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Anamorphose

Chapitre 2

Des nudistes en devenir.

Inceste
Le soir même c’est à dire toujours le mardi 31 Mai, je suis retourné vivre chez ma maman décidé à ne pas la laisser seule trop longtemps, afin qu’elle arrête de se sentir abandonnée. 
 Je n’étais pas vraiment inquiet au sujet d’un éventuel suicide, car j’étais persuadé que ce n’était pas son genre. Pourtant il est certain qu’on ne sait jamais ce qui se passe dans la tête d’un individu, pour qu’il en arrive à une telle extrémité. Car si la plupart d’entre eux laissent des lettres pour s’expliquer, personne ne peut prétendre savoir ce qui a provoqué le déclic, pas même ceux qui sont passés à l’acte, se sont loupés et en ont réchappé.   Par conséquent bien qu’elle avait souri et qu’elle était même parvenue à rire, autant de signes encourageants, j’avais décidé d’être prudent. En tout cas les premiers temps. Je savais également qu’il nous faudrait beaucoup discuter ensemble, de manière à ce que je sache quels étaient ses envies et ses besoins, quitte à lui tirer les vers du nez, et qu’ensuite il me faudrait la pousser à les réaliser. Quoi qu’il puisse lui en coûter, au niveau des efforts à fournir.  Cependant il m’a bien fallu la laisser seule le temps d’aller chez moi chercher quelques-unes de mes possessions, principalement des vêtements et des affaires de toilette, et je n’ai pas traîné bien qu’à mon avis il n’y avait pas péril en la demeure. 
χ χ

 Il m’a tout de même fallu plus d’une heure en comptant le trajet, et quand je suis retourné dans sa villa une agréable surprise m’attendait, puisque flottait dans l’air une bonne odeur de cuisine. C’est d’ailleurs dans la pièce du même nom que je l’ai trouvée, en train de s’activer derrière les fourneaux, et quand elle s’est retournée en m’entendant arriver, un sourire plus franc que la première fois s’est dessiné sur son visage parfait. 
 Autre changement positif, non seulement elle s’était douchée puisque ses cheveux relâchés lui arrivant en bas du dos étaient humides, mais en plus elle avait échangé son vieux peignoir contre une robe de chambre probablement en satin, serrée autour de sa poitrine, ce qui mettait ses formes en valeur. Et elle avait également troqué ses charentaises contre une paire de mules aux talons d’environ trois centimètres de haut, se rétrécissant en allant vers les sol puisque s’ils faisaient la largeur des semelles en haut, il n’en restait plus que le tiers en bas. 
 Cette tenue conciliant l’envie de plaire et le besoin de confort était très encourageante, car elle démontrait que mes paroles avaient été entendues et acceptées, c’est pourquoi pris d’une envie subite et alors qu’elle s’était détournée de moi pour reprendre la préparation du repas du soir, je me suis approché lentement d’elle par derrière, je l’ai prise par la taille pour l’enlacer, et je lui ai dit avec douceur en humant son parfum à la violette :
 ― Je suis heureux que tu aies fait des efforts, car ça me désolait de te voir te laisser aller.
 Puis palpant sans vergogne son ventre chaud avec ma main, j’ai ajouté en murmurant à son oreille :
 ― Mais tu vas également avoir besoin d’une petite remise en forme, afin d’être encore plus à ton avantage.
 Bien qu’elle s’était laissée aller entre mes bras, elle s’est aussitôt raidie avant de s’indigner :
 ― En voilà une façon, de te comporter avec ta mère et de lui parler !

χ χ

 J’ai estimé que sa réaction était stimulante, étant donné que le propre des personnes dépressives est justement de ne pas en avoir, ou très peu, c’est la raison pour laquelle j’ai continué à la tenir, et tandis qu’elle se détendait à nouveau je lui ai expliqué :
 ― Écoutes Mamounette, Il est important que pour arriver à te remettre sur les rails, j’arrive à te voir non plus comme ton fils mais comme un homme. De manière à être objectif. Maintenant, si l’idée te dérange on peut laisser tomber. 
 Elle a rougi jusqu’aux oreilles, avant de me répondre :
 ― Même si je sais parfaitement que tu es devenu un homme, et même un très bel homme ce qui me rend fière de toi, moi je te vois toujours comme mon petit garçon. Et c’est le cas je pense, de beaucoup de mères.  ― Tu as été pour moi une très bonne maman, mais à présent c’est mon tour de m’occuper de toi. 
 Puis pour détourner la conversation car j’avais senti qu’elle l’embarrassait alors que ce n’était pas le but recherché, je lui ai demandé en avisant la casserole dans laquelle une mixture rouge était en train de mijoter :
 ― Ça sent rudement bon, qu’est-ce que tu nous prépares ? ― Ce soir on va faire avec les moyens du bord. Ce sera donc spaghetti bolognese, avec de la sauce que j’avais mise en conserve. Mais demain j’irai faire des commissions, et je te ferai tes plats préférés pour te remercier de t’occuper de moi.  ― C’est un très bon arrangement, puisqu’à partir de maintenant nous allons prendre soin l’un de l’autre. Mais en attendant, je vais aller ranger mes affaires dans ma chambre. 
 Après qu’elle a acquiescé en hochant la tête je me suis séparé d’elle, et je l’ai quittée très satisfait de la façon dont la situation avait évolué. Car j’étais à présent convaincu que son seul problème avait été de souffrir de la solitude, et je pensais que s’il y a des personnes qui savent s’adapter à ce genre de situations, d’autres en sont par contre incapables. 
χ χ

