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Anamorphose

Chapitre 8

Sodomie du soir...

Inceste
Le soir même, m’est arrivée l’expérience la plus déconcertante depuis le début de cette aventure, mais je précise qu’elle ne l’a été que dans ma tête par rapport aux sentiments que j’ai éprouvés. Car après que nous ayons débarrassé les reliefs de notre repas, maman a déclaré en rosissant à peine qu’elle avait envie que je l’encule, selon sa propre expression. Alors que je ne l’avais jamais du temps où elle était avec son mari, entendue prononcer la moindre grossièreté. 
 Je n’étais pas étranger à cette pratique car Anaïs me l’avait faite découvrir, et Lucie l’avait ensuite adoptée sans problème car j’avais pris la précaution de la préparer au début, de manière à ce qu’elle ne ressente aucune douleur. Je dois même avouer que j’aimais beaucoup ça, et que j’en étais arrivé à considérer que la différence de sensations d’avec le moment où j’enfonçais mon membre dans un vagin ou dans une bouche, était une complémentarité. Même si bien entendu, l’un pouvait aller sans l’autre selon les goûts ou les envies de chacun.  Mais faire la chose avec celle qui m’avait mis au monde bien que ce soit elle qui le voulait, alors que depuis que nous avions commencé à faire l’amour tout m’avait semblé naturel, le mot qui a résonné dans mon esprit comme un gong a été inconvenant. Je me suis trouvé ridicule car nous en avions parlé la veille sans aucune réserve, ce qui l’avait probablement incitée à me faire sa demande, et au moment de passer à l’acte c’était moi qui ayant à 20 ans vécu avec trois compagnes différentes, alors qu’elle à 38 était toujours restée avec son mari, qui faisais un blocage. Ce qui était vous en conviendrez un comble.     Je me suis cependant appliqué à garder un air aussi neutre que possible, et prenant mon manque d’enthousiasme pour un rejet ce qui n’était pas très loin de la vérité, maman a dit sans vraiment s’adresser à moi :
 ― Finalement, je me demande si c’est une si bonne idée que ça...
 Je me suis aussitôt justifié, car j’ai pu constater de la déception sur son visage magnifique  :
 ― Ce n’est pas la sodomie qui me dérange, ni toi bien au contraire, mais l’association des deux. Car tu es ma Mamounette.   ― Si je comprends bien, ce qui te gêne c’est de constater que ta Mamounette, est une cochonne comme les autres ?
 C’était bien évidemment le fond du problème, mais comment le lui avouer sans la blesser ? Où pire, lui provoquer un blocage parce qu’elle pouvait s’imaginer qu’elle était allée trop loin ? Plutôt que de m’y résoudre, j’ai déclaré à la place :
 ― Tu as été une très bonne élève, et peut-être qu’à présent c’est toi qui vas trop vite pour moi. Peut-être que comme pour toi en ce qui concerne le fait d’aller sur une plage naturiste, j’ai besoin d’un peu de temps. ― Où peut-être qu’à présent, il est temps que les choses reprennent leur place naturelle.  ― Comment ça ?  ― C’est le rôle des parents de faire l’éducation de leurs enfants, pas l’inverse. 
χ χ

