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Anaïs

Chapitre 1

SM / Fétichisme
ANAÏS

Il y a quelques années j’avais fait la connaissance d’Anaïs alors qu’elle était encore étudiante. Nous prenions le même train, elle pour se rendre à sa fac, et moi pour aller à mon travail. Un jour que notre train avait un peu de retard, et que nous attendions sur le quai, nous avons lié conversation. Elle m’expliqua qu’elle était étudiante, et moi âgé de 10 ans de plus qu’elle, j’étais déjà dans la vie active. Nous avons pris ensuite l’habitude de deviser ainsi tous les jours en attendant notre train. De simples banalités au départ, nos conversations sont devenues au fil des semaines, un peu plus amicales voire intimistes.
Elle ne se trouvait pas jolie, pourtant son visage avait quelque chose de séduisant, et son corps était encore plus attrayant, en particulier sa poitrine qui ne cessait d’attirer mon regard. Elle n’était jamais sortie sérieusement avec un garçon, hormis quelques flirts qui ne l’avaient jamais émue. Bien souvent nos conversations se tournaient vers la mode vestimentaire, travaillant dans le prêt-à-porter j’avais quelques connaissances dans ce domaine.
Je m’étais aperçu que chaque fois que lui donnait un conseil, quelques jours plus tard elle le mettait en pratique. Bien sûr je l’orientais souvent sur des tenues qui me plaisaient et qui mettaient sa silhouette féminine en valeur, le plus souvent : mini jupes et chemisiers décolletés.
J’avais également constaté que malgré notre différence d’âge, je ne lui étais pas indifférent. J’ai pu le vérifier un jour qu’elle était en panne de voiture, et que je l’avais raccompagnée à son domicile. Ayant un rendez-vous un peu plus tard, j’avais dû décliner son invitation à prendre un verre, et elle m’avait parue très peinée par mon refus.
Le lendemain je lui proposai de l’escorter le soir même, j’aurais plus de temps à lui consacrer. Elle fut ravie, et me proposa de me montrer sa garde robe afin que je détermine quel chemisier serait le mieux assorti à quelle jupe. Ce soir là j’ai passé une soirée exquise à la contempler dans toutes ses tenues, en la quittant je lui lançai en plaisantant :
— La prochaine fois que je viendrai, nous ferons la même chose avec tes petites tenues.
— Si vous voulez, me répondit-elle très franchement, j’en ai de très sexy.
Elle avait dit cela très sérieusement, il ne restait qu’à prendre un nouveau rendez-vous pour voir si elle tiendrait sa promesse. Malgré mon insistance elle continuait de me vouvoyer, alors que j’étais passé au tutoiement depuis longtemps.
Nous avions maintenant pris l’habitude que je la raccompagne chaque jour chez elle, même si bien souvent je ne m’arrêtai que quelques secondes juste le temps qu’elle descende de mon véhicule.
L’occasion d’approfondir nos relations s’est présentée quelques jours plus tard. Alors qu’elle devait rentrer plus tôt, elle me proposa de venir passer l’après-midi avec elle. Je lui promis de venir la retrouver en début d’après-midi, sans bien sûr lui reparler de cette histoire de sous-vêtements, qui me tenait à cœur. Ce que je ne lui avais pas dit c’est que je ne serais pas seul, Florence m’accompagnerait. Florence était une de mes anciennes amies avec qui j’entretenais toujours d’excellentes relations. Nous faisions encore l’amour parfois ensemble, et je savais qu’elle ne dédaignait pas pimenter nos relations avec une autre fille. Plus jeune de cinq années que moi, elle avait aussi cinq ans de plus qu’Anaïs, j’étais sûr que le courant passerait bien entre elles.
