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Amours culottés

Chapitre 5

Inceste
Amours culottés – V
Le lendemain fut plus calme pour Line puisque Gabriel suça son fils trois fois dans la matinée, en échangeant, à chaque fois, le foutre de Brice avec elle.  Cela lui fit vraiment plaisir, elle avait déjà fait l’amour avec l’un et l’autre au réveil et put se donner à eux avec plus de passion à midi. Ils l’aimèrent à deux, en même temps, Gabriel par devant et Brice par derrière.
Après le déjeuner, les deux hommes allèrent un peu plus loin. Déjà, ils n’hésitaient plus à se toucher mutuellement le trou du cul en s’embrassant et, l’un comme l’autre, y trouvaient un plaisir immense ainsi qu’une source d’excitation assumée. Plus ils se doigtaient l’anus et plus ils aimaient ça, et, alors que Line conduisait le camion, ils se donnèrent du plaisir sur une banquette à l’arrière. Gabriel venait de faire jouir Brice dans sa bouche en lui travaillant le cul des deux mains et Line entendit son fils demander à son père de l’enculer. Elle avisa le premier endroit où s’arrêter et se précipita à l’arrière pour les regarder.
Gabriel léchait encore l’anus de Brice installé le cul en l’air et la tête callée sur un oreiller. Line prit place sur un siège et ressentit une excitation sans pareil lorsque son mari pointa sa verge contre le petit trou de leur fils. Elle avait plutôt imaginé la situation inverse, mais elle n’était cependant pas déçue. Le visage de Brice s’éclaira de plaisir lorsque la petite bite de son Papa s’enfonça dans son cul et il s’écarta les fesses à deux mains pour l’aider à aller le plus loin possible. Rapidement les couilles de Gabriel se mirent à claquer sèchement contre le périnée.Brice gémissait de plaisir en encourageant son père à le baiser. Sa queue était molle, mais elle suintait de liquide séminal et la jouissance se lisait dans ses yeux verts. Line écarta les cuisses et glissa un doigt sous sa culotte pour se toucher le clitoris. Brice jouissait du cul et son père ne faisait qu’accélérer son rythme. Il criait de plaisir et ferma les yeux quand Gabriel se calla le plus profond possible dans son rectum en râlant de plaisir.
— Oh mon Dieu, déclara Brice en se laissant tomber sur le matelas, ça y est ! Je suis pédé… Quel pied, j’ai cru que j’allais me pisser dessus tellement c’est bon.— J’espère que ce ne sera pas à sens unique, moi aussi, j’ai envie de découvrir ce plaisir avec toi.— Tu me laisses un peu de temps pour m’en remettre, mon Papa ? Une bonne pipe suivit d’une bonne sodo… Ça calme.— Je serai patient un petit peu, mon Amour.— Par contre, tu recommences quand tu veux…— On verra, mais je veux aussi être opérationnel pour ta mère et je n’ai pas ta vigueur.— Oh, moi, tant que vous me la mettez matin, midi et soir, vous pouvez bien vous enculer toute la journée.— Ha ha ! Brice y arrivera sans problème, rigola Gabriel en caressant le poitrail de son fils, mais moi, si je l’encule toute la journée, je risque d’être à plat le soir, et même peut-être le midi déjà.
Line les laissa s’enlacer et s’embrasser et reprit la route heureuse. Quelques minutes plus tard Gabriel vint s’asseoir près d’elle, juste vêtu d’un t-shirt et d’un slip kangourou, avec un caleçon sale de Brice à la main.
— Il s’est endormi.— Ça l’a épuisé à ce point ?!— Je crois que ça l’a comblé et j’espère bien connaître ça rapidement, moi aussi.— Tu vas te faire dilater le cul, crois moi.— J’espère juste ne pas avoir trop mal, mais j’ai une telle envie de sa queue. Dit Gabriel en portant le caleçon de son fils à son nez.