 Maman se méprenait s’imaginant que si j’avais des réticences, c’était parce que je n’avais jamais vécu cette expérience et qu’elle me dégoûtait. Je ne l’ai pas détrompée à présent curieux de voir ce qu’elle avait l’intention de faire, et je me suis laissé entraîner quand elle m’a pris par la main pour m’emmener jusqu’à sa chambre. Sous son impulsion mes sentiments avaient évolués, car mon embarras avait été submergé par le plaisir qu’elle ait le courage de prendre des initiatives, nous entraînant de sa propre volonté plus loin que nous n’étions encore jamais allés. 
 Une fois arrivés dans son nid douillet et alors que mon sexe pendait toujours entre mes jambes, Mamounette loin d’en être vexée a affiché un sourire que j’ai trouvé gourmand, elle s’est mise face à moi et après avoir plaqué ses mains sur ses cuisses, les écartant au fur et à mesure en gardant le dos bien droit, elle s’est mise lentement accroupie. Ses menottes ont glissé progressivement pour finir par enserrer ses genoux, de cette manière elle a abaissé son centre de gravité tout en conservant un équilibre parfait, malgré qu’elle soit chaussée de ses mules à talons aiguille de dix centimètres de haut. Ce qui m’a laissé penser, qu’elle s’était entraînée pendant mon absence.
 Après ça elle a pris mon sexe flasque dans sa bouche, le mastiquant jusqu’à ce qu’il augmente de volume bien entendu en faisant attention avec ses dents. Puis quand il a commencé à gagner en rigidité elle l’a recraché en ayant l’air concentrée, et elle l’a masturbé lentement avec une de ses mains tandis qu’elle avait plié le cou pour gober un de mes testicules, et ensuite s’occuper de l’autre de la même manière. Quand mon membre a été bien raide elle a reposé ses mains sur ses genoux, pour se redresser à la force de ses jambes de la même façon qu’elle s’était baissée. 
 Une fois qu’elle a été à nouveau debout et que je ne la dépassait plus que d’une quinzaine de centimètres, celle qui m’a mis au monde a fièrement levé le menton pour planter ses yeux dans les miens, puis reprenant mon sexe en main comme pour s’assurer qu’il ne donnait aucun signe de faiblesse, elle m’a demandé calmement sans même rougir :
 ― Alors mon Cœur, tu n’as toujours pas envie d’enculer ta cochonne de maman ?
 J’ai souri surtout par rapport à son assurance qui j’en étais convaincu n’était pas feinte, j’ai caressé doucement sa joue et j’ai répondu :
 ― Tu sais bien que je vais le faire Mamounette, et je suis désolé si tu as pensé que je n’avais pas envie de toi. 
χ χ

 Après m’avoir souri en retour ma maman est allée se mettre à quatre pattes sur son lit, se déchaussant pendant la manœuvre, elle a positionné ses fesses à l’aplomb du bord en écartant ses jambes pour que je puisse venir me placer entre ses mollets, ce qui m’a dévoilé son anus que je voyais pour la première fois. Il était assez clair puisque du même rose-foncé que ses tétons et ses petites lèvres vulvaires, tout plissé avec un petit trou sombre en son milieu, démontrant qu’il avait l’habitude de s’ouvrir pour être pénétré, et que celle qui en était pourvue en avait envie en ce moment.
 C’était également mon cas malgré mes réticences au départ, et de peur de lui faire mal je lui ai demandé :
 ― Mais tu ne préfères pas, que je te lubrifie avant ? ― Ton père n’a pas été aussi prévenant avec moi, et dès le début de notre mariage il m’a enculée à sec. Au début c’était très douloureux, surtout qu’il n’attendait pas que je m’en sois remise pour recommencer, mais ma rondelle s’habituant à être forcée a fini par s’adapter, et par la suite je n’ai plus ressenti que du plaisir. Je préférais même ça à quand il m’enfilait par le con, car étant donné qu’il était du genre hâtif par là j’avais rarement des orgasmes, alors que dans le cul c’était presque à chaque fois. 
 Tandis qu’elle m’expliquait ça j’ai vu progressivement rougir ses oreilles, ce qui m’a laissé penser que c’était plus parce qu’elle était gêné de dire du mal de son salopard de mari, que parce qu’elle se sentait embarrassée en parlant de sexe avec moi. C’est pourquoi je n’ai pas répondu, à la place je me suis avancé jusqu’à ce que mon gland vienne s’appuyer contre sa rondelle, qui sans façon a commencé à s’ouvrir sous la pression. Convaincu en constatant cela qu’elle était parfaitement rodée, j’ai attrapé Mamounette par les hanches et je me suis lentement enfoncé en elle. 
χ χ

