Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 355 J'aime
  • 30 Commentaires

Anamorphose

Chapitre 4

Notre invitée.

Inceste
Notre week-end passé sans aucun vêtement s’est déroulé dans une douce quiétude, sans que j’aie éprouvé le besoin d’aller plus avant dans ma volonté de changer les habitudes de ma maman, afin de ne pas la bousculer. Quand je suis retourné au travail le mardi matin, Mélanie avait également profité du beau temps même si avec sa peau de rousse ça se voyait moins, cependant cette dernière avait tout de même légèrement foncé sous les caresses du soleil. 
 Nous avons travaillé tranquillement avançant dans notre tâche, puis alors que nous faisions une pause dans notre bureau et que nous en profitions pour boire un café, elle m’a demandé :
 ― Alors, quelles sont les nouvelles du front ? ― Il n’y en a pas vraiment, si ce n’est que Mamounette et moi sommes devenus de parfaits nudistes, et qu’elle a l’air aussi à l’aise à poil que quand elle est habillée.  ― Au point d’envisager, de l’emmener sur une plage ? ― Pour ça, c’est peut-être encore trop tôt.  ― Tu dois le savoir mieux que moi, vu que je ne la connais pas. Mais il y a tout de même un facteur que tu dois prendre en considération, qui est que plus on avancera dans la saison, et plus il y a aura du monde au bord de la mer. Que ce soit avec ou sans maillot. Par conséquent, l’idéal serait que tu ne traînes pas trop, et que pour votre première fois car j’imagine que tu ne l’as jamais fait non plus, tu poses un jour de congé pour y aller en semaine.  ― Tu te trompes sur un point car avec Anaïs une de mes ex, on est allés à plusieurs reprises dans les Calanques de Cassis. Ensuite, je te signale qu’on a pas mal de boulot.   ― On a bien avancé au mois de Mai, alors je pense que notre patron n’y verra pas d’objection.  ― Tu dis ça, parce que c’est ton ex à toi ?  ― Tu trouve que j’ai abusé de la situation, depuis que je suis arrivée ici ? ― Absolument pas, et c’est justement ce que j’aime chez toi. Tu ne profites pas de ton statut particulier pour te la couler douce, mais tu as au contraire envie d’être considérée en fonction du travail que tu abats. ― Que veux-tu, j’ai ma fierté.  Cet échange s’était déroulé sur un ton badin, et j’ai conclu :
 ― Je vais réfléchir au sujet de ton idée, ensuite je prendrai une décision. 
χ χ

 Vers onze heures les chaussures commandées sont arrivées, amenées dans notre bureau dans un sac en plastique rendant son contenu anonyme, et j’ai supposé que c’était dû à une délicate attention de la part de notre réceptionniste. C’est pendant la pause de l’après-midi, que j’ai plus ou moins relancé notre conversation :
 ― Ce matin tu as parlé d’aller sur une plage nudiste, mais il a une chose qui me chiffonne au sujet de Mamounette.
 ― Laquelle ? ― Eh bien, s’il est évident que du temps où elle était avec mon père elle se rasait le sexe, probablement parce que c’est lui qui le voulait, depuis qu’elle est célibataire elle laisse repousser ses poils. Je trouve ça affreux, mais étant donné qu’il s’agit de ma maman et pas de ma copine, je n’ose pas lui en parler.  ― Déjà, il faut que tu saches que les naturistes, les vrais, se foutent de ce genre de détails. Car selon leur philosophie, chacun doit faire comme il le sent à condition d’avoir les fesses à l’air, sinon il ne fera pas partie des leur et sera malvenu. Maintenant, sur un plan strictement esthétique, l’idéal serait qu’elle se rende dans le salon d’une esthéticienne pour se faire épiler. Car chez la plupart des femmes, se raser à cet endroit fait apparaître des boutons, et le résultat n’est pas très beau non plus. ― Tu as sans doute raison. Mais ce serait encore plus délicat pour moi, de lui demander d’aller écarter les cuisses devant une inconnue, que de lui demander de se raser.  ― Et si tu me la présentais ? Comme ça non seulement elle verrait sur moi les avantages qu’une épilation procure, mais en plus je pourrais lui proposer de l’y emmener. ― Tu es sérieuse, là ?! ― Pourquoi, tu penses que je ne suis pas assez bien pour fréquenter ta Mamounette ? Où alors, c’est peut-être que comme je t’ai avoué que j’ai une sexualité très libre, tu as peur que je la dévoie ? ― Ni l’un ni l’autre, mais c’est juste que je ne m’y attendais pas. Il faut que tu saches, que l’idée que deux femmes fassent l’amour ensemble ne me choque pas. C’était même le fantasme d’une de mes ex, et je l’ai aidée à le réaliser. Sauf que… ― Sauf que ? ― Sauf qu’elle ma quitté pour vivre avec celle qu’on avait recrutée, sur un site soi-disant sensé fournir des partenaires sans lendemain.  ― Si ça peut te rassurer j’aime faire l’amour avec les femmes, mais je préfère les hommes.  ― Et moi, je précise que ça ne me dérangerait pas que ma maman se mette en couple avec une autres femme, à condition que ce soit une histoire sérieuse. Car ce dont elle a besoin avant tout, c’est de stabilité. 
χ χ