A peine entrés chez Anaïs, je lui présentai Florence comme une de mes amies travaillant dans la mode, sans lui dévoiler les relations que nous entretenions. J’avais également apporté une bouteille de champagne que nous avons commencé à déguster à peine assis. Anaïs était enchantée et ne cessait de l’interroger sur son soi-disant métier. Ses seules connaissances sur la « profession » se limitaient à un stage de trois mois chez un couturier reconnu, et de ce qu’elle avait pu lire dans des revues spécialisées. Il faut reconnaître que Florence aimait être bien habillée, et qu’elle avait une certaine classe. Après de nombreuses minutes de dialogues entres elles, j’entrai dans le vif du sujet :
— J’ai expliqué à Florence le défilé de mode que tu m’as fait l’autre jour, et elle a eu une excellente idée. Tu vas le refaire, comme cela elle pourra te donner son avis, et en même temps je te prendrai en photo. Tu pourras ainsi voir quel ensemble te va le mieux, et ainsi constater que tu es plus désirable que tu ne le penses.
Comme le courant était bien passé, elle accepta avec enthousiasme, et partit mettre une première tenue. Après ce premier essayage et les premières photos, Florence lui proposa d’apporter toutes ses tenues dans la pièce, ce qui lui éviterait de fastidieuses allées et venues. Anaïs revint avec toutes les tenues qu’elle m’avait déjà présentées. Lorsqu’elle voulu partir se changer dans sa chambre, Florence lui demanda de se changer devant nous pour gagner du temps. Anaïs sembla hésiter un instant, puis peut être sous les premiers effets du champagne, se tourna et passa un autre ensemble comme si elle se trouvait seule. J’étais tout excité de la voir en string et soutien-gorge à quelques mètres seulement de moi. En jetant un œil à Florence je vis que je n’étais pas le seul à apprécier le spectacle.
A la fin de cette présentation la bouteille était vide, il était temps de lancer le sujet qui me tenait à cœur.
— Et si nous faisions de même avec tes tenues sexys, comme tu me l’as proposé la dernière fois ?
Il fallu palabrer quelques instants avant qu’elle ne se décide.
— Nous venons de te voir à l’instant en tenue légère, précisa Florence, le plus gros est déjà fait.
Anaïs qui tenait autant à me faire plaisir, qu’à sa nouvelle amie, acquiesça et partit se changer dans sa chambre. Là encore Florence dut intervenir pour qu’elle revienne avec toute sa collection. Anaïs revint vêtue un superbe ensemble très sexy rouge, et portant dans ses bras toute un assortiment de tenues de différentes couleurs. Après les premières photos, Florence lui suggéra de passer une autre tenue, et une nouvelle fois de se changer ici même, elle se leva pour mieux la convaincre.
— Je t’aiderai, et je me mettrai devant toi pour te cacher. Tiens, passe déjà ce petit soutien-gorge.
Anaïs intervertit rapidement les deux hauts, quelques secondes après Florence lui tendit la culotte assortie, toujours en lui servant de paravent.
Nous ne cessions de la complimenter, Florence et moi, sur le choix de ses achats, mais encore plus sincèrement sur son corps qui mettait favorablement en valeur sa lingerie. J’avais pris quelques photos d’Anaïs avec cette tenue, et lui proposai de passer à la suivante.
Florence qui jusqu’à présent n’avait pu la voir que par un œil indiscret, trouva la solution pour profiter de tout le spectacle.
-Tiens, mets ce string maintenant.
Anaïs avait déjà ôté son haut, et pendant qu’elle finissait de se dévêtir, Florence s’écarta soudainement pour se diriger vers le reste des tenues en lui annonçant après quelques secondes.
— Attends, passe plutôt celui-ci.
Anaïs mit un instant avant de s’apercevoir que plus rien ne la cachait à notre vue. Florence contempla le corps entièrement dénudé d’Anaïs et lui dit.
— Maintenant, je pense que ce n’est plus la peine que je te serve de cache. Ce sera plus simple à présent, d’autant que tu es vraiment splendide sans rien.
Anaïs fut touchée par le compliment et ne sut que répondre, elle lança avec un sourire.
— Je me doutais bien que cela finirait ainsi.
