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Anaïs, la barmaid du club

Chapitre 1

Erotique
Une nouvelle nuit d’insomnies m’avait conduit à me relever, m’habiller et aller hanter les rues chaudes de Paris... J’étais d’abord allé à Pigalle puis j’étais redescendu vers le centre de Paris où je connaissais un club coquin situé dans le quartier des Halles... Sur les trottoirs de la Rue du Faubourg Saint Denis, il n’y avait plus guère que des filles déjà âgées, à la poitrine avachie qui attendait leur dernier client de la nuit : rien pour m’inspirer... aussi malgré l’heure tardive, j’ai décidé de pousser la porte de ce club que j’avais déjà fréquenté dans le quartier des Halles... Il ne restait plus guère qu’une demi-heure avant la fermeture et j’ai été accueilli par Eloïse, la patronne qui me demanda ce que je venais faire à cette heure.
— Je viens juste prendre un pot avant de rentrer chez moi... Je n’arrivais pas à dormir et j’ai rôdé un peu partout...— Fallait venir ici... Tu aurais trouvé... Anaïs, sers une coupe à André !— OK... Il y a justement une bouteille à peine entamée...

La patronne, la barmaid et moi, nous avons fini la bouteille de champagne puis Eloïse nous a quittés pour aller voir si tous les clients étaient partis, me laissant seul au comptoir du bar avec Anaïs, une brune très pulpeuse que j’avais déjà aperçue à plusieurs reprises, officiant avec sérieux derrière le bar... Elle de dit alors :
— Ouf... quelle soirée de dingues... je n’ai pas eu une minute d’arrêt avec ma collègue que tu as croisée en arrivant.— Ah... la blonde aux cheveux courts presque blancs !!!— Oui, c’est ça... Elle est nouvelle, mais elle ne se plaît guère ici... Je ne sais pas ce qu’elle croyait trouver...— Et toi, tu sembles bien te plaire !!!— Oui... C’est génial... L’ambiance est bonne et quand il n’y a pas trop de monde et qu’Eloïse me relève au bar, j’arrive à me faire sauter par un mec qui me trouve à son goût !!!— Mais t’es bien jolie... Moi, je te trouve très à mon goût !!!— Arrête ton char... Je sais que je suis très ronde... Bon, ce n’est pas le tout, je vais appeler un taxi pour rentrer chez moi... à moins que tu aies une voiture pour me reconduire en banlieue ???— OK... on finit nos coupes et je te ramène chez toi...— Oh... Merci.

Anaïs habitait tout comme moi la banlieue nord, mais dans une commune différente. En cours de route, nous avons achevé de faire connaissance et lorsque je l’ai déposée au pied de son immeuble, elle m’a dit avec une franchise désarmante :
— Je ne te fais pas monter... Il faut que je me repose, car j’ai des cours à la Fac’ de Paris XIII à dix heures... Si tu veux, rejoins-moi vers 15 heures... Nous aurons tout notre temps avant que je reparte au boulot...

Il est évident que si elle m’avait fait monter, ce n’était pas pour enfiler des perles, mais bien pour se faire enfiler la chatte !!! Mais puisqu’elle m’avait donné rendez-vous pour l’après-midi... je patienterais bien jusque-là et les échanges que nous avions eus montraient qu’Anaïs n’était pas farouche...
A 35 ans, marié (trop jeune) puis divorcé, j’avais un tableau de chasse assez bien garni et je pense que je n’allais pas tarder à l’enrichir d’une nana qui certes ne correspondait pas exactement aux canons de la beauté, mais qui avait un charme certain.Ce vendredi, mon après-midi était libre (R. T. T oblige) aussi dès que je suis rentré à mon petit studio, j’ai pris une longue douche pour me délasser et être au meilleur de ma forme pour aller retrouver Anaïs dans son appartement...
Je suis assez grand pour un homme de ma génération – 1.85 m – et je n’ai pas de poids superflu, car je pèse 70 kilos à peine... Je suis assez musclé (restes d’une pratique sportive intensive quand j’étais au lycée et à l’université). Je l’avais abandonnée lorsque j’avais trouvé ce job dans une grande entreprise sur la plateforme de Roissy.En dehors de la fréquentation de quelques clubs coquins, mes loisirs sont la randonnée pédestre (mais on perd en trajet voiture ce qu’on a gagné lors de cet exercice) et la littérature ou les documentaires... Je ne suis pas un fan de télé aussi, j’ai une bibliothèque bien garnie...