— Brice sait bien s’y prendre maintenant, et puis, on s’habitue ; tu verras. Moi, il n’a presque plus besoin de préparation pour me la mettre.— J’ai remarqué, mais il te la met souvent.— Parce qu’on est en vacances ; quand je travaille, on baise beaucoup moins. Il me prend le matin, le soir en rentrant de la fac, une fois avant diner et deux fois après. Quand je l’ai deux fois dans le cul, c’est un jour faste.— Peut-être, mais quand vous venez le week-end, il te la met beaucoup plus… Tu crois que je vais m’y habituer vite ?— S’il te la met à chaque fois qu’il bande dans la journée, t’auras le trou du cul assez large avant la fin des vacances. Il sent bon son caleçon ?— Mmm… Oui ! En plus, il a eu des petites pertes dedans. C’est juste du liquide séminal, mais j’adore ça.— Je vois ça, ça te mets en forme d’enculer ton fils, Salop. Si tu te mets à bander autant que lui, on n’est pas arrivé à Kiel.— On s’en moque ; on est en vacances tous les trois et, de toute façon, notre activité principale, c’est de baiser, alors… Tu veux que je te la mette dans le cul, toi aussi ?— Gabriel, tu es un gros cochon pervers, répondit Line en s’arrêtant sur un petit parking.
Brice dormait à poings fermés lorsque Line et Gabriel prirent place à côté de lui pour niquer. Ils étaient tellement excités qu’ils n’avaient pas besoin de préliminaires et la pénétration fut directe. Elle était allongée sur le dos, un oreiller lui soulevait le bassin et son mari la prenait de face. Tout le camping-car remuait au rythme des coups de reins de Gabriel et Brice ouvrit les yeux lorsque sa mère fut incapable de retenir ses cris. Il sourit en comprenant ce qui se passait et en voyant le plaisir que prenait Line, il se mit à bander mollement. Il se leva pour voir cette sodomie par l’arrière, dans le détail, et ne put se retenir de caresser le cul de son père qui s’agitait de façon anarchique. Sa queue était parfaitement raide lorsque ses parents jouirent ensemble et les caresses qu’il faisait, furent remplacées par des baisers. Sa bouche parcourait les fesses de Gabriel en se rapprochant inéluctablement de la raie de son cul et de son anus. Ses parents étaient couchés l’un sur l’autre et Line écartait les fesses de Gabriel pour aider son fils.
Brice lécha longuement le trou du cul de son père et prit dans un tiroir près du lit un tube de vaseline avant de le préparer comme Gabriel lui avait appris. Line embrassait son mari et attendait de voir quelle serait son expression lorsque son fils l’enculerait. Déjà, son visage exprimait une impatience, mais subitement, sa bouche s’arrondit, ses yeux s’exorbitèrent et il émit un râle profond avant de souffler avec un sourire béat. Brice venait de lui remplir le rectum. Le garçon lui laissa le temps de s’habituer et il se mit à bouger lentement. Gabriel se mit à gémir d’aise et, rapidement, à l’encourager. Son fils le prit avec toute sa fougue et sa virilité, le faisant réellement jouir du cul également et, au moment d’éjaculer, il le fit sur son visage et celui de Line.
Apaisés, ils reprirent leur route, mais de ce jour, leurs rapports à trois connurent d’autres possibilités et Brice se retrouva souvent entre ses deux parents, baisant sa mère et enculé par son père.
Pour tous les trois, ce furent des vacances fusionnelles et merveilleuses et quand Line et Brice durent repartir en France, leur émotion était réelle. Ils s’étreignirent longuement devant le hall d’embarquement et pour la première fois depuis que Gabriel vivait en Allemagne, la mère et le fils n’éprouvèrent pas le besoin de se jeter l’un sur l’autre en entrant chez eux. Ils se mirent à l’aise, Brice en pyjama et Line en legging et débardeur puis ils sortirent de leur valise deux sachets en plastique.
— Papa va me manquer, dit Brice en sortant un slip sale du sac qu’il avait en main.— Moi aussi, reconnut-Line en faisant de même.— Des slips, c’est bien peu de chose, mais au moins, on a son odeur. Vivement vendredi…— On va l’appeler pour lui dire qu’on est bien rentré.
Sans retirer le sous-vêtement de son nez, elle prit le téléphone, mit le haut parleur et lança un appel automatique à partir du répertoire. Le slip qu’elle reniflait avait été porté par Gabriel juste après une sodomie et il était imprégné de liquide séminal sur le devant et, surtout,  de sperme de Brice sur l’arrière, bien collé sur une tache brune.
