Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 358 J'aime
  • 26 Commentaires

Anamorphose

Chapitre 3

Le ruban de la gladiatrice.

Inceste
Comme vous devez vous en douter quand je me suis retrouvé tout nu devant ma maman, bien qu’elle m’avait affirmé que ça ne la dérangerait, pas pour la bonne raison qu’elle m’avait déjà vu dans la même tenue quand j’étais enfant, ça ne l’a pas empêchée de devenir écarlate. Peut-être parce qu’elle a constaté que mes bourses étaient rasées, ce qui ne pouvait avoir qu’une signification sexuelle puisque rien d’autre ne le justifiait.
 C’est en effet Anaïs ma deuxième compagne, qui avait supprimé mes poils à cet endroit afin de pouvoir comme elle le disait bouffer mes couilles, et si au départ me retrouver chauve m’avait semblé étrange, pour ne pas dire déconcertant, j’en avais rapidement compris l’avantage et continué à me les enlever après notre rupture. 
 Cependant celle qui m’a mis au monde n’a fait aucun commentaire à ce sujet, si bien que je n’étais sûr de rien, et nous avons progressivement commencé à nous habituer à la nudité l’un de l’autre, même si je la trouvais toujours aussi belle avec un corps fait pour recevoir et donner du plaisir, ce qui était inconvenant de la part d’un fils envers sa mère. Mais à partir du moment-où ce fantasme naissant restait dans ma tête, j’estimais a tort ou à raison que la morale était sauve. 
χ χ

 Le lendemain il m’a fallu faire mon rapport à Mélanie, ce que je trouvais normal étant donné que c’était elle qui m’avait indiqué la marche à suivre. Toutefois elle a eu la délicatesse de ne pas me questionner, et a attendu patiemment que je lance le sujet alors que nous étions seuls dans notre bureau :
 ― Tu as envie de savoir comment ça s’est passé hier soir, M’man ? ― Si tu m’en parles c’est parce qu’il s’est effectivement passé quelque chose, et que tu veux le partager. Alors vides ton sac, Fiston. ― J’ai proposé à Mamounette, de faire du nudisme. ― Et elle a réagi comment ? ― Elle est devenue de la même couleur qu’une pivoine, et m’a demandé pourquoi. Par conséquent je lui ai expliqué, en ajoutant que rien ne pressait et qu’elle pouvait prendre le temps d’y réfléchir. Mais quand je suis allé la retrouver pour le repas du soir, elle ne portait plus que ses chaussures.  ― Des chaussures à talons haut et fin, j’espère ? ― Pas vraiment, car si elle ne mesure que 1 mètre 57, je ne l’ai jamais vue en porter de plus de trois centimètres. Je pense que c’est parce que mon père, aimait la dominer physiquement autant qu’il la dominait mentalement, mais je suis sûr de rien.  ― C’est une chose qu’il faudra changer. Car se grandir l’aidera également à prendre confiance en elle. Les hommes croient naïvement que si nous portons des talons aiguille souvent vertigineux, c’est uniquement dans le but de les séduire. Mais c’est également, pour qu’ils ne puissent pas nous regarder d’un peu trop haut.  ― Je suis d’accord sur le principe, mais ce n’est quand-même pas moi qui vais les lui acheter, ces godasses.  ― Et pourquoi pas ? ― Parce que je suis son fils.  ― Ça je suis au courant, merci, mais je ne vois pas où est le problème. Si c’est le côté symbolique qui te dérange, et que tu as peur qu’elle s’imagine que tu lui as offert des Fuck Me Shoes, il te suffira de lui expliquer la vraie raison. 
χ χ