Lorsque j’ai sonné peu après 15 heures à l’interphone de l’immeuble d’Anaïs, celle-ci a répondu aussitôt :
— Ah... C’est toi... J’espérais bien que tu viendrais... J’ai bien vu comment tu me regardais cette nuit... Monte... C’est au dernier étage.

Puisqu’Anaïs semblait apprécier le champagne, j’en avais pris une bouteille dans ma réserve, car cela ne se fait pas d’arriver chez une jolie femme les mains vides...
— Oh... Merci, je vais la remettre au frais, nous la boirons après...

Elle était vêtue d’un kimono en soie beige avec des motifs floraux. La ceinture nouée à la taille faisait ressortir l’opulence de sa poitrine et de ses hanches et montrait sans équivoque son sillon mammaire. Ses longs cheveux noirs étaient dénoués et descendaient à la moitié du dos en une cascade soyeuse... Elle était bien belle et semblait sortir de sa salle de bains.
— Viens, je vais te mettre en forme !!!

Anaïs s’est approchée de moi et m’a enlevé tous mes vêtements en me gratifiant au passage de caresses plus ou moins appuyées là où elle pensait que j’étais sensible... Elle a si bien fait que lorsque mon boxer est tombé, mon sexe dressé a littéralement bondi devant son visage... Elle a ouvert la bouche et l’a gobé, entourant le gland de ses lèvres tout en agitant sa langue sur le méat... puis elle a gobé ma bite jusqu’au plus profond de sa bouche dans une gorge profonde à laquelle je ne m’attendais pas...
Elle n’est pas allée jusqu’au bout et quand je l’ai aidée à se relever, j’ai dénoué la ceinture de son kimono et Anaïs m’est apparue dans une nudité splendide et intégrale... Elle était presque aussi grande que moi... Son pubis était nu, mais on voyait clairement l’entendue rasée de sa touffe qui remontait aux creux de l’aine... Ses seins opulents tombaient un peu, mais le téton était bien dardé au centre d’une large aréole bistre... Sous une taille fine par rapport au reste de son corps, ses hanches s’évasaient et sa chatte largement fendue suintait doucement...
— Viens je suis prête... Couvre-toi et BAISE-MOI !

Elle a presque crié les derniers mots en s’allongeant sur le divan-lit qui semblait nous attendre...Même si j’avais ce qu’il fallait dans une de mes poches, j’ai pris une capote dans une coupelle se trouvant là (hasard ou pas) et je me suis couvert avant d’enfiler mon sexe dans celui d’Anaïs.Waouh... qu’elle était mouillée et chaude !!!J’étais bien au fond de sa chatte... Je suis resté immobile quelques instants avant d’entreprendre le va-et-vient... Elle était ‘’ confortable ‘’... pas comme certaines filles avec lesquelles on se demande si elles ne vont pas se briser sous les coups de boutoir de l’homme tant elles sont maigres !!! J’étais en appui sur les bras et je voyais ses seins tressauter chaque fois que j’arrivais contre son pubis où le mien claquait sèchement.
— Oh oui... Baise-moi bien... N’aies pas peur, je ne suis pas en sucre !!!— C’est sûr, mais qu’est-ce que tu es bonne !!!— Et avec toi, il semble que j’ai tiré le bon numéro !!!

Plus je baisais Anaïs, plus je voyais ses seins suivre le mouvement même si parfois, elle tentait de les maintenir... J’ignorais à ce moment-là quelle taille elle faisait et c’était le dernier de mes soucis... Soudain, elle prit ses jambes sous les genoux et les remonta de chaque côté de son buste :
— Vas-y... je vais jouir... tu peux te lâcher...— Moi aussi je vais venir !!!

