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Amours culottés

Chapitre 6

Inceste
Amours culottés – VI

Ils trouvèrent Line et Jeanne en grande conversation dans la cuisine pendant que leurs frères et sœurs terminaient des cartons de choses qu’ils voulaient garder en souvenir de leur père.
— Coucou les Mamans, fit Barbara, guillerette. On peut vous aider ?— Si vous voulez, mais ce sera vite fait, répondit Line, maussade. Tout le monde s’en va...— On ne sera plus que sept ce soir, précisa Jeanne en épluchant une pomme de terre. Ça va faire du bien à votre grand-mère ; elle est sur les rotules.— Il s’est passé un truc ? demanda Brice, inquiet. T’as l’air un peu triste.— Non, il ne s’est rien passé de grave et c’était prévu qu’ils s’en aillent aujourd’hui. Mais, vous, ça a l’air d’aller, reprit-elle un peu plus joyeuse. Vous êtes bien ensemble ?— Super bien, Tata, répondit Barbara en serrant la main de Brice.— Maman, ça t’ennuierait si Barbara venait à la maison les week-ends où tu vas chez Papa ?— Oh, et bien c’est du sérieux, alors ; avec ta tante, on se demandait si vous alliez nous en parler ou si c’était juste une aventure passagère pour vous échapper de l’ambiance terrible de cette maison. Pourquoi voudrais-tu que ça m’ennuie ?— Ben, il y a plusieurs raisons... D’abord parce qu’on est cousins, et puis...— Et puis quoi ?Tu crois que je serais jalouse ? Tu sais parfaitement que j’espérais te voir sortir avec une femme qui puisse te convenir et je trouve que Barbara est parfaite. Après, légalement, des cousins germains peuvent s’unir sans problème.— Oui, c’est ce qui me semblait, mais on n’est pas que cousins...— Oh, tu es donc au courant... Officiellement, Barbara est née de père inconnu, donc vous êtes cousins germains, c’est tout.— Avec Brice, on s’est tout raconté, précisa Barbara. Il sait tout ce qui me concerne avec Papi et je sais tout de votre relation familiale. Et si t’as besoin de lui, de temps en temps, je te le prêterai, et à Gabriel aussi. C’est ça qui t’attriste ?— Pour ne rien te cacher, Barbara, oui ça m’attriste un peu. J’ai un peu peur de le perdre... avoua Line en rougissant. Ça va me faire bizarre de ne plus le sentir dans mon lit.— Ne t’en fais pas, Tata, on n’est pas encore en ménage et il sait déjà que je ne pourrais pas être trop sage pendant la semaine.— Barbara a les mêmes besoins que moi au même âge.— Oh, et bien ça doit être quelque chose, mais Brice aussi a de très gros besoins.— Et une bite encore plus grosse que celle de Papi, hein mon roudoudou.— C’est ce que tu dis et je ne peux que te croire sur parole.— Parce que Papa avait une grosse bite ? demanda Line à sa sœur.
— Une bite énorme, avec des grosses couilles, et il avait tout le temps besoin de niquer. C’est pour ça que quand Maman a vu que je le draguais, elle m’a laissé faire. Elle n’en pouvait plus.— Je sais, elle me l’avait expliqué, mais elle ne m’avait pas dit qu’il en avait une grosse. Maintenant, on sait d’où ça vient parce que ce n’est pas Gabriel qui lui a transmis ça.— Maman, ce n’est pas gentil pour Papa, de dire ça comme ça. Papa n’a pas une grosse bite, mais il s’en sert bien.— Ça c’est vrai ! Gabriel est un bon amant et je ne m’en suis jamais lassée, mais ça va quand même me faire tout drôle l’an prochain.
Ils arrêtèrent cette discussion comme le petit frère et la petite sœur de Barbara venaient prendre un goûter et que la cuisine était progressivement envahie par toutes celles et ceux qui s’en allaient. Après le départ de ses enfants et petits-enfants, Mireille vint retrouver Line, Jeanne, Barbara et Brice dans la cuisine.
