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Anamorphose

Chapitre 6

La messe est dite.

Inceste
Le lendemain comme c’était dimanche nous avons retrouvé notre douce quiétude, toujours en mode nudiste puisque ça nous était devenu naturel, et j’ai feint de ne pas remarquer que la démarche de maman était redevenue hésitante. Car elle avait troqué les sandales que je lui avais achetées, contre des mules aux talons tout aussi hauts et fins, donc ses chevilles n’étant plus tenues elle avait à nouveau perdu en stabilité.  Cela ne m’a pas inquiété car elle était prudente, j’étais convaincu qu’elle ne mettrait pas bien longtemps avant de recommencer à se sentir à l’aise, et au contraire content qu’elle n’ait pas eu besoin de moi pour continuer à évoluer. Même si je savais qu’elle avait bénéficié d’un coup de pouce, ma collègue de boulot n’étant pas étrangère au phénomène. 
 Après que nous ayons pris notre petit-déjeuner j’ai nagé pendant un bon moment, et Mamounette en a profité pour se remettre à la peinture, ce qui était également une bonne nouvelle puisque ça montrait qu’elle était motivée. Tandis que je prenais ensuite un bain de soleil en l’observant de temps en temps, j’ai pu constater qu’elle était en réalité en train de dessiner avec concentration, ce qui ne l’empêchait pas d’avoir l’air heureuse ce qui m’a mis la joie au cœur. J’ai enfin compris à quoi servait le pupitre de musicien, puisque une photo en 20 par 30 était posée dessus, et bien que d’où j’étais je ne puisse pas voir ce qu’elle représentait je savais que Mélanie était dessus. 
 Ne voulant pas déranger l’artiste je me suis occupé jusqu’à 11 heures, puis j’ai allumé le barbecue vu qu’il avait été décidé que je ferais des grillades pour midi, accompagnées d’une salade de pommes de terre, et ces dernières étant déjà cuites je me suis ensuite appliqué à les éplucher avant de les couper en rondelles. Car après tout maman me faisant à manger pendant la semaine, ce qui était logique étant donné que j’avais un emploi et pas elle, je trouvais également normal de mettre la main à la pâte le week-end. Surtout à présent, qu’elle avait renoué avec sa passion de jeunesse. 
χ χ

 C’est pendant que nous mangions sur la terrasse, que je lui ai demandé :
 ― Je pourrais voir ce que tu es en train de faire, ou je devrai attendre que ce soit terminé.  ― Tu sais, pour l’instant ce n’est encore qu’une esquisse faite au crayon, car peindre prend du temps. Mais ça ne me dérange pas que tu regardes, même quand je travaille.  ― Et tu vas travailler aussi, cette après-midi ? ― Eh bien, ce n’est pas une obligation, car j’aurai toute la semaine pour le faire mon Cœur.  ― Ce que je veux savoir, c’est si tu en as envie ? ― Je...
 J’ai supposé que si elle hésitait c’est qu’elle avait peur de me négliger, alors que j’étais revenu vivre dans sa maison uniquement pour qu’elle se sente moins seule, c’est la raison pour laquelle je me suis empressé de préciser :
  ― Parce que si c’est le cas, je pourrais en profiter pour aller voir des amis.
 Elle m’a paru aussitôt soulagée, et a répondu :
 ― C’est une bonne idée. Car si j’ai envie de passer du temps avec toi, Mélanie doit aussi être impatiente de voir comment mon travail avance. Même si je suis persuadée, qu’elle sera déçue par le résultat. 
 J’ai soupiré, avant de lui expliquer :
 ― Ce que je vais te dire ne va pas te plaire, mais il faut quand-même que je le fasse. Mon père est nul, autant pour ce qui est de critiquer ton art que pour le reste. Car si nous avons tous conscience que tu ne seras jamais Michel-Ange, j’aime ce que tu peins, M’man aussi et si j’ai bien compris Papy et Mamie également. Donc si tu n’es pas un génie tu as tout de même du talent, et il faut que tu prennes confiance en toi dans ce domaine, comme dans les autres. 
 Maman n’a pas relevé que j’avais dit du mal de son ex-mari, ce qui était un point positif car s’il avait été le centre de son univers pendant des années, j’étais convaincu qu’elle était en train de réaliser qu’elle pouvait continuer à vivre sans lui, en comptant sur d’autres personnes. À condition qu’elle ait jamais pu le faire avec lui, car même si je ne m’étais rendu compte de rien avant, j’avais de plus en plus l’impression qu’il avait minimisé les capacités de sa femme, afin de se sentir plus grand. Ce qui était selon moi la marque des petits.
χ χ

