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Angel et Johnathan

Chapitre 4

Dépression...possession...

Gay
Que faire ? Johny avait fait l’impardonnable. Angel, seul dans sa chambre, le cœur gelé par la tristesse, dans l’obscurité et le froid, essayait de réfléchir. Il avait raison. Johny n’était qu’un sale traitre. Un menteur. Un bi qui profitait juste de lui…malgré leur amitié passée. En fait, Johny avait changé…il faisait semblant d’être comme avant. Angel se retourna sur son lit. Il regarda Mr nounouille, sa peluche quand il était gamin. Sans trop savoir pourquoi, il la jeta en l’air, la projetant sur le mur, et il s’écroula sur son lit, pour continuer de pleurer. Quelqu’un frappa à la porte.— Qui est-ce ?, demanda t-il, avec une voix faussement enjouée.— C’est maman. Mon chéri, il y a un de tes camarades qui est venu te voir. Il attend au salon. Tu veux le voir ou pas ?A ces mots, Angy réfléchit. Il n’avait pas d’amis…peut-être que c’était James. Alors il n’allait pas ouvrir. Il ne voulait voir personne. Et surtout pas celui qui avait détruit sa relation avec Johnatan.— Je ne veux voir personne. Dis-lui de s’en aller, s’te plait m’man.— D’accord mon chéri.— Et arrête de m’appeler comme ça, maman.