— Heureusement que vous restez encore un peu ; ça m’aurait fait bizarre de me retrouver toute seule après cet ouragan. Mais vous avez déjà tout préparé ?— Oui, Maman, tu n’as rien à faire et demain, on remettra de l’ordre dans cette maison. Brice et Barbara pourront nous aider. N’est-ce pas les enfants ?— Oui, Maman, répondit Brice aussitôt.— Vous êtes des amours et j’espère que, maintenant que les autres sont partis, je vous verrais un peu plus tous les deux, mes grands petits.— On va s’occuper de toi, Mamie, lui répondit Barbara.— Vous êtes heureux tous les deux ?— Oh oui, Mamie, on est vraiment fait pour s’entendre, je crois. Ça va me motiver pour mon concours d’internat.— Si tu n’as pas Paris, je te botte le train ! Tu vas voir, lui dit Barbara avant de l’embrasser.— Ce soir, vous pourrez prendre une même chambre ; vous serez plus à l’aise, mais fais attention à cette coquine, Brice, elle serait capable de t’épuiser.— C’est ce dont on parlait avant qu’ils ne partent tous, expliqua Jeanne en souriant. Il paraît même que Brice en a une plus grosse que Papa.— Oh mon Dieu ! Ça doit être quelque chose alors, parce qu’André était quand même monté comme un âne... Ah, il me manque, si vous saviez. Quel drame !— On sait, Mamie, lui répondit Barbara en la prenant dans ses bras.— Oui... J’imagine qu’à vous deux aussi il manque, mais je suis contente pour toi si Brice est un digne descendant de son grand-père. Tu en as vraiment une aussi grosse que ça, mon Trésor ?— Euh, oui Mamie, répondit Brice un peu gêné, c’est ce que tout le monde dit.— Tu pourrais nous la montrer ? demanda Jeanne tout aussi curieuse que sa mère. Si Line et Barbara sont d’accord, bien sûr.— Je n’ai pas d’opposition de principe, mais, comme ça fait depuis le début des vacances qu’elle est là, à portée de moi, sans que je n’aie pu en profiter, si Brice vous la montre, j’aurais du mal à ne pas me jeter dessus.— Et bien vous irez dans une chambre, Tata. Je suis certaine que ça vous fera du bien.— En gros, vous me transformez en animal de foire, dit Brice amusé tandis que Barbara se chargeait elle-même de déballer son service trois-pièces.
Instantanément, Brice se retrouva tripoté par les quatre femmes et sa verge se dressa fièrement. Il fit l’admiration de sa tante et de sa grand-mère et la fierté de sa mère et de Barbara, mais Line n’avait pas oublié la promesse de sa nièce et s’excusa en l’emmenant dans les étages. Elle avait un besoin urgent de lui et la réciproque était vraie, même si depuis quelques jours, Brice avait trouvé, dans sa cousine, bien plus qu’une compensation. Il fit l’amour longuement à sa mère, dans la position du missionnaire, en levrette et par-devant comme par-derrière, avant de décharger dans sa bouche affamée. Ils restèrent un moment enlacés tous les deux ; Line profitait pleinement de cet instant, mais il la sentit encore un peu mélancolique.
— Je t’aimerai toujours Maman, ça ne peut pas s’arrêter. Barbara l’a compris et elle n’empêchera jamais que l’on s’aime de temps en temps. Elle m’aime vraiment, tu sais et moi aussi.— Ça se voit et je suis contente, mais là, je profite un peu de mon Poussin. Mon petit cochon qui montre son gros zizi à sa mamie et sa tata...— Oui, et visiblement ça vous a plu. J’ai bien cru que vous alliez me violer sur place.— Si ton cousin et ta cousine n’avaient pas été à côté à regarder la télé, c’est sans doute ce qui serait arrivé. Jeanne et Maman en salivaient... Ce serait bien si tu pouvais être un peu gentil avec elles ces trois prochains jours ; ça leur ferait du bien aussi.
Brice ne répondit pas ; sa tante ressemblait tellement à sa mère qu’il n’y voyait aucune difficulté, quant à sa grand-mère, il l’aimait beaucoup, mais il ne savait pas si ce serait suffisant. Il promit quand même à sa mère de faire tout son possible pour être gentil en précisant cependant qu’il en parlerait d’abord avec Barbara. Line ne répondit pas, mais elle savait que la jeune fille, sa mère et sa grand-mère, avaient été liées par un même amour et également affectées par sa disparition. Si Barbara était capable de ne pas la priver de son fils, elle serait sans doute capable de le partager avec elles.
