouvris la porte et il monta.
— Salut, me dit-il en me prenant brièvement dans les bras comme il a l’habitude de faire.— Salut mon pote. Alors, dis moi ce qui ne va pas, lui demandais-je, en refermant la porte.
Il alla s’asseoir sur le canapé du salon. J’ai fait de même en m’asseyant sur un fauteuil juste en face de lui et j’ai éteint la télé.
Il était vêtu d’un blue-jean assez saillant qu’il avait rafistolé à sa manière. Les diverses coupures très modes de parts et d’autres du pantalon bleu le rendait très sexy. Il portait un t-shirt jaune qui moulait à merveille ses pectoraux et ses abdos avec par dessus une veste en cuir marron foncée qui me faisait presque fantasmer. Mais, c’est en matant la bosse énorme qui se trouvait dans son entre jambes où j’aperçus d’ailleurs une petite déchirure au niveau de la couture du tissu, dévoilant ainsi la couleur de son caleçon, que ma queue commença vraiment à réagir. Seulement, quand il prit la parole, mon regard se concentra plus sérieusement sur son visage qui n’exprimait pas vraiment de la tristesse mais de l’inquiétude.
— Je me suis disputé avec Lisa ce soir, commença t-il.— Ce n’est pas la première fois, Rino, répondis-je.— Je sais, mais je commence à en avoir ras-le-bol.— Oui mais à chaque fois que l’on en parle, les choses s’arrangent toujours entre vous, non?— Ouais, peut-être. Mais, le plus souvent à chaque fois que l’on se dispute c’est à ton sujet.— Elle t’a encore reproché d’être trop protecteur envers moi et t’a assailli de questions, du genre: pourquoi vient-il avec nous quand on part en week-end? Pourquoi Arthur ne se trouve pas un mec? Pourquoi ci? Pourquoi ça? Je sais qu’elle m’a toujours supporté mais à un moment donné, elle ne le pourra plus. Et pour préserver ta vie privée, tu devras un jour faire un choix entre moi et celle qui ne supportera pas le « PD » de service, dis-je d’un ton moqueur.— Arrêtes ne dis pas ça. Je peux très bien gérer ma vie privée et l’amitié que l’on a depuis longtemps.— Enfin, bref,...je pense que tu dois être fatigué... Tu as envie de dormir?— En faite, j’ai juste envie d’être loin de la maison, d’être avec mon meilleur ami et pouvoir réfléchir tranquille.— Je te laisse ma chambre et je prend le canapé.— Oui mais c’est toujours toi qui dors sur le canapé et puis j’aurai bien aimé que l’on discute un peu. Tu ne veux pas t’allonger un moment avec moi dans ta chambre, puisque c’est encore moi qui la prend, dit-il avec un léger sourire.— Ok, au moins je te tiendrai compagnie jusqu’à ce que tu t’endormes.
Une fois dans la chambre, il retira son t-shirt et ôta son jean. La vision de son corps musclé et de la forme de sa queue moulée dans son caleçon me faisait frémir. J’aperçus même son gland dessiné dans son sous-vêtement. Ce dernier était vraiment gros et la couronne de celui-ci que je pouvais nettement distinguer, laissait penser qu’il était circoncis. Mes yeux ne pouvaient réellement pas se détacher de ce qui m’excitait le plus depuis dix ans. J’avais envie de lui sauter dessus.
Finalement, reprenant mes esprits et n’oubliant pas mon rôle d’ami. Je me suis allongé à ses côtés et nous sommes restés là, comme cela, pendant au moins une heure et demi à discuter. Mon oreille était à l’écoute de chacun de ses mots. Pour ensuite, l’entendre petit à petit diminuer sur le son de sa voix et la cadence du flot de ses paroles. Je me suis alors redressé pour vérifier qu’il dormait. C’était vraiment fantastique de le voir dormir ainsi.Seulement, trop excité à l’idée qu’il se trouvait aussi proche de moi et bien trop attiré par son corps, son visage et ses lèvres entrouvertes, j’ai rapproché doucement ma tête de la sienne afin de lui déposer un tendre baiser sur la bouche.Malheureusement, celui-ci le fit réagir. Car il ouvrit doucement les yeux et sentant mes lèvres contre les siennes, il se redressa et me projeta avec violence hors du lit. Surpris, il me regarda et me dit:
— Qu’est ce qui t’as prit de faire ça?
A cet instant, je ne savais plus où me mettre envahi par la honte et la peur de sa réaction futur.
SteeBlack
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