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Anecdote familiale

Chapitre 1

Inceste
On est vendredi soir, 18h45. Je rentre de la fac en même temps que ma sœur, lycéenne de trois ans ma cadette, soit 18 ans. Il fait déjà nuit et la fraîcheur de cette fin d’automne nous glace le sang. Maman nous attendait, assise sur le canapé à feuilleter son magazine préféré. Femme au foyer de 42 ans, comme tous les vendredis elle a passé sa journée à nettoyer la maison de fond en comble afin que personne n’ait à s’occuper de rien durant le week-end. À notre arrivée elle se lève enjouée de sa grande taille, les cheveux mi-longs blonds encore humides, délicieusement et uniquement vêtue d’une nuisette bleutée et satinée, matière lustrée dessinant les courbes exquises d’un corps potelé, pour venir nous embrasser d’un smack chaud et parfumé. Après quelques mots d’usages quant à notre monotone voyage en train pour rentrer au foyer, ma sœur et moi empruntons les escaliers, sous le regard de maman à la fois coquin et amusé, afin d’aller nous doucher en attendant l’arrivée de papa.
Nus parmi la chaleur fumante de l’eau, nos corps savonneux s’entrechoquent à chaque geste dans une douche assurément trop petite pour deux. Assurément au goût de toute la famille. Scrutant l’entièreté d’un être dont la couleur de peau se confond à celle du produit mousseux léchant chacun de ses membres, je me dis aux lignes arrondies de ses parties les plus intimes - que j’observe plus développées chaque mois - qu’elle tenait sans aucun doute possible de maman. Tempête brûlante découvrant de jeunes corps adultes pleins de vitalité, l’heure du rinçage sonne et je me décide à une fantaisie. Me faisant dos, le jet largement en sa faveur, je profite du démêlé capillaire de ma sœur pour déposer sans brusquerie ma verge mi-durcie sur sa raie et envelopper de mes mains pleines sa grosse poitrine. Pas surprise, elle conteste en souriant par une légère inclinaison de son corps afin de presser un peu plus son fessier contre mon sexe. Restant droit pour résister à ce poids horizontal dont l’objectif ne se fait pas attendre, j’abandonne une poitrine désormais trop loin et glisse mes mains jusqu’à de larges hanches que je caresse et tapote. Joueuse, les deux mains en appuie sur le mur carrelé, elle commence un lent mouvement de croupe vertical, ma verge dure coincée entre ses deux grosses fesses. J’approuve cette douceur qui me rend déjà haletant dans la brume chaude de cet espace confiné, ces petits va-et-vient qui finissent de découvrir mon gland et me rendent avide de rapport intense après cinq jours d’abstinence. Empoignant sa taille, j’accompagne ma sœur dans ses montées et descentes afin d’accélérer le mouvement et, augmentant la pression par une avancée du bassin, ma bite raide se retrouve prisonnière entre les deux parois de son arrière-train, frottant jusqu’à son anus. Après deux minutes de cette mise en bouche, d’une forte envie de pénétration je stoppe net le rythme à l’étonnement de ma sœur et, tout en le gardant compressé dans son fessier je fais glisser mon sexe entre ses cuisses serrées, longeant sa vulve. Imprimant directement de lents va-et-vient contre ses lèvres poilues, mon gland butant à chaque terminus contre son clitoris, je devine le bienfait procuré à ma sœur par son unique gémissement, qu’elle-même ne pensait pas exprimer et qui la fît rire. N’en pouvant plus, éprouvant une irrésistible envie de m’enfoncer en elle, je tente une ouverture en m’aidant d’une main pour diriger mon pénis. Mais présageant mon intention, elle se relève, tout sourire :— Non coquin, garde ça pour maman !Et d’achever par un clin d’œil. Rarement j’ai un droit de sexe avec elle, préférant se préserver pour papa, s’abandonner tout entière à lui seul. J’affiche un sourire de partie remise puis, admirant de face les tétons durcis de ses gros seins, je n’en débande pas. Et les yeux baissés, m’admirant à son tour, précisément mon sexe :— Tu tiens bien de papa toi !Abondamment rincés, nous sortons. L’unique serviette aux mains de ma sœur, je patiente en n’en perdant pas une miette, ses seins dansant au gré des ondulations de son corps blanc. Elle a un air songeur qui la rend sérieuse, et alors que je suis en train d’imaginer à quel point papa devait s’en donner à cœur joie, elle tourne la tête vers moi, le buste penché, s’essuyant les jambes, et de sa fixation sur mon pénis qui diminuait peu à peu :— C’est maman qui doit être fière de son fils.Et mon sourire approbateur la presse de me dire, comme pour me couper d’une réplique :— Mais je ne suis pas jalouse, papa est un Dieu sur ce plan-là. Je suis juste heureuse pour maman.Puis de venir enrouler la serviette autour de mon cou, de me lâcher un baiser et, sortant de la pièce sur un dernier clin d’œil :— Coquin !
