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La séance photo dérape

Chapitre 1

Pour une poignée de photos

Inceste
Je m’appelle Charles et je vais vous raconter l’histoire sexuelle la plus taboue qui me soit arrivé dans ma vie. Et pourtant, je peux vous dire qu’en tant que photographe, j’ai vécu pas mal d’aventures assez folles liées à mon métier, mais celle-ci est vraiment particulière et m’a changé à jamais.
Tout a commencé en 2016. A l’époque, j’avais trente et un ans et j’étais déjà un photographe assez demandé à Versailles. Je couvrais les mariages, baptêmes, portraits et autres book pour le mannequinat. Je faisais également quelques photos de charmes, un peu par passion.
J’avais découvert très tôt mon amour pour la photographie et j’avais mis fin à mes études pour me lancer à mon compte, au grand dam de mes parents, issus de la grande bourgeoisie versaillaise, qui avaient pour moi des plans bien plus ambitieux. Mon succès relatif avait fini par les rassurer mais je restais un cas assez étrange et un peu honteux dans ma famille où l’éducation et la réussite sociale étaient très prisées. J’étais une sorte de vilain petit canard.
Ma petite sœur Blandine avait alors vingt-neuf ans. Contrairement à moi, mes parents la tenaient en haute estime car elle avait fait de belles études et fréquentait depuis des années un garçon de bonne famille qui se prénommait Aubin et qu’elle allait très bientôt épouser. C’est d’ailleurs moi qui devait assurer le rôle de photographe durant leur mariage dans un petit château des Yvelines.
Blandine et moi avions toujours été proches. Même si elle avait toujours été une bonne élève, contrairement à moi, elle avait l’esprit très ouvert. C’était la seule de la famille qui m’avait toujours encouragé à vivre de ma passion et à ne jamais abandonner la photographie. Nous partagions beaucoup de choses et nous aimions beaucoup.
En revanche, je n’aimais pas du tout Aubin, son futur mari. Je le trouvais coincé, obtus et beaucoup trop fier de sa réussite, qu’il devait pourtant en grande partie à la richesse de sa propre famille. Je ne pouvais m’empêcher de penser que Blandine était beaucoup trop bien pour lui et qu’elle risquait de perdre sa finesse et sa liberté de penser en fréquentant un homme avec si peu de relief. Autant dire que mon opinion était loin de faire l’unanimité dans ma famille. Mes parents étaient ravis de cette union avec une autre famille aisée. Je me contentais donc de sourire hypocritement en sa présence.
Le lundi était traditionnellement mon jour de congé, mais j’avais réservé ce jour là pour faire des photos de Blandine dans sa robe de mariée. Nous avions rendez-vous chez elle, en fin de matinée pour travailler dans de bonnes conditions. Je chargeais donc mon kit d’éclairage portatif, mon appareil photo et tout mon matériel dans ma camionnette de boulot et me rendais tranquillement dans le somptueux appartement de ma sœur près de la cathédrale Saint-Louis en cette belle matinée de fin de printemps.
La porte s’ouvrit, dévoilant ma petite sœur dans toute sa splendeur : une jolie jeune femme, bien proportionnée, avec une longue chevelure châtain claire et des yeux d’un bleu profond. Elle me fit la bise et son éternel parfum Dior me fit voyager dans le passé, lorsque nous jouions ensemble dans le grand salon de mes parents.
— Merci beaucoup de t’être rendu disponible. Je sais que c’est une demande de dernière minute mais j’ai vraiment envie d’avoir quelques photographies dans ma robe avant le mariage. Le jour J, ce sera la course et j’ai peur qu’on ait pas le temps de faire les choses bien.— Je comprends parfaitement. Je couvre souvent des mariages et c’est vrai qu’il est difficile de composer avec l’éclairage changeant et les distractions permanentes le jour de la fête.
Après m’avoir fait un grand sourire, elle me précéda dans sa vaste demeure. Je fermais la porte derrière moi et la suivi, les bras chargé de matériel, sans pouvoir m’empêcher de laisser mon regard se poser sur son corps. « Après tout, je vais devoir la prendre en photo, c’est purement professionnel », me dis-je pour me rassurer sans vraiment y croire. Blandine avait toujours prit soin de son corps mais l’arrivé prochaine de son mariage l’avait poussé à redoubler d’efforts. Le résultat était à la hauteur du sacrifice. Sa taille fine faisait ressortir de façon magistrale sa poitrine ferme et ses jolies fesses qui dandinaient devant moi tandis qu’elle entrait dans sa grande pièce à vivre. Je me repris en main juste à temps pour que Blandine ne me grille pas en train de mater son derrière et je commençais à inspecter la pièce à la recherche de l’endroit idéal pour installer mon matériel. J’avisais un pan de mur vide et éloigné des fenêtres, cela me semblait l’endroit idéal pour installer mon arrière-plan.