 Certain qu’à défaut de me comprendre Mélanie arriverait à faire la part des choses, j’ai respiré un bon coup avant de lui faire part du fond de ma pensée : 
 ― Le problème, c’est que quand elle s’est retrouvée nue pour la première fois devant moi, me sont venues des idées bizarres.  ― Du style ? ― Du style, qu’un fils ne devrait jamais avoir pour sa mère. Je me suis dit qu’elle avait un corps, fait pour recevoir et donner du plaisir.  ― Ce qui est très encourageant pour elle, puisque ça signifie qu’au niveau de son physique, il n’y a rien à jeter.
 J’étais soufflé car persuadé qu’elle avait parfaitement compris ce que j’avais voulu dire, pourtant elle était passée dessus sans s’arrêter. C’est pourquoi je me suis exclamé :
 ― Mais enfin, ça ne te choque pas ?! ― Baisses d’un ton, s’il te plaît. Car je te rappelle que nous sommes sur notre lieu de travail, et qu’il y a autour de nous d’autres bureaux que le nôtre. Ensuite, eh bien non ça ne me choque pas. Et puisque nous en sommes à nous faire des confidences au sujet de nos vies intimes, comme tu le sais déjà mon fils Enzo a toujours été très timide. Ce qui peut être attendrissant quand il est question d’une fille, mais devient une tare quand ça arrive à un garçon. Alors en bonne maman j’ai décidé de lui venir en aide, et je l’ai dépucelé afin qu’il prenne confiance en lui.
 Puis elle a ajouté, après une courte pause :
 ― Je précise que j’ai attendu qu’il ait 18 ans, avant que nous fassions l’amour. Car non seulement je voulais lui donner la chance de se débrouiller sans moi, mais en plus je n’avais pas envie d’ajouter le détournement de mineur à l’inceste.
 À présent j’étais carrément estomaqué, et je n’ai rien pu faire d’autre que bafouiller :
 ― Mais ton mari… et ta fille… ils sont au courant... ? ― Bien entendu qu’ils le sont. Non seulement j’ai pris conseil auprès de Georges avant de me lancer, mais en plus Océane quand elle l’a appris, s’est empressée de coucher elle aussi avec son frère. Affirmant que le fait d’avoir déjà baisé avec deux femmes différentes, le préparerait encore mieux pour quand il se retrouverait en face de la suivante. Ce en quoi elle n’avait pas tort. 
χ χ

 Après ces révélations le reste de la journée s’est passé dans un calme pesant, étant donné que Mélanie et moi n’avons échangé des paroles que quand ça s’avérait nécessaire, et principalement par rapport à notre travail. Je suis arrivé au fil de mes ruminations, à la conclusion que si j’avais été énormément surpris je n’étais pas choqué pour autant. Après tout j’avais moi aussi eu des pensées incestueuses, même si je m’étais empressé de les réprimer considérant que c’était mal. 
 Par conséquent je n’étais pas vraiment en colère, d’autant plus que ma collègue m’avait affirmé qu’elle avait attendu que son fils soit majeur, et j’en avais déduit même si cela n’avait pas été précisé, qu’il avait également été consentant. Par conséquent, une seule entorse à la morale avait été faite. 
 Cependant j’étais certain que je n’arriverais plus jamais à considérer ma confidente de la même manière qu’avant, et ce qui me dérangeait le plus en réalité, c’est que quand je la regardais à présent je ne voyais plus une maman, qui n’était pas la mienne mais une maman tout de même, mais une femme qui était très attirante. Avec ces aveux elle avait brisé le fond d’innocence qui restait en moi, et je ne lui en voulais pas non plus à cause de ça, même si j’essayais de cacher mon trouble derrière une mine renfrognée. 
 Quant à Mélanie elle a gardé une attitude sereine tout du long, persuadée avec raison que je ne trahirais jamais son secret car elle avait appris à me connaître, et j’étais pour ma part certain qu’elle attendait patiemment que j’aie digéré la pilule, qu’elle m’avait faite avaler. Il n’y avait donc rien de dramatique dans la situation, et à 17 heures avant de quitter le premier notre bureau alors que sa porte en était toujours fermée, je me suis tourné vers elle et je lui ai dit :
 ― Je ne suis pas vraiment fâché après toi, tu sais M’man. C’est juste que j’ai besoin d’un peu de temps, pour accepter ce que tu m’as raconté.
 Elle m’a alors fait un sourire chargé de tendresse, puis elle m’a répondu :
 ― J’ai été maladroite et je te demande de m’excuser, Fiston. Car si je suis contente que tu saches réellement qui je suis, j’aurais dû attendre un moment et que nous soyons dans un endroit plus propices, avant de te révéler ces détails au sujet de ma vie intime. 
 Elle semblait convaincue que le fait qu’il n’y ait plus aucun mystère entre nous allait renforcer notre complicité, et l’avenir nous dirait si elle avait raison. 
χ χ