Durant tout le dîner, Brice eut droit à des œillades des quatre femmes et à des caresses discrètes de sa mère et de Barbara entre lesquelles il était assis. Il réalisa qu’il n’était plus que le seul homme véritable de cette petite assemblée, son cousin Léo n’ayant que 15 ans et manquant véritablement de maturité. Après le repas, le jeune garçon alla s’isoler devant un écran d’ordinateur dans la chambre qu’il occupait avec, pour une fois, la bénédiction de sa mère et sa petite sœur fut autorisée à regarder un épisode de sa série préférée avant d’aller se coucher.
— Nous voilà enfin tranquilles, dit Jeanne, une fois ses deux enfants couchés. Je vais nous faire une tisane.
Brice, Barbara, Line et Mireille se dirigèrent au salon où le jeune homme se retrouva coincé, au milieu du canapé entre sa cousine et sa grand-mère. Barbara l’embrassa avec passion, et alors qu’ils s’enlaçaient, il sentit deux mains s’attaquer à sa braguette.
— Laisse-toi faire, mon Roudoudou, on est toutes d’accord, chuchota Barbara à son oreille.— C’est un viol alors, répondit Brice en soulevant les fesses pour aider au retrait de son pantalon et de son caleçon. À quatre contre un, je n’ai aucune chance.— À trois contre un, précisa Line, je vais me contenter de regarder.— En fait, ce ne sera qu’à deux, parce que moi je t’aurai toute la nuit, mais je vais quand même aider un peu, expliqua Barbara en lui enlevant son pull et son t-shirt.— Ooooh... Mamie... Mmm...— Elle suce bien, hein ? Papi disait toujours que c’était la meilleure.— Ooh oui... Elle suce divinement bien...— Eh bien, il n’a pas fallu longtemps ! remarqua Jeanne en apportant les tasses fumantes. Déshabille-toi, Maman, je vais te relayer.
Jeanne s’agenouilla entre les cuisses écartées de Brice, sourit de satisfaction en soupesant ses couilles, puis elle emboucha sa verge en le regardant droit dans les yeux.
— Ouh... C’est trop bon... Mmm... Oui, Tata... Aaah...— Hi hi, un petit cochon qui aime qu’on lui mette un doigt dans le cul, remarqua la grand-mère, totalement dévêtue.
Mireille avait 70 ans et aucun kilo en trop. Sa peau était ridée, ses seins tombaient comme deux galettes, et son ventre gardait encore les séquelles de sept grossesses, mais Brice la trouva encore séduisante avec sa chatte aux poils argentés comme ses cheveux et ses grosses fesses. Elle le prit dans ses bras et approcha ses lèvres de sa bouche, alors il l’embrassa et laissa courir ses mains sur sa grosse poitrine molle et son cul bien souple. Barbara s’écarta et alla s’asseoir sur l’accoudoir du fauteuil qu’occupait Line pour bavarder avec elle. Brice se retrouva allongé sur le canapé, Jeanne s’était aussi déshabillée et elle lui donna sa chatte à lécher pendant que sa grand-mère s’empalait sur sa grosse queue. Elles n’allaient pas trop vite, ni l’une ni l’autre, et après un moment assez long, elles échangèrent de place. Brice bouffait la chatte de Mireille en lui écartant les fesses pour bien voir son trou du cul qui s’ouvrit tout seul lorsqu’il y porta ses doigts.