Au terme des essayages, Florence continua finement son approche en sachant d’avance ce que j’allais lui répondre. Nous nous connaissions véritablement bien tous les deux, je ne sais malheureusement pas pourquoi nous n’étions plus ensemble.
— Je suis jalouse que tu ne prennes qu’Anaïs en photo, tu pourrais nous prendre toutes les deux.
— Je veux bien, mais ce n’est pas normal que l’une soit en petite tenue et pas l’autre, répondis-je.
— Je n’ai pas changé mes habitudes, tu sais bien que je ne porte jamais de dessous, rectifia t’elle.
— Ce n’est pas la première fois que je te vois nue, et ce ne sera peut être pas la dernière, ajoutai je.
Florence n’attendait que ma réponse pour ôter son ensemble, une fois nue elle intervint de nouveau.
— Maintenant que je n’ai plus de vêtements, il n’y a pas de raison pour qu’Anaïs garde les siens.
Sans attendre elle se tourna vers Anaïs et entreprit d’enlever le peu d’effets qui lui restait.
— Nous sommes à armes égales à présent, comment veux tu que nous posions ?
Anaïs ne sut que dire, et se contenta d’attendre mes instructions.
Je pris l’appareil et commençai mes directives.
— Restez comme vous êtes, vous êtes véritablement à croquer toutes les deux, on dirait deux sœurs.
Assez grandes toutes les deux, aussi brune l’une que l’autre de chevelure, le même type de visage, mais surtout de corpulence et de taille identique, elles auraient effectivement pu passer pour issues de la même mère.Après quelques clichés, je leur proposai de se tourner un peu l’une vers l’autre, et de se prendre par la taille. Florence se débrouilla habilement pour que l’un de ses seins touche l’un de ceux d’Anaïs. Elle avait également une curieuse conception de la taille : une de ses mains effleurait quasiment le deuxième sein d’Anaïs. Si cette dernière ne voulut pas donner l’impression d’apprécier la pose, du côté de Florence, son corps, et en particulier ses seins trahirent son plaisir, ses tétons étaient érigés au maximum.
— C’est bien, à présent asseyez vous l’une à côté de l’autre sur le canapé en vous regardant droit dans les yeux. .
J’eus à peine le temps de prendre une photo que la situation m’échappa totalement. Florence, qui ne pouvait résister plus longtemps laissa ses mains courir sur le corps d’Anaïs, et approcha également son visage d’elle. Lorsque les mains arrivèrent à la poitrine d’Anaïs, leurs lèvres n’étaient qu’à quelques centimètres les unes des autres. Florence embrassa alors Anaïs à pleine bouche, et celle-ci ne chercha pas à se dérober. L’instant d’après Florence était allongée sur Anaïs, et autant ses mains que ses lèvres, exploraient sans retenue le délicieux corps ainsi offert sans résistance.
Je n’eus pas l’inconvenance de les déranger dans leurs ébats, et me contentai de passer un divin moment à jouir du plaisir de voir les deux filles faire intimement connaissance. Je n’en n’oubliai pas pour autant de figer ce souvenir avec de mon appareil photo.
A la fin de la journée, j’étais sûr qu’une véritable amitié et qu’une profonde intimité les lieraient pour longtemps.

Le lendemain dans le train, ce fut Anaïs qui évoqua la journée passée, elle ne regrettait rien de ce qui s’était déroulé. Je pense même que cette expérience la libéra de ses complexes. Elle avoua au creux de mon oreille :
— J’ai pris la même habitude que Florence, et même davantage.— Explique-moi.— J’ai décidé de ne plus porter de sous-vêtements.— Et c’est quoi le plus ?— Je me suis totalement épilée pour être plus douce.
N’y croyant pas, je lui fis répéter, en croyant que j’avais rêvé. Elle me confirma qu’elle était aussi nue qu’au jour de sa naissance.
— Montre-moi cela, remonte ta jupe. Exigeai-je d’elle.
