La mercedes noire descendait l?avenue Giovanni Gronchi. Elizabeth Monfort roulait lentement pour ne pas abîmer ses ongles, qu?elle venait de faire dans nouveau salon de manucure baptisé ’Méridien Coiffeur’, les filles étaients des as. Elles lui avaient si bien retapé un ongle de pousse cassé qu?elle même n?y voyait que du feu. Elizabeth adorait découvrir de nouveau endroit. ?a lui donnait un sentiment de puissant particulièrement jouissif. Elle mit un cd de Streisand. Elizabeth plissa le front. De fil en aiguille, elle en était arrivée à sa propre vie amoureuse, ça faisait des mois que Joy son époux ne l?avait pas touchée. Le salaud, simplement parce que lui ne se sentait pas dans bonnes dispositions. Depuis leur mariage, Elizabeth s?était accordé deux aventures, décevantes l?une et l?autre. Les liaisons vous bouffaient votre temps, les hauts et les bas, l?envolée et ensuite la chute.....Est-ce que ça en valait la peine ? Elle avait décidé que non. Mais maintenant, elle commençait à se poser des questions. Le dernier écart datait de deux ans. Elle rougissait encore en y pensant, lorsqu?elle parait à son mari Joy de leur vie sexuelle inexistente, c?était la crise de colère : — Mais tu me prends pour quoi ? Pour une machine ? Pas parce que tu as lu dans une revus érotique que tu devais avoir une dizaine d?orgasme par jour. Elizabeth était vétue d?une petite courte robe de couton bleue avec des sandales de même couleur, et vu la chaleur du moment, elle ne portait qu?une minuscule petite culotte blanche. Sans sutien-gorge sous la robe d?été, la pointe de ses seins se desinait à travers le fin tessu, et les hommes qu?elle croisait sur le trottoir ne manquaient pas de saluer sa beauté d?un regard admiratif et gourmand, d?autant que sa robe courte laissait aperçoit deux cuisses fermes et bronzées, où plus d?un aurait eu envie de poser un baiser. Alors, elle se dirigea au supermarché d?un shopping-center qui était bondé. Elizabeth Monfort prît un chariot et poussa un soupir en considérant les files d?attente qui s?étiraient devant les caisses. L?interieur su supermarché, climatisé, fit frissonner elle et sa peu réagit à la fraîcher du lieu, les pointes des seins se durcirent et un grand frisson la percourut, de la tête aux pieds. Un graçon qui emballait ses courses dans un sac de papier brun avait les yeux rivés sur elle. Le meilleur et plus vieil ami de Joy était l?, au supermarché et l?invitait à prendre un verre à la terrasse d?un café, quelques minutes plus tard elle avait donc donné le numero de son téléphone lui recommandant d?être discret. Richard pensant que la belle femme de son ami l?avait déjà oublié.Il lui telephonna Et lui avait demandé au moins une heure pour se préparer et venir la rejoindre. Elle lui avait répondu que cela n?avait pas d?importance et qu?elle l?attendait chez elle. Elizabeth aimait ce genre d?aventure, soudaine et un peu mystérieuse. Le jeune homme avait provoqué chez elle un trouble délicieux qu?elle souhait maintenant prolonger dans l?intimité et l?anonymat. L?imense culture de Richard avait réveillé en elle les fantasmes issus de ses lectures secrètes et jusqu?à present soigneusement réfoulés. Elle aimait les hommes, mais appréciat presque autant les caresses saphiques et cette dualité avait eu pour effet de provoquer chez elle une insatisfaction permanente. Elle ne pouvait se satisfaire d?une relation unique et cela l?avait amenée vers des lieux inconnus, des hotels le plus souvent. Elizabeth n?avait jamais été attirée par la fréquentation des milieux interlopes aux pratiques dangereuses. Elle préferait choisir ses partenaires, hommes ou femmes, au hasard de ses sorties, se fiant à son intuition, en espèrent qu?ils lui procuraient à chaque fois un plaisir nouveau. Richards faisait partie de ses proies dont elle attendait beaucoup. Elle souhaitait vivement ne pas être décue. Mais la réaction de Richards ne fut pas celle qu?elle attendait. Elisabeth avait toujours en cet impact sur le sexe masculin. Même les homos ne pouvaient s?impêcher de la détailler. Elle avait indéniablement de quoi faire tourner les têtes. 25ans, l.70m, peau onctueuse, yeux outremer, nez fin et droit, lèvres roses, taille de guêpe, jambes fuselées, comme d?habitude, elle n?était pratiquement pas maquilée, ça n?empêchait pas les regards. Rêveusement, Elizabeth acheva de déballer ses courses. Prévu pour le menu du dinêr à Joy. Elle avait prévu des hamburgues, des pommes noisette, des haricots verts et tartes aux pommes. Cet après-midi là, il étais seul à la maison et il pensait à Elizabeth. Elle était chez elle, et il s’ennuyait. Il lui prit l’envie de l’appeler, car elle lui avait donné le numéro de téléphone où il pouvais la joindre. Richard prit donc le combiné et composais le numéro. On décrocha au bout de quatre sonneries, une voix qu?il connaissait très bien et qui était comme une musique divine dans ses oreilles car c’était elle qui avait décroché. — Salut ma chérie. C’est moi, Richard. Je m’ennuyais de toi alors... — Je savais bien que tu m’appelerais. Que fais tu ?
