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Analyse de mon mariage

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Analyse de mon mariage 2Au bout de quelques mois, mon mari se rend enfin compte que notre couple bat de l’aile. Un soir comme les autres, où chacun regarde un programme de télé différent, lui dans le salon sur son grand écran qui a coûté une fortune, mais parait-il pour les matchs c’est le summum. Moi, dans la chambre, je regarde un fil érotique qui est d’une niaiserie redoutable, mais les actrices sont belles, et les hommes Hummm. Je me surprends à me caresser la fente négligemment d’un doigt. Un peu comme beaucoup d’hommes se tripotent souvent le sexe. J’enlève la main juste quand mon mari entre dans la chambre, il a vu mon geste, toutefois il fait mine de n’avoir rien vu. Cependant, je n’ai pas le temps de changer de chaine. Il me fait part qu’il l’a déjà vu et que ce n’est pas “bandant”.
— Océane, il est temps que l’on se parle. Notre couple n’est plus ce qu’il était, sûrement un peu ma faute, je m’aperçois que je te néglige, bien que tu sois toujours aussi belle que lorsque je t’ai rencontré. As-tu envisagé de divorcer, ou de prendre un amant, je ne le sais ? Je n’envisage pas que l’on se sépare, malgré les apparences, je t’aime toujours et ne veux que ton bonheur. M’as-tu déjà trompé ?
Alors, je reste coite, il a lu dans mes pensées, je lui réponds franchement, pourquoi se mentir quand on en arrive à cette discussion.
— J’ai pensé au divorce, puis à prendre des amants, je n’ai encore rien décidé. Les deux me posent un problème de conscience, je suis encore jeune. J’ai aussi des envies, faire l’amour une fois par mois, pendant une demi-heure ne me convient pas, puisque nous en sommes aux confidences, j’allais, je pense, me décider pour des amants.
Il a le visage grave, celui des jours où il a des ennuis au bureau. Daniel se passe la main sur le front, se lève du lit et tourne un peu en rond. Soudain, il semble avoir trouvé une solution.
— Sans te fâcher, il y a une autre solution que le divorce ou me tromper. Que penseras-tu si je te présente des hommes pour libertiner ensemble ?
Je dois rêver, j’hésitais à prendre un amant et mon mari me propose de m’offrir à des hommes en sa présence. Là, il me scotche, un court instant, je m’imagine nue sur un lit, des hommes couchent avec moi, et mon mari applaudit.
— Dis-moi Daniel, as-tu déjà pensé à ça, ou c’est une idée soudaine ? Voir des hommes me faire l’amour, me voir prendre du plaisir, car j’en prendrai, cela ne te rendrait pas jaloux ?
Avec un sourire pervers, il me répond.
— J’y pense depuis un bon moment, te voir prise par d’autres m’excite, surtout quand j’imagine un noir te faire l’amour.
Pendant qu’il s’excite en m’avouant ses fantasmes, je vois le pantalon de son pyjama se tendre, il pense vraiment à ça le salop. Je n’en reviens pas. Bien que l’idée me séduise, cela mettrait fin à mes envies de divorce où le tromper, Quoiqu’être devant mon mari pour faire l’amour me bloque un peu. N’ayant pas imaginé avoir des relations avec des hommes devant lui, le côté peep-show n’est pas dans mes projets.
— Écoute Daniel, cela ne se décide pas comme cela, prenons un peu de recul pour y réfléchir, et nous en reparlerons plus tard, en attendant ne t’inquiète pas, je ne ferai rien sans t’en parler avant.
Là, il m’a un peu surprise, avoir des amants sans le tromper, bien sûr que c’est tentant. L’avoir comme spectateur, c’est plutôt bizarre. L’idée est excitante, coucher avec des hommes juste pour le sexe, sans donner de coups de canif dans le contrat de mariage, cela mérite réflexion, mais que pensera-t-il de moi ensuite, que je suis salope ? J’ai des amies qui l’ont fait et loin de sauver leur couple, cela l’a détruit. Les hommes pensent après qu’ils peuvent disposer du corps de leur femme comme bon leur semble, et avec qui ils ont envie. Daniel n’est pas de ce genre-là, il possède des qualités, franc et ne revient jamais sur ce qu’il s’est engagé de faire. Une fois qu’il est sorti de la chambre, je mets un film X. Je me masturbe cette fois jusqu’à la prise de plaisir, en fantasmant que Daniel regarde trois hommes me prendre simultanément. Je reconnais que cette masturbation, plus le fantasme m’ont donné un bel orgasme.