 Notre journée de travail terminée avec Mélanie nous nous sommes quittés, et je suis rentré à la maison bien entendu sans oublier les Ribbon Gladiator. Comme tous les soirs depuis une semaine maman était nue, assise dans une chaise longue sur la terrasse en train de lire, et quand j’ai sorti la boîte de son sac elle a commencé par ouvrir de grands yeux, avant de poser son bouquin sur le sol et de me demander d’une toute petite voix :
 ― C’est pour moi ?
 Je lui ai répondu amusé :
 ― Oui, mais si elle ne te plaisent pas ou que tu estimes qu’elles sont trop hautes, tu ne seras pas obligée de les porter, Mamounette. 
 Après avoir pris son cadeau il ne lui a pas fallu bien longtemps pour découvrir les sandales, puis elle m’a dit sur un ton un peu plus assuré :
 ― Effectivement, même si elles sont très belles elles sont hautes, et je ne sais pas si je vais pouvoir marcher avec.  ― Mélanie m’a affirmé qu’il te faudra un peu de temps, mais que tu devrais arriver à trouver la stabilité nécessaire.  ― Décidément, elle est incontournable cette Mélanie. C’est elle qui les a choisies ? ― Pas du tout. Elle m’a guidé pour aller sur le bon site, mais j’ai pris un modèle qui me plaisait, en espérant que ce serait aussi ton cas. Tu ne dois pas voir ma collègue de travail comme une rivale, essayant de détourner l’affection que j’ai pour toi, car si je l’aime aussi ce n’est pas de la même manière. C’est juste qu’étant donné que vous avez le même âge, et que vous êtes toutes les deux des femmes, elle est pour moi de bon conseil pour ce qui est de te venir en aide. Même si comme tu l’as prouvé en ce qui concerne la taille des personnes réservées, elle n’est pas infaillible. D’ailleurs, comme je lui ai parlé de toi elle aimerait faire ta connaissance.  ― Vraiment ? Mais étant donné que le tableau que tu lui as dépeint de moi n’était probablement pas objectif, elle risque d’être déçue. ― Tu sais, elle est du genre à se faire sa propre opinion, ce qui ne l’empêche pas de tenir compte de l’avis des autres. De toute façon, l’idée serait que tu la rencontres une fois, et si elle ne te plaît pas tu ne seras pas obligée de la fréquenter.  ― Bon, puisque tu as l’air d’y tenir, je suis d’accord. Tu vas donc l’inviter un soir à souper en fonction de son emploi du temps, car moi tout ce que je veux c’est être prévenue vingt-quatre heures à l’avance, de manière à pouvoir la recevoir correctement. 
χ χ