— Allo Gabriel ! On est bien arrivés. Ça va ?— Oui, mais vous me manquez déjà ; j’ai une culotte et un caleçon sous le nez.— Nous aussi, on a chacun un de tes slips sous le nez. J’ai pris le plus sale que tu m’as donné ; celui que t’as mis quand je t’ai demandé d’expulser le foutre de Brice.— T’es une cochonne, mais je ne te jetterai pas la pierre ; j’ai la culotte que tu portais quand on t’a fait l’amour à deux sans te laisser le temps de l’enlever et le caleçon que portait Brice quand je l’ai enculé sur cette plage de l’île de Fehmarn.— Papa, c’est toi, le cochon ! Même pas, tu l’as baissé ! Il faisait tellement froid que j’en ai vraiment fait dans mon froc en jouissant. J’n’aurais jamais dû te le laisser.— Et t’en aurais fait quoi ? J’avais déchiré l’arrière, de toute façon. Par contre, c’est un délice ; avant de faire pipi, t’as quand même éjaculé dedans et c’est mon meilleur souvenir avec toi dans ce sens là. Et toi, t’as lequel sous le nez ?— Oh, le plus simple ; je garde les autres pour me branler en pensant à ta bite et ton cul, mais il est plein de ton odeur. C’est celui que tu portais lors de la visite de la brasserie artisanale sur la frontière hollandaise. Tu te rappelles ?— Tu parles ! J’ai failli faire pipi dans ma culotte.— T’as fait un peu ; il y a une tache jaune sur le devant et je crois que je vais le porter toute la semaine. Par contre, il risque d’être vraiment dégueulasse quand je te le rendrai vendredi.— Et c’est moi le cochon… moi, c’est le string bleu de ta mère que j’aimerai porter mais j’ai peur de l’abimer.— Ce n’est pas grave, Chéri ; je te le donne si tu veux. Pour info, ton fils, malgré ce qu’il a dit, s’est mit à bander quand tu as dit quel caleçon tu avais sous le nez.— Et toi, tu mouilles ?— Moyen ; tu me manques trop… Mais si Brice me lèche la chatte, ça ira vite.— Je vais m’en charger, Maman, et m’occuper de ton cul, dit Brice en caressant l’entrejambes de sa mère au travers du legging.
La nouvelle année universitaire de Brice commença donc comme la précédente avait fini, mais avec des retrouvailles encore plus chaleureuse chaque week-end à trois. Les vacances de Noël se passèrent comme celles de l’été, à ceci près qu’elles se firent dans un chalet près de la frontière avec la Tchéquie. Par contre, son travail universitaire lui laissait beaucoup moins de temps pour l’oisiveté et, vers le printemps, il finit par persuader sa mère d’aller rejoindre son père sans lui. Il était en troisième année de médecine et souhaitait avoir les meilleures notes possibles avant de rentrer en externat. Elle le quitta inquiète le vendredi soir avec un stock de culottes portées durant la semaine et un lot de slips sales envoyés par Gabriel. Pour Brice, c’était une véritable expérience. En 19 ans d’existence, il n’avait jamais vécu seul et découvrit amèrement qu’il en était incapable. Sa mère avait tout préparé pour lui et il n’avait pour ainsi dire qu’à réchauffer ses plats, mais il les mangea soit brulés, soit crus, soit pas du tout. La solitude de la maison lui donnait des angoisses terribles et lorsque Line rentra le dimanche soir, la porte d’entrée était fermée à double tour en haut et en bas, tous les volets étaient baissés et la maison plongée dans une obscurité lugubre. Elle monta directement vers la chambre de Brice qui elle aussi était fermée à clé de l’intérieur.
— Brice ? Tu es là ? C’est Maman…— Maman ?! Oui ! J’ouvre !— Mais en fin, Brice, pourquoi tout est fermé comme ça ?— Je… j’ai entendu des bruits. — Oh, mon Chéri, il y a toujours des bruits dans les maisons. Je suis là maintenant… C’est une idée ou ça sent le brulé.— Mince ma pizza !