Satisfaite, je m’endors vite et suis seulement réveillée par mon mari qui se couche et commence à me caresser les fesses. Alors, je simule le sommeil, son sexe dur vient entre dans le sillon de mon postérieur et je le sens se masturber. Je grogne et bouge un peu comme si je sommeillais encore et que quelque chose me dérange, il s’arrête un peu, puis me croyant rendormie, il recommence doucement à secouer Mister Popaul. Daniel ne met pas longtemps à m’inonder la rosace, de courts jets chauds. Ce petit malin m’essuie avec, j’ignore quoi, croyant que je ne m’apercevrais de rien. Au petit matin, je me lève pour une envie de pipi, bien qu’il m’ait essuyé, j’ai les fesses toutes collantes. Je retourne me coucher, il paraît heureux, un léger sourire sur les lèvres, un ronflement régulier, je devine de quoi il rêve.
Une semaine passe, plusieurs soirs, mon mari m’a fait l’amour, réussissant à me donner du plaisir, certes ce n’est pas le feu d’artifice, mais quand même plaisant de se savoir désirée. Toutefois, pendant l’acte, il me parle, me racontant des choses afin de m’exciter comme…
— Tu imagines que c’est un black qui te bourre ta chatte de salope, ou tu aimerais bien te faire le voisin, un jeune de dix-huit ans. Et, beaucoup de situations qui quelques fois m’excite plus que d’autres.
Je sais où il veut en venir, il donne de sa personne pour me décider à libertiner. Pendant un mois quotidiennement comme au début de notre mariage, il me fait l’amour. C’est pourquoi je le fais donc attendre, car même si je me réjouis qu’il s’occupe de moi, au point de manquer des matchs à la télé, j’aimerais autre chose. Les rapports avec mon mari ne me satisfont plus comme avant. Après un mois et demi de sa débauche d’énergie, je lui fais part de ma réponse.
— Je suis d’accord pour essayer de libertiner, je te laisse le choix de mes amants pour commencer, ensuite, j’en trouverai moi-même.(Je pense à des amants arabes). Si cela ne me convient pas, on arrête tout.
Tout excité de ma réponse positive, il me promet que j’arrête quand je le veux si l’amant ne me convient pas.
— À quel moment veux-tu que l’on commence ma chérie ? Il est pressé mon coquin de me voir entre les bras d’un autre, j’ignore qui il va me trouver. La rencontre est prévue pour le samedi soir. Mon mari a prévu un traiteur afin que je me consacre à notre invité surprise. Impatiente et fébrile, je ne sais comment me vêtir, sexy, mais pas provocante. J’opte pour un petit haut parme qui ressort bien avec ma peau caramel, une petite jupe couleur taupe, des bas blancs. Par ailleurs, j’hésite, mettre un soutien-gorge ou pas, je choisis d’en mettre, mes tétons sont assez érigés pour montrer que je n’en porte pas et donner une mauvaise image. Je choisis le string de même teinte blanche. Me voilà parée, juste un peu de gloss sur les lèvres rose pâle. Tout est prêt pour le repas, mon mari est nerveux, quant à moi, j’ai l’impression d’être à mon premier rendez-vous amoureux lorsque j’étais ado. Le carillon de la porte tinte, je sens mon sang se glacer dans mes veines. Daniel va ouvrir, placée en retrait, j’aperçois un black de l’âge de mon mari, cheveux blancs neige, ils se font l’accolade. Mon mari me le présente, Bacary, un ami franco-sénégalais, qu’il a connu à l’armée et ils se sont retrouvés sur Facebook. Il est plutôt bien pour son âge, pas d’embonpoint, assez grand, il me prend la main et me la baise sans poser les lèvres, un gentleman, ma peur disparait un peu. Alors, nous passons au salon pour l’apéritif, je fais le service, whisky pour ces messieurs, champagne pour moi. Ce que j’ignore, si mon mari a prévenu son ami qui s’il le désire pourra coucher avec moi, ou si ce sera une agréable surprise pour lui. Après un copieux apéritif, les fruits de mer sont servis, avec un muscadet sur lie qui détend vraiment l’ambiance. L’ami de mon mari me félicite sur mon physique et se permet de me demander si mes seins qu’il trouve parfaits sont refaits. Devant son air dubitatif, je saisis cette approche, je lui dis qu’il peut vérifier lui-même. Il interroge mon mari du regard, Daniel hoche la tête pour autoriser. Délicatement, sa main se pose sur mon sein droit, le caresse, le soupèse pour voir l’élasticité, puis le prend à pleine main. Mon mari lui dit de contrôler l’autre, que c’est comme les pneus, il doit contrôler la pression de tous, ce qu’il s’empresse de faire. Il est assez agréable de sentir les mains me caresser les seins, les premières autres que celles de mon mari depuis notre mariage. Ma respiration s’accélère faisant gonfler ma poitrine. Bacary s’exprime.— Océane, ce sont les plus beaux seins que j’ai caressés dans ma vie.