 De retour dans la cuisine après être allé dans mon antre qui n’avait pas changé depuis mon départ de la maison, mis à part que mon lit venait d’être fait, j’ai demandé à maman :
 ― Le vieux a laissé des bouteilles, quand il s’est tiré ?
 Elle m’a aussitôt grondé ce qui m’a fait sourire, étant donné que je me suis dit que même ses réactions négatives avaient quelque-chose de positif :
 ― Je n’aime pas que tu appelles ton père comme ça, mon Cœur.  ― Voyons Mamounette, je ne vais tout de même pas lui donner du Papa, alors que je n’ai pas le souvenir qu’il se soit jamais comporté comme tel.  ― Oui, mais quand-même…  ― Très bien. Dans ce cas, est-ce que le docteur Lyser a laisser du vin, quand il a quitté cette maison ? ― Oui, mais tu sais que je n’y connais pas grand-chose, car je n’en bois jamais. ― Même pour fêter mon retour ? ― Si ça te fait plaisir, je trinquerai avec toi. Mais juste une gorgée, sinon je risque d’être soûle assez rapidement, et j’espère que tu n’es pas revenu ici, pour faire de moi une alcoolique.  ― Voyons Mamounette, tu sais que je ne veux que ton bien. Et boire un verre et même deux en mangeant, ne fera pas de toi la pochtronne du village. Ça va au contraire te détendre, ce qui te permettra de t’exprimer avec moins de réserve. ― Si tu le vois comme ça, et étant donné que je t’ai promis de faire des efforts en échange de ton retour, je t’accompagnerai mon Cœur.  
 J’étais heureux qu’elle voie les choses de cette manière, car ça me donnait à nouveau le sentiment que nous progressions, et c’est par conséquent le sourire aux lèvres que je suis descendu à la cave. Une fois sur place même si je ne suis pas un spécialiste, j’ai pu tout de même constater que mon paternel comme en ce qui concernait les femmes, puisqu’il s’était marié avec la plus belle d’entre elles, avait également bon goût en matière de vins. Car apparemment il avait tout laissé sur place, et sur les étiquettes j’ai pu voir des noms prestigieux tels que Gevrey-Chambertin, Clos de Vougeot, Chassagne-Montrachet ouChâteau-Margot. 
 J’ai toutefois opté pour un cru plus régional puisque j’ai pris une bouteille de Gigondas, et assez content de ma trouvaille je suis remonté. En me promettant de revenir faire de nouvelles collectes, et en priant pour que mon vieux ne se rappelle pas avoir oublié certaines de ses possessions, et revienne les chercher. Ce qui aurait été légitime de sa part. 
χ χ