 Quand je suis arrivé à la maison maman portait uniquement ses mules à talons de trois centimètres de haut, et elle avait l’air beaucoup plus à l’aise dans sa nudité que la veille et même que le matin, puisque bien entendu elle était déjà levée et sans aucun vêtement quand je suis parti travailler. Mais en voyant la tête que je devais faire sa sérénité s’est aussitôt envolée, et elle ma demandé inquiète :
 ― Il y a quelque chose qui ne va pas, mon Cœur ? Tu as des soucis ?
 J’ai réussi à sourire en constatant que les rôles s’étaient inversés, puisque c’était moi qui étais censé veiller sur elle, et sans vraiment mentir je suis resté dans le vague :
 ― Juste un problème au boulot, mais rien de grave car ça va se tasser.
 Ma réponse l’a rassurée, et elle m’a annoncé fièrement :
 ― Tu vas être content de moi, car aujourd’hui j’ai nagé sur un kilomètre. 
 La piscine que mon père a faite construire mesurant vingt mètres de long, car en bon macho il voulait avoir la plus grosse du quartier, cela représentait cinquante longueurs. Ce qui n’avait rien d’un exploit, mais était tout de même une belle performance pour une personne qui n’avait pas l’habitude. C’est pourquoi je lui ai répondu :
 ― Je te félicite Mamounette. Non seulement pour l’initiative puisque ça va te tonifier le corps, mais également pour la distance. Car je n’aurais pas cru que tu pourrais tenir si longtemps, sans entraînement. ― En même temps, j’y suis allée tranquillement à la brasse.  ― Le but n’est pas non plus que tu deviennes une athlète, mais juste de te rendre encore plus belle. Enfin, si c’est possible…
 Cette affirmation l’a faite rougir, mais étant donné que j’étais persuadé que c’était autant dû au plaisir qu’à la pudeur, j’ai décidé de la taquiner un peu :
 ― Et tu t’es baignée toute nue ?
 Elle s’est empourpré un peu plus, ce qui ne l’a pas empêchée de me répondre posément :
 ― Évidemment. Ça aurait été ridicule même s’il n’y avait personne pour me voir, de rester sans vêtement à la maison et d’enfiler un maillot pour aller dans la piscine.
 C’était la logique même, et prenant sa tête entre mes mains j’ai déposé un baiser sur son front, avant de déclarer :
 ― Alors je suis très fier de toi, Mamounette. 
χ χ

 C’est pendant notre repas du soir que j’ai demandé à maman, sur un ton humoristique :
 ― Si je ne t’ai jamais vue avec des chaussures à talons plus hautes, c’est parce que tu as le vertige ? ― Non. Juste parce que ton père, ne m’en a jamais acheté d’autres.
 J’avais donc vu juste, alors j’ai posé une autre question :
 ― Et si moi je t’en achetais, tu les mettrais ?
 Elle a rougi légèrement, avant de me répondre :
 ― Si tu me les offres, ce sera parce que tu auras envie de me voir les porter, mon Cœur. Par conséquent je le ferai pour te faire plaisir, mais je ne les garderai aux pieds en permanence, que si elles sont confortables. Sinon, je ne les utiliserai que dans les grandes occasions. ― C’est un bon point pour toi. Car celui qui a affirmé le premier qu’une femme doit savoir souffrir pour être belle, n’était si tu veux mon avis qu’un sadique. De plus, si j’aimerais effectivement que tu en mettes, ce n’est pas uniquement parce que ça te rendra encore plus sexy, mais parce que Mélanie affirme que plus tu seras rehaussée, et plus tu auras confiance en toi.  ― J’ignorais qu’une étude avait été faite à ce sujet, et que la conclusion était que les femmes de petite taille, sont moins affirmées que les grandes. Mais bon, en même temps je ne m’appelle pas Mélanie. 
 J’ai immédiatement éclaté de rire, car ma Mamounette réservée venait d’abattre d’un seul coup une théorie de ma M’man toujours très sûre d’elle, et j’ai répondu à celle qui était avec moi :
 ― Je pense qu’elle va faire une drôle de tête demain, quand je vais lui faire part de ta logique. D’autant plus que si elle est contrairement à toi assez culottée, elle ne doit pas te dépasser de plus de cinq centimètres en hauteur. Bien entendu sans ses talons, qui en font toujours au moins dix.  ― Ce qui montre qu’au moins, elle croit en ce qu’elle dit.  ― Si tu veux mon avis elle n’en a pas besoin, et c’est toi qui as raison. La taille avec ou sans les chaussures, ne change pas grand-chose à l’affaire.
χ χ