 Mais tout ça c’était du passé et dans le présent que nous étions en train de vivre, après avoir bu le café et que nous ayons débarrassé les reliefs de notre repas, je me suis habillé pour quitter la maison tandis que maman retournait à sa passion, si longtemps réprimée. 
 Cependant je n’ai pas eu de chance, car j’avais décidé au lieu de les prévenir avant par téléphone de me rendre directement chez un couple dont le nom n’a aucune importance, afin de leur faire la surprise. Sauf qu’ils n’étaient pas chez eux, et plutôt que de me renseigner afin de savoir où ils se trouvaient, je suis ensuite allé chez un pote célibataire qui lui aussi était absent. J’aurais pu continuer ma tournée, car si je n’ai pas cinquante amis dignes de cette considération ils sont tout de même plus de trois, mais j’ai préféré aller boire une bière dans un bar dans lequel j’avais mes habitudes depuis que j’étais célibataire, pour constater que là non plus il n’y avait aucune de mes connaissances.  
 Si j’étais déçu je n’étais pas triste pour autant, et résolu à ne pas forcer le hasard je me suis dit avec philosophie que continuer à lire La Roue Du Temps, qui comme chacun le sait tisse la trame du destin comme elle l’entend, une saga digne de Tolkien que je venais de découvrir, était une bonne occupation pour terminer le week-end. C’est pourquoi je suis retourné dans ce qui était redevenu mon foyer, depuis une douzaine de jours. 
χ χ

 Alors que j’avais l’habitude d’aller me déshabiller dans ma chambre, sans réfléchir j’ai fait comme Mélanie quand elle était venue manger, accrochant mes habits au perroquet se trouvant dans l’entrée. C’est donc pieds nus et pas seulement, que je suis ensuite allé voir où en était Mamounette dans la réalisation de sa peinture. Mais alors que j’étais encore dans la salon dont la porte-fenêtre était ouverte, je me suis figé en entendant cette phrase hachée par des gémissements :
 ― Oh oui Nathan... c’est trop bon… ce que tu me fais. 
 Pas besoin que je me demande qui avait dit ça, car non seulement elle était seule dans la maison mais en plus j’aurais reconnu sa voix avec son petit accent germanique parmi des millions, et sauf si elle m’avait caché des choses, elle ne connaissait pas d’autre Nathan que moi. Je ne saurai jamais ce qui m’a le plus troublé en réalisant ce qui était en train de se passer, que ma maman se donne du plaisir en fantasmant sur moi, ou que mon sexe en l’apprenant se soit immédiatement dressé pour devenir raide comme un bout de bois. 
 J’ai suis resté quelques instants indécis, car j’avais le choix entre revenir en arrière et faire du bruit pour signaler ma présence, ou aller de l’avant et satisfaire mon envie qui était également la sienne, à condition bien évidemment qu’elle assume assez pour franchir le pas. J’ai alors réfléchi à toute vitesse, en me disant que le fait que ma collègue de travail m’avait avoué dix jours plus tôt, qu’elle pratiquait l’inceste sans complexe mais en toute discrétion, que mes amis n’avaient pas été là où je m’attendais à les trouver, et que je ne sois pas allé dans mon antre comme les fois précédentes pour enlever mes vêtements, étaient autant de signes du destin. 
 Cependant j’hésitais encore, et c’est le fait que celle qui m’a mis au monde a prononcé une deuxième fois mon prénom, alors que ses manifestations évidentes de plaisir étaient toujours aussi explicites, qui a fini de me décider. C’est pourquoi j’ai décalotté mon gland, et j’ai recommencé bravement à avancer pour aller sur la terrasse. Car je n’étais pas non plus certain, de la façon dont ma maman allait réagir en me voyant. 
χ χ