Je ne pensais pas qu’elle le ferait, bien qu’il n’y ait que peu de monde autour de nous, juste un jeune homme sur la banquette voisine.Elle jeta un œil rapide sur le côté, et vit que le garçon dormait, elle commença alors à remonter lentement sa jupe sur ses cuisses. Lorsqu’elle fut assez remontée, je remarquai que notre voisin ne dormait plus, et regardait précisément les cuisses d’Anaïs. Cette dernière ne s’était aperçue de rien. Je posai mes mains sur ses cuisses et lui écartai doucement les genoux.
— Je veux voir si tu es vraiment douce.
Je retroussai davantage la jupe, et ma main remonta alors vers son ventre pour la caresser, à mon plus grand étonnement elle se laissa faire. Lorsque j’arrivai à son petit bouton, j’accentuai la caresse avec la ferme attention de lui donner du plaisir. Je ne pus m’empêcher de lui dire :
— Le garçon à côté de nous ne dort plus et te regarde.
Elle voulu rabattre sa jupe et refermer ces cuisses.
— Non. Lui dis-je fermement. Je vais continuer, et toi tu vas le regarder.
De ma main libre, je lui tournai la tête en lui ordonnant d’ouvrir les yeux. Elle regarda alors le voisin fixement, avec un air de défi. Quelques secondes plus tard, je la sentis jouir sans que rien ne transparaisse dans son attitude. Il était temps, notre train arrivait à destination. En descendant, le jeune homme eut cent fois l’air plus gêné qu’Anaïs. D’autant qu’une bosse déformait son pantalon, et qu’Anaïs se vengeait en regardant cette bosse avec insistance. Le garçon avait disparu avant que nous ne soyons sortis de la gare.
Nos voyages de cette fin de semaine se déroulèrent comme auparavant, c’est-à-dire en conversations banales, sans allusion à ce qui avait pu se passer les jours précédents.
L’épisode le plus chaud se déroula le mercredi suivant. Les trains ne sont guère fréquentés ces jours là : beaucoup de femmes ne travaillent pas et les jeunes n’ont pas de cours. Ce mercredi là j’étais arrivé particulièrement en avance, et marchais de long en large sur le quai en attendant Anaïs. J’aperçus alors le jeune homme qui avait assisté à notre petit spectacle la semaine d’avant. Je m’approchai de lui d’un air bien décidé.
— Bonjour, j’espère que le spectacle que tu as vu l’autre jour t’a plu ?
Il m’avait bien entendu reconnu, mais n’osait que dire.
— Si tu veux en voir un autre, trouve toi seul dans un compartiment.
Sans lui laisser le temps de me répondre, je me dirigeai là où nous avions l’habitude de nous attendre Anaïs et moi. Elle arriva quelques minutes plus tard, bien sûr je ne lui parlai pas de la rencontre que j’avais fait l’instant d’avant.
Lorsque le train arriva, je montai dans notre voiture habituelle mais me dirigeai immédiatement vers celle qui avait des compartiments. Anaïs parut surprise par ce changement, mais me suivit sans commentaires. Je scrutai tous les compartiments en espérant trouver celui avec notre jeune homme, je n’étais pas vraiment certain qu’il ait répondu favorablement à mon attente. Je le trouvai enfin, et m’effaçai pour laisser Anaïs entrer la première. En reconnaissant le garçon, elle me regarda avec un sourire, et comprit spontanément pourquoi nous n’avions pas pris nos places habituelles. Je l’invitai à s’asseoir juste à côté de lui, elle ne semblait attendre que cela.
Une fois le train parti vers sa destination, et le contrôleur passé vérifier nos billets, je passai à l’attaque. Je caressai le visage d’Anaïs, et laissai ma main descendre petit à petit vers son chemisier, comme si nous ayons été seuls. Le premier bouton ne résista que quelques secondes à mes mains expertes, les autres suivirent immédiatement. Je dégageai la première épaule pour mettre un sein à nu, le deuxième se trouva dans la même situation l’instant d’après. Anaïs, qui était restée jusqu’à présent impassible, dégagea ses bras des manches en laissant son chemisier tomber derrière elle, et se retrouva à demi nue entre moi et notre voisin.