Minaudant, je lui dis qu’il exagère, qu’il y en a de bien plus splendides. Il insiste sur leurs qualités, et le coquin me demande s’il peut faire un nouveau contrôle technique. Refusant que le repas dégénère, avant de consommer la suite, je lui dis que l’on verra cela plus tard. Le repas se déroule tranquillement, bien que le pied de Bacary se frotte souvent au mien, je finis par mettre mes petons à l’abri sous la chaise. Bacary, tout en parlant avec mon mari, jette des coups d’œil furtifs dans ma direction. Je pense à ce moment-là que si tout se passe bien, ce cher Bacary profitera de mes charmes. Bien que métisse, je n’ai jamais eu de rapports avec des blacks, non par racisme, ce sont les circonstances qui m’ont fait choisir mes amants avant mon mariage. Ma curiosité m’incite à découvrir cela. Gavés les hommes prennent un café et un digestif.
Daniel assis dans son fauteuil fume un cigare, chose qu’il ne fait que dans les grandes occasions, Voir sa femme coucher avec un autre en est-elle une ?Je m’assois sur le bras du fauteuil de Bacary, ma jupe remonte et il peut apercevoir la lisière de mes bas. Bacary me propose son siège que je refuse arguant que je suis bien ainsi, mon bras sur le dos du fauteuil touche les épaules de Bacary. En continuant la discussion avec mon mari, sa main me frôle la cuisse, je l’écarte légèrement, au point de rester à sa portée. Il comprend donc que je ne suis pas farouche et insiste sa caresse.De petits frissons me parcours, je me lève et vais mettre de la musique douce. Un slow, la voix chaude d’Elvis me transperce tout le corps. « Love me tender » j’entame quelques pas, ce que j’espère se passe, Bacary vient me rejoindre et se colle à moi pour danser. Mon mari éteint le lustre et ne laisse qu’une lumière tamisée. Ma main dans celle de Bacary, je sens son odeur mâle, son autre main descend sur mes fesses, je la remonte une fois, deux fois, puis le laisse me les caresser.
Mes seins écrasés contre sa poitrine, je lui transmets leur chaleur, je sens contre mon ventre une chose durcir, il bande. Je devrais m’écarter un peu, mais au lieu de cela, je me colle encore plus contre lui, un peu plus et je serai incrustée en lui. Sa main palpe mes fesses sans aucune gêne, la tête dans son cou, je me sens jeune fille lors de son premier bal. Mon mari nous observe, il aime ce qu’il voit. Bacary commence à me bisouiller le cou, il tourne la tête et s’empare de ma bouche, un doux baiser, sa langue titille doucement la mienne. J’adore, les hommes qui tournent leur langue trop vite me désespère, à croire que plus, ils vont vite mieux c’est.
Notre invité commence à me faire effet, je pressens que mon string va s’humidifier. Mon parfum de femelle en chaleur ? Toujours est-il que Bacary frotte son sexe contre moi sans équivoque, sa main a fait rentrer ma jupe dans le sillon de mes fesses. Je regarde de nouveau mon mari, il se caresse lentement le sexe, sans jalousie aucune de voir sa femme se faire tripoter par son ami, c’est beau l’amitié. Alors, je chuchote à l’oreille de Bacary.