 De retour dans la cuisine j’ai utilisé le tire-bouchons, le cylindre de liège en sortant a émis un bruit sympathique qui a fait sourire maman, je nous ai servi deux verres dans de grands ballons, puis j’ai goûté satisfait par la qualité du nectar. Ensuite constatant que les spaghetti avaient commencé à cuire, j’ai mis le couvert pour deux sur le comptoir américain afin que nous restions sur place, ce qui n’a pas eu l’air de déranger celle qui m’a mis au monde bien au contraire, étant donné qu’en me voyant faire elle a à nouveau souri. 
 Nous avons très peu parlé tandis que nous mangions, car si j’avais la ferme intention d’apprendre d’elle ce qui lui permettrait de s’épanouir, je n’avais pas envie de brusquer les choses estimant que nous avions déjà fait d’énorme progrès, en regard de l’état d’esprit dans lequel je l’avais trouvée en arrivant. Quant à elle, si j’ai pu remarquer assez rapidement dans son comportement les effets de l’alcool, qu’elle n’avait pas l’habitude de consommer, elle n’a pas éprouvé le besoin de se confier. Semblant tout simplement heureuse de ma présence, et n’ayant envie de rien d’autre. 
 C’est ainsi que notre repas terminé nous sommes allés nous coucher chacun dans notre chambre, après avoir constaté qu’il n’y avait rien de bien intéressant à la télévision malgré la multitude de chaînes, qui diffusaient toutes le même genre de programmes. Et je me suis endormi assez rapidement comme à chaque fois que je n’ai aucun souci en tête, car j’étais persuadé qu’à partir de maintenant tout allait bien se passer. 
 Lorsque je me suis réveillé de bonne heure le lendemain matin, car nous étions mercredi et ma semaine de travail était encore loin d’être terminée, j’ai enfilé un jogging et je suis directement parti courir pendant une heure.Quand je suis revenu je me suis rendu dans la cuisine afin de prendre rapidement mon petit-déjeuner, pour me rendre compte que maman y était déjà et qu’elle avait tout préparé pour moi. 
 Elle était dans la même tenue que la veille au soir et lorsque je lui ai fait un bisou sur la joue pour lui dire bonjour, j’ai noté qu’elle ne sentait plus la violette mais la femme. Un parfum naturel agréable et enivrant lui étant propre qui m’a momentanément troublé, car c’était la première fois que je le remarquais sur elle. De plus, j’ai constaté qu’elle n’était pas non plus insensible à l’odeur de sueur fraîche que je dégageais, ce qui a créé entre nous un moment de gêne. 
 Afin de provoquer une diversion ayant pour but de dissiper notre malaise, je lui ai dit une fois que j’ai été assis :
 ―Tu sais, tu n’es pas obligée de me materner. Car je suis capable de me débrouiller tout seul, j’en ai pris l’habitude. 
 Elle m’a répondu, après avoir hésité :
 ― Mais je croyais, que c’était ce que tu attendais de moi. Pour que je ne reste pas sans rien faire, à ruminer sottement.  ― Non. Car même si j’apprécie que tu cuisines à mon intention, ce qui au final ne te coûte pas plus de temps que si tu le faisais pour une seule personne, ce que je veux c’est que tu prennes soin de toi. Mais nous en reparlerons ce soir car je suis à la bourre, et il faut que j’aille prendre une douche avant d’aller bosser. 
χ χ

 Une fois arrivé sur mon lieu de travail et tandis que nous avancions dans notre tâche du jour, j’ai parlé du problème de ma maman qui était devenu le mien, à ma collègue Mélanie. Car même si nous avions rarement jusqu’à présent évoqué nos vies personnelles, cela ne nous avait pas empêché de nous rapprocher l’un de l’autre. Nous nous étions en effet rapidement rendus compte que nous étions complémentaires, moi avec mon expérience professionnelle assez courte mais pointue, surtout en ce qui concernait l’informatique, et elle malgré ses lacunes possédant un recul que lui conférait sa maturité. 
 Notre complicité nous permettait d’aborder n’importe quel sujet dans nos moments de détente, c’est pourquoi je lui ai annoncé :
 ―Ma mère déprime depuis que mon père s’est tiré, et j’ai temporairement emménagé chez elle pour l’aider à surmonter cette épreuve.Si j’ai dans l’idée qu’elle doit se trouver un autre homme pour recommencer à être heureuse, je ne sais pas trop comment l’inciter à faire de nouvelles rencontres. Car elle est assez réservée. 
 Elle a souri, puis m’a demandé :
 ― Et tu m’en parles parce que je suis aussi une femme, ou parce qu’elle et moi avons le même âge ?
 Elles ont un autre point commun qui est que Maman m’a eu très jeune puisqu’elle n’a que 38 ans, tout comme Mélanie qui comme je l’avais appris a une fille Océane née en 2003, soit un an après moi, plus en fils Enzo qui est de 2004. Mais je n’ai pas mentionné ces détails, et à la place j’ai répondu :
 ― Un peu les deux, plus le fait que tu es beaucoup plus à l’aise qu’elle dans tes baskets, M’man. 
 Elle a à nouveau souri comme à chaque fois que je l’appelle de cette manière, ce qui est de ma part une marque d’affection alors qu’elle me donne du Fiston en retour, puis elle m’a posé une autre question :
 ― Est-ce que vous pratiquez le nudisme ? ― Pas du tout. Je ne l’ai jamais vue nue ni l’inverse, en tout cas depuis que je suis en âge de me laver tout seul. ― Alors tu devrais le lui proposer, car ça l’aiderait à accepter son corps. D’abord à la maison, puis quand elle trouvera ça normal sur des plages naturistes.  ― Et tu penses que ça va l’aider ? ― Absolument. Ça plus ensuite un relooking, lui permettront d’affirmer sa personnalité. Car d’après la photo que tu m’as montrée elle est une très belle personne, alors même si au départ elle sera gênée d’attirer les regards des autres, surtout ceux des hommes, quand elle s’y sera habituée elle y deviendra indifférente, et pourra même en éprouver de la fierté. Mais attention, il faut que tu y ailles progressivement, afin qu’elle ait le temps de s’accoutumer.  ― Parce que tes enfants et toi, vous le pratiquez ? ― Bien entendu, sinon je ne t’en parlerais même pas. Ça a beaucoup aidé Enzo dans ses rapports avec les femmes, de voir sa mère et sa sœur sans vêtement dès son plus jeune âge, car il est lui aussi assez réservé de nature. Quant à Océane qui n’a pas ce genre de problèmes, elle se comporte de la même manière avec son père qu’ils soient nus ou habillés.
 J’ai souri en imaginant Georges Flaubert en tenue d’Adam, en train de fumer le cigare installé dans une chaise longue, et nous en sommes restés là à ce sujet.  
χ χ