Line devança son fils jusqu’à la cuisine, éteignit le four et lorsqu’elle l’ouvrit, il s’en dégagea une fumée épaisse. Après quatre heures de cuisson à une température trop  élevée, il ne restait qu’une masse de charbon totalement desséchée.
— Ouvre les fenêtres et les volets ; on va s’asphyxier dans cette pièce !
Line était contrariée d’avoir abandonné son fils. Même si Brice leur avait, bien évidemment manqué, ils avaient passé, avec Gabriel, un week-end très agréable qui leur avait rappelé leurs jeunes années, mais, là, elle comprenait qu’il n’était absolument pas prêt à vivre seul. Elle ne fit, cependant, aucune remarque en voyant à quel point son fils était désespéré.
— Allo, Gabriel !… Non, ça ne va pas ! Brice est dans un état lamentable ! Il n’a rien mangé de convenable, a stressé et paniqué pendant deux jours ; la maison était plus fermée qu’un coffre fort et il y avait pratiquement le feu dans la cuisine… Il ne l’est pas un peu ! Il est totalement déprimé… Non, je n’exagère pas ! Il est en train de pleurer sur le canapé, n’a pas réussit à travailler du week-end et, le pire, il n’a pas sali plus d’un slip et d’une culotte !… Bien sûr que je vais m’occuper de lui et non, il n’ira pas à la fac demain ; je le garde avec moi et je l’emmène voir le médecin… Bien sûr que je vais me faire arrêter ; que veux tu que je fasse ?… Tu pourrais faire ça ?… Oh, Gabriel, se serait magnifique !… Je t’embrasse, moi aussi ; je t’aime… Je lui dirai, bisous, mon Amour… Oui, moi aussi… Bisous.
Line sans être pleinement rassurée se sentait un peu mieux en reprenant son fils dans ses bras.
— Ton Papa sera là au mieux demain soir et au pire mardi. Toi, tu vas rester avec moi et demain tu vois le docteur Legendre.— Ça va aller, Maman ; ce n’est pas nécessaire. Et puis, vous n’allez pas tout arrêter pour moi. Comment Papa va faire avec son travail ? Il ne peut pas venir là sans annuler tout un tas de choses importantes. Il faut que j’aille à la fac.— Non ! Pas demain, en tous cas… Tu n’as pas supporté d’être seul et tu es en état de choc, ça s’appelle. Ton père n’annule rien ; cela fait des mois qu’il devrait déjà être venu ici pour régler quelques soucis avec l’usine, mais il n’avait pas envie de le faire par amitié pour Rémi. Tu lui fournis juste la motivation qui lui manquait.— Il joint l’utile au désagréable, en quelque sorte.— Oh, tu retrouves ton sens de l’humour, c’est déjà ça.
Mais Brice ne retrouvait pas seulement son sens de l’humour ; il affichait aussi une solide érection, alors Line lui retira son caleçon et se contenta de retirer sa culotte pour le chevaucher habillée. Son garçon se laissa faire, tellement heureux d’être aimé par Maman, et elle fut ravie de le sentir jouir longuement en elle.
Gabriel arriva le lendemain soir, comme promis, et resta chez eux jusqu’au dimanche. Brice avait été arrêté toute la semaine et sa mère également pour pouvoir s’occuper de lui. Le garçon fut donc dorloté, choyé et aimé par ses deux parents pendant six jours et cela lui fit beaucoup de bien, mais son incapacité à supporter la solitude n’était pas guérie. Le week-end suivant il accompagna sa mère à Berlin et ensuite, ce fut Gabriel qui rentra en France deux jours chaque semaine pour le plus grand plaisir de Line qui réalisait à quel point elle avait besoin de son mari.
Brice eut, comme d’habitude des notes excellentes à ses examens et, cette année là, ils passèrent leurs vacances en location dans le sud de l’Espagne. Leur amour paraissait intact, mais Line se posait de plus en plus de questions. Brice allait démarrer ses deux années d’externat et il fallait qu’ils les mettent à profit pour se détacher de lui et lui permettre de vivre seul ou avec une personne autre que sa mère. Elle ne regrettait rien de ce qu’ils avaient fait, mais elle s’efforçait de penser à son avenir.