— Tu me rentres ma jupe dans les fesses, c’est désagréable.
Bacary me comprend et au lieu de juste retirer la main, il fait glisser la fermeture de ma jupe, s’écarte pour la laisser tomber au sol. On l’enjambe, et cette fois, il a le contact de ma peau en main. Bacary me dit.
— Tu m’indiques où est la chambre, ou je te prends devant ton mari ?— Tu décides ce qui te plait le plus, tu es l’invité.
Mon mari veut voir. Bacary, me met les doigts sur le ventre en forme de pistolet et m’ordonne, haut les mains pour me faire lever les bras, je m’exécute et il en profite pour m’enlever mon petit haut. Je me retrouve en string et soutien-gorge. Bacary me fait tourner comme pour un pas de danse et émet un sifflement d’admiration. Mon mari sort son sexe et me demande de le sucer, je me penche offrant ainsi ma croupe aux mains baladeuses de Bacary. Daniel est en grande forme, son chibre est érigé, ma bouche le fait complétement disparaitre, deep throat oblige. Lorsque je me trouve les fesses en arrière, il parait qu’elles forment un cœur, Bacary aime le contact de la dentelle de mon string, il passe les mains dessus, frôlant mon abricot juteux. Ses mains remontent à mes seins, les malaxent tendrement, leur souplesse est confirmée. Bacary explore mon corps, mon mari n’en perd pas une miette. Il a les yeux brillants de lubricité.
Voir des mains plus foncées qui me caressent ma peau caramel l’excite, j’en possède la preuve dans la bouche. Bacary prend les bords de mon string et le fait lentement glisser en embrassant la peau de mon bas du dos, des fesses, glisse sa langue dans le sillon de mes fesses. Il écarte les deux globes et me titille l’œillet. La pointe de sa langue tourne autour du cercle plissé. Mon mari ne tient plus et jaillit au fond de ma gorge, je tousse, avale, régurgite le trop de foutre qui lui coule sur les bourses.
— Tu es géniale mon amour, c’est la meilleure fellation que tu m’as jamais faite. Ne parlant pas la bouche pleine, je ne peux pas répondre, surtout que le léchage de Bacary commence sérieusement à enflammer mon minou. Mon mari se lève et me fait reposer les mains sur le fauteuil que je reste courbée. Bacary de mon anus, passe à ma petite fente, son doigt remplace sa langue dans ma rosace, il sait s’y prendre le bougre. Je demeure dans cette position pour que mon premier amant ait accès à mes orifices. Mon anxiété s’est transformée en envie folle d’être prise par Bacary. Mon mari observe avec intérêt les préliminaires que me prodigue son ami. Daniel exige même que je dise à Bacary de me baiser. Son vice est décuplé.
Bien que gênée de réclamer que l’on me baise, je m’humilie en suppliant Bacary de me considérer comme sa femme. Les doigts de Bacary dégrafent habilement mon soutien-gorge, un claquement de doigt et mon soutien tombe au sol comme un double parachute. Je ne suis qu’une poupée de chair chaude et vibrante complétement nue. Bacary, pour nous mettre à égalité, se déshabille. Son torse couvert de poils frisés noirs, son pantalon choit au sol, son boxer ressemble au chapiteau d’un cirque, le mat tendant le tissu.
— Je t’ai ôté ton string, à toi de m’enlever mon boxer.
J’ai tellement envie de déballer son sexe, que je ne joue pas les timides, je lui enlève vite, un gros sexe libéré s’en échappe se redressant d’un seul coup contre son ventre. Oh la massue, une belle longueur et surtout du diamètre de compétition. Bacary s’assoit sur la banquette et me fait mettre à califourchon sur lui, son membre est coincé entre mon abricot et son ventre. Je me fais coulisser dessus, ce qui le masturbe. Bacary me tient fermement les fesses pour que je continue ce mouvement et me mordille mes tétons.
— Mords plus fort Bac, j’adore qu’on leur fasse mal.