 À cet instant finis les hésitations et les doutes, car si j’étais toujours avec celle qui m’avais mis au monde elle était une femme comme les autres, avec ses besoins et ses envies, et le petit geignement qu’elle a poussé qui n’était pas provoqué par la douleur tandis que je progressais millimètre après millimètre, me l’a confirmé. Quand mon bassin est venu au contact de ses fesses charnues juste ce qu’il faut, je lui ai demandé pour la forme :
 ― Ça va Mamounette ? ― Oh oui mon Bébé. Ta cochonne de maman veut que tu l’encules en vitesse et bien à fond, pour la faire jouir comme la dernière des salopes. 
 J’ai rougi à mon tour car je n’étais pas encore habitué à ce langage obscène venant d’elle, alors qu’il ne m’avait pas dérangé de la part d’autres, cependant j’étais bien décidé à lui obéir, et j’ai commencé faire coulisser mon sexe qui était délicieusement bagué par son anus. Comme elle le souhaitait j’ai augmenté progressivement la cadence, raffermissant ma prise sur sa taille pour la maintenir, d’autant plus qu’elle s’était elle aussi mise en mouvements. 
 C’était un régal pour mon sexe, mais également pour mes yeux puisque je voyais sa natte tressauter, et ses gros seins dépassant de chaque côté de son buste se balancer de plus en plus allègrement, jusqu’à faire des bruits mats en allant cogner contre ses bras, coordonnés à ceux de nos corps se heurtant, et qui faisaient des contrepoints aux gémissements de plus en plus rapprochés de celle qui en était pourvue. Car nous avions fini par atteindre un rythme effréné, ce qui était très éloigné de la manière tendre avec laquelle nous avions fait l’amour la veille, mais qui pourtant nous convenait à tous les deux.  
 Comme je l’avais espéré nous sommes arrivés à l’orgasme en même temps, ses contractions augmentant encore mon plaisir, et je me suis vidé en elle, mes petits geignements étant couverts par ses râles bien plus sonores. Quand ma source s’est tarie je me suis retiré puis décalé pour pouvoir m’écrouler sur le lit, elle s’est allongée également et tout en caressant ma joue car j’avais tourné la tête vers elle, maman m’a demandé essoufflée :
 ― Pas trop déçu… par le comportement… de ta Mamounette… mon Cœur ?
 Je lui ai répondu, de la même manière hachée :
 ― Je t’ai toujours aimée… et je t’aimerai toujours. Même si j’apprenais… que tu as fait… quelque chose d’horrible… tu continuerais… à avoir mon amour. 
 Cette déclaration l’a visiblement émue, elle s’est rapprochée de moi, et sans dire un mot de plus nous nous sommes mis sur le côté pour nous enlacer tendrement. 
χ χ

 Dès le lendemain matin avant que je parte travailler, maman m’a annoncé qu’elle était d’accord pour aller faire du naturisme à la plage. Quand j’ai rapporté la nouvelle à Mélanie, elle m’a demandé après avoir souri :
 ― Mais tu lui as fait quoi, pour qu’elle se décide aussi vite ?
 Sans savoir si cela avait un rapport j’ai repensé à la sodomie de la veille, ce qui m’a fait rougir légèrement, et avec tact et sans réponse de ma part M’man n’a pas cherché à en savoir plus. Elle s’est contentée d’ajouter :
 ― Le mieux ce serait qu’on parte de bon matin, de manière à y être dans les premiers. De cette façon elle verra les gens arriver, avec la possibilité de se mettre sur le ventre si elle est trop gênée, et elle s’habituera progressivement à leur nudité tout comme à la sienne.  ― C’est un bon plan.  ― Je préparerai un pique-nique, comme ça on pourra manger sur place. ― Là par contre, je te conseille d’appeler Mamounette pour en discuter avec elle. Car si manger là-bas est aussi une bonne idée, elle risque de ne pas être d’accord pour ce qui sera de savoir qui va préparer quoi.  ― Je ne vais pas non plus me bagarrer avec elle à ce sujet. Je vais le lui proposer, et si elle me dit qu’elle préfère s’en occuper, je m’inclinerai. ― C’est une sage manière de voir les choses, surtout si tu as envie d’aller plus loin avec elle.  ― Tu lui en as parlé ? ― Non, car je pars du principe que ça ne me regarde pas. En plus, comme tu ne m’as pas demandé de le faire, j’aurais eu trop peur que tu m’arraches les yeux. Surtout si elle m’avait dit, que ça ne l’intéresse pas d’être plus que ton amie.  ― Mais… si maintenant je te le demande, juste histoire de tâter le terrain ? ― Et j’aurai quoi en échange ? ― Tout à y gagner. Puisque non seulement ta belle-mère sera d’accord, pour que tu continues à coucher avec sa femme. Mais en plus si tu en as envie, tu pourras profiter des deux.
 Cela m’ouvrait effectivement de belles perspectives, cependant j’ai répondu mi-figue mi-raisin :
 ― Profiter des autres ce n’est pas mon genre, mais je vais tout de même la sonder pour savoir ce qu’elle en pense. Sauf que j’attendrai le week-end, car je ne veux pas prendre le risque de compromettre notre journée à la plage. 
χ χ