— C’est parfait ici. Tu peux aller te changer et pendant ce temps j’installe l’arrière-plan et je règle l’éclairage.— J’espère que tu n’es pas pressé, il me faut pas mal de temps pour enfiler tout mon attirail et me maquiller.— Ne t’inquiètes pas, j’ai tout mon temps. Au fait, est-ce qu’Aubin a déjà vu la robe ?— C’est hors de question ! Je ne suis pas superstitieuse mais je veux qu’il la découvre le jour J pour être estomaqué.

J’eus largement le temps de me servir une bière et de me détendre sur le canapé après avoir installé mon matériel avant que Blandine ne revienne. Rien d’étonnant à cela : enfiler une robe de mariée prend un temps fou, sans parler de la coiffure et du maquillage. Après, un long moment elle finit par réapparaitre dans le salon et j’eus le souffle coupé. Elle était incroyable dans sa robe de mariée blanche assez moderne et plus sexy que ce que j’attendais d’elle. Pas de longue trainée, mais une robe blanche fendue qui laissait apercevoir une de ses magnifiques jambes, gainée de bas blanc en l’occurrence. Elle portait des chaussures à talon qui accentuaient sa cambrure et je ne pus m’empêcher de remarquer que sa robe était comme une seconde peau, épousant parfaitement les formes de son cul rebondi. Son voile semi-transparent retombait sur son corps sexy tel un nimbe et renforçait encore l’impression général d’être face à un ange.
— Alors, comment tu me trouves ?— Tu es superbe. Ton futur mari a vraiment beaucoup de chance.
J’avais la gorge sèche et les joues rougies par le feu qui montait en moi. Ma sœur était une des mariées les plus jolies que j’avais eu l’occasion de photographier. Je savais que mon trouble était visible et un silence gêné se fit. Ma sœur finit par le rompre en disant :
— Tu peux m’aider avec les lanières ? C’est la seule chose que je ne peux pas atteindre.— Bien sûr.
Les lacets dont elle parlait étaient dans le dos de sa robe. C’était un haut de type corset avec un décolleté en cœur qui mettait magnifiquement sa poitrine en valeur. Je mis de longues minutes à resserrer le laçage complexe. D’une part, parce que c’était une opération un peu délicate, d’autre part car j’étais totalement enivré par sa beauté, la chaleur de son corps et son parfum capiteux. Je serais bien resté pour toujours là, plaqué dans son dos mais elle me fit reprendre mes esprits d’un léger raclement de gorge.De retour à la réalité, je me dirigeais comme si de rien n’était vers mon appareil photo que je saisissais pour commencer la séance. Blandine prit quelques poses simples, debout. Elle était un peu maladroite au début et je fis donc de mon mieux pour la détendre en discutant avec elle tout en la mitraillant sous tous les angles.
— Tu dois être pas mal excitée. La cérémonie est dans moins d’une semaine.— Excitée oui… mais surtout débordée. Je ne sais pas comment je vais réussir à tout régler d’ici là.
La discussion se poursuivie pendant que je la photographiais et elle se détendit petit à petit. La séance se déroula dans une ambiance bon enfant avec des rires et des encouragements. J’enchainais les clichés mettant en valeur Blandine et sa magnifique robe de mariée. Au bout d’une heure, j’avais toutes la matière dont j’avais besoin pour lui faire un album photo assez classique mais dont elle se rappellerait toute sa vie.
— Parfait. Je vais charger tout ça sur mon PC portable et on va jeter un petit coup d’œil.
Je m’assis devant mon ordinateur pendant que les photos se chargeaient et Blandine se positionna derrière moi. Elle regardait par-dessus mon épaule tandis que je faisais défilé les clichés, sélectionnant d’un œil expert les plus prometteurs. Vu son physique avantageux, sa tenue sublime et mes compétences en photographie, il y avait très peu de mauvaises photos et je me contentais de sélectionner les plus exceptionnelles pour les mettre dans un dossier séparées. Je dois dire qu’il y avait un coté excitant à parcourir toutes ces photos en sa présence, sa main caressant doucement mon épaule. Même si les clichés étaient on ne peux plus classiques, l’air était chargé de tension sexuelle.