Ce dernier était aussi immobile, mais ne perdait pas une miette du spectacle, et laissait transparaître une certaine émotion. Lorsque je posai une main sur les genoux d’Anaïs, je m’aperçu qu’elle avait déjà posé une des siennes sur un genou du jeune homme. Comme la dernière fois, je lui écartai doucement les genoux, et lui retroussai au maximum la jupe. Alors que ma main progressait le long de sa cuisse, la sienne fit de même jusqu’à s’arrêter sur la bosse déformant le pantalon de son voisin. Mes caresses se firent plus précises au creux de son intimité, la main d’Anaïs s’était déjà infiltrée dans le pantalon ouvert, et massait ouvertement le sexe tendu à travers l’étoffe du boxer. Anaïs ne se retint pas comme la dernière fois, et laissa éclater bruyamment son plaisir, le jeune homme fit de même. Alors qu’elle reprenait doucement ses esprits, le jeune voisin partit comme un boulet dans le couloir. Je suppose qu’il alla directement dans les toilettes pour nettoyer les traces de son bonheur. Anaïs me sauta au cou, et m’embrassa passionnément dans un signe que je pris comme un tendre remerciement.
Quand le jeune homme revint rhabillé et apparemment détendu, Anaïs et moi étions sagement assis à deviser comme s’il ne s’était rien passé. Il se souviendrait longtemps de ce voyage là.

Le vendredi suivant, en raccompagnant Anaïs, je lui fis part du désir qu’avait Florence de la revoir, et de lui présenter un de ses amis. Comme elle n’avait pas de cours à réviser elle accepta avec plaisir. Nous passâmes prendre Florence à son travail et nous rendîmes chez son ami Maxime. Je le connaissais déjà pour l’avoir rencontré plusieurs fois en compagnie de Florence. Je savais qu’il « en pinçait » pour elle, et qu’il ne lui était pas indifférent. Maxime n’avait pas de travail fixe, mais avait une fabuleuse culture et toujours assez d’argent pour recevoir dignement ses amis. A peine arrivé, il nous proposa une coupe de champagne.Anaïs et Florence, sans se concerter, avaient revêtu une tenue semblable : une jupe très courte assortie d’un chemisier assez échancré, laissant deviner leurs poitrines adorables. Nous avions vraiment de la chance, Maxime et moi, d’être en compagnie de filles si désirables.
Nous parlions de tout et de rien lorsque Florence déclara :
— Au fait, j’ai fait développer les photos que nous avons prises chez Anaïs, vous voulez les voir ?
Maxime ne savait pas de quoi nous parlions, mais moi j’étais impatient de les regarder, seule Anaïs semblait réticente à l’idée de les voir surgir à cet instant. Florence les sortit de son sac et nous les montra une à une, elles étaient rangées dans l’ordre chronologique des prises. Anaïs prise d’une crise de timidité blêmissait à mesure que les photos apparaissaient, dernière à les voir, elle redoutait les ultimes poses. Florence ayant une idée derrière la tête ne s’arrêta pas lorsque les photos les plus chaudes apparurent. Maxime qui jetait un œil distrait aux premiers clichés, prenait maintenant son temps pour apprécier les photos d’Anaïs en petite tenue. Celle-ci devint rouge comme une pivoine et lançait des regards meurtriers à Florence. Lorsqu’il vit les photos des deux filles en pleine action, il lança ce commentaire :
— Ces photos sont très réussies, mais j’aurais nettement préféré vous voir de mes propres yeux.
— Si tu nous offres une deuxième bouteille, Anaïs et moi reprendrons les poses pour te faire plaisir.