Le jeune blond prit un oreiller et le serra dans ses bras. Quelques instants plus tard, une voix masculine se fit entendre, ainsi qu’une autre voix, douce. Il devina que s’était sa mère, en train d’empêcher James d’entrer dans sa chambre.
— Madame, laissez-moi le voir. Il déprime, et…— Non, il ne veut voir personne. Faites-moi le plaisir de vous en aller, jeune homme.— Je ne partirais pas sans le voir.— Arrêtez ces enfantillages !Exaspéré par cette discussion interminable derrière sa porte, Angel se décida à ouvrir la porte. Il avait l’air pitoyable. Combien de litres de larmes avait-il versé ? Sa mère s’inquiétait…et James aussi.— Mon chéri…oh mon Dieu, mais qu’est-ce que tu as ?— Rien, rien maman…tu peux le laisser entrer. Ca va.— Mais tu as l’air si pâle et…tu es malade ?— Non maman, ça va… ; dit-il en tirant James dans sa chambre.
James regarda le blondinet s’effondrer sur son lit. Un peu gêné, et aussi très intrigué, il essaya de détendre l’atmosphère.
— Alors ? Je dérange ? dit-il en souriant.
Angel n’apprécia pas son intonation.
— Oui, tu déranges. J’étais occupé à te détester…et à pleurer.
James n’en revenait pas. Angel avait l’air dévasté. A quel point aimait-il ce satané Johny ? Pourquoi souffrait-il pour un connard pareil ?— Angel. Arrête de pleurer pour cet abruti. Il ne te mérite pas.— Tout ça c’est ta faute…, chuchota-t-il, l’esprit ailleurs.— Ne dis pas ça…moi je ne voulais pas…créer ça. Je t’aime, moi.— Tais-toi !
James vint s’asseoir sur le lit, a coté du blondinet. Celui-ci recula et lui demanda de s’éloigner. Peine perdue. Angel pleurait encore…alors James, sans trop savoir pourquoi…le pris dans ses bras.— Lâche-moi. Laisse-moi tranquille.— Non.
L’étreinte de James se faisait plus forte, plus autoritaire. Les larmes d’Angel coulaient sur son bras. Cette sensation était plus que bizarre. James voulait juste protéger cet oiseau qui avait volé son cœur dès leur première rencontre.Angel cessa de se débattre. De toute façon, il ne pouvait pas le repousser. Il se résigna…et il pleura encore plus…toujours en silence…comme toujours…
— Pourquoi il m’a fait ça ?…je croyais qu’il…je croyais qu’il tenait a moi…— C’est juste un gros con. Ca ira, tu verras. Oublie-le.— Facile à dire…
James le regarda droit dans les yeux, sans vaciller du regard. Angel restait captivé par les deux prunelles de ce jeune homme, qui se comportait comme son grand-frère en ce moment. James entama un discours.
— Il y a deux ans, je suis entré en Fac de droit…et je me sentais un peu perdu. En cherchant l’amphithéâtre, je me suis retrouvé nez à nez avec un garçon. Il avait les yeux bleus comme l’océan atlantique…des cheveux d’or…une peau de satin…et un sourire d’ange. Il m’a regardé droit dans les yeux…et ce jour la,…moi qui n’ai jamais pensé a plus que de baiser dans tous les coins…je me suis dit : Je le veux. Pas pour profiter de lui…pas pour le laisser tomber…juste pour l’aimer. Pour le protéger. Car il avait l’air d’un oiseau exotique entouré de carnivores sauvages…Il y a quelques temps j’ai eu le courage de l’aborder vraiment…eh oui, moi le grand macho, j’ai été timide…alors, quand j’ai enfin eu l’occasion de lui parler seul à seul…et quand je l’ai vu, dans la complicité de l’obscurité…dans cette salle cinéma ou je l’avais invité…je me suis jeté sur lui. Mon désir devenait incontrôlable. C’était une erreur. Je crois que j’ai perdu ma chance auprès de lui…et son amitié aussi…aujourd’hui je le vois pleurer. Et face a cette scène qui me fait souffrir…je pense que je ne l’ai jamais autant aimé…qu’a ce moment précis…ici, face a lui…face a toi…Angel…je…
Le blondinet s’empara de ses lèvres et lui donna un baiser désespéré. Un baiser doux…un baiser qui voulait dire : «sauve-moi ». James resta éberlué après ce moment qu’il avait tant espéré. Angel, de son plein gré, venait de l’embrasser. Et ce n’était pas fini. Le blondinet, dans son pull-over blanc, les yeux brillants de larmes, n’avait jamais été aussi attirant. James résista. Il ne devait pas commettre la même erreur. Angel l’embrassa à nouveau…sans sourire…il avait l’air de ne pas être la…il avait l’air juste…éteint. Il était désespéré…il voulait oublier ce qu’il avait vécu…cette image de Johnatan et Samantha…et la, James était la…il voulait que James l’aide à oublier.Il se redressa sur ses genoux, et rampa vers le jeune homme, le regard hagard. James ne savait pas trop quoi faire. Il se leva d’un bond, et quitta le lit.
— Qu’est-ce que tu fous ? Tes parents sont là !…Et puis, tu n’as pas l’air dans ton assiette.Angel se leva à son tour et se rapprocha du jeune homme.-Tu ne veux plus de moi ?…Mais tu m’as dit que tu m’aimes…prouve-le-moi.Angel chuchotait…et la sensation de son souffle chaud sur le cou de James fit frémir ce dernier.— Arrête ça…s’il te plait…je ne veux pas profiter de toi…tu es juste désespéré…— Non…allez, viens…s’il te plait…juste cette fois…
James n’en revenait. Angel le suppliait carrément. Et il était de plus en plus excité. Pourtant il devait se retenir.
— Tes parents sont là ! Arrête !Sur ces mots, Angel verrouilla la porte à double tour et jeta la clé sur le tapis. Il s’approcha de James…le regard vide…Il l’embrassa langoureusement. James ne pouvait pas résister longtemps. Son entrejambe lui faisait mal, tellement il bandait.— Arrête ça…s’il te plait Angel…tu me fais me sentir…tellement…— Aime-moi…James…Angel n’arrêtait pas. Il poursuivait James. Ce dernier avait déjà une bosse bien visible sur son pantalon.— Tu me veux…alors prends-moi. De toutes tes forces.— Qu’est-ce qui t’arrive ?
Angel était méconnaissable. Il se rapproche de James, la bouche entre-ouverte, les mains baladeuses…il explorait ce corps en face de lui. Et soudain, il s’arrêta. Il se déshabilla. Sans quitter James du regard. Celui-ci bandait comme un âne. Le corps d’Angel…ce corps qu’il désirait plus que tout…ce corps s’offrait a lui. Il capitula. Il enleva sa ceinture et déboutonna son pantalon. Angel, nu, vint lui enlever son t-shirt. Ils se découvraient. James avait un corps parfait. Des muscles saillants. Une allure imposante. Angel s’agenouilla, et toujours en fixant son ami des yeux, commença à le sucer…d’abord lentement…puis de plus en plus vite. James gémit de plaisir…il grogna un « Oh oui », mais se reprit vite, heureusement. Il n’en pouvait plus. Il saisit la tête d’Angel et commença à faire des vas et vient dans sa bouche. Le blondinet avait du mal avec cette bite…James était bien membré. Au bout d’un moment, un liquide visqueux se déversa dans la gorge d’Angel…lui qui trouvait ça dégoutant d’habitude, il avala tout, d’un seul coup, et avec un plaisir nouveau. James prononça un râle viril. Un râle de plaisir. Il se retira de la bouche du blondinet, et sa bite, après quelques secondes, recommença à grossir à vue d’œil. Angel lui faisait un effet incroyable. Le blondinet se mit à quatre pattes, et supplia James de venir le prendre. Le jeune homme ne se gêna pas. Il s’agenouilla devant le cul d’Angy et d’un coup, enfonça toute sa bite dans ce trou chaud et serré. Angel gémit, et lui demanda de le défoncer. Décidément, il y avait de la perversité bien cachée au fond de lui. James, fougueux, lui laboura le trou du cul en pilonnant violemment, a coups saccadés. Il tapait de temps à autre les fesses du Jeune désespéré. Angel se retenait de crier…il adorait ça…mais pas autant que James, qui libérait toute sa frustration sexuelle. Il se déchainait dans le cul d’Angel sans s’arrêter.
— C’est serré…ultraserré…oh ouiiii
— Oh oui, continue, s’il te plait, s’il te plait…
Angel était possédé. Il n’était plus lui-même. Mais James ne pouvait pas se retenir. Il s’exécuta. Il souleva Angel du sol, sans retirer sa bite de son cul, et le déposa sur le lit.
— Je vais te montrer a quel point je suis fou de toi ; dit-il, en s’enfonçant très profondément au fond du cul d’Angy. Ce dernier cria un peu. Il avait mal. James lui ferma la bouche, et continua son travail. Angel ne savait pas pourquoi il faisait ça…il voulait juste oublier…et le sexe se révélait comme étant une drogue très efficace…
— Baise-moi plus fort, encore plus fort…
— T’aimes ça, hein ? Allez, dis-moi que t’adores ça ; dit James, en tirant les fesses du blondinet. Il s’enfonçait de plus en plus profondément. C’était si serré…sa bite était totalement étouffée par ce paradis chaud.
A suivre…
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