 Quand elle s’est rendue compte de ma présence, Mamounette qui avait passé ses jambes par dessus les accoudoirs de la chaise longue sur laquelle elle s’était installée, y appuyant le creux derrière ses genoux pour que ses jambes soient bien écartées, et alors que ses petons toujours chaussés de ses mules à talons aiguille pendaient dans le vide, a poussé un petit couinement de terreur. Ce qui m’a fait penser à un lapin, se retrouvant pris dans un collet. 
 En même temps elle a placé sa main gauche poisseuse de plaisir sur son sexe, ne dissimulant pas complètement le dildo qui y était enfoncé jusqu’à la garde, tandis que la droite s’est posée sur un de ses seins son avant bras cachant l’autre, comme si leur vue après une dizaine de jours de nudisme avait pu me choquer. 
 Elle est devenue écarlate en remarquant mon sexe bandé pointant dans sa direction, qui palpitait à la vue du charmant tableau qui lui était offert, et ne pouvant pas s’empêcher de le fixer elle a bafouillé :
 ― Nathan… tes... amis… ?
 Je lui ai répondu avec un calme dont je ne me serais jamais cru capable, étant donné que j’étais au comble de l’excitation : 
 ― Il faut croire qu’il était écrit que ça devait finir comme ça, puisque mes amis je ne les ai pas trouvés.  ― Finir... comme... ça... ? ― Tu en a envie, probablement depuis l’instant où tu m’as vu nu, puisque moi aussi j’ai eu la même pensée. Alors maintenant que je sais pour toi et que tu sais pour moi, il ne nous reste plus qu’à faire l’amour. Tu n’es pas d’accord ?  ― Mais… je suis ta mère… ― Tu n’as pas tort. Mais à partir du moment où nous serons les deux seuls à être au courant, ça va déranger qui ? ― Moi, pour commencer. Car même si c’est vrai que j’en ai envie, après je me sentirai trop mal. 
χ χ

 Je n’ai pas été surpris par sa réaction vu qu’au départ j’avais eu la même, et ayant conscience de trahir un secret qui ne m’appartenait pas, je lui ai demandé : 
 ― Et si je te dis que Mélanie a fait l’amour avec son fils, tu te sentiras mieux ? ― Tu es sérieux, là ?!? ― Je ne te mentirais pas sur un truc aussi important, Mamounette. Même que je prends un risque énorme, car si elle apprend que je te l’ai révélé, il se pourrait bien que M’man m’en veuille à mort. ― Et c’est ça, qui t’a incité à me le proposer ? ― En grande partie. Car j’y pensais déjà avant, et quand je le lui ai avoué parce que j’avais le sentiment que sans s’en rendre compte, elle me poussait dans cette direction avec ses conseils, elle m’a annoncé qu’elle avait dépucelé Enzo. Parce qu’il est très timide, et qu’elle était convaincue que ça l’aiderait dans ses rapports avec les autres femmes.   ― Et ça a marché ? ― Elle n’est pas allée jusque là dans ses révélations, car si comme je te l’ai dit j’en avais envie, tout comme toi l’idée de passer à l’acte me dérangeait, et je le lui ai fait comprendre. Puis en réfléchissant, je suis arrivé à la conclusion que malgré ce que j’avais appris d’elle, j’avais toujours affaire à la même femme qui n’avait rien d’un monstre. Ajouté à ça le fait que nous ne devions pas mélanger le travail et le privé, après que j’aie boudé pendant une journée, nous avons recommencé à nous comporter comme avant.  ― Tu l’as acceptée comme elle est, parce que tu l’aimes ?
 Je n’avais pas envisagé la chose sous cet angle, et la perspicacité de maman m’a bluffée parce qu’elle avait deviné la nature de mes sentiments envers Mélanie. Cependant j’ai précisé :
 ― Tu as raison, je l’aime. Mais pas comme je t’aime toi, ni comme j’aimerai la mère de mes enfants, mais peut-être plus comme une grande sœur. 
 Mamounette à alors souri, avec une assurance dont je ne l’aurais jamais crue capable puisqu’elle n’a même pas rougi, elle a posé ses mains sur ses genoux m’offrant la vision de ses beaux seins, et ce qui était nouveau pour moi celle de son vagin élargi par le godemiché toujours planté en elle, avec son clitoris fièrement sorti de son capuchon qui pointait le bout de son nez. Puis elle m’a dit :
 ― En fait, c’est ça qui me dérangeait vraiment. Pas que tu me fasses l’amour puisque comme tu l’as si bien fait remarquer, cela restera notre secret, mais que tu te sacrifies pour moi et que tu renonces à fonder ta propre famille, à avoir une femme et des enfants. Car comme toi, j’ai pris le temps de réfléchir à la question. 
χ χ