 L’affaire étant entendue alors que je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi simple, maman qui tenait toujours la boîte à chaussures à la main, m’a demandé :
 ― Je peux les essayer ?
 J’ai souri, avant de répondre :
 ― Bien entendu que tu peux, puisqu’elles sont à toi. 
 Posant la boite elle aussi au sol elle s’est alors penchée en avant, et si tandis qu’elle enfilait ses sandales j’ai remarqué que ses mains tremblaient un peu, parce qu’elle était émue, cela ne l’a pas empêchée d’avoir des gestes assurés comme si elle avait déjà fait ça avant. Pourtant une fois qu’elle a été équipée elle m’a regardé d’un air désemparé, et comprenant qu’elle n’osait pas prendre son élan pour se lever de peur de se casser la figure, je lui ai tendu la main pour l’aider. 
 Une fois debout maman était plus grande puisque étant pour ma part pieds nus je ne la dépassais plus que d’une quinzaine de centimètres, mais pas très stable sur ses jambes. Ce qui ne m’a pas empêché de la lâcher pour qu’elle puisse faire seule ses premiers pas, qui se sont révélés hésitants. C’est pourquoi je lui ai expliqué :
 ― Tu n’es pas obligée de les garder en permanence, et tu pourras les mettre de temps en temps afin de t’y habituer. 
 Comme je n’ai eu droit pour toute réponse qu’à un sourire, j’ai ensuite précisé :
 ― Et si les lanières sur tes mollets te dérangent, comme elles sont là uniquement pour faire joli, elles peuvent être retirées. 
 Cette fois, elle a répliqué :
 ― Je te remercie pour ta prévenance, mon Cœur. Mais étant donné qu’elles me plaisent ce qui est également ton cas, sinon tu en aurais choisi d’autres, je vais les porter aussi longtemps que je le pourrai. Même si au départ, je donnerai l’impression de faire du patin à glace pour la première fois. 
 Effectivement, quand elle a commencé à se déplacer elle m’a plus fait penser à un canard qu’autre chose, et je me suis efforcé de cacher mon amusement, même si j’étais heureux qu’elle consente à faire des efforts pour être plus sexy. J’étais de plus convaincu qu’elle ne tarderais pas à avoir la démarche en même temps chaloupée et gracieuse, des autres femmes qui se perchaient de cette manière. 
χ χ

 Le lendemain quand je suis retourné travailler, Mélanie m’a demandé juste après que nous nous soyons dit bonjour :
 ― Alors, les Fuck Me Shoes ont plu à ta Mamounette ? ― Oui, beaucoup. Mais je préférerais que tu ne les appelles pas de cette manière, car je ne les ai pas achetées dans ce but. Si un jour elle décide de les garder aux pieds pour faire l’amour, ça ne sera pas avec moi.  ― Excuse-moi Fiston, je ne voulais pas te choquer. L’important c’est qu’elle ait accepté ton cadeau, car cela démontre qu’elle a autant envie que besoin de changer.  ― C’est pas faux. Et quand je lui ai dit que tu aimerais la rencontrer, elle m’a répondu qu’elle était d’accord à condition d’être prévenue à l’avance, de manière à avoir le temps de s’organiser.  ― S’organiser pour quoi ? ― Eh bien, elle est depuis toujours une femme au foyer. Par conséquent, recevoir implique pour elle de préparer un repas.  ― C’est très aimable de sa part. Est-ce que vendredi soir, ça irait ?
 Étant donné que nous étions mercredi le délai était plus que suffisant, c’est pourquoi j’ai répondu taquin :
 ― Je pensais qu’une femme comme toi, serait surbookée le week-end. Mais puisque ce n’est pas le cas, je pense que ça conviendra à Mamounette. 
 Elle a répliqué, sur le même ton :
 ― Et on sera en mode nudiste ? ― Je vais lui poser la question, car nous n’avons pas évoqué cette éventualité et ce sera à elle de décider.  ― Étant donné que nous serons chez elle, cela coule de source. 
 Le sujet étant clos nous avons commencé à travailler, et quand une fois rentré le soir j’ai proposé la date à maman, elle m’a répondu que c’était d’accord. Puis quand j’ai demandé si nous serions nus ou habillés, elle est devenue écarlate et s’est exclamée :
 ― Mais… je croyais qu’on resterait comme ça, que quand on est que tous les deux ?!
 Je l’ai alors prise dans mes bras pour constater qu’elle était toute tremblante, pas à cause de moi mais à l’idée que quelqu’un d’autre puisse la voir sans aucun vêtement, et je lui ai expliqué en lui parlant doucement :
 ― Comme je te l’ai dit, le but est que tu prennes confiance en toi. Par conséquent, je pense qu’élargir progressivement le cercle de ceux qui te verront dans le plus simple appareil, ne peut que te faire du bien. C’est certain qu’au départ tu te sentiras horriblement gênée, comme la première fois avec moi, mais nous savons déjà que peu à peu tu t’y habitueras, jusqu’à ne plus y penser. C’est alors que tu te rendras compte que la magie a opéré, car tu seras devenue une autre femme. Plus épanouie parce que plus sûre d’elle. Mais bien entendu, il s’agit juste d’une option et c’est à toi de décider. ― Mais… qu’est-ce que tu entends au juste par… élargir le cercle ? ― L’idée serait qu’au final tu arrives à aller sur une plage naturiste, et que tu réussisses à t’y trouver parfaitement à l’aise. Que ça te devienne naturel. ― Tu es sérieux, là ?!? ― Oui, c’est la raison pour laquelle commencer avec Mélanie, qui est faite comme toi puisqu’elle est elle aussi une femme, serait un bon début. Car tu serais moins impressionnée.  ― Je… je vais y réfléchir.
χ χ