J’avais à peine prononcé ces mots qu’une véritable déferlante de jouissance est partie de mes reins et j’ai senti comment je me répandais dans la capote bien ancrée au fond de cette chatte définitivement accueillante !!! Nous sommes restés enlacés ainsi pendant de longues minutes jusqu’à ce qu’Anaïs me fasse basculer sur le côté pour ôter le préservatif avec le commentaire suivant :
— Dis donc, t’es généreux comme ça à chaque fois ???— Pourquoi ???— J’espère simplement que tu n’es pas un fusil à un coup !!!— Sois rassurée... Une belle poulette comme toi, je ne vais pas me priver...— Alors... viens...

Anaïs s’est allongée sur le dos et m’a expliqué comment me mettre... Elle voulait que je puisse glisser ma bite entre ses seins généreux qu’elle resserra aussitôt en une gaine souple et chaude... Comment ne pas profiter d’une telle aubaine : une branlette espagnole entre deux globes confortables, généreux qui m’offrait un abri que j’allais honorer... Elle maintenait ses seins pressés à l’aide de ses mains et je faisais coulisser ma bite dans cette vallée chaude... Je bandais de plus en plus et parfois, Anaïs parvenait à gober brièvement mon bout quand il était à portée de sa bouche...C’était bon, mais bientôt, Anaïs me dit :
— Ça suffit... Je vois que tu as de bonnes dispositions... On va changer de position...— Que veux-tu ???— Me faire baiser en levrette... ou si tu es amateur, me faire sodomiser ???— Te baiser en levrette sera suffisant... D’ailleurs, je vois comment nous allons faire !!!— Ah le coquin... Il veut me voir me faire saillir comme une truie dans le miroir à côté du lit !!!— Oui... Tu as deviné...

Anaïs se mit à genoux sur le divan-lit, les bras en appui sur le haut du dossier, je la voyais démultipliée sous mes yeux et dans le miroir... Elle était bandante avec son opulente poitrine qui se balançait entre ses bras, son cul large et généreux qui s’offrait à moi avec une fente bien ouverte où ses orifices palpitaient doucement... Je ne me lassais pas de contempler cette jeune femme certes aux formes un peu replètes, mais qui savait ce qu’elle voulait... et là, elle voulait que j’enfile ma bite dans sa chatte et fasse claquer mon pubis contre ses fesses...
— Vas-y... ne me fais pas languir...— Mais ton cul est si beau que je ne me lasse pas de te regarder...— Et ça te suffit ???— NON, bien sûr, t’es prête ???— Ooouuuuiiii...

Pour la seconde fois, j’entrais ma bite dans la chatte d’Anaïs et je pris mon temps pour la baisser, laissant refluer ma jouissance lorsque je sentais qu’elle allait arriver, mes mains de chaque côté de la taille de cette fille qui se donnait généreusement...
— Qu’est-ce que tu attends ??? J’ai déjà manqué de jouir une fois...— Et moi, je t’attends...— Vas-y lâche-toi !!!

Trois fois de suite, je suis sorti de la chatte d’Anaïs pour y renter aussitôt et la quatrième fois, j’ai envoyé une salve de foutre au fond de la capote et Anaïs se mit elle aussi à jouir... Nous étions beaux à voir dans le miroir... Anaïs emmanchée sur mon sexe, mon pubis collé contre ses fesses généreuses...
Nous nous sommes désunis et ma maîtresse s’est emparée aussitôt de mon sexe pour se délecter de mon foutre... Quelle gourmande !!! Et nous avons achevé la bouteille de champagne jusqu’à ce qu’Anaïs me mette gentiment à la porte en disant qu’elle avait juste le temps de se préparer pour aller bosser... Nous n’avions pas vu le temps passer, il était près de 19 heures.Avant de nous quitter, Anaïs me surprit en disant :
— Fais un test... si tu es sain, la prochaine fois, on baisera sans capote !!!

Ainsi, il y aura une prochaine fois...