— Il est vraiment super... J’en suis vraiment raide dingue ! Tu voudras dormir avec nous, cette nuit ?— Merci, Barbara, c’est gentil, mais il faut aussi que tu te préserves de longs moments avec lui. Brice est peut-être un bon étalon, mais il est beaucoup plus fragile qu’il en a l’air. Si on mélange tout, il risque de ne plus savoir où il habite... il faut l’aider à bien faire la distinction entre sa mère et sa femme et, dorénavant, c’est toi qui dois passer d’abord.— Tu crois que j’ai tort de le prêter un peu à Maman et Mamie ?— Non, regarde comme elles sont heureuses et lui n’en semble pas fâché... Avec elles, ça ne sera jamais que ponctuel, alors qu’avec moi, il faut que ça le devienne. Mmm... Le petit salop ! Ça c’est ce qui s’appelle travailler un trou du cul...— Tu peux être sûre qu’au prochain échange, c’est par là qu’elle se l’enfile. Mamie adore la sodomie.— Moi aussi, j’adore ça... Si un jour on m’avait dit que je regarderais ma mère et ma petite sœur faire l’amour avec un homme, je ne l’aurais pas cru, mais, en plus, si on m’avait dit que cet homme serait mon fils... Ça t’ennuie si je me masturbe ?— Oh non, moi aussi, je vais en faire autant... Oh, t’as une jolie chatte, Tata.— Tu trouves... Elle m’a toujours semblée indécente avec ces lèvres sombres qui dépassent et ce clitoris démesuré.— Elle est magnifique, on dirait une fleur tropicale... Elle est épanouie. Je... je n’ai jamais touché une femme...— Moi, non plus, mais je t’autorise... Si c’est toi, ça ne me gêne pas. Mmm... Oui, laisse-moi toucher ta petite minette aussi.— Non, j’ai envie d’autre chose, répondit Barbara en s’agenouillant entre les cuisses de sa tante.— Mmm... Oh oui, Coquine... Aaah... lèche-moi... Branle-moi... Aah oui, Barbara...
Line était au paradis. Sa nièce la léchait avec beaucoup de douceur et ses doigts allaient exactement là où il fallait pour lui procurer du plaisir. Elle se laissait faire en regardant sa mère et sa sœur baiser son fils dans une entente parfaite. Pendant plus de vingt minutes, Mireille et Jeanne se relayèrent sur la grosse bite de Brice et y prenaient un plaisir non feint. Elles jouissaient de son corps transformé en jouet sexuel en prenant garde à ne pas le mener trop vite et il se surprenait de tant d’endurance. Son plaisir allait cependant croissant et le besoin de jouir finit par se faire sentir. Il attrapa sa grand-mère qui le chevauchait, par les hanches, et se mit à remuer du bassin de façon plus énergique. Sa tante se frottait la moule sur son visage de plus en plus vite en s’astiquant le clitoris.
Mireille qui se faisait ramoner le cul en se touchant la chatte eut un orgasme intense et se retira, Brice était au bord de l’explosion et quand Jeanne, hystérique, remplaça sa mère en enfonçant sa bite au fond de sa moule détrempée, ils jouirent ensemble instantanément.
— Vous m’avez tué, parvint à dire Brice après cinq bonnes minutes.— Je n’espère pas, mon Roudoudou, je compte encore sur toi ; ma petite culotte est toute trempée.— Oh, il va falloir que j’aille sentir ça, alors... Laisse-moi juste le temps de me redresser et de boire ma tisane. Et après on monte au lit, mais faudra peut-être être un peu patiente.— Demain, on fera des tours, suggéra Line souriante, histoire de ne pas te l’épuiser trop avant la nuit.— Comment ça des tours ? C’est mon Chéri, pas une machine à foutre. Une le matin, une l’après-midi et une en début de soirée, ce sera déjà bien, et moi le reste du temps.— C’est exactement ce que j’entendais par des tours, ma Cocotte. Maman, Jeanne et moi, on arrivera bien à se mettre d’accord.— Et moi ? Mon avis compte ? demanda Brice en souriant.— Absolument pas, Roudoudou. Maintenant, tu es à moi et je te prête à qui je veux et quand je veux. Toi, tu dois seulement faire en sorte que ton gros zizi fonctionne bien pour faire jouir Mamie, ta Maman et la mienne comme il faut.— Et toi ?— Moi aussi, c’est évident, comme aujourd’hui : deux bonnes doses le matin, pareil l’après-midi et aussi le soir.— Ha ha ! Et avec ça je ne suis pas une machine à foutre... Avec un programme pareil, je risque de passer ma journée au lit.