— Je griffonne dans mon bureau... — J’aimerais faire l’amour avec toi, maintenant... — Moi aussi. C’est pour ça que j’appelais... — J’ai envie de ta queue ! J’ai envie de la prendre dans ma bouche ! — Tu es habillée? - Non, j’ai ma chemise de nuit et ma robe de chambre. — Pose l’appareil, enlève ta robe de chambre et ta chemise.’ Elle obéit, si saisie que l’appareil glissa du lit où elle le posait sur le tapis blanc, et qu’elle crut avoir coupé la communication. Non, ce n’était pas coupé. ’Tu es nue? reprit René. - Oui, dit-elle, Ce jour là, Elizabeth l’avait demandé de passer chez elle. — ’Viens sans faute ! C’est très important !’ avait-elle insisté. Richard s’étais donc libéré pour l’après-midi et il est allé en se demandant ce qu’il pouvait y avoir de si important. Eh bien il n’est pas été déçu ! Il faisait déjà nuit quand le téléphone a sonné dans l’appartement d?Elizabeth, lorsque le téléphone sonna. L’appareil était dans la chambre au chevet du lit, sous la lampe. Elle s’assit par terre pour décrocher. C?était Richard ! Elle était heureux pour lui pour l?avoir cherchée, elle a récriminé pour lui pour avoir appelé après tout en une heure inexacte, son mari, pouvait arriver à tout moment du travail. Alors il a dit qu?il irait vous faire la visite cette nuit, Elizabeth a demandé s’il était fou, que serait impossible parce que votre mari serait à la maison. Elizabeth fut catégorique en affirmant que lui ni pas penser au sujet d?une telle chose parce que ce serait une folie, un candisse, alors il a informé à 1h du matin qu?il irait à son appartement et qu’elle laisserait la porte entrouverte seulement et elle l’attendait dans le salon. Elle a dit qu?elle ne ferait pas telle chose, c’était très dangereux. Richard a dit qu?il ne demandait pas mais qu? il ordennait la prenant pour son esclave elle a dû lui obéir. il la punirait autrement.. Les heures sont passaient lentement,son mari commença pourtant a montrer des signes de faiblesses le premier, et finit par s’endormir, mort bourré, un quart d’heure plus tard sur le lit du couple.. En ce temps là, sonna le téléphone, Elisabeth écoute sur l’autre côté de la ligne la phrase suivante: Est-ce que ce ’ est mon pute a corne est déjà endormi ’?’ Elisabeth murmure disant: - Est-ce que vous êtes ’ fou ’? Elle a regardé l’horloge et il est déjà de 1h du matin passé, et le mari dormait profondément, il a éteint des lumières central a allumé seulement celui d’une lampe,quelques minutes plus tard, quand le bouton de la porte commence à tourner et la porte s’est ouverte, elle le fit rentrer chez elle en refermant la porte. Et instinctivement elle regardait au niveau de son sexe. Il se mit à la fixer dans les yeux, une envie sourde de sexe la submergeait. L?amante le regardait sans comprendre son attitude et d’un coup il’ouvrit son peignoir à deux mains en hurlant : — ’Baise-moi, je veux ma queue ?’— ’Vas-y, baise-moi fort ! ! !’— ’Vas y défonces ma chatte, je veux sentir ta queue me baiser à fond, encore, baise-moi, aussi.’ Au lieu de se pencher vers elle comme elle l?esperait, il prit sa main et l?incita à se lever. Il la prit délicatement par les épaules et la fit pinoter face du mur. Puis avec un geste étonnant vif, il plaça autour autour de son cou un colier de cuir, tel ceux que l?on utilise pour tenir les chiens en laisse. Elizabeth, surprise, voulut protester mais le jeune homme plaça une main ferme sur sa bouche, la contraignant ainsi au silence. Elisabeth repensant alors qu?elle s?était délibérément offerte aux caprices d?un maître initié aux raffinements des pratiques du divin marquis et de ses successeurs. Ainsi équipée, Richard la fit à nouveau se retourner.— Je suis ici pour te diriger. Tu es là pour donner. Et tu vas me donner ! Ton corps et ton esprit ne t’appartiennent plus. Si tu ne m’obéis pas, j’aurai quelques surprises pour toi dont voilà un minuscule aperçu.Elle lui faisait face mantenant. A genoux, croupe tendue vers lui. Elle baissa légèrement l?