Papa est rentré entre-temps et attendait son tour pour aller se décrasser. Je descends en robe de chambre noire et lui dit bonjour par quatre bises, tandis que ma sœur accoure, dans sa tenue de soie blanche et rouge, la poitrine s’agitant à chaque enjambée, et lui saute au cou pour un baiser prolongé au ras d’une moustache entretenue, le corps supporté en partie par le ventre proéminent de papa. La famille réunie, la joie des retrouvailles se lit sur nos visages. Ma sœur et moi logeant à l’internat en semaine, le quotidien de nos parents est presque inerte, surtout pour maman qui sort peu. Leur activité sexuelle commune est volontairement au point mort, se réservant pour les plaisirs interdits des week-end, accumulant leur appétit tabou sur cinq jours pour l’exhaler complètement du vendredi soir au dimanche. Ainsi les jours J sont attendus comme le messie par chacun d’entre-nous.Papa redescend les escaliers après une brève absence, rasé, le corps frais dans un peignoir d’où une bosse flottante à l’entre-jambes laisse deviner un membre lourd de 49 ans. En dînant, nous échangeons les nouvelles de la semaine, nous rions allègrement, les quelques verres d’alcool bus chauffent nos corps, nous savourons ces retrouvailles, heureux d’être entourés des siens. Aux levées de table de maman je ne manque pas de jeter la vue sur son corps à demi-nu dont la lingerie dessine un cul large et rebondi et des nichons aux bouts pointus balançant à loisir. Dans la demie-pénombre et les yeux embués, la vue de ses cuisses bien en chair et épilées que la nuisette de couvre pas me fait déglutir d’envie.Quatre regards complices, nos joues rosies par la boisson et après un dernier digestif, nous allons continuer notre rituel en nous installant sur le canapé, parés au film du début de week-end, famille cinéphile oblige. Ma sœur ayant le fin mot pour cette fois, elle opte pour Collateral avec Tom Cruise et Jamie Foxx, thriller américain, choix approuvé par tous. Le cinéma est une passion et, sérieusement plongés dans la confrontation entre un tueur à gages et un chauffeur de taxi, silencieux et collés les uns aux autres, nous sommes bien. Dans ces moments nous ne pensons jamais à la suite de la soirée, nous nous concentrons sur le film sans dévier nos pensées, aimant profiter pleinement de ces rassemblements familiaux et sachant que le temps venu, nous aurons tout loisir de nous consacrer aux ébats charnels. D’ailleurs nous ne parlons que rarement de sexe entre nous, l’inutilité de la chose se justifiant par une intimité ouverte, chaque couple ayant carte blanche pour admirer l’autre pendant ses occupations. Le générique de fin défilant, nous échangeons nos avis positifs à l’unanimité. Aux environs de 23h, après le passage de chacun aux toilettes nous montons les escaliers et, arrivés au palier, les deux couples se souhaitant de passer une bonne nuit, et sous le rire général provoqué par papa nous demandant de ne pas faire trop de bruit, maman me prend par la main et m’amène dans la chambre parentale, tandis que papa accompagne sa fille dans sa chambre à l’opposé du couloir.