 J’ai réfléchi à ça une partie de la journée pour arriver à la conclusion que l’idée était bonne, à condition que ma maman ne la rejette pas. Quand je suis rentré mon travail terminé j’ai eu le plaisir de constater qu’elle s’était à nouveau douchée puis habillée, et qu’elle était en train de lire un roman pour midinettes sur la terrasse. Décidé à tenter ma chance, je lui ai demandé sur un ton en même temps humoristique et enjoué :
 ― Qu’est-ce que tu penses du naturisme, Mamounette ?
 Levant le nez de son bouquin elle m’a regardé tout en devenant écarlate, et elle ma répondu en hésitant :
 ― Je… pas grand-chose… ― Ça te dirait, qu’on essaie d’en faire ? ― Mais… pour quelle raison ? ― Parce que ma collègue Mélanie, dont je t’ai déjà parlé et qui a le même âge que toi, pense que ça pourrait t’aider à prendre confiance en toi. Ce qui sera important quand tu feras de nouvelles rencontres, dans le but de te remettre en couple. Car il n’est pas question, que tu retombes sur le même type d’hommes que mon père.  ― Mais… je suis très bien comme ça…
 Je me suis mis accroupi à côté d’elle, histoire qu’elle ne se sente pas dominée ne serait-ce qu’en hauteur, puis je lui ai expliqué avec douceur tout en caressant sa joue :
 ― Écoutes, ça me fait plaisir d’être revenu vivre avec toi, mais tu sais aussi bien que moi que ce n’est que temporaire. Un jour, peut-être dans une semaine ou alors dans un an, je ferai la connaissance d’une femme avec qui j’aurai envie de construire quelque chose, et tu auras ensuite des petits-enfants dont tu pourras t’occuper, autant que tu en auras envie. En attendant, comme tu es encore jeune il faut que tu continues à vivre, en allant de l’avant. 
 Maman m’a écouté tout en me regardant, ses yeux se sont embués et elle a fini par me répondre :
 ― Je t’ai promis de faire des effort mon Cœur, et je tiendrai parole. De plus, quelle sorte de mère je serais, si je te privais du bonheur auquel tu as droit ? 
 J’étais heureux qu’elle prenne les choses de cette manière, et j’ai précisé après m’être relevé :
 ― Pour ce qui est de vivre touts nus, ce n’est qu’une proposition et pas une obligation. De plus rien ne presse, et pour l’instant je te demande juste d’y réfléchir. De toute façon tu n’as aucun souci à te faire, car je ne repartirai pas d’ici tant que je ne serai pas certain, que tout va bien pour toi. 
 J’ai alors eu droit de sa part à un sourire chargé de tendresse, que je lui ai rendu, puis je suis allé me changer pour enfiler une tenue plus confortable. 
χ χ