 Le jour suivant quand je suis retourné travailler j’avais digéré la pilule, après avoir réfléchi au sujet de la nature des relations, que Mélanie entretenait avec certains membres de sa famille. Car même si je me doutais que la mère ayant couché avec son fils et la sœur avec son frère, cela ne s’était probablement pas arrêté là, cela ne me regardait absolument pas et n’ôtait rien à la valeur de ma collègue de travail, en tant que telle. 
 Autrement dit, j’étais fermement décidé à ne pas mélanger les affaires professionnelles et celles qui étaient privées, en tout cas quand ces dernières touchaient à l’intimité, et je n’ai pas manqué de demander à mon assistante, après que nous nous soyons poliment dit bonjour :
 ― J’ai cru comprendre que tu t’y connais en matière de chaussures, M’man. Tu pourrais me conseiller, pour en acheter ?
 Son expression au départ neutre a changé puisque un sourire amusé s’est affiché sur son beau visage, puis elle m’a posé à son tour une question :
 ― Tu as l’intention d’aller crapahuter dans la montagne, Fiston ?
 Elle était à nouveau taquine avec moi alors que ça lui arrivait régulièrement avant, mais sans exagération, ce qui signifiait que tout était redevenu normal entre nous, et j’ai répondu sur le même ton :
 ― Je pensais plutôt à des chaussures de femme, même si ma vraie maman est convaincue que la taille n’a aucun rapport avec la timidité, et que tu en es la preuve vivante.  ― Il est possible qu’elle ait raison, mais en même temps, ça ne peut pas lui faire de mal. ― C’est justement là que se situe mon problème. Car elle a accepté d’en porter, à condition qu’elles soient confortables. Et comme je n’y connais rien…  ― L’idéal reste de les essayer avant de les choisir. Mais quand on n’en a pas la possibilité, comme par exemple lorsqu’il s’agit d’un cadeau, la marque est un bon indice de qualité. À condition d’avoir envie d’y mettre le prix, car pour quelques dizaines d’euros tu n’auras que de la camelote. 
χ χ

 C’est ainsi qu’avant même d’avoir commencé notre journée de travail, nous avons transgressé une de nos règles, qui était de ne jamais aller sur internet pour des raisons personnelles. Car s’il n’y avait aucun interdit à ce sujet dans notre entreprise, nous avions établi notre propre ligne de conduite. Après une recherche rapide et en suivant mes indications car j’avais une idée assez précise de ce que je voulais, Mélanie a trouvé la page qui me convenait.
 Sur cette dernière se trouvait une paire de chaussures portant le nom très poétique de Ribbon Gadiator, ce que j’ai traduit mentalement sans m’arrêter sur l’erreur de syntaxe par le Ruban de la Gladiatrice. Il s’agissait de sandales comme les soldats en portaient dans l’antiquité, avec des sangles s’enroulant autour des mollets, la différence majeure étant que celles-là avaient été conçues pour une femme, étant donné qu’elles étaient également pourvues de talons aiguille. 
 Elles m’ont immédiatement plu, et si j’ai hésité ça été dans un premier temps pour ce qui a été de choisir leur couleur, car elles pouvaient aussi bien être vertes , rouges ou bleues mais également noires, et c’est pour cette dernière teinte que je me suis décidé, en me disant qu’il serait également possible à maman de les porter avec des vêtements, et que celle-ci irait avec tout ou presque. 
 Mais il y avait également le choix de la longueur puisque ce modèle était décliné en deux versions, la première avec des talons de sept centimètres et la seconde de dix. J’ai donc consulté mon experte qui m’a conseillé de prendre la plus haute, m’affirmant que si l’apprentissage avant de trouver un équilibre parfait serait un peu plus long, la différence ne serait pas bien grande, et que cela éviterait les regrets ou un deuxième achat destiné à passer au niveau supérieur. 
 Car ces chaussures conçues par un bottier italien réputé, dont j’ignorais jusqu’à l’existence quelques minutes seulement avant, n’étaient pas données même si j’avais les moyens de les acquérir, sans être obligé de piocher dans mon compte épargne. 
 Restait le problème du confort et quand Mélanie m’a affirmé qu’avec cette marque il n’y aurait aucun souci, j’ai argué qu’à la longue les sangles sur les jambes pouvaient être dérangeantes. Alors en zoomant sur les petites boucles se trouvant sur le devant du pied, elle m’a expliqué qu’elle pouvaient se retirer et que toute la partie haute était amovible. Elle a donc passé commande, bien entendu c’est ma carte bancaire qui a servi pour le règlement, et nous avons donné comme adresse de livraison celle de notre entreprise. Même si la forme du paquet et les références du fournisseur, risquaient d’éveiller la curiosité de certaines personnes pour ne pas dire plus.  
 Le reste de la journée s’est passé normalement, nous avions mon assistante et moi retrouvé notre complicité, et comme nous étions le vendredi avant Pentecôte, nous nous sommes quittés en fin de journée en nous souhaitant de passer un bon week-end, étant donné qu’en dehors du travail nous ne nous fréquentions pas. 
χ χ