Brice resta nu avec Barbara pendue à son cou, le temps de boire sa tisane, puis il embrassa sa mère, sa tante et sa grand-mère pour monter au lit avec sa cousine qui avait ramassé ses habits. Une fois dans leur chambre, elle se déshabilla sans retirer sa culotte et l’invita à la renifler directement sur elle. Elle était très excitée, sa chatte était trempée et il la lécha abondamment en écartant simplement la lanière du string de sa vulve glabre. Barbara se mit à gémir et chercha sa queue encore un peu mollassonne qu’elle suça jusqu’à la rendre bien dure. Brice l’attrapa par les cuisses et la prit avec force et passion. Elle s’agrippait à lui de tous ses membres et jouissait en se sentant remplie de son amour. Leur étreinte dura un temps formidable, elle vivait un orgasme sans fin et cria à en réveiller la maison quand il se répandit en elle.
Ils se réveillèrent dans la position qu’ils avaient en s’endormant et leur première activité fut de s’aimer avec passion. Brice et Barbara s’étaient définitivement trouvés et savaient déjà qu’ils seraient partenaires pour la vie entière, mais la jeune femme tenait à ce que son amoureux continue de satisfaire autant que possible les autres femmes de la maisonnée.
— Tu ne te défileras pas si je te demande d’aller faire l’amour avec Maman, Mamie ou ta mère ? Ça me plaît de voir que mon homme est très viril et puissant.— Je le ferai pour toi, parce que je ne pourrai jamais rien te refuser, et pour elles aussi. Mamie était vraiment heureuse, hier soir, et ta mère aussi. Si je peux leur faire plaisir pendant deux jours et apaiser un peu leur peine, j’en serais très heureux. En plus, je les adore et elles sont belles, alors ce n’est vraiment pas une corvée. Par contre, Maman, c’est différent ; elle a été mon seul amour pendant trois ans... Elle souhaite depuis longtemps que je rencontre la femme de ma vie et que je me détache d’elle, mais je crois que c’est elle qui va avoir du mal à se détacher de moi, finalement.— En plus, ces quinze jours ont été durs pour elle ; on en a un peu parlé. Ton père n’a pas pu venir et elle ne pouvait pas te retrouver avec toute la smala réunie. La relation entre Papi et Maman a toujours fait scandale, surtout avec ma naissance, et c’est seulement grâce à Mamie et ta mère qu’elle a été tolérée. L’été où vous étiez en Allemagne, Tata Carole m’a surprise quand je sortais de la chambre un matin et ça a tout remis sur le tapis... J’ai même cru comprendre qu’elle regardait d’un mauvais œil notre relation, alors tu imagines si vous aviez été grillés.— C’était effectivement un risque que Maman ne voulait pas prendre... Je lui avais même promis de ne pas jouer avec ses culottes.— Mais t’as bien trouvé les miennes, Cochon ! T’as eu de la chance que je me sois portée volontaire pour les lessives. Ha ha ! T’imagines si c’était Carole qui était tombée sur mes strings remplis de ton foutre.— C’est vrai que j’ai eu de la chance ; grâce à ça, j’ai trouvé ma femme.
En arrivant dans la cuisine pour prendre un petit-déjeuner, ils trouvèrent Line, Jeanne et Mireille en conciliabule. Elles venaient de se mettre d’accord sur leur ordre de passage pour la journée, le lendemain et le dernier jour.