 Lorsque le vendredi est arrivé la décision avait été prise, puisque nous allions passer tous les trois notre soirée cul-nu. Notre journée de travail s’est déroulée comme bien d’autres avant elle, Mélanie se montrant aucun signe de changement d’humeur par rapport à d’habitude, pas plus que moi étant donné que j’étais convaincu que tout allait bien se passer. Nous nous sommes séparés momentanément à 17 heures puisqu’il avait été convenu qu’elle viendrait à la maison à l’heure de l’apéritif, et je suis rentré à la maison. 
 Maman quand j’y suis arrivé était par contre légèrement fébrile, à l’idée de recevoir une inconnue sans porter de vêtements. Pourtant elle était restée bravement nue, se déplaçant rapidement sur ses sandales à talons aiguille de dix centimètres de haut, dont elle avait retiré les lanières décoratives, et avec lesquelles elle marchait à présent avec une certaine aisance. Pourtant rien ne justifiait son agitation mis à part la nervosité, car j’étais certain que tout était déjà prêt afin de recevoir correctement notre invitée, c’est pourquoi je l’ai prise dans mes bras, serrant son corps contre le mien, et je lui ai expliqué avec douceur afin d’essayer de la détendre :
 ― Tu n’as aucun souci à te faire Mamounette, car Mélanie ne vient pas ici dans l’intention de porter un jugement au sujet de ta façon d’être, mais en amie. Et même si tu ne la connais pas encore, je suis persuadé que vous allez bien vous entendre. 
 Elle m’a répondu, d’une voix plaintive :
 ― Oui mais… d’après ce que tu m’en as dit… elle est très différente de moi. Tellement… meilleure… ― C’est vrai que vous n’êtes pas pareilles, mais ça ne veut pas dire pour autant qu’elle vaut mieux que toi. Et si tu préfères que nous soyons habillés, il est encore temps de changer d’avis. Car elle ne va pas arriver ici, après avoir conduit sa voiture complètement à poil. 
 Cette idée l’a faite pouffer de rire, ce qui m’a démontré qu’elle n’était pas au bord de la panique, puis elle m’a répondu :
 ― Non, ma nudité je vais l’assumer. Car comme tu me l’as fait remarquer, je vais être gênée avec elle comme je l’ai été avec toi au début, et après je vais m’habituer. Alors si je me dégonfle, je le regretterais par la suite.  ― Je suis très fier de toi, Mamounette. Maintenant je vais moi aussi aller me déshabiller, car non seulement je serai plus à l’aise, mais en plus ça nous mettra à égalité. 
χ χ