 Ce n’est que je jeudi soir, que maman a commencé à montrer des signes de nervosité par rapport à notre sortie du lendemain. Entre-temps elle avait commencé à peindre, avant cela j’avais comme prévu pris en photo le dessin réalisé pour la donner à Mélanie, et bien entendu mon amante incestueuse et moi avions fait l’amour à plusieurs reprises. Cependant nous ne nous comportions pas comme un jeune couple, qui soudain pris d’une envie subite se déchaîne sans tenir compte de l’endroit où il se trouve, mais comme de vieux routiers, même si pendant l’acte nous pouvions être aussi bien impétueux que tendres.
 J’ai constaté l’intensité de sa fébrilité quand rentrant à la maison et alors qu’elle se trouvait dans la cuisine, bien entendu nue et chaussée de ses mules à talons aiguille de dix centimètres de haut, sur lesquelles elle se déplaçait à présent avec aisance, quand elle s’est exclamée en me voyant arriver :
 ― Je suis archi-nulle, aujourd’hui j’ai été obligée d’arrêter de peindre, car je faisais n’importe quoi !
 Je me suis approché lentement d’elle par derrière, je l’ai prise entre mes bras dans lesquels elle s’est laissée aller même si je la sentais tendue, et je lui ai murmuré après avoir déposé un tendre baiser sur sa joue :
 ― Non Mamounette, tu n’es pas nulle. Mais juste excitée à l’idée que tu vas vivre une expérience inédite, et que tu crois à tort au dessus de tes possibilités. Maintenant, si tu es convaincue que tu n’es pas prête, on peut changer notre plan. Car s’il est à présent trop tard pour annuler le congé qu’on a pris, nous pourrions à la place faire autre chose. Comme par exemple aller sur une plage, sur laquelle des gens portent des maillots.
 Elle m’a répondu, avec la voix d’une petite fille : 
 ― Oui, mais, Mélanie sera déçue…
 J’ai souri en constatant qu’elle faisait grand cas de ce que pouvait ressentir sa nouvelle amie, ce qui indiquait peut-être que l’intérêt que cette dernière lui portait était réciproque, et j’ai continué sur le même ton :
 ― Elle et moi nous ne voulons que ton bien, alors je suis certain qu’elle comprendra.  ― Mais moi aussi je serai déçue, de ne pas avoir été à la hauteur…
χ χ