— Aujourd’hui, ce sera moi le matin, Jeanne l’après-midi et Mamie le soir, expliqua Line à Barbara et Brice, et puis demain, ce sera Mamie le matin, moi l’après-midi et ta maman le soir et dimanche, Jeanne le matin et Mamie l’après-midi. Moi, de toute façon je l’aurais le soir dans mon lit.— Pff, c’est vrai que ça va passer vite... Vous ne repartez pas trop tôt dimanche.— Non, rassure-toi, Barbara, mais j’ai aussi pensé à quelque chose... Ta mère aimerait rester avec Maman, du coup, elle ne peut pas te conduire à ton train dimanche soir. Alors, je me suis dit que, peut-être, tu pourrais rentrer avec nous et prendre un TGV lundi matin pour aller directement à tes cours aux beaux-arts.— J’ai décidé de rester vivre ici pour m’occuper de ta Mamie, expliqua Jeanne à sa fille, comme je suis au chômage, je peux déménager facilement et l’environnement sera moins nocif pour ton frère et ta sœur.— Oh, je ne suis pas sûre que partager la vie d’une vieille veuve décatie soit le meilleur environnement pour eux.— Tu n’es pas vieille, Mamie, et absolument pas décatie ! lui répondit Brice aussitôt. Je te trouve très belle, au contraire.— Merci, mon Chéri, c’est très gentil... Mais c’est pourtant vrai. Par contre, c’est très agréable, arrivée à 70 ans, de pouvoir encore être aimée par un jeune homme de 20 ans, même si c’est son petit-fils, que c’est très mal et que si mes autres enfants savaient ça, ce serait la révolution dans la famille...— On s’en moque, Mamie, ils ne sont pas là.— Et tu vas encore pouvoir profiter un peu de mon Roudoudou, Mamie.— Toi aussi, tu es un amour, ma Chérie ; je suis bien contente de vous voir amoureux tous les deux et j’espère que ça durera toujours.
Brice passa deux jours et demi à satisfaire ces dames et lorsque sa mère, sa grand-mère ou sa tante quittait la chambre, c’était Barbara qui y rentrait pour reprendre possession de lui. Il ne prit même pas la peine de se doucher, tellement il avait l’impression de ne servir qu’à forniquer, et ne s’habilla que pour descendre manger en famille. Son odeur de mâle en rut excitait « ses femmes » qui sollicitèrent plus que prévu, mais il se montra à la hauteur du défi et en tira même une certaine fierté partagée par Barbara.
Le dimanche soir, il eut beaucoup de mal à quitter sa tante et sa grand-mère, mais il était content que Barbara ne l’abandonne pas tout de suite et les accompagne chez eux. Ils se couchèrent dans un même lit et s’aimèrent à trois, Line et sa nièce explorant un peu plus les amours saphiques, pendant qu’il reprenait des forces.Durant toute la semaine, Brice retrouva sa mère pour lui seul, mais son esprit était occupé par son amour pour Barbara. Pour les aider à tenir le coup, elle lui avait donné deux culottes sales et lui avait emprunté un caleçon pour garder son odeur près d’elle durant ses nuits de solitude. Ils s’appelèrent tous les jours et expérimentèrent même la masturbation au téléphone. De son côté, Line se languissait de retrouver Gabriel ; avec ce séjour en famille chez sa mère, elle ne l’avait pas revu depuis un mois et il lui manquait terriblement.
Le vendredi suivant, Line et Barbara se croisèrent un petit quart d’heure, dans le hall de la gare, quand Brice vint attendre sa dulcinée tout en accompagnant sa mère à son train pour l’aéroport Roissy.
— Je te confie Brice, mais je te préviens, il est tout excité ! Il a fallu qu’on arrive une demi-heure en avance et j’ai même été obligée d’aller le sucer dans les toilettes.— Maman !...— Et bien quoi, c’est vrai ; ne le nie pas. Bon, je t’embrasse et je me sauve. J’ai hâte de retrouver mon Chéri, moi aussi. Mmm... Mon Chéri, sois gentil avec Barbara.— Pff... Ta mère est vraiment folle ; elle te roule une pelle, comme ça, devant tout le monde.— Qu’est-ce que ça peut bien faire ? Ce ne sont que des inconnus et nous aussi on s’embrasse devant tout le monde.
Brice et Barbara ne quittèrent le lit que pour satisfaire leur appétit et leurs besoins naturels, et quand Line rentra le dimanche soir, c’est là qu’elle les trouva en pleine action. Elle se fit voyeuse jusqu’à ce qu’ils jouissent et alla les embrasser.
— Vous avez passé un bon week-end, les enfants ? Vous avez bougé un peu ?— Non, hi hi ! On n’a pas eu le temps... On n’a même pas vraiment quitté le lit. Mon Roudoudou m’a bien consolée de ma semaine de disette.— Gabriel et moi aussi n’avons rien fait d’autre ; il est très content pour vous et il espère bien que vous lui rendrez visite en même temps que moi un jour.