Fermant la porte derrière moi, j’enlace maman de dos qui vient d’allumer la lampe. Mes mains sur son ventre arrondi par-dessus sa nuisette, se laissant bercer, j’embrasse sa nuque et prolonge sur ses épaules veloutées. Ses yeux fermés, ses mains sur les miennes, nos doigts entrelacés, je remonte son cou de ma langue jusqu’à son oreille gauche que je mordille et pénètre de mon organe humide. Elle sourit, appréciant le chatouillement. De mouvements cerclés je caresse son ventre, faisant glisser le tissu sur sa peau douce jusqu’à buter sa poitrine lourde. Baisant toujours ses épaules, le regard plongeant dans son décolleté, de mes mains pleines je cajole ses seins massifs qui pèsent comme deux ballons de baudruche remplis d’eau. Je les masse de gestes tendres, parcourant leurs contours de mes doigts, les soupesant pour les laisser retomber délicatement le long de mes paumes à travers le satin bleu. De son sourire maman laisse échapper un petit gémissement, son premier. Et lorsque j’entreprends de provoquer ses tétons d’une grosseur proportionnelle à leurs supports, les battant du bout de mes majeurs, les pinçant et les roulant entre deux doigts, maman ne pû s’empêcher d’entrouvrir la bouche : « ahhhh ». Continuant ma violence doigtée sur ses pointes durcies, j’embrasse ses joues du plus près que je puisse de ses lèvres et, d’une contrepartie immédiate, elle pivote la tête afin d’unir nos bouches. Les lèvres sont chaudes et moelleuses, les baisers pleins de tendresse parmi le souffle court de maman. Et simultanément au début langoureux de notre échange, joignant nos langues à pleines bouches en de profonds tourbillons salivaires, je délaisse mon massage mammaire pour une chute libre des mains, jusqu’à pouvoir atterrir sur les cuisses dénudées de maman, juste au ras de sa courte lingerie. Frôlant sa peau, je remonte lentement. Mes mains s’infiltrent sous la chemise de nuit et, d’une chaleur qui se fait de plus en plus épaisse, elles viennent se rejoindre en un lieu bouillant, un pubis poilu mais non négligé, au toucher agréable. Après une brève caresse en duo, mes mains se séparent, la gauche remontant la chair jusqu’à retrouver les deux seins lourds de maman, élevant par la même occasion sa nuisette. J’attèle ma main droite à un frottement pubien, invitant mon plus long doigt à longer les grandes lèvres en de petits allers-retours, les écartant au fur et à mesure, titillant le clitoris en même temps que je pénètre de peu l’entrée du vagin. Mon doigt se noie dans l’antre mouillé de maman que j’explore alternativement à une lubrification de son clitoris. À cet acte maman stoppe l’embrassade commune, nos lèvres aussi humides que son entrejambes, éprouvant le besoin de haleter à sa guise sous le battement de son clito, son corps se dandinant, se contractant, les yeux à moitié plissés, expirant plus qu’elle n’inspire. J’aime la voir ainsi dévouée, alors sans ralentir la cadence je continue, toujours du bout de mon majeur je tapote son point sensible puis tour à tour m’introduis dans son vagin du plus profond que ma position me le permette. Quand soudain, ses jambes fléchissent légèrement, tout comme son dos. Le visage grimaçant, le souffle court, elle est sur le point de jouir, déjà : « ahhhh... ahhhh... anhhhh... oui... oui... ». Non. Désormais trop bas ma main n’atteint plus son sexe. La liaison séparée, je m’amuse de la situation et se tournant vers moi, essoufflée et les yeux petits, maman vient enfourner sa langue contre la mienne avant de déclencher les hostilités : « salaud... ». Reprenant aussitôt l’union de nos bouches, elle dénoue la ceinture de ma robe de chambre, en écarte vivement l’ouverture et empoigne directement et à pleine main ma verge gonflée. Branlée à vive allure, mon gland butant contre le bas-ventre de maman, ma bite devient vite à bloc, laissant échapper du liquide séminal qui vient ramper sur la peau pour finir sur le triangle touffu et se mêler à l’humidité du clitoris. Mes mains collées aux fesses par-dessous la nuisette, je les caresse dans toute leur surface, les écartant parfois pour libérer l’anus. Et désireux d’une répartie à son attaque