 Lorsque je suis retourné à la maison pour trois jours, une routine s’est installée entre maman et moi. Elle n’avait pas vraiment d’amis car ceux qu’elle fréquentait avant étaient surtout liés avec mon père, et ils l’avaient tout comme lui abandonnée à son triste sort. Ce qui expliquait en partie le fait qu’elle s’était sentie abandonnée, puisqu’elle n’avait eu personne à part moi vers qui se tourner, le reste de notre famille habitant en Autriche. 
 Quant aux miens d’amis, je les avais mis entre parenthèses leur expliquant sans entrer dans les détails que j’étais retourné habiter avec celle qui m’avait mis au monde, parce qu’elle avait besoin de moi. Ce que je pense ils ont parfaitement compris car ils la connaissaient tous à des degrés divers, et contrairement à mon géniteur elle avait su grâce à sa gentillesse s’attirer leur sympathie. 
 Nous avons donc vécu en solitaires ne sortant de chez nous que pour nous ravitailler, et j’ai eu le plaisir de constater que Mamounette s’habituait progressivement à sa nudité vis à vis de moi, jusqu’à arriver à la trouver parfaitement normale et même en plaisanter. Pour ma part j’ai remplacé mon jogging matinal par des longueurs de piscine, ce qui avait l’avantage en plus de rester sur place que je ne n’étais pas obligé de m’habiller.
 Si nous nous sommes baignés ensemble à plusieurs reprises, arrivant même à chahuter comme des gamins les contacts physiques ne nous dérangeant pas, pour ce qui a été de faire de l’exercice nous avions chacun notre moment, pour la bonne raison que mon crawl était bien plus rapide que sa brasse. Mais j’étais content qu’elle continue a se bouger sans que j’aie besoin de le lui rappeler, et il m’a même semblé que sa silhouette s’affinait avantageusement pour elle. Pour le plaisir de ceux qui auraient l’occasion de la regarder, même si j’étais le seul à pouvoir en profiter pour le moment. 
 Mais peut-être qu’il s’agissait d’un effet de mon imagination et qu’il était encore trop tôt pour voir le résultat de ses efforts, par contre ce qui était certain, c’est qu’après plusieurs bains de soleil sa peau prenait une belle teinte dorée, qui plus est uniforme étant donné que les marques de maillot des années précédentes, s’estompaient progressivement. 
 Seule ombre au tableau en ce qui concernait le physique plus qu’attrayant de ma maman, les poils de son sexe continuaient leur lente repousse sans qu’elle éprouve le besoin de les raser à nouveau, et comme j’étais son fils je n’osais pas aborder le sujet avec elle, de peur qu’elle me trouve inconvenant. Même si j’ai toujours pensé qu’une vulve parfaitement lisse est beaucoup plus attirante, surtout si elle est chapeautée d’une touffe de poils laissée sur le pubis.   
χ χ χ

Vous aimez cette histoire et vous voulez la suite ?
Alors montrez-le !
Comment ?
En cliquant sur j’aime ! 

De plus, si vous voulez savoir quand le prochain épisode arrivera, cliquez sur « S’abonner aux histoires de Conteuse ».
Diffuse en direct !
Regarder son live