Quelques semaines plus tard, je savais quel était le jour (ou plutôt la nuit) de repos d’Anaïs quand je lui ai téléphoné...
— Oui... je suis libre cette nuit... je croyais que tu m’avais oubliée...— NON, mais j’ai dû attendre les résultats...— Et alors ?— Je suis clean si c’est ce que tu veux savoir !— Si tu me téléphones... c’est que tu as envie de me revoir...— OUI... et de te baiser à nouveau... N’est-ce pas ce que tu voulais en me demandant de me faire tester ???— Siii... Evidemment !!!— OK... On se retrouve à 19 heures au restau’ ‘’ La Criée ‘’ c’est tout près de chez toi et ensuite on monte à ton appart’ !!!— Ça me va tout à fait... J’ai envie de fruits de mer... et de ta queue !

Après le dîner sur le chemin du retour vers chez elle, Anaïs s’est faite chatte dans ma voiture... Elle a tendu sa main gauche et elle est allée chercher mon sexe dans mon pantalon... Elle n’a pas eu beaucoup de mal à le faire sortir de sa cachette, car je ne portais pas de slip... et aussitôt elle a commencé à me branler, mais le trajet était décidément trop bref...Dès que nous sommes arrivés à son appartement et que la porte d’entrée a été refermée, Anaïs a repris ce qu’elle avait commencé dans la voiture... Elle me branlait d’une main pendant que de l’autre, elle défaisait ses vêtements... je redécouvrais les formes plantureuses d’Anaïs, sa poitrine aux seins ronds, légèrement tombants et entre lesquels je m’étais déjà prélassé lors de notre première rencontre, sa taille fine qui contrastait tant avec sa poitrine et ses hanches pleines... le tout encore masqué par un soutif et un tanga de dentelle blanche qui avait bien du mal à les contenir...
Mon pantalon tirebouchonnait sur mes chaussures, ma chemise était ouverte sur mon torse et mes tétons (très sensibles) étaient érigés comme si la bouche d’Anaïs venait de les sucer... Que dire de ma bite ??? Elle était de plus en plus dure sous les mains expertes de cette jeune femme qui bientôt ne s’est plus satisfaite de me masturber, mais a avalé mon sexe jusqu’au plus profond de sa bouche en une gorge profonde très savoureuse... Que c’était bon d’aller et venir dans cette bouche chaude !!! Mais Anaïs ne se contentait pas de cela !!!
— Ce n’est que le digestif... Passons à autre chose... Le lit nous attend !!!— Quand tu veux !!! Je sais ce que tu attends !!!— Et quoi ???— Te faire sauter !!!— Ooouuuiii ! J’en mouille d’avance !!! En plus, je vais bien te sentir te répandre dans ma chatte !!!— Alors... je suis ton homme !!!

Elle était prévoyante, car son divan-lit était ouvert et un drap immaculé nous attendait... Quand elle s’est allongée, elle m’a tendu les bras en disant :
— Viens entre mes seins pour achever de t’exciter... Après... tu pourras me baiser...— OK... ça me va !!!

Dès que ma bite a été entre ses seins, elle en a fait une sorte de fourreau en les ramenant l’un contre l’autre et prenant une sorte de gel, elle a facilité le va-et-vient... qui parfois se terminait par un coup de langue sur mon gland...J’avais pu me rendre compte qu’Anaïs était douée pour les choses du sexe, qu’elle avait, malgré son jeune âge, un ‘’ répertoire ‘’ de caresses bien fourni et ce qui ne gâtait rien, une chatte accueillante dont elle savait se servir pour faire monter la sauce !!! Mais aussi bonne que fut cette ‘’ cravate de notaire ‘’, j’en voulais plus... Je me suis retiré et j’ai descendu mon bassin à la hauteur du sien... ses cuisses étaient ouvertes et les lèvres de son sexe étaient nappées de cyprine... Pas besoin de faire un dessin : Anaïs attendait que je la baise... J’ai relevé ses cuisses de chaque côté de son buste et j’ai enfilé mon sexe dans le sien...
— OUI... Baise-moi bien... Je suis ta chienne soumise !!!

Je voulais qu’elle sente bien mon sexe dans le sien... Après un certain temps d’immobilité (en regardant son opulente poitrine et son visage extatique), j’ai commencé le va-et-vient, mes couilles battant dans sa fente où j’ai eu la surprise de sentir un Plug dans son sphincter...
— Oui... J’aime bien être prise en double aussi... Si tu veux, mon cul est disponible...— On verra... Pour l’instant, c’est ta chatte qui m’intéresse...— Oui... je te sens bien... et tes couilles qui battent dans mon périnée, c’est le pied... Chaque fois, tu enfonces le Plug dans mon cul !!! Baise-moi fort !!!— Tu ne perds rien pour attendre... J’ai les couilles pleines et une furieuse envie de te faire grimper aux rideaux !!!