— Vu que je suis ici et qu’il nous reste un peu de temps, ça te dirait de faire quelques photos un peu plus sensuelles ?
Les mots étaient sortis de ma bouche sans même que je m’en rende compte. L’audace de mon propos me sauta aux yeux uniquement au moment où je finis ma phrase
— Tu penses que c’est une bonne idée ? Demanda-t-elle un peu crispée.— Oui, je pense que c’est le genre de chose qui pourrait vraiment faire plaisir à ton mari… si tu vois ce que je veux dire. Répondis-je avec un clin d’œil pour me donner un semblant d’aplomb.— C’est vrai que ça pourrait pimenter un peu les choses. Et puis, avec toi je serais plus à l’aise pour le faire qu’avec un inconnu. Mais, j’hésite…— Ça n’a pas besoin d’être bizarre. Je prends quelques photos. Si elles te plaisent on les garde, sinon on les efface et personne n’en saura jamais rien.— OK. Où est-ce qu’on se met ?— Je pense que ta chambre sera parfaite pour ce genre de photo.
Je tentais de jouer le mecs cool mais en réalité je n’en menais pas large. Je n’arrivais pas à croire que j’avais convaincu ma sœur d’aller aussi loin. Des tas d’images salaces défilaient dans mon crane de pervers tandis que nous nous dirigions vers sa chambre. En entrant dans la pièce, je la balayais d’un œil d’expert et déterminais qu’elle serait effectivement un bon endroit pour un shooting : un grand lit ancien, des jolies moulures au plafond et surtout, une belle lumière naturelle.
— Alors, comment on procède ? Tu veux que je me déshabille ?— Oui, mais vas-y doucement. Je vais prendre des photos pendant que tu le fais.— Tu m’aides avec mes lanières ? Demanda-t-elle en me présentant une nouvelle fois son dos.
Mes doigts moites tâtonnèrent tandis que je défaisais les nœuds délicats à l’arrière de sa robe. Je sentis à nouveau une tension sexuelle qui n’avait rien de normal entre un frère et une sœur et je me dépêchais de reprendre ma place derrière mon appareil pour ne pas déraper.
Nous commençâmes par quelques clichés sages, puis gentiment, je lui fis prendre des poses plus sexy: jambes écartées, doigt dans sa bouche, robe légèrement relevée, rien de trop suggestif pour l’instant. Après quelques minutes, je lui demandais de faire lentement glisser sa robe le long de son corps. J’obtins donc des clichés assez érotique de ma sœur dévoilant petit à petit son corps menu. La robe de marié finit en tas de tissu replié à ses pieds et je pus admirer les dessous de Blandine dans toute leur splendeur : soutien-gorge blanc, culotte en dentelle assorti, et surtout des bas blancs retenus par un porte jarretelle magnifique. Je n’avais plus honte de le dire : ma sœur me faisait bander !
Il m’allait être très difficile de rester professionnel dans ces conditions. Pour la première fois de ma vie, je commençais à avoir des idées salaces à son sujet en pensant à tout ce que son veinard de futur mari faisait à son corps de rêve. Pour ne pas trop y penser, j’enchainais les photos de plus en plus sexy de ma sœur en petite tenue. Elle se prêtait au jeu volontiers et je surpris plusieurs fois son regard se poser sur ma braguette qu’une grosse bosse déformais à présent. Quand j’eus pris suffisamment de clichés de Blandine debout devant son armoire, j’étais rouge d’excitation et prétextait la chaleur de la pièce pour enlever ma chemise. Elle ne s’y opposa pas.
— Je crois qu’on est bon. Tu te mets sur le lit maintenant ?— OK. Les photos rendent biens ?— Elles sont magnifiques. Je ne t’imaginais pas aussi bien foutue !
Elle resta un peu interdite devant cette phrase qui m’avait échappée et qu’on ne s’attendrait pas à entendre de la part de son frère mais elle ne s’en offusqua pas outre mesure et pris position sur son lit comme demandé. Je prenais des photos de plus en plus suggestives tout en me rapprochant d’elle au maximum. Ses mains glissaient le long de son corps, caressant ses seins ou son ventre selon mes demandes et son regard devenait de plus en plus lubrique. J’étais loin d’avoir débandé et je voulais voir jusqu’où elle était prête à aller.