La bouteille arriva sur la table en moins de temps qu’il ne fut pour le dire. Florence sut trouver les mots pour convaincre Anaïs :
— Je pense que cela ferait également énormément plaisir à Raoul de revivre cette situation, d’autant qu’il a apprécié le spectacle mais a dû être un peu frustré ce jour là. Je suis sûre que tu as envie de lui faire plaisir.
Florence avait bien analysé les sentiments d’Anaïs, et avait compris que celle-ci aurait aimé que je participe avec elles ce jour là. Je ne l’avais pas mise au courant des épisodes ferroviaires.
— Allez viens, lève toi de ton fauteuil, ne faisons pas attendre ces messieurs. Dit Florence en entraînant Anaïs au centre de la pièce.
Elle se plaça derrière Anaïs et ouvrit un à un les boutons du chemisier, avec une lenteur parfaitement calculée. Une fois celui-ci entièrement dégrafé, Maxime et moi fûmes un peu sur notre faim : les 2 pans qui étaient encore bien retenus dans la jupe, cachaient encore presque entièrement la merveilleuse poitrine. Bien que j’aie déjà eu plusieurs fois l’occasion de l’apprécier, cette situation m’excitait au plus haut point.
Elle défit ensuite le zip de la jupe, et retint celle-ci quelques instants, histoire de nous faire davantage monter la pression. Florence ôta ensuite le chemisier mais le laissa descendre de façon à nous cacher le ventre d’Anaïs, dans le même temps elle plaqua un de ses bras sur la poitrine presque dévoilée. Lorsque le chemisier tomba à terre, la main restée libre de Florence se colla sur le bas-ventre d’Anaïs. Là encore Florence se faisait un plaisir de nous faire attendre pour nous échauffer davantage.
— Est-ce que je continue ? demanda-t-elle malicieusement.
La question ne se posait même pas, nous n’attendions que cela.Les mains de Florence se firent de plus en plus enveloppantes, caressant avec dextérité l’une la poitrine, et l’autre le mont de vénus. Elle semblait prendre autant de plaisir à caresser Anaïs que nous à regarder le petit numéro des deux amies. Anaïs ne dédaignait pas son plaisir, et se laissait faire avec volupté.
— Maintenant c’est au tour d’Anaïs de me mettre dans la même tenue qu’elle.
Anaïs avait bien compris la leçon, et mit autant de temps que Florence pour effectuer le strip-tease de son amie. Nous étions au comble de l’excitation.Voyant notre impatience, Florence proposa :
— Nous pourrions faire un petit concours, pour voir qui de vous deux sera le plus caressant. Raoul, tu vas prendre ma place, et Maxime faire de même avec moi.

Elle s’avança vers moi, et invita Maxime à aller rejoindre Anaïs. Je n’y comprenais plus rien, elle faisait le contraire de ce qu’elle nous avait proposé l’instant d’avant.
— Pour pimenter un peu le jeu, nous allons commencer ainsi pour vous mettre dans la même tenue que nous.
Florence avait hâte d’être dans les bras de Maxime, je fus donc déshabillé en quelques secondes. Quant à Anaïs, bien que son impatience fût aussi grande, elle prit son temps pour dévoiler le corps d’Apollon de Maxime.
Quand nous fûmes entièrement nus à notre tour, les filles échangèrent leur place. Anaïs vint se blottir dans mes bras, non sans remarquer mon état particulier.
— C’est moi qui te fais cet effet là, ou c’est Florence ?— C’est vos petites démonstrations à toutes les deux, mais c’est toi seule qui vas en profiter.
De son côté Florence était déjà en train d’embrasser Maxime, dont les mains avaient déjà commencé à explorer le corps gracile. Debout les uns à côté des autres, la proximité était trop tentante, il arrivait que les filles soient caressées par 4 mains en même temps. Ceci ne semblait pas particulièrement les perturber, leurs soupirs nous prouvaient leur bonheur.