 La messe venait d’être dite, nous avions tous les deux renoncé à la morale, ou peut-être tout simplement que la nôtre avait évolué pour devenir différente de celle de la majorité des gens, et nous allions partager du plaisir ce qui j’en étais convaincu, renforcerait les sentiments que nous avions l’un pour l’autre. C’est pourquoi mon sexe me précédant toujours car il n’avait pas faibli un seul instant, je suis allé me mettre à genoux devant ma maman qui attendait sans bouger, et quand j’ai attrapé le dildo toujours planté en elle je lui ai demandé avec humour :
 ― Il est sympa ce truc, tu l’as acheté hier ?
 Elle a rougi, avant de me répondre :
 ― Oui, même si j’étais morte de honte face au vendeur, qui lui par contre se comportait comme si on était dans une mercerie. Sans Mélanie je n’aurais jamais osé entrer dans ce magasin, et c’est elle qui m’a conseillée pour le choisir. 
 J’étais surpris, pas par le fait que ma collègue de travail puisse être à l’aise dans ce genre d’endroits, mais par celui qu’elle avait réussi à y traîner ma timide maman, alors qu’elles se connaissaient depuis quelques heures à peine. Mais en même temps elle avait également réussi à la convaincre de se faire épiler la vulve, un exploit dont je la savais parfaitement capable mais pas si rapidement.
 Je n’ai pas fait part du fruit de ma réflexion à celle qui m’a mis au monde, pendant laquelle je l’ai regardée avec gourmandise, et à la place je lui ai dit en retirant doucement le pal en silicone, avant de le jeter au sol :
 ― Ton jouet, tu n’en aura besoin que quand je serai au boulot. Car si te vient une envie même au milieu de la nuit, tu n’auras qu’à me demander de l’assouvir. 
 Elle a rougi mais très légèrement tout en hochant la tête, puis je me suis penché en avant en levant les yeux pour continuer à la regarder, afin de voir de quelle manière elle allait réagir à ce qui suivrait. 
χ χ

 Les grandes lèvres de Mamounette s’étaient resserrées suivant le mouvement de son vagin à nouveau contracté, mais elles étaient encore luisante de la mouille produite avant mon arrivée, et quand j’ai passé ma langue dessus ce qui lui a provoqué un petit geignement de plaisir, j’ai aimé le goût de ma récolte. C’est une des raisons pour lesquelles j’ai continué, me régalant de ses sécrétions intimes tandis que ses gémissements devenaient de plus en plus rapprochés et prononcés, jusqu’à ce que ses babines s’écartent à nouveau l’une de l’autre pour m’inviter à aller plus loin.  
 J’ai alors découvert ses petites lèvres dans leur forme naturelle, elles étaient courtes et ciselées formant comme un contrepoint inversé, et du même rose que ses tétons mais bien plus brillantes, ce qui ne gâchait rien bien au contraire. Lorsque j’ai commencé à les lécher elles aussi les manifestations sonores de maman sont devenues plus aiguës, ce qui signifiait qu’elle se moquait de la réaction de nos voisins qui pouvaient éventuellement l’entendre. Ou alors elle n’en avait plus probablement pas conscience, et je me suis bien gardé de faire la moindre remarque à ce sujet, de peur qu’elle fasse un blocage.  
 Bien que n’étant pas repu du nectar dont j’étais en train de me régaler, quand j’ai senti qu’elle allait atteindre le point de non retour je me suis intéressé à son clitoris, qui beaucoup moins réservé que sa propriétaire était toujours de sortie. Lorsque je l’ai touché avec la pointe de ma langue Mamounette à poussé un petit cri, tandis que je me suis mis à le caresser allant jusqu’à l’embrasser en le mettant entre mes lèvres, tout en gémissant à répétitions elle a posé ses mains sur ma tête, et au moment-où l’orgasme l’a emportée, elle a essayé d’agripper mes cheveux heureusement pour moi courts. Sinon, aucun doute qu’elle me les aurait arrachés par poignées. 
χ χ