Prenant mon courage à deux mains, je lui demandais d’enlever sa culotte. Elle rougit et me demanda de me retourner. Je rigolais et lui dis que de toute façon je la verrais nue. Elle rit à son tour, comprenant le ridicule de sa demande et enleva donc sa petite culotte devant moi. J’avais le souffle coupé, je n’avais jamais vu Blandine dénudée de la sorte et encore moins dans des poses comme celles-ci. Ma bite en érection depuis un long moment commençait à me faire mal et j’essayais de me raisonner en me disant que c’était quand même ma sœur, mais elle dégageait une telle sensualité que c’était difficile. J’enchaînais les clichés lui faisant prendre des poses toujours plus chaudes pendant de longues minutes jusqu’à ce que nous n’en puissions plus.
— On fait une petite pause ?— Avec plaisir. Comment je m’en sors ? — Tu t’en sors très bien. Tu as vraiment un corps de rêve !— N’exagère pas, je dois être bien ordinaire par rapport à certains de tes modèles…— Pas du tout, tu es magnifique. Je suis sûr que ton mari va bander comme un fou en voyant ces photos !
J’avais dit cette dernière réplique sur un ton un peu trop empressé et il y eu un long silence gêné pendant lequel nous nous regardâmes longuement. Elle reprit finalement la parole:
— Au fait, je voulais savoir…est-ce que ça t’arrive de…tu sais…de coucher avec certains modèles.— Oui, de temps en temps…ça fait partie des avantages du métier.
Notre conversation prenait une tournure intéressante mais j’avais encore plein d’idée de poses pour ma petite sœur dont le corps m’inspirait décidément beaucoup. Je me remis à la mitrailler sous divers angles en la poussant toujours un peu plus dans ses limites. Bientôt son soutien-gorge se retrouva sur le sol et elle se retrouva nue à l’exception de ses bas. Je pus admirer les seins fermes et érigés de ma petite sœur. Je lui demandais de me tourner le dos, jambes écartées, à quatre pattes sur le lit afin de faire ressortir ses fesses. Son petit cul était offert à mes yeux affamés et je ne voulais pas en perdre une miette. Je cadrais son sexe presque glabre et commençais à photographier.
— Si tu ne lui fais pas de l’effet avec ça, c’est que ton mari est PD. En tout cas, moi, tu me rends dingue !
J’avais lâché les chevaux. La moindre pensée qui traversait mon esprit pervers était retransmise telle quelle à ma petite sœur. Et le pire, c’est qu’elle ne faisait rien pour m’arrêter, mais continuait au contraire de prendre toutes les poses salaces que je lui demandais sans poser de question. La tension sexuelle était à son comble et je décidais donc de jouer mon va tout.
Une chose m’obsédait : je voulais absolument voir son petit vagin grand ouvert. Hors, les lèvres de son sexe étaient fermées. J’expliquais la situation à Blandine, sous couvert de besoin artistique bidon. A ma grande surprise, elle me dit en rougissant qu’elle allait essayer d’y remédier. Décidément, Blandine n’arrêtait pas de me surprendre par son audace aujourd’hui. Je vis les doigts de ma sœur fouiller doucement son sexe. Elle se masturbait devant moi et cela provoqua l’effet voulu, tant dans mon pantalon que sur son vagin. Ses grandes lèvres étaient à présent grandes ouvertes, je pouvais même distinguer des gouttes de cyprines qui perlaient de sa petite fente. J’avais du mal à prendre les clichés tellement je bandais.
Je la fis se mettre sur le dos face à moi, jambes écartées. Prétextant que son sexe n’était pas encore assez bien écarté, je délaissais mon appareil photo et m’asseyais à coté d’elle sur le lit. Nous avions largement dépassé le rôle du photographe et de son modèle et nous le savions tous les deux. Je posais ma main sur sa cuisse et commençais caresser légèrement son bas blanc en remontant vers son entrejambe. Elle me repoussa mollement, mais je sentais une sourde excitation s’emparer d’elle ce qui me poussa à continuer. Mes doigts arrivèrent rapidement à la jonction entre son bas et sa cuisse charnue. La sensation éprouvée lors du passage de la matière synthétique à sa peau douce était vraiment grisante et je sentais bien qu’elle aussi aimait ça même si elle cherchait à le cacher. Alors que mes doigts se rapprochais toujours plus de sa petite fente, sa main menue vint se refermer autour de mon poignet et elle me dit d’une voie cassée par l’excitation:
— Mais… Qu’est-ce que tu fais ? — Ne t’inquiètes pas, je fais ça souvent aux mannequins qui ne mouillent pas assez.