— Brice, tu te rends compte que tu ne pourras pas vivre éternellement avec moi. Même si je t’aime de tout mon cœur, je ne peux pas rester ta compagne et, très honnêtement, je n’aurais jamais dû le devenir.— Je trouve que l’on ne s’en sort pas trop mal, tous les trois. Je n’ai pas vraiment envie de changer quoi que ce soit.— Moi non plus, je n’ai pas envie, et ton père n’en a pas plus envie que nous, mais on pense à toi, à ton avenir… J’ai décidé d’aller consulter à la rentrée et tu devrais sans doute en faire autant.— De consulter ?— Oui, de voir un psychologue pour essayer de comprendre pourquoi on a cette relation incestueuse et comment s’en défaire.— Tu ne veux plus de moi ? Tu ne m’aimes plus ?— Bien sûr que si, je veux toujours de toi et je t’aime encore ; je t’aimerai toute ma vie. Là n’est pas la question. Je ne veux pas non plus que ça s’arrête du jour au lendemain, mais dans deux ans ce sera l’internat ; tu devras être capable d’affronter la solitude… J’aimerai aussi que tu sois disponible pour rencontrer quelqu’un qui t’aimera et que tu aimeras comme j’aime ton père.
Brice ressentit un vif pincement au cœur ; il se rendait bien compte que sa mère avait raison mais il ne se sentait pas prêt à affronter cette réalité.
Line et son fils mirent six mois avant de réussir à démarrer un travail psychologique pour le soigner de sa peur de la solitude et essayer de sortir de leur relation amoureuse. Un an plus tard, Brice supportait de rester seul un week-end entier et sa mère lui avait aussi enseigné des rudiments de cuisine qui lui permettait de se nourrir à peu près convenablement sans déclencher de catastrophe. Par contre, pour ce qui était de leur relation incestueuse, ils en étaient au même point ; ils ne pouvaient pas se passer l’un de l’autre plus de trois jours et Brice ne bandait toujours que pour ses parents. Line en était presque désespérée et priait chaque jours pour que son fils rencontre quelqu’un avant de rentrer à l’internat, mais la constance de ses sentiments pour elle rendait la chose impossible. C’est alors qu’intervint un événement malheureux qui s’ajouta d’abord à sa détresse : Line perdit son père brutalement.
— Il a fait une crise cardiaque, au moins il n’a pas souffert.
Brice était surtout peiné pour sa mère parce que son grand-père avait toujours été beaucoup affectueux envers ses cousines que ses cousins et lui. Les vacances passées chez ses grands-parents n’étaient pas forcément les meilleurs souvenirs de sa jeunesse. Gabriel descendit d’Allemagne pour les obsèques et resta un jour de plus auprès de son épouse. Par contre, il ne put pas prendre de congés lorsque toute la famille se retrouva, à Pâques, dans la maison des grands-parents pour régler la succession et aider la mère de Line à faire du tri.
Ça faisait vraiment beaucoup de monde puisqu’il y avait les quatre sœurs et les deux frères de Line, leurs conjoints et une bonne partie des 23 cousins et cousines de Brice. La maison était grande, mais ils durent quand même se tasser et Brice se retrouva dans une chambre avec plusieurs de ses cousins.Ça imposait une sacrée organisation, avec des tâches bien réparties, deux services de repas, un ménage quotidien et, comme personne n’avait pris beaucoup de linge, la machine tournait presque tous les jours. Malgré ça, la panière ne désemplissait pas vraiment.