 Étant donné que nous étions le 01 Juin et que le temps était déjà chaud, en tout cas dans le Sud-Est de la France, j’ai décidé que j’allais remplir la piscine familiale. Ce qui m’a pris pas loin de deux heures même si je n’avais pas besoin de surveiller en permanence, alors j’en ai profité pour prendre mon premier bain de soleil. Pendant ce temps maman était dans la cuisine occupée à préparer notre repas du soir, et quand je suis allé la retrouver l’heure du souper approchant, j’ai été stupéfié de constater qu’elle ne portait plus que ses mules à talons, de trois centimètres de haut. 
 Revenu de ma surprise j’en ai déduis que si la femme qui m’a mis au monde était réservée, elle parvenait tout de même à prendre des décisions rapidement, ce qui démontrait dans le cas présent sa motivation. Que ce soit pour me faire plaisir ou parce qu’elle avait envie de retrouver une vie normale, n’avait pas vraiment d’importance, ce qui en avait par contre, c’est que j’étais à présent convaincu qu’elle n’était pas victime d’une dépression.  
 Comme je m’étais déchaussé ne portant qu’un caleçon de bain elle ne s’est pas immédiatement rendue compte de ma présence, car je n’avais pas fait de bruit pour arriver jusque là, ce qui m’a permis de la détailler alors qu’elle s’activait à cuisiner comme si elle avait été habillée. 
 Son corps légèrement enveloppé principalement à cause du manque d’activité physique, restait tout de même menu, et encore plus si on considère qu’elle ne mesure que 1 mètre 57. On y voyait assez nettement les marques du maillot de bain deux pièces porté l’année précédente, puisque ses fesses bien rebondies ainsi que son buste, étaient d’une teinte plus claire que le reste de sa peau pour sa part légèrement hâlée. 
 Ses seins lourds en forme de poires en regard de sa silhouette paraissaient gros, je les ai évalués mentalement pour conclure qu’ils remplissaient un 80C, et ils se terminaient par des tétons coniques rose-foncé sans aréoles, d’environ trois centimètres de diamètre à la base, qui pointaient encore fièrement vers l’avant. De plus, voir l’ensemble bouger au gré des déplacements de celle qui en était pourvue, était très attrayant. 
 Son ventre était légèrement bombé, un signe de maturité, quant à son sexe il était recouvert tout comme son pubis de poils courts de la même nuance que ses cils et ses sourcils, ce qui démontrait que tant qu’elle avait été en couple elle se rasait intégralement l’entrejambe, probablement à la demande de son mari. 
 Ses grandes lèvres charnues de la même nuance que le reste de sa peau se rejoignaient pour former une fente verticale, occultant leurs petites sœurs, sauf à l’endroit environ aux trois quarts de leur hauteur, où elles se séparaient pour laisser au capuchon de son clitoris l’occasion de pointer le bout de son nez. Ce qui ne gâchait rien, étant donné que ce dernier était assorti au niveau de la teinte à ses tétons. 
χ χ

 Pendant ce court examen fait sans vergogne, j’ai éprouvé un mélange d’émotions très étrange. Car j’avais devant moi une très belle femme avec un corps fait pour recevoir et donner du plaisir, sauf qu’il s’agissait de celle qui m’avait mis au monde. Heureusement pour moi c’est l’amour filial qui a dominé, et mon sexe même s’il a pris du volume est resté sagement pendu entre mes jambes. Par conséquent, mon changement d’humeur n’était pas détectable grâce à mon bermuda.
 Quand elle s’est aperçue de ma présence maman est tout de même devenue rouge de la tête au pieds, puis elle a bafouillé :
 ― Je… on savait tous les deux… que… ça finirait comme ça… alors je me suis dit… autant s’y mettre tout de suite…
 Étant pour ma part redevenu maître de mes sentiments et afin d’apaiser son trouble, je me suis approché d’elle lentement pour l’enlacer, comme si nous étions tous les deux habillés. Alors qu’elle était tendue et tremblait même légèrement, je lui ai murmuré à l’oreille :
 ― Tu n’as aucune excuse à me donner, Mamounette, vu que tu as fait ce que je t’ai demandé. Je suis même très fier de toi, car je ne m’attendais pas à ce que tu sautes le pas si rapidement. Et pour ne rien te cacher, je me suis demandé si tu y arriverais un jour. 
 Tandis que je la cajolais d’une manière filiale je l’ai sentie se laisser aller peu à peu entre mes bras, et je ne l’ai lâchée que quand j’ai été certain qu’elle était complètement rassérénée. Ce qui ne l’a pas empêchée de rougir légèrement, lorsque je lui ai annoncé :
 ― En toute logique je devrais moi aussi me déshabiller, histoire que nous soyons à égalité. Mais si tu penses que c’est trop tôt, on peut attendre un peu. 
 Elle m’a alors répondu d’une voix assurée, ce dont je ne l’aurais pas crue capable : 
 ― Je te rappelle que je t’ai déjà vu tout nu, mon Cœur, même si à l’époque tu n’avais pas encore de poils à la zigounette. 
 Je suis donc allé dans ma chambre afin de retirer mon caleçon, pour que nous puissions commencer à vivre sans vêtement. 
χ χ χ

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