verbale, je soulève la nuisette de ma main gauche et, faisant prendre de l’élan à ma droite, je reviens la claquer sèchement sur sa chair, la faisant vibrer. Son contentement audible, « mmmhh ! », me pousse à multiplier le geste tandis que mon sexe se fait plus violemment secoué. Après deux minutes de jeu, l’heure est aux choses sérieuses.Déliant nos langues, je fais glisser les bretelles le long de ses épaules et la nuisette tombe. D’un pas en avant, maman comprend mon intention et s’allonge d’elle-même sur le lit, jambes pliés et écartés. Laissant tomber mon habit derrière moi, je viens prendre position au-dessus d’elle après m’être peu attardé à sucer les tétons de sa grosse poitrine. Le corps tendu, mains en appui de chaque côté de sa tête, les genoux calés entre ses jambes, nos regards fixes, mon pénis est posté naturellement devant l’entrée du vagin et d’un mouvement descendant du bassin, mon gland pénètre sans résistance. Après plusieurs va-et-vient lents et chargés seulement d’environ trois quarts de ma longueur, comme pour préparer maman à un assaut imminent, je remonte mes fesses jusqu’à ce que mon bout rouge soit à peine ressorti et, cédant la position après deux secondes, je m’élance, mettant tout mon poids dans cette chute libre et m’enfonçant au plus profond, mon entrejambes plaquant lourdement celui de maman : « OUHH ! ». M’écrasant au maximum pour gagner chaque millimètre, je maintiens la position trois secondes puis remonte, repositionnant mon bout à l’entrée et, fixant le regard suppliant de maman, cède à nouveau tout mon poids pour venir briser son antre : « OOHH ! ».Si maman était une femme d’une extrême gentillesse et une mère attentionnée pour sa famille, elle aimait une certaine brutalité dans nos rapports sexuels, comme pour extérioriser un quotidien trop sage, esseulée dans sa maison. Elle ressentait le besoin de manifester une colère, de hurler un mal-être, d’éprouver une sensation que son statut de femme au foyer ne procurait pas. Aussi nos parties de sexe, avec ce qu’elles comportaient de bestialité, lui donnaient l’occasion de s’exprimer à loisir.Blotti au fond d’elle, je remontais encore une fois, lentement, marquant la pause au sommet pour ensuite redescendre telle une masse. Puis posant ses mains sur mes fesses, relevant les jambes et de son regard implorant, elle me dit : « vas-y... ». Je reprends alors mon ascension mais cette fois, sans marquer d’arrêt et de mains qui font pression sur mon derrière, je reviens m’enfoncer en elle : « OH OUI ! ». Et toujours sans repos, je vais et je viens : « OUI ! ». Et je continue, je lime maman, je vais je viens, la transperçant à chaque coup, montant au maximum, descendant au maximum. Je rebondis littéralement sur maman, mon corps décolle pour revenir s’écraser aussitôt, pesant de tout mon être pour cogner le fin fond de son organe. Le lit secoué grince de cris aigus et sous le poids de l’effort les lattes craquent, et tandis que les fins pieds de lit grattent le parquet, maman subissant mes coups de butoir a les yeux fermés et les dents serrés, s’exprimant autant qu’elle le peut dans ce moment de non répit : « AAH ! HAN ! HAN ! VAS-Y ! OUI ! VAS-Y ! VAS-Y ! ». Après une vingtaine de va-et-vient sans ménagement je ralentis la cadence pour reprendre notre souffle. Maman entrouvre les yeux pour un mot doux : « c’est bon mon chéri... ». Nous enveloppons nos lèvres, jouant de nos langues, nous liant de toutes parts de nos corps moites. Dans un à-coup brutal contre son vagin nous retournons dans notre violence intime, ses deux bras désormais pliés au-dessus d’elle, le corps abandonné, dégustant les poussées féroces en son intérieur. La tête baissée j’observe la mouvance de sa poitrine, flottante comme deux bouées à la mer voguant au gré des vaguelettes, victime de larges vibrations incontrôlables qui témoignent de heurts furieux et volontaires. M’appliquant à ne pas rompre l’allure je ronde le dos pour venir baiser tour à tour ces deux seins volumineux que j’adore, ouvrant grand la bouche pour englober un maximum de surface à partir de leur mamelon que je tête goulûment et faisant tournoyer ma langue