élastique du boxer et se saisit à la fois de la queue et de ses couilles qu?elle ramena sur le devant. Ses doigts le frôlèrent délicatement pour mieux le faire bander, du bout des ongles ils agacèrent la peau de ses couilles qui se rétractèrent de plaisir, puis enveloppèrent totalement sa bite. Elle lui sourit tandis qu?elle le tenait comme un levier de vitesse ou un joystick. Elle le serrait fort, relâchait un peu, puis le resserrait. De délicieux élancements parcouraient son sexe tendu à l?extrême. Puis elle repris son membre en bouche et se remis à le sucer.Richard se sentait venir sous les coups de langue d?Elizabeth, il le lui dit et essaya de se retirer de ses lèvres suceuses sentant le goût du sperme de Richard sur ses lèvres.— Elle est bonne, ta queue !— Tu l’aimes ?— Non je l’adore, elle est belle, grosse et bonne.IL était en train d?éjaculer dans la bouche de ma femme, et je voyais celle-ci déglutir, avaler cette semence étrangère. Après quelques instants, elle sortit le membre et entreprit à grand coup de langue de le nettoyer.Elle prit la place de Richard sur le canapé, une jambe sur le dossier, l?autre à terre, offrant ainsi une vue magnifique sur sa chatte ouverte et luisante. le membre en main, le dirigeant vers ses lèvres intimes. Il appuya son gland à l?entrée de son vagin et poussa doucement. Il était en train de pénétrer ma femme, s?enfonçant centimètre pas centimètre en elle. C?est bon, dit-elle, vas-y encore, bien au fond. Arrivé en buté, les couilles contre sa vulve, il commença à la ramoner doucement, prenant plaisir à aller et venir lentement dans son vagin humide.Elisabeth haletait, gémissait, Richard, lui, allait et venait en elle, prenant soin de ne pas aller trop vite, la besognant en profondeur à chaque aller-retour. Elle n?en pouvait plus et jouit dans un drôle de cri, qui ressemblait à un long râle, une espèce de feulement de bête. Elle supplia alors Richard d?accélérer, son langage devint grossier, vas-y, bourre-moi maintenant, prend moi comme une chienne, je suis ta salope, vas-y encore, défonce-moi la chatte, oui encore, hummm. Elle est rouge écarlate et en sueur, lui, tel une bête, la bourrant maintenant sans retenue, butant chaque fois ses couilles contre sa vulve, lui arrachant des gémissements à chaque mouvement.— Tu veux jouir comme une chienne ?— Ouiiii !— Tu veux que l’ont te fassent quoi exactement ?— Tout ce que vous voulez— Tu veux souffrir ?— Oohh ouiiii !— Ok, alors met toi a 4 pattes— Oouiiii !— Tu es prête maintenant, je vais te déflorer ton beau cul ! ! !— Oui vas-y, j’en ai envie maintenant mais ne fait pas de mal, surtout ! ! !— Tu n’as rien à craindre ton cul est fait pour être envahi, tu vas jouir du cul ma petite pute adorée ! ! ! Il présenta la gland à l’entrée de son anus et força le passage en douceur.Une chaude sensation l’envahit et le tremblais de tout son corps. Elle attendais d’être pénétrée complètement. La queue s’introduit sans difficulté et son cul se dilatait pour laisser passer ce monstre. Il fit entrer sa queue jusqu’au fond de son trou sans s’arreter, elle se prit d’un coup 20/22 cm au fond de ses fesses dans un hurlement qui celui qui n’avait pas l’air d’ être de plaisir !— Vas y bourres la bien— Oui je l’encule bien a fond— T’aimes ça ma salope te faire défoncer le cul hein ! ! ! ! !— Oui ennncccooorrreeeeee c’est trop bon vas y défonces moi ! ! ! !— Si ton mari te voyait te faire éclater le cul par un mec, ma salope ! ! ! ! !— Oui je suis ta salope ta pute vas-y fais-moi tout il l’aura mérité ! ! !— Tu es ma chienne en chaleur, je vais te décharger dans le cul ma belle, vas y prends ça ! ! !— AAAHHH, c’est trop bon, Oh oui continue encore je jouiiiiiiiiiis ! ! ! ! ! !Il allait et venait dans son cul et le plaisir fut divin. Elle criait de plaisir et après quelques allers retours, il explosa dans son anus. Elle sentait les giclées de sperme brûlant cogner contre ses parois anales.Puis, il se retira et elle eut l’impression que son anus était énorme et ouvert. Elle sentait le sperme couler doucement entre ses cuisses. Richard reprenait son souffle à coté d?elle et il passait la main sur son corps et son sexe, le remerciant de ce plaisir. Elizabeth a regardé l’horloge du mur et ils sont déjà passés 4 heures ensemble, elle s’est réveillée Richard que sortit tranquille de son appartement. Elle est allée à la salle de bain, se lavée un peu, puis rhabillée, et elle fut rejoindre son mari Joy, se collant contre lui sur le lit et s’endormant en pensant à la folie qu?elle venait de faire.... FinVos commentaires sont toujours les benvenus Ici, S?o Paulo - Brésil?crivez-moi site_fabuleuse@yahoo,fr