 Pris d’une inspiration subite j’ai frotté mon bassin contre ses fesses rebondies, maman a immédiatement réagi en les faisant onduler, et je lui ai demandé cette fois sur un ton taquin alors que mon sexe se dressait lentement :
 ― Peut-être qu’un petite sodomie, arriverait à te détendre un peu ? 
 Elle a répondu, de la même manière :
 ― Tu as raison mon Cœur. D’autant plus que maintenant, toi aussi tu es tendu.
 Mamounette s’est dégagée de mes bras pour poser ses coudes sur le plan de travail en se penchant en avant, j’ai écarté ses fesses afin de découvrir son anus, j’ai posé le bout de mon sexe contre et il s’est décalotté en s’enfonçant lentement. Ensuite je l’ai attrapée par la taille, et elle m’a fait remarquer :
 ― Si tu veux vraiment me déstresser, il va falloir que tu mes secoues et pas qu’un peu. 
 Comme je savais qu’elle aimait la rudesse j’ai parfaitement capté le message, j’ai donné un coup de reins pour que mon bassin vienne au contact de son arrière train, ce qui l’a faite tressauter et pousser un petit cri, puis je me suis exclamé :
 ― C’est ça que tu veux, hein ma salope ?! ― Oui mon Bébé, Maman veut que tu l’encules bien à fond, comme tu sais si bien le faire !
 Je m’étais résolu à utiliser son langage obscène dans ces moments-là parce que j’avais compris que ça lui plaisait, probablement pour la raison qu’elle devait avoir l’impression d’être une autre femme, ce qui ne nous empêchait pas de nous comporter comme avant le reste du temps. C’est pourquoi j’ai répliqué :
  ― Alors tu vas l’avoir, je vais te ramoner, et te faire couiner comme une chienne !
 Joignant le geste à la parole j’ai adopté un rythme rapide, approuvant la manière elle s’est mise à m’accompagner ce qui a encore accéléré notre cadence, et je me suis moi aussi penché en avant pour caresser ses gros seins tout en pinçant légèrement ses tétons, ce que je l’avais appris elle appréciait également. Bien entendu, comme notre accouplement bestial était fougueux il a également été plus bref que d’autres avant lui, et je n’ai pas tardé à me vider en elle en grognant tandis qu’elle poussait un long gémissement. 
χ χ

 Notre plaisir consommé j’ai appuyé sans vergogne mon ventre contre son dos, lui faisant supporter une partie de mon poids, puis caressant sa joue alors que mon membre était toujours bagué par son anus, je lui ai demandé essoufflé :
 ― Bon... alors... demain on fait quoi ? Car s’il y a… un changement de programme… il faut que je prévienne… Mélanie. ― Demain… on fera… comme on a dit… car si je me dégonfle… je vais le regretter. 
 J’ai alors déposé un tendre baiser dans son cou, avant de dire :
 ― Je suis très fier de toi… Mamounette. 
 Puis après m’être redressé et reculé pour que mon sexe qui donnait des signes de faiblesse ressorte d’elle, j’ai mis une claque sonore sur ses fesses qui l’a faite sursauter tout un poussant un petit cri de surprise, et j’ai ajouté :
 ― Et encore plus que tu sois capable de te comporter à l’occasion, comme la reine des cochonnes.
 Cette dernière déclaration l’a faite devenir écarlate, car bien entendu si elle avait énormément progressé dans ce domaine, il restait en elle un fond de timidité et de pudeur. Cependant elle n’a pas protesté, probablement parce qu’elle devait elle aussi en être heureuse.  
 Une fois sa douche prise maman m’a semblé plus calme mais pas pour autant complètement sereine, c’est la raison pour laquelle notre repas du soir terminé, et après lui avoir à nouveau fait l’amour mais plus tranquillement, même si c’était en levrette, quand je lui ai proposé que nous dormions ensemble elle a accepté. 
 C’était une première mais je pensais qu’elle en avait besoin, ce qui n’a pas été démenti quand une fois allongés et alors qu’elle me tournait le dos, calée contre moi, je l’ai sentie tendue entre mes bras. Cependant ma présence a dû la rassurer car elle n’a pas tardé à se laisser aller, et sa respiration devenant régulière j’ai compris que le sommeil l’avait emportée. Même si j’étais résolu à ce que ça ne devienne pas une habitude, j’étais tout de même heureux de me trouver là, et c’est le sourire aux lèvres que j’ai moi aussi sombré.       
χ χ χ

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