autour de leur aréole foncée. Les mimiques de maman trahissent une satisfaction des délices qui la surmènent. Dans mon but non voilé de la faire hurler de plaisir je m’évertue à parfaire mes pénétrations, propulsant toujours aussi lourdement ma bite ferme dans le lointain de son puits. Après quelques derniers cris douloureux de contentement : « OOOH ! OOOH LA VACHE ! OOOOH ! », je stoppe l’activité et suivant un baiser fougueux je me redresse, découvrant mon gros sexe brillant de mouille.Maman a les joues rouges et lui laissant à peine le temps de respirer je fais basculer ses jambes sur un même côté. Le corps suit, se positionnant mécaniquement genoux et mains en appuis, tête encore étourdie relevée, dos droit, cul en l’air et seins dans le vide. À la vue de cette grosse paire de fesses blanches écartées je ne peux m’empêcher de les fouetter à pleines mains, les faisant onduler par quelques tapes fortes qui viennent s’abattre sèchement sur la chair, auxquelles maman répond par un dandinement superposé à de petits sons : « ahhhh... mmmhh... ouhhhh... ». En équilibre sur les genoux j’avance le bassin et braque ma verge en direction du trou de maman, et mes mains sur sa taille, j’inspire profondément comme pour me préparer à un effort surhumain et sans modération je m’enfonce d’un coup vif, déchirant ses entrailles. « HAN !!! » Et sans répit et avec un dynamisme fou je récidive mon geste à foison, replaçant mon gland à l’entrée du vagin pour retourner au fin-fond aussi soudainement et sévèrement que je puisse, ramenant vers moi le corps de maman à chacun de mes tirs pour m’engouffrer toujours plus. Son cul claque à chaque butée et fait des vagues sans discontinuer tandis qu’elle s’époumone autant qu’elle le peut parmi mes attaques brutales et incessantes : « HAN !! HAN !! OH OUI !! VAS-Y !! BAISE-MOI !! BAISE-MOI !! BAISE-MOI !! ». Ses mots me font redoubler d’effort. Mon cœur bat la chamade et je transpire comme un bœuf, mais dans une rage fauve je continue de culbuter maman au même rythme fulgurant. Elle explose de toutes parts, son antre se fait détruire par d’innombrables missiles alors que son gros cul remue de hautes ondulations, et tandis que ses gros seins pendant ont perdu le contrôle et s’agitent d’avant en arrière, l’état du lit devient de plus en plus critique, se déplaçant à chaque mouvement et la tête cognant le mur à chaque seconde. Maman crie à pleins poumons et cela résonne dans cette chambre parentale pas si grande, et alors que je la défonce toujours à plein régime j’entends comme un écho à ses mots, des hurlements lointains. Maman cède à ce moment-là sous le trop de pression qu’elle endure et ses appuis lâchent, plongeant sa tête dans les draps, le haut de son corps trempé désormais maintenu par ses avant-bras, haletante. J’en profite pour ralentir mes va-et-vient, tout essoufflé que je suis comme si je venais de finir un marathon, et tendant l’oreille ma conclusion est vite faite que les lamentations aigus entendues juste avant étaient tout simplement ceux de ma sœur, accouplées aux râles de papa. Leur chambre est pourtant à l’autre bout du couloir... Je me dis alors qu’il est culotté de nous avoir demandé de ne pas faire de bruit. Dans mon accalmie je parcours de mes mains le dos luisant de maman, massant surtout le bas et revenant jusqu’à son derrière que je fesse de nouveau. Fatigué mais pas abattu, j’offre à maman quelques dernières puissantes charges de ma bite stricte et courbée pour lui faire arracher une salve de plaintes et la prévenir que la partie n’est pas encore terminée.Me ressortant, je pousse son cul sur le côté et elle retombe dans une sorte de recroquevillement. Je viens l’embrasser dans son souffle chaud, lui disant d’un sourire que ce n’est pas fini. Je l’aide à se redresser et prenant sa place je m’allonge sur le dos, la tête relevée par l’oreiller contre la tête de lit. Elle m’enjambe pour jouer la cavalière et maintenant ma verge à la verticale elle la fait pénétrer sans réserve en s’asseyant de tout son poids sur mon entrejambes. Dans sa position de dominante j’admire sa plastique généreuse et lorsqu’elle se penche pour