Il faut croire que la luxure débridait ma répartie car elle relâcha la pression sur mon poignet. Les doigts fébriles, je commençais à toucher le sexe brûlant de ma petite sœur. Sa chatte était trempée, ses cuisses moites. Mon propre sexe était tendu à son maximum dans mon pantalon, me faisant presque mal. Je n’en pouvais plus. Je titillais alors son clitoris, ce qui lui fit de l’effet, à entendre sa respiration soudain plus rapide. Puis, doucement, j’introduisis le doigt dans son vagin que je découvrais complètement trempé. Cette découverte fit sauter mes dernières barrières morales : il fallait que je la possède à tout prix.
Ma main était maintenant sur sa chatte trempée et mes lèvres à seulement quelques centimètres de son visage tremblant. Elle ne se débattait plus et je sentais que la partie était presque gagnée. Mon regard se perdit dans la profondeur de ses yeux bleus tandis que je me penchais vers elle pour l’embrasser. Elle fit une dernière vaine tentative pour empêcher l’inéluctable :
— On ne peut pas faire ça. Tu es mon frère…
Pour toute réponse, je l’embrassais fougueusement. Elle resta pétrifiée quelques instants puis je sentis sa langue se mêler à la mienne dans un ballet de luxure et de salive. Je descendis le long de son corps de déesse, pétrissant ses seins parfaits sous mes baisers, embrassant son ventre plat, léchant son nombril…avant d’arriver enfin à l’entrée de son minou merveilleux. Je dévorais alors sa chatte à pleine bouche, suçant ses lèvres et titillant son clitoris. Blandine mouillait de plus en plus ; sa cyprine avait un goût délicieux et familier.
Lorsque je sentis qu’elle était aux portes de la jouissance, je me redressais, dégrafais mon pantalon et m’allongeais sur elle. Elle jeta un regard furtif vers mon sexe dressé et ses yeux se firent gourmands. Dirigeant mon gland à l’entrée de son vagin, je la pénétrais d’un coup, elle gémit de plaisir. Je fis d’abord quelques lents mouvements d’aller-retour, ne voulant pas brusquer ma sœur. Blandine s’agrippait aux bords du lit pour ne pas glisser à droite ou à gauche. Après cinq minutes de pénétrations douces, le regard fixé dans ses grands yeux voilés par le plaisir, j’augmentais le rythme de mes va et vient. Elle était écartelée par mon membre vigoureux et émettait des petits cris de bonheur tandis que je suçais ses tétons durcis par l’excitation.
Je retournais alors ma sœur sur le canapé, puis la pénétrais par derrière voulant ainsi goûter le paradis dans diverses positions. J’attrapais chevelure de petite bourgeoise sans ménagement, défaisant la coiffure qu’elle avait passé de longue minutes à faire le matin même, et la baisais en levrette en imposant un rythme infernal. Elle cabra sa croupe phénoménale sous les assauts répétés de ma grosse queue et ne tarda pas à couiner de plaisir. Tout en la pistonnant comme un diable, je rapprochais ma bouche de son visage angélique et lui mordillait le lobe de l’oreille. Blandine eu alors un orgasme foudroyant et hurla son bonheur en s’affaissant totalement sur le lit.
Je l’accompagnais dans son mouvement et continuais de la pistonner, allonger sur elle. Dans cette position, ma pénétration était très profonde et elle ne tarda pas à pousser à nouveau de grands cris de plaisirs. J’étais moi-même au bord de l’orgasme et après quelques minutes de sexe débridé, je finis par me vider en elle dans un grand râle. La jouissance que j’éprouvais à ce moment-là, fut la plus intense et la longue que j’avais jamais vécu ; et je dois bien avoué que je n’ai plus jamais ressenti une telle intensité sexuelle depuis.
Je me retirais délicatement de sa fente, entrainant avec moi un impressionnant torrent de foutre et je m’allongeais à côté d’elle, fourbu par tant de sexe débridé. Elle vint se lover dans mes bras sans un mot et nous restâmes un long moment en silence. Nous étions en sueur, la chambre empestait le sexe. J’étais certain qu’elle n’avait jamais pris autant de plaisir dans ce lit avec son tocard de futur mari.
— Putain Charles, je me marie ce week-end ! On a fait une énorme bêtise…— Tu regrettes ?
On se regarda longuement, et en guise de réponse, elle se pencha vers moi pour prendre mon sexe en bouche et le nettoyer. Je caressais sa tête en prenant un pied d’enfer. La cérémonie de ce week-end s’annonçait intéressante…
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