Comme la semaine précédente, Barbara reprit un train pour Paris le lundi matin et durant trois semaines, elle vécut ce rythme de séparation forcée en semaine et de retrouvailles torrides le week-end. Même Brice trouvait ça de plus en plus difficile et Line s’en rendait compte. De son côté, elle trouvait sa relation quotidienne avec Brice de plus en plus incongrue et attendait avec impatience que son année universitaire se termine pour rejoindre définitivement Gabriel à Berlin. Elle avait déjà donné sa démission, mais elle devait encore quelques semaines de travail. Cependant, son chef de service, plutôt compréhensif, acceptait qu’elle n’aille pas jusqu’au bout et avait même organisé son pot de départ avec anticipation. Cette liberté de tout plaquer du jour au lendemain rendait cette attente encore plus pénible. Ses retours de Berlin devenaient de plus en plus pesants, bien qu’elle soit quand même heureuse de retrouver Brice et Barbara le dimanche soir.
— Ce n’est pas trop pénible de prendre le train le lundi matin pour aller à tes cours ? demanda-t-elle à Barbara pendant leur petit-déjeuner.— Oh non, c’est parfait ! Je ne me lève pas tellement plus tôt que quand je suis à Paris. Le plus dur c’est de me retrouver seule le soir et, pour être très franche, si j’en avais les moyens, je t’aurais demandé l’autorisation de vivre ici, mais les abonnements ne sont pas à la portée de ma bourse, de toute façon.— Ça ferait sans doute plaisir à Brice, même si je suis là, ce n’est plus pareil ; tu lui manques terriblement aussi. Si tu étais là tous les soirs, tu serais capable de lui botter le train pour qu’il bosse son concours d’internat ?— Évidemment, il ne manquerait plus qu’il ne foute rien ! Enfin... C’est vrai que le week-end on ne fait que niquer. Mais pourquoi tu me demandes ça puisque je ne peux pas me le permettre ?— Toi, non, mais je crois me rappeler que c’est ton anniversaire mercredi ; je pourrais t’offrir un abonnement pour la fin de l’année.— Non, Line, c’est trop ! C’est vraiment très cher, tu sais.— C’est très intéressé ; je t’offre cet abonnement de TGV, et moi, je vais vivre avec Gabriel en te confiant mon fils et ma maison. Il a besoin de toi, tu as besoin de lui et moi j’ai besoin de Gabriel et je dois me... Me séparer de Brice.— Oh, je... balbutia Barbara avant d’enlacer sa tante.
Barbara ne savait pas quoi dire, mais elle savait que son silence et sa tendresse suffisaient pour exprimer sa gratitude et sa compassion.
— Qu’est-ce qui se passe ? Vous pleurez ? s’étonna Brice qui sortait de sa douche.— Non, enfin si, mais il n’y a rien de grave. On est plutôt heureuses en fait.— Et c’est quoi, alors ?— C’est une surprise, je vais finir de me préparer pour aller travailler ; je te dépose à la gare Barbara, d’accord ?— Je pensais le faire, Maman.— Non, je vais y aller avec ta mère, mon Roudoudou, mais ne t’inquiète pas, tu vas en avoir l’occasion bientôt.
Brice rentra de la fac et trouva sa mère très joyeuse, mais elle refusa de lui dire pourquoi. Elle lui fit une petite gâterie avant de l’envoyer travailler, et quand il la retrouva dans la cuisine un peu plus tard, il trouva qu’elle préparait un peu trop pour deux.
— Même si je suis un peu affamé, je ne suis plus un ado morfal, Maman ; tu crois qu’on va manger tout ça ?— Oh, si tu es affamé, ça sera peut-être un peu juste alors...— Attends ? Tu rigoles ? On attend quelqu’un ?— Oui, on attend quelqu’un...— Papa ?— Non, même si tu manques un peu à ton père, je ne crois pas qu’il puisse sacrifier une journée pour venir dîner chez nous...— Et moi qui me suis mis en pyjama ; tu aurais pu me prévenir. C’est qui ?— Une surprise. Et tu peux rester en pyjama ; tu es très bien comme ça.