C’est vrai qu’entre nos deux rencontres, je m’étais abstenu de toute activité sexuelle, ne me masturbant même pas en repensant au premier après-midi avec Anaïs... J’avais des réserves !!!Si elle se donnait généreusement, je n’étais pas en reste... J’allais et je venais dans sa conque baveuse (de plus en plus...) et je me sentais bien... J’avais rarement baisé une fille aussi chaude... (et j’en avais baisé plus d’une...), je voyais le plaisir illuminer le visage de ma maîtresse qui me regardait avec des yeux brillants de vice alors qu’elle faisait aller et venir sa langue entre ses lèvres... Elle voulait m’exciter encore plus... Je mettais toute l’ardeur possible dans ce coït et j’imaginais déjà ce que j’allais faire à Anaïs ensuite...
Mais je ne pouvais plus me retenir... La perspective de baiser cette jolie coquine, l’excitation que j’avais sentie monter au cours du repas puis la branlette espagnole qui avait précédé la pénétration de cette conque... tout cela m’avait bien chauffé et c’est avec une vigueur accrue que je me suis vidé au fond de la chatte d’Anaïs qui s’est mise à jouir à son tour...
— Waouh... dis donc, t’es généreux comme ça à chaque fois ???— Oui... c’est que mes maîtresses me disent... Elles sont étonnées et surtout quand je remets le couvert ensuite...— J’ai la chatte qui déborde...— Je sens...

Moins d’un quart d’heure plus tard, je bandais de nouveau, car Anaïs s’y était employée en masturbant ma bite pendant quelques minutes...
— Allez ma belle ! En position comme l’autre jour... Montre-moi ton cul que je te défonce...

Anaïs avait toujours le Plug dans son sphincter, la rosace seule émergeait de son cul... et j’avais un secret dessin : simuler une double pénétration avec ce jouet (car je ne suis pas un fan de sodomie). Ma bite était bien raide et je me suis glissé sèchement entre les fesses d’Anaïs en faisant claquer mon bas-ventre contre ces globes généreux afin qu’elle me sente bien !
— Salaud... Tu veux me défoncer ! Alors, vas-y ! Je t’attends !!!

J’ai posé une main à hauteur de ses reins et avec la deuxième, j’ai saisi la rosace du Plug pour le faire aller et venir dans le boyau étroit pendant que que je faisais la même chose avec ma bite...
— Oh oui... C’est génial... ça me rappelle mon dépucelage quand deux de mes copains m’ont baisé la chatte et le cul en même temps...

Je n’avais pas de commentaire à faire, je me suis concentré sur ce que je faisais afin de donner beaucoup de plaisir à Anaïs, cette jeune barmaid du club coquin où elle officiait derrière le comptoir, sa poitrine généreusement offerte à la vue des voyeurs et ses fesses prises dans une minijupe au ras de la chatte et qui lui faisait comme une seconde peau...
Je prenais mon temps pour faire monter notre jouissance, alternant des pénétrations aussi profondes que possible dans sa chatte et en faisant aller et venir le Plug dans son anneau plissé... Finalement, c’est Anaïs qui a joui la première en poussant un rugissement de contentement et je n’avais plus qu’à me lâcher à mon tour au fond de son vagin... Nous nous sommes écroulés, emboîtés l’un dans l’autre pour retrouver un peu de souffle et de calme... puis nous avons basculé sur le côté et nous nous sommes endormis ainsi.
Au matin, je me suis réveillé dans la même position, la bite engluée de nos sécrétions et dès que j’ai bougé, Anaïs s’est tournée vers moi en disant qu’elle avait envie de me goûter... J’avais compris... Elle voulait que je déverse dans sa bouche ma première éjaculation matinale.
— Donne-moi ta semence... ma bouche est à toi !

La matinée commençait bien...
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