Un matin, après sa douche, Brice se rendit à la buanderie pour y déposer ses affaires sales et fut ébahi par la quantité de petites culottes qui se trouvaient dans la panière. Il en prit une, la sentit, en prit une autre, puis une troisième et ainsi de suite. Il reconnut celles de sa mère sans difficulté, mais c’était les autres qui l’intriguaient. Il cherchait des subtilités dans ces odeurs intimes et à force de comparaison, il en trouva une dont le parfum l’envouta encore plus que toutes les autres. C’était un petit string vert assez mignon qui lui provoqua un besoin urgent de se masturber. Il le mit dans sa poche avant de se réfugier aux WC pour se satisfaire avec. Il ne savait bien évidemment pas à laquelle de ses tantes ou cousine cette culotte appartenait, mais cela ne faisait rien. Son odeur seule suffisait à son plaisir. Son méfait accompli, il ressentit une honte qu’il n’avait pas connue depuis bien longtemps et retourna discrètement remettre au sale l’objet du délit.Le lendemain il retourna dans la buanderie et fouilla parmi les nouvelles culottes sales qu’il sentit au fur et à mesure. Il tomba finalement sur un string mauve très semblable à celui qu’il avait subtilisé la veille et dont l’odeur était identique. Son cœur chavira ; il avait envie de savoir à qui elle était, mais se voyait mal faire le tour de ses cousines pour savoir laquelle portait ce genre de strings. Comme la veille, il alla se réfugier aux toilettes et rapporta ensuite la culotte là où il l’avait prise. Brice recommença le jour suivant exactement de la même manière, mais le quatrième jour, son envie fut trop forte et, se sentant à l’abri dans la petite pièce, il sortit sa verge et entreprit de se masturber sur place.
— Alors c’est toi le cochon qui se branle dans mes culottes ! S’écria sa cousine Barbara en refermant la porte derrière elle. J’aurais parié que c’était mon frère.— Merde, Barbara, pardon, je…
Barbara était la plus vieille cousine de Brice, fille ainée de la dernière sœur cadette de Line. Leurs mères avaient dix ans d’écart, mais eux n’en avaient qu’un. Sa tante Jeanne l’avait eu à 16 ans et avait eu se deux autres enfants à 20 et 24 ans, tous de père différents. Jeanne et Line se ressemblaient en tous points et Barbara était le portrait craché de sa mère.Brice était pris de panique et rouge de confusion. Il rangea précipitamment sa verge dans son caleçon, mais Barbara l’empêcha de refermer totalement son pantalon.
— Ne crois pas que tu vas t’en tirer comme ça, cochon ! J’ai envie de voir le truc qui salit mes culottes depuis trois jours. Et d’abord, pourquoi que les miennes ? Tu m’expliques, gros pervers ?— Ce… C’est à cause de leur odeur ; je pourrais les identifier les yeux fermés, mais je ne savais pas à qui elles appartenaient.— T’es en train de me dire que tu renifles toutes les culottes pour reconnaître les miennes et te branler avec ? T’es vraiment dégueulasse… Et tu trouves que je sens bon ?— Tu… Tu sens très bon. C’est ton odeur que je préfère.— Montre moi ta bite, Cousin, puisque tu renifles mes odeurs de chatte, tu peux bien me la montrer… Sinon, je dis à tout le monde que t’es un gros dégueulasse qui se branle dans les culottes des femmes.
Barbara était une jeune fille plutôt délurée et, sans se démonter, elle rouvrit la braguette de son cousin et baissa d’un coup le pantalon et le caleçon. Brice ne bandait plus, mais son sexe n’avait pas encore retrouvé sa taille minimum et il avait un beau boudin blanc de 15 centimètres qui pendait mollement sur sa grosse paire de couilles.
— Putain, ça c’est de la queue ! Comme Papi…— Parce que tu connaissais la queue de Papi ?— Euh, oui, un peu, répondit Barbara en rougissant. Il faut dire que j’étais sa petite-fille préférée… Maman et Mamie l’ont toujours su, d’ailleurs, mais elles nous ont laissés tranquilles. Tu permets que je te suce un peu ?— Mais si quelqu’un vient ?— Attends, je ferme à clé… C’est vraiment une manie familiale, ça de toujours tout fermer à double tour. L’avantage c’est que ça permet de s’isoler vraiment ; il y a une clé à toutes les portes.— Euh… Barbara ? Tu accepterais de me montrer tes seins ?— Parce que tu crois que je vais te sucer habillée ? Tu rêves, pépère ! Un mec qui est capable de reconnaître mon odeur parmi toute celles des femmes de la famille, ça se dorlote. Retire tes fringues, que je t’admire… J’ai toujours trouvé ton père craquant et tu lui ressembles tellement que je crois que je vais prendre mon pied.— Parce que tu as couché avec Papa, aussi ?— Non, et je ne sais pas ce qu’il a dans le slip, mais je me rappellerai toujours de ces vacances où il nous a apprit à faire des bombes et des saltos dans la piscine. Avec tous ses muscles, qu’est-ce que j’ai mouillé… Mmm… T’es vraiment bien foutu ; comme lui…— Ooooh… Barbara, qu’est-ce que tu fais ?— Je te suce, personne ne t’a fait ça ? Remarque, c’est peut-être normal ; si tu te branles dans mes culottes, c’est sans doute que t’es puceau. Mmm…— Ooooh… Oh oui… Non, je ne suis pas puceau… Oooooh…  Oh oui, Putain, tu m’avales entièrement en plus… Aaaah… Ah oui, Barbara… Tu m’excites…— Mmm… Toi aussi, tu m’excites. Tu veux m’la mettre ?— J’n’ai pas de capote… Mmm… Ooooh…— Moi je suis clean et je prends la pilule…— Moi aussi, je suis clean… Viens, lève toi ; je vais te faire l’amour.