 Lorsque le carillon de l’entrée à jouée sa mélodie pourtant douce, maman avec qui j’étais resté à la cuisine dans le but de la soutenir moralement, a sursauté. Je lui ai souri pour l’encourager, puis je suis allé ouvrir à notre invitée. Mélanie était vêtue très simplement d’une petite robe à bretelles, comme à son habitude elle ne portait pas de maquillage n’en ayant nul besoin, ses beaux yeux verts étant un ornement plus que suffisant. Elle était chaussée d’une paire de sandales aux talons aussi hauts que ceux de son hôtesse, également noires, et ses cheveux auburn étaient nattés dans son dos. 
 Après m’avoir souri elle m’a tendu le bouquet de roses multicolore qu’elle tenait à la main, et mutin je lui ai demandé :
 ― C’est pour moi ? Franchement, il ne fallait pas.  ― Non Fiston, c’est juste pour que tu me les tiennes, le temps que je me mette en tenue de combat. 
 J’ai pris les fleurs, sans façon elle a retiré son fin vêtement qu’elle a accroché au perroquet habituellement destiné à supporter des vestes, et j’ai alors constaté qu’elle ne portait rien dessous. Étonné mais pas choqué, puisque c’était également une des habitudes d’Anaïs ma deuxième compagne, j’ai continué à la taquiner en posant une autre question :
 ― Tu n’as pas peur de t’enrhumer, en sortant comme ça ?
 Elle m’a répondu sur le même ton, tout en reprenant le bouquet :
 ― Le jour où tu mettras des kilts, tu comprendras ce qu’on ressent en le faisant. 
 Mais je n’ai pas vraiment écouté cette dernière phrase, car j’étais hypnotisé par ce que j’avais à présent sous les yeux. Aussi belle que Mamounette mais dans un genre différent, avec ses traits fins et aristocratiques que je connaissais déjà, M’man à l’aube de sa maturité avait un corps splendide, alliant à la perfection la finesse et les rondeurs. Ses fesses sans être grosses étant rebondies, grâce à une chute de reins exceptionnelle dont je n’avais jamais fait cas avant. 
 Ses seins à la base haut perchés et ronds pendaient légèrement, mais ils étaient bien pleins et terminés par de petits tétons pointus aux aréoles marron-clair, dont le diamètre ne devait pas dépasser les quinze millimètres. Ils ressortaient parfaitement sur sa peau de rousse très légèrement hâlée, comme celle de son visage parsemée de taches de son en même temps plus grosses et plus espacées. 
 Son ventre comme celui de maman était légèrement bombé, qu’elle ne l’ait pas rentré par réflexe indiquant qu’elle assumait pleinement sa maturité, et dans sa partie la plus basse se trouvait une touffe du même auburn que sa chevelure, au poils longs et frisés formant comme un buisson bien entretenu. Juste en dessous se trouvait sa vulve au contraire parfaitement lisse, avec en son milieu ses nymphes chiffonnée entourées par leurs grandes sœurs leur faisant comme un berceau, le tout d’une teinte identique aux pointes de ses seins. 
χ χ

 Alors que le me délectais de ce spectacle j’ai à peine remarqué qu’un sourire pourtant nettement ironique se dessinait sur le beau visage de Mélanie, et sa voix l’était également quand elle m’a dit rompant le charme :
 ― Je suis heureuse que tu me regardes pour la première fois comme une femme, même si ça risque de chambouler nos rapports professionnels. 
 Tandis que je devenais écarlate, elle a ajouté plus sérieusement :
 ― J’espère quand même que tu vas arriver à te maîtriser, car si tu te mets à bander, cela risque d’effaroucher ta Mamounette. 
 Conscient que cette dernière devait se demander ce que nous fabriquions, ce qui n’était pas fait pour la rasséréner, je me suis appliqué à me recomposer une attitude normale, et tandis que je sentais la chaleur refluer de mon visage j’ai répondu aussi calmement que possible :
 ― C’est vrai que jusqu’à présent, je ne t’avais jamais vue de cette manière, M’man. Très certainement parce que tu étais dans des tenues décentes, et que tu n’as jamais cherché à m’aguicher. Mais je ne suis pas non plus un animal, et je sais me contrôler. 
 Cette dernière remarque l’a faite à nouveau sourire, puis elle m’a dit :
 ― Ce n’est jamais la nudité qui est indécente car elle est un état naturel, mais souvent les pensées de celui qui en est témoin. Si tu veux devenir un naturiste accompli, ancre-toi ça dans le crâne Fiston. 
 Et sur ces paroles pleines de sagesse, nous sommes allés retrouver maman. 
χ χ χ

Vous aimez cette histoire et vous voulez la suite ?
Alors montrez-le !
Comment ?
En cliquant sur j’aime ! 

De plus, si vous voulez savoir quand le prochain épisode arrivera, cliquez sur « S’abonner aux histoires de Conteuse ».
Diffuse en direct !
Regarder son live