des bisous tendres et amoureux, sa forte poitrine écrasée sur mon torse, je l’enlace et passe mes doigts dans ses cheveux dorés et frisés, savourant cette trêve câline. Sous nos bécots elle commence à remuer du popotin, et se relevant, découvrant de gros tétons durs, d’un travaille de hanches elle se tortille, tournoie, va d’avant en arrière, titillant son clitoris qui frotte mes courts poils pubiens. En elle mon sexe à son comble est balloté dans tous les sens, prisonnier coupable d’une grotte étroite et humide. Maman intensifie son mouvement de bassin, les bras tendus en appuis sur mon ventre, les yeux fermés, reculant et ravançant son cul avec vivacité, pesant bien contre mon pubis pour chatouiller son point sensible, lui procurant un bien-être incontestable : « ouhh... hmmmm... oh oui... oh c’est bon... ahhh... ahhh... ». Ses gros seins coincés entre ses bras s’agitent et je la vois s’émerveiller du bonheur qui la submerge. J’opère alors des relevés de mon bassin et, dans la foulée, maman remonte les genoux et se met sur les pieds pour entreprendre des va-et-vient aussi brutaux que ceux que je lui avais offerts. Comme pour la rendre la pareille et de la même façon, les mains toujours en appuis sur mon torse, elle monte son cul jusqu’au niveau de mon gland et le redescend si vivement que nos entrejambes s’entrechoquent dans un bruit grave. Elle rebondie à chaque butée, s’élevant à la juste extrémité de ma bite gonflée à bloc pour la réenvelopper aussitôt de sa chatte avec une lourdeur exquise, nos corps s’enfonçant dans le matelas et dans le fracas du lit à chaque atterrissage. Et tandis que je sens la jouissance monter, maman hurle : « OUHH !! OUHH !! OH !! OH !! OOOH !! OH C’EST BON !! OH C’EST BON !! OH OUI !! JE VAIS JOUIR !! JE VAIS JOUIR !! ». Je viens aussi et c’est imminent. Maman ne ralentit pas et de la même lourdeur de ses coups elle se défonce la chatte, grimaçante et prête à l’explosion : « HAN !! HAN !! HAN OUI !! HAN OUI !! OUI !! OUI !! OUI !! OUI !! OUIIIIIIIIII !!!!!! ». Maman jouit de toute ses forces alors qu’elle continue ses va-et-vient, tremblant et hurlant à pleins poumons, tandis je n’inonde son vagin d’une grande quantité de sperme chaud. L’extase se calme après quelques secondes et restant assise sur moi, maman reprend ses esprits, les yeux toujours fermés, hors d’haleine, tortillant toujours légèrement son cul, finissant de chatouiller son clito, ma verge encore raide bloquée en elle. Puis, la mine épuisée, elle se penche sur moi, s’allonge et, tous deux haletants, je l’étreins avant de lui baiser le front.
Détendus, nous entendons toujours ma sœur dans ses lamentations et, curieux, nous décidons d’aller jeter un œil à son affaire. Entièrement nus nous longeons le couloir obscur et ouvrons sans bruit la porte de leur chambre, découvrant, ébahis, une scène à peine croyable. Prise en levrette, ma sœur se fait littéralement soulever par son père, d’un pénis plus gros que le mien encore, lui détruisant l’anus dont chaque coup paraît fatal à ce petit trou. Papa met visiblement tout ce qu’il lui reste d’énergie pour anéantir sa fille qui crie si fort sans que je parvienne à déceler le plaisir de la véritable douleur. Dans sa torture je doute qu’elle ait remarqué notre présence. Son visage est crispé, ses genoux même plus en appui sur le matelas, papa la décolle à bout de bras et la force ardemment de son membre gargantuesque et déchaîné. Dans un râle aussi puissant que les coups de reins qu’il infligeait papa jouit longuement, s’écrasant sur sa fille, avant de s’effondrer sur le lit, comme évanoui, bras et jambes écartés, suant à grosses gouttes. Ma sœur est retombée à plat ventre, le corps sans vie, le regard vide, tremblante, comme traumatisée. Je continue de la fixer, presque inquiet de son état, et il s’écoule un certain temps avant que ses yeux à moitié morts se glissent vers moi. J’attends une réaction de sa part mais, honnêtement, je ne m’attendais pas à ce rictus confondu en sourire...
Maman et moi regagnons notre chambre, bras dessus, bras dessous, pour une bonne nuit de sommeil.
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