 Son plaisir intense l’abandonnant, maman qui s’était tendue sous son effet s’est à nouveau avachie sur son siège, puis reprenant ses esprits elle s’est exprimée d’une voix sourde :
 ― Waouh… c’était…
 Elle n’arrivait pas à trouver ses mots ce qui était pour moi un énorme compliment, et fier comme Artaban je me suis renseigné après m’être redressé :
 ― Meilleur qu’avant ? ― C’est que… en fait… il n’y a jamais eu d’avant… ― Comment ça ? Tu veux dire que mon… père, ne t’a jamais faite jouir avec sa bouche ? ― Non jamais, même s’il aimait que je le lui fasse avec la mienne.  ― Non mais quel salopard ! ― Ne parles pas comme ça de lui, s’il te plaît.  ― C’est pourtant ce qu’il est, car de toute évidence il se moque de savoir que l’amour, c’est autant donner du plaisir qu’en recevoir. C’est avant tout un échange, dans lequel l’égoïsme n’a pas sa place. ― Tu as raison, mais quand même… 
 Comprenant qu’elle n’avait pas encore réussi à tourner complètement la page je n’ai pas insisté, mais le fait qu’elle n’ait pas envie de prendre sa défense plus que ça démontrait qu’elle arriverait à le faire, et qu’il fallait juste que je lui en laisse le temps en surveillant mon langage. Nous sommes restés quelques instants à nous fixer sans rien dire, et dans son regard qui avait toujours été chargé de tendresse envers moi, j’ai décelé quelque chose de nouveau. Une petite lueur coquine, qui m’incitait à penser qu’elle ne regrettait pas ce que nous venions de faire, ce qui était la promesse que nous allions recommencer. 
 C’est la raison pour laquelle je n’ai pas été étonné mais au contraire amusé, quand elle m’a dit rompant le silence tranquille qui s’était installé entre nous :
 ― Puisque tu as parlé d’échange, il serait juste que je te montre que je sais aussi me servir de ma bouche, mon Cœur. 
χ χ

 En plus d’être heureux que notre relation ait évolué dans ce sens, car à cause ou je devrais plutôt dire grâce à Mélanie, j’avais lentement accepté l’idée de l’inceste au point de le trouver comme le nudisme parfaitement normal, j’étais épaté que ma maman puisse dire sans rougir ce genre de choses à un homme quel qu’il soit. Mais peut-être au contraire que si elle se sentait à l’aise en ce moment, c’était dû au fait que nous nous connaissions depuis toujours, et que j’étais pour elle une exception. 
 Mettant ces suppositions de côté je me suis remis debout, alors que Mamounette attendait sans bouger les jambes toujours posées sur les accoudoirs de son siège, ce qui démontrait que non seulement sa posture devait être confortable, mais qu’en plus exposer devant mes yeux sa vulve offerte ne la dérangeait pas plus que ça. 
 Une preuve supplémentaire de sa métamorphose, le mot étant bien choisi puisque si son évolution afin qu’elle devienne une femme épanouie était le but recherché depuis le départ, c’était arrivé d’un coup comme un papillon sortant de sa chrysalide, prêt à prendre son envol alors qu’il était resté une larve pendant un trop long moment. 
 Bien entendu j’ai gardé cette comparaison pour moi, et j’ai attendu patiemment que maman qui semblait comme alanguie se décide à reposer ses pieds toujours chaussés de ses mules à talons aiguille sur le sol, et ensuite je l’ai aidée à se mettre debout. Ce qui était pour elle une position transitoire puisqu’elle s’est mise accroupie écartant à nouveau les cuisses, en plaçant ses mains sur ma taille de manière à conserver son équilibre, pour la bonne raison que ses petons sur ses échasses n’étaient maintenus qu’à l’avant. 
χ χ