L’appartement de Maxime étant trop exigu, nous nous retrouvâmes tous les 4 sur son canapé. Autant la proximité, que la vue de l’autre couple en plein ébat nous excitaient tous quatre. Nous nous attachions, Maxime et moi à donner le plus de plaisir possible à nos partenaires. Après nos mains, se furent nos lèvres et nos langues qui prirent la relève. Elles atteignirent le plaisir quasiment ensemble, et ne purent se décider à désigner un vainqueur.
Si elles ne pouvaient nous départager, nous pensions que c’était à elles maintenant d’essayer de faire la différence, et je leur proposai d’inverser les rôles. Comblées par nos prestations, elles jugèrent normal qu’elles devaient elles aussi, satisfaire notre demande.
Ce fut donc à notre tour d’être choyés par ces deux déesses. Nous aussi fûmes surpris de sentir parfois plus de deux mains s’attarder sur nos virilités, mais c’était tellement bon que nous n’avions pas l’envie d’en faire la remarque. Les lèvres qui remplacèrent les mains eurent tôt fait d’avoir raison de nous, là aussi nos gémissements de plaisirs arrivèrent de concert. Les deux petits jeux se conclurent par une égalité totale entre filles et entre garçons.
En bon maître de maison, Maxime alla chercher quelques viennoiseries pour nous remettre de nos émotions. Une fois de plus Florence réussit à me surprendre.
— Anaïs à découvert beaucoup de choses ces derniers temps, elle a fait de nombreux progrès et elle a beaucoup donné d’elle. Il serait temps qu’on la récompense pour tous ses efforts, je pense qu’on ne sera pas trop de nous trois pour cela.
Elle avait raison, nous allions nous occuper exclusivement d’Anaïs, et lui donner le plus de plaisir possible. Elle débuta les « hostilités » en entraînant Anaïs dans la chambre de Maxime. Florence se fit plus caressante que jamais, faisant monter graduellement le plaisir de son amie.
Maxime fut le deuxième à rejoindre le duo sur son lit. Anaïs était étendue sur le côté, avec Florence dans son dos qui continuait ses douces caresses. Maxime s’allongea devant elle, et commença lui aussi son exploration par de douces caresses. Son bassin ondoya ensuite lentement sur le bas-ventre d’Anaïs, puis il se coucha sur le dos et invita Anaïs à s’allonger sur lui. Ce fut elle à présent qui ondoya un moment sur le membre tendu de Maxime, puis lorsqu’elle fut prête, leurs deux corps ne firent plus qu’un.
Florence n’était pas restée inactive pendant ce temps, et avait doucement écarté les fesses de sa compagne. Sa langue avait caressé chaque centimètre carré offert, et s’insinuait à présent au plus profond du petit trou ainsi sollicité. Un doigt pris la place de la langue pour continuer le travail de préparation. Anaïs, bien que surprise par cette caresse inhabituelle, prenait plaisir de cette découverte. Un deuxième doigt vint rejoindre le premier peu de temps après. Florence ne précipitait pas les choses, en bonne connaisseuse elle préparait sa compagne avec application.
Lorsqu’elle sentit qu’Anaïs était enfin prête, elle me fit signe d’approcher. Elle me prit doucement dans sa bouche, afin de me lubrifier pour ne pas qu’Anaïs subisse avec trop de difficulté cette pénétration singulière. Elle prit mon sexe dan sa main et l’approcha du trou intime d’Anaïs, il ne me restait plus qu’à y pénétrer avec douceur. Lorsque ce fut fait, Anaïs ne semblait pas souffrir du désagrément, et semblait demander davantage à cet accouplement. Je me mis alors à onduler au rythme du couple déjà formé, Anaïs était aux anges.
Florence rejoignit la poitrine d’Anaïs qu’elle s’employa à câliner de son mieux avec sa bouche et sa langue. Cette dernière prit son plaisir quelques minutes après, son corps agité de spasmes, nous prouvant combien elle avait été heureuse avec nous trois.
Notre mission était remplie, Anaïs n’avait plus de complexes ni de tabous, elle était prête à présent pour avoir une vie sexuelle épanouie avec qui elle désirait.
monsieur.pat@orange.fr
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