Lorsque l’on sonna à la porte, Brice alla ouvrir à la demande de sa mère et reçut Barbara et tous ses bagages dans les bras. Line resta jusqu’au mercredi pour organiser son départ et régler certains détails avec sa nièce.
— Il faut que je te laisse de l’argent, dit-elle à Barbara un soir tandis que Brice travaillait. Brice est incapable de s’occuper de lui ; il est préférable que tu gères les comptes, les courses, la cuisine et le linge. Pour le ménage, ça va, si tu lui demandes, il le fait volontiers, mais pour le reste, c’est une catastrophe ! Rappelle lui aussi de prendre une douche le matin et de se changer régulièrement de t-shirt et de pantalon ; il est capable d’être très négligé...— En gros, il faut que je sois sa mère, aussi, en plus d’être sa femme, constata Barbara, souriante.— C’est ce dont a besoin Brice, d’une mère qui soit aussi sa femme ou d’une femme qui soit aussi sa mère ; c’est incurable...— Ne t’en fais pas, Line, je serai sa femme et sa mère ; et s’il n’est pas sage, je lui mettrai des fessées déculottées. Hi hi !— Je savais que je pouvais compter sur toi ; tu es merveilleuse.— Je l’aime, Line, et je veillerai toujours à ce qu’il soit bien.— Vous viendrez nous voir à Berlin ?— Bien sûr, ça me ferait plaisir de revoir mon Tonton Gabriel. Mais on va attendre qu’il ait passé son concours ; là je veux qu’il bosse. Je l’ai trop détourné de son travail ces derniers temps.
Brice sortit de ses épreuves avec la certitude d’avoir bien réussi et était plutôt confiant. Barbara était ravie pour lui et avait déjà préparé leur valise. Le lendemain, ils partaient ensemble pour Berlin et Barbara était tout heureuse de prendre l’avion pour la première fois de sa vie. Line les attendait à l’aéroport, car Gabriel travaillait et elle fut très émue de retrouver son fils.
— Ça fait longtemps que je n’étais pas venu, constata Brice joyeux. Tu ne t’ennuies pas trop à attendre Papa toute la journée ?— Non, j’ai trouvé de quoi m’occuper ; je me suis remise sérieusement à la photo et j’en ai déjà vendu quelques-unes à une agence de publicité et à un hebdomadaire. Du coup, je me balade et je commence à bien connaître Berlin. En plus, j’ai bien été obligée de me mettre à l’allemand et j’avoue que ce n’est pas encore ça.— Et Papa ? Il va bien ?— Ton père est en pleine forme ! Et il a hâte de te retrouver...
Brice ne releva pas l’allusion et se retourna vers Barbara qui était assise à l’arrière. Elle était captivée par la découverte de cette ville mythique, mais elle suivait aussi la conversation de Brice et Line.
— Tu vas devoir lui accorder du temps, mon Roudoudou ; je compte sur toi.— Ça ne va pas te choquer ? demanda Line à sa belle-fille. Moi, j’aime les voir tous les deux, mais...— Brice m’a expliqué depuis longtemps et je suis prête... Ça fait plus de trois mois qu’il n’a pas vu son Papa, alors il n’y a rien de surprenant à ce que leurs retrouvailles soient intenses. Et puis, si on s’ennuie, on leur montrera qu’on est capable aussi de s’occuper toutes les deux.— On n’a pas besoin d’attendre de s’ennuyer pour ça, ma Chérie... J’aime beaucoup faire l’amour avec toi.— Tu vas devoir lui accorder du temps, mon Roudoudou ; je compte sur toi.— Ça ne va pas te choquer ? demanda Line à sa belle-fille. Moi, j’aime les voir tous les deux, mais...— Brice m’a expliqué depuis longtemps et je suis prête... Ça fait plus de trois mois qu’il n’a pas vu son Papa, alors il n’y a rien de surprenant à ce que leurs retrouvailles soient intenses. Et puis, si on s’ennuie, on leur montrera qu’on est capable aussi de s’occuper toutes les deux.— On n’a pas besoin d’attendre de s’ennuyer pour ça, ma Chérie... J’aime beaucoup faire l’amour avec toi.
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