 Une fois qu’elle s’est retrouvée baissée devant moi de sa propre initiative, Mamounette a levé les yeux pour me fixer, elle m’a fait un sourire timide me montrant qu’il lui restait un fond de réserve, ce qui ne l’a pas empêchée de poser sa petite main sur mon sexe, qui malgré la situation dans laquelle nous nous trouvions avait commencé à donner des signes de faiblesse. Cependant, grâce à une lente et douce masturbation il n’a pas tardé à se retrouver au mieux de sa forme, et avant de le prendre en bouche ce à quoi je m’attendais, ma suceuse incestueuse à plié le cou pour lécher mes bourses chauves. 
 Cette caresse buccale était des plus agréable, et elle s’est interrompue un instant pour me dire :
 ― J’en ai eu envie dès que je les ai vues, car j’ai immédiatement deviné que si tu les rasais, c’était dans ce but. 
 Cette affirmation m’a confirmé que comme pour moi, la graine de l’inceste avait été plantée en elle dès que nous nous étions retrouvés nus l’un devant l’autre, et que si en ce qui me concernait Mélanie en l’arrosant l’avait faite germer plus rapidement, elle aurait très probablement fini par y arriver sans son intervention. Je me suis alors dit que je réfléchissais trop, et me laissant aller aux sensations que j’étais en train d’éprouver, j’ai poussé un petit geignement quand maman a gobé un de mes testicules pour ensuite le caresser avec sa langue, tout en continuant à branler ma queue sans se presser.  
 Bien entendu mon deuxième pruneau a ensuite bénéficié des mêmes attentions que son jumeau, puis ma bienfaitrice a redressé la tête recommençant à me fixer du regard, et c’est mon gland qui s’est retrouvé dans sa bouche. Le sentant compressé contre son palais j’ai poussé un deuxième geignement, et dans ses yeux j’ai vu de la satisfaction avec une pointe de malice.  
χ χ

 Visiblement Mamounette était contente de me sucer, n’éprouvant pas le moindre remord par rapport au fait que j’étais son fils, quant à moi j’étais épaté qu’elle soit experte en fellation, étant donné que la seule de mes trois compagne qui pouvait prétendre rivaliser avec elle était Anaïs, la plus délurée de toutes. Sans réfléchir j’ai posé mes mains sur ses tempes, mais elle s’est dégagée sans peine ressortant le bout de mon sexe, étant donné que je n’exerçais aucune pression. Alors que je pensais que mon attitude possessive l’avait dérangée, je n’ai pas eu l’impression qu’elle démentait quand elle m’a parlé à voix basse, et en rougissant :
 ― Il avait l’habitude de me faire aller et venir le long de sa queue, s’enfonçant au plus profond de moi, car il estimait que si j’avais trois trous c’était pour donner du plaisir à un homme. Enfin à lui seulement, car je n’avais même pas le droit de regarder les autres.
 Ces propos m’ont confortés dans l’idée que mon géniteur n’était qu’un salopard, et j’ai aussitôt retiré mes mains regrettant des les avoir mises là, cependant elle m’a surpris en m’attrapant par les poignets pour les remettre à la même place, et elle a continué en s’empourprant un peu plus :
 ― Au début j’ai détesté ça, à cause des nausées et du fait que je me sentais utilisée. Mais j’ai fini par y être habituée, et même par y prendre plaisir, alors tu peux y aller franchement mon Cœur.  
 Sentant que j’étais réticent, elle a jouté après avoir esquissé un sourire :
 ― Mais bien entendu il s’agit juste d’une option, alors c’est à toi de décider. 
 Cette boutade a eu raison de moi, j’ai raffermi ma prise sur ses tempes, et lentement je me suis enfoncé en elle tandis qu’elle avait posé ses menottes sur mes fesses. Ce n’était pas la première gorge profonde à laquelle j’avais droit, mais celle-là prodiguée par ma maman avait une saveur particulière. Grâce à l’expérience acquise auprès d’Anaïs qui adorait cette pratique, j’ai fait coulisser mon membre de plus en plus rapidement, m’arrêtant régulièrement pour la laisser respirer.  
 Quand j’ai senti que je n’arriverais plus à tenir très longtemps, j’ai ressorti ma queue de Mamounette et je lui ai demandé :
 ― Tu veux mon jus dans la bouche ?
 Elle m’a répondu essoufflée :
 ― Oui mon Cœur... car comme toutes les cochonnes... j’adore boire le foutre. 
 Je ne me suis pas arrêté sur le fait que ma timide maman parlait crûment, vu que ça arrivait également à la douce Lucie dans le feu de l’action, alors qu’en temps normal elle était la correction personnifiée, et j’ai recommencé à la besogner jusqu’à ce que me sentant sur le point d’exploser, je m’immobilise mon gland dans sa bouche.   
 Ma maman a avalé mes jets de sperme au fur et à mesure qu’ils giclaient, quand j’ai eu fini de me vider elle s’est reculée pour lécher mon membre sur toute sa surface, afin de lui faire un toilette symbolique, puis elle a roté bruyamment ce qui nous a tous les deux fait éclater de rire. 
χ χ χ

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