Ainsi, il ne se le fait pas dire deux fois, ses dents se rejoignent presque à travers mes bourgeons. Ce n’est pas que je sois maso, mais me faire mordre mes tétons et mon clito me procure une étrange sensation, comme si je mettais les doigts mouillés dans une prise électrique. Bacary ressent les secousses de mon corps et mord sauvagement mes tétouilles. Mon mari en profite pour me mettre un gode qu’il a trouvé dans mon coffre à jouets sans la chatte et me baise ainsi. Le gland circoncis qui me frotte le clito, le gode qui glisse allégrement dans mon vagin lubrifié toutes les conditions sont requises pour que je jouisse abondamment en criant ma joie. Un amant et mon mari, voilà la solution pour recoller les morceaux de notre couple. Je bouge d’avant en arrière, pour masturber Bacary avec mes petites lèvres trempées et m’enfoncer le gode à fond. Mes seins meurtris me font mal, mais m’apporte un grand plaisir. Quand Bacary lâche mes seins, c’est pour me fouiller la bouche de sa langue.
Alors, je ne peux pas attendre plus longtemps, je repousse la main de mon mari et son gode. Je me soulève un peu, agite le sexe de Bacary entre mes lèvres comme au bilboquet, je sers de boule et il s’emmanche dans mon minou. Ma chatte est tellement trempée que le sexe de Bacary de bonne facture rentre facilement au fond de mon vagin. Surtout que le gode que mon homme a utilisé est de bonne taille, je les choisis moi-même dans les Sexshops. Que c’est bon de sentir un nouveau sexe s’enfoncer dans ma minette, j’ai l’impression de redécouvrir le sexe ? Je pose les pieds sur le bord de la banquette et entreprends de faire la grenouille, jambes bien écartées, je ressemble à un batracien. Mon mari ne tient pas à ranger le gode, il me fait m’immobiliser, le place sur mon anus, salive dessus et l’enfonce lentement. Le morceau de plastique se colle à la queue de Bacary au travers de mon périnée.
Les deux glands se rencontrent, ils font ami/ami au fond de mes orifices, et entreprennent de les parcourir d’avant en arrière. My God c’est un délice, comment n’ai-je pas pratiqué plus tôt la double pénétration. Je pense à ce moment-là qu’à la place du gode, j’aimerais bien une vraie queue. Toujours est-il que je prends bien mon pied ainsi, rien à voir avec la baise routinière avec mon mari. Les deux hommes m’astiquent les trous avec entrain, mon mari est le gagnant, car son gode est inépuisable. Bacary qui lui a un objet vivant en moi, me serre les hanches, se crispe. L’éjaculation est proche, ma chatte se contractant sur son gland, le gode le frottant, il rend les armes, et son petit colonel se répand en moi, la reddition est exquise, de gros jets m’inonde le col. Les derniers coups font un Floc-Floc dû à son sperme et ma cyprine. Je le serre contre moi, lui dis combien je l’aime, que cela fait longtemps que je n’ai autant joui sans pour autant vexer mon mari.
Bacary se dégage de moi, me repoussant sur le côté, mon mari m’a laissé le gode, planté dans les fesses. En me rasseyant, il s’enfonce entièrement, sans que je cherche à l’enlever. Mon mari admire le jus de son ami qui s’échappe de ma chatte par saccades, coule le long de ma raie pour finir sur le fauteuil. Les salops m’ont anéantie, fiers d’eux les mâles reprennent un whisky sans même s’occuper de moi. Bizarre quand un homme a obtenu les faveurs d’une femme, comment son côté gentleman disparait. Je prends une coupe de champagne que je dois me servir, le sperme me coule lentement le long des cuisses. De belles trainées blanches sur ma peau attirent le regard de mes coquins, ils me conseillent d’être prudente pour le tapis et de les lécher. Pour une première soirée libertine, j’estime cela réussi, et à confirmer. Mon mari me pose une question.
— Seras-tu d’accord pour coucher seule avec Bacary, je dois me lever de bonne heure pour un rendez-vous à Paris, et je souhaite me reposer, avec vous deux, ce sera impossible. — En ce qui me concerne, c’est parfait, lui réponds-je, je ne pense pas que Bacary va me violer ? Même si l’envie lui en prend, je ne crierai pas afin de ne pas te réveiller.
Bacary est partant, moi aussi seuls tous les deux Hummm.
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