Brice prit sa cousine en levrette debout dans la buanderie, leurs habits mélangés trainaient sur le sol à leurs pieds. Elle avait les deux mains appuyées sur le mur et il lui ramonait la chatte avec une expérience et une puissance que Barbara avait rarement rencontrées. Ils jouirent ensemble et elle le sentit se déverser en elle avec un plaisir immense.
Brice et Barbara ne se quittèrent pas de la journée et les jours suivant non plus. Ils s’esquivèrent régulièrement de la folie familiale pour des balades à deux en forêt durant lesquelles, entre deux coïts, ils se parlaient d’eux. Barbara expliqua quels étaient ses vrais liens avec leur grand-père commun et comment elle en était venue à devenir sa maitresse. Brice, de son côté, lui avoua les relations qu’il entretenait avec ses parents. La jeune fille fut un peu surprise d’apprendre qu’il faisait l’amour avec son père autant qu’avec sa mère quand ils étaient réunis tous les trois, mais elle ne le jugea pas dans la mesure où il lui affirma que ça ne pourrait pas fonctionner avec un autre homme.
— J’adore mes parents, tu comprends ? Je les aime comme ce n’est pas permis et j’aurais toujours besoin d’eux, je crois. Les mecs ne m’excitent pas, autrement ; je ne me ferais pas lécher le trou de balle et enculer par un cousin ou un copain, encore moins par un inconnu. Pas plus que j’enculerais un mec, d’ailleurs, mais Papa, c’est différent… Et puis, il aime Maman ; je ne peux pas faire autrement que de l’aimer.— Je comprends… Moi aussi, je crois que je pourrais être un peu goudou avec Maman… Ou même Tata, elles se ressemblent tellement. Tu crois que tu auras Paris ?— Si c’est pour t’y retrouver, c’est sûr ! Je t’aime Barbara. Je t’aime tellement et dans trois jours, tu vas me manquer.— Moi aussi, je t’aime à la folie. On pourrait se retrouver le week-end ; avec le tgv, il n’y en pas pour une heure. Mais ça coûte cher, et puis… Ça craint quand même un peu ; on est cousins.— C’est pire qu’une mère, un père ou un grand-père, Tata ?— Non, c’est sûr… Mais ne m’appelles plus jamais Tata, s’il te plait.— Je ne le ferai plus ; c’est promis, Barbie.— C’est comme ça que m’appelait Papi, dit Barbara avec un air triste.— Pardon, Amour, je ne le savais pas. Je ne le ferai plus non plus.— Oh si ! Tu peux ! Ça me plait d’être ta Barbie, même si ça m’a mis un petit coup de nostalgie.— Cool, parce que ça te va bien et pour les voyages en train, je vais les payer ; je suis externe et je gagne un peu d’argent. Un médecin avec une artiste fauchée, ça le fait, non ?— T’es un gros couillons, Monsieur Martin… Je ne suis pas si fauchée ; j’arrive à travailler assez pour payer mon loyer, mes charges et ma bouffe !— C’est marrant que tu aies dit « Monsieur Martin » ; c’est exactement comme ça que Maman appelle Papa quand elle est un peu fâchée. En tous cas, dans un sens comme dans l’autre, les billets de trains je le payerai.
Ce jour là, Barbara et Brice revinrent à la maison avec une seule idée en tête : ne plus se quitter.
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