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Angel' seven. II. Kim

Chapitre 4

Divers
Le séjour se prolongea donc jusqu’à son terme sans aucune ombre au tableau, mise à part la difficulté qu’elle avait à joindre les States de son téléphone portable, le réseau étant vraiment médiocre. Elle pestait régulièrement, et son mari en convenait : dans un complexe hôtelier d’un tel niveau, vraiment, ce désagrément technique des plus ennuyeux faisait tâche au milieu de prestations de qualité.Bien-sûr on n’était pas aux Etats Unis, mais tout de même.
Son mari eut même toutes les difficultés du monde à joindre la compagnie aérienne pour se faire confirmer sa réservation par téléphone.Bien-sûr ils auraient pu utiliser la ligne filaire de l’hôtel, mais au tarif qu’on facturait les communications vers les States alors que le forfait de leur opérateur téléphonique – qui coûtait un bras – incluait tous les appels à l’international, ça aurait quand même été un comble.
Aussi, au moment de régler la note, son homme fit un esclandre à la réception ; et bien que le directeur eût été appelé qui les reçût dans un salon privé pour s’en excuser et tenter de leur proposer une remise, Steeve refusa de régler la note.Kim, suivant son exemple, en rajouta, très remontée et ils partirent sans payer, la tête haute et sans remords.Ils payaient une ribambelle d’avocats, ils s’occuperaient de cette affaire.

Une fois rentrés en Californie, leur vie continua comme avant. La presse et internet ne parlaient que d’elle, comme toujours, et elle était grisée de sa notoriété de starlette sulfureuse et provocatrice, ressentant chaque jour le besoin d’en faire davantage.
Elle multipliait les apparitions en public, et non contente de voir de plus en plus ses photos relayées par les réseaux sociaux, elle ressentait un besoin croissant qu’on parle d’elle toujours plus, devenant de plus en plus addicte à son image.
Aussi elle n’arrêtait pas de faire des selfies (en tenue généralement outrageusement légère) et de les poster ; ils se répandaient à chaque fois comme une traînée de poudre, créant l’évènement, du moins dans ce petit monde de ses fans et de la presse people. « Kim en soutien-gorge », « Kim nue devant son miroir », elle s’abreuvait de ce genre de messages.Elle n’en pouvait plus, telle Narcisse penché sur son reflet, de se regarder, ivre d’amour pour son corps aux formes parfaites.
Un soir, elle était devant l’écran de sa salle vidéo, dans le sous-sol de sa villa californienne, et visionnait les derniers selfies de la Vénus du moment, c’est-à-dire elle.
Elle se délectait de la splendeur de ces images, de la pureté de ses formes et de sa beauté qu’elle voyait comme la perfection même. Son visage craquant exprimait une toute petite moue, coquine, suggestive, délicieuse.Ses yeux noirs pétillaient sur le cliché numérique. Elle s’amusa à tenter de modifier un peu l’éclairage, les couleurs, recherchant la lumière parfaite.
Soudain, elle s’amusa à mettre le cliché en négatif : mais là elle poussa un cri d’effroi, se leva brutalement de son siège, comme projeté en arrière ! En négatif elle croyait reconnaître à l’endroit de son image une image terrifiante : l’image d’une créature d’aspect maléfique au visage déformé par un sourire sardonique !Elle ressentit comme un grand froid, comme si on avait ouvert la porte d’un congélateur sur elle, la température de la pièce semblant avoir baissé d’un seul coup.
Elle se rassit, cliqua pour remettre la photo en positif, elle respira mieux, rassurée.
Elle mit plusieurs minutes à se calmer et à retrouver son sang-froid. Alors, reprenant ses esprits, courageusement elle refit la manouvre inverse : ça n’était désormais que l’image en négatif de son portait photographique, bizarre – comme tous les négatifs – mais normal.
Elle commençait à se demander si son esprit ne lui jouait pas des tours. Pourtant elle ne ressentait ces derniers temps aucune fatigue excessive, ne souffrait d’aucun manque de sommeil.
Elle était dans sa réflexion quand elle entendit dans sa tête bien distinctement une voix masculine, claire et virile prononcer : « radine ! »
Quelques secondes passèrent puis ça recommença, deux fois. Elle fut profondément troublée, repassa dans sa tête sa vie des derniers jours, avec honnêteté et de façon rationnelle. Il ne s’était rien passé de bouleversant, que de bonnes choses lui étaient arrivées, la vie lui souriait sans aucune ombre.
Machinalement, elle tria la pile des magazines people qui se trouvait sur le fauteuil à côté d’elle, les feuilleta, et s’arrêta sur un fameux article qui relatait avec moquerie l’incident de leur départ  de l’hôtel irlandais.« Kim Cardigan serait-elle vraiment avare ? Kim Cardigan et son mari, Steve Holms, ont refusé de payer la note d’hôtel de leur voyage de noces... »
L’article les rhabillait pour l’hiver. Un de plus. Des jaloux, pensa-t-elle avec mépris et un effort de détachement. Un article parmi tant d’autres.C’est vrai qu’elle avait contrariée lorsqu’elle avait découvert l’entrefilet de constater que cet incident survenu en Irlande était relaté par les journaux, cherchant une fois de plus à ternir sa réputation.Mais rien de plus. Elle l’avait ensuite laissée dans un coin de sa mémoire, et oubliée. Du moins, ce qu’elle avait cru.Est-ce que cette contrariété trop vite refoulée ne remontait pas de son subconscient et ne l’envahissait pas de façon incontrôlée ?Au diable cette psychologie de bazar ! Elle avait toujours refusé de voir les psys, contrairement à sa mère qui avait squatté, à une certaine époque, tous les cabinets des psychanalystes en vogue. Se vautrer sur un divan. A moins que ce ne soit pour exhiber ses belles formes dans une pause lascive... Mais à un psy, dans l’intimité d’un cabinet feutré, sans caméra, sans photographe, quel intérêt ?!
Et puis ces charlatans prenaient des honoraires démesurés, et pour faire quoi ?Elle allait très bien, n’avait pas souffert de son enfance. Elle était riche, célèbre, adulée, ne faisait que ce qu’elle voulait, elle la belle poupée brune qui aurait gagné tous les concours de beauté si sa mère le lui avait imposé il y a quinze ans, ce qu’elle n’avait heureusement pas fait.Elle avait toujours joui d’une liberté de petite fille gâtée et choyée.
La vie lui souriait, et sans ombre, ces petites contrariétés étaient la rançon de sa gloire, et voilà tout.
— - -
Quelques mois plus tard, elle offrit en cadeau d’anniversaire à son amoureux : une croisière de rêve sur un yacht luxueux, partant de K-West et longeant les Antilles, avec escale aux îles Vierges, à Saint-Barth, Antigua, Sainte Lucie, la Barbade, et finissant à Trinidad. Le bateau avait été réservé pour l’occasion à une société spécialisée qui avait une clientèle de milliardaires et une excellente réputation, et ils étaient partis avec quelques amis.L’ambiance était à la fête tous les soirs, des D.J. renommés avaient été recrutés, de même qu’un personnel select, attentif et aux petits soins avec leurs commanditaires. Chaque soirée était une soirée spéciale, soirée à thème, avec des artistes, des saltimbanques, et les spectacles étaient époustouflants.
Comme lors de cette soirée où un magicien éblouissait et bluffait toute l’assistance avec des tours fabuleux et inédits, démontrant un talent d’illusionniste inégalé.Il avait le visage dissimulé à la façon d’un touareg et des assistantes virevoltaient autour de lui, rappelant plus des flammes ou des feux follets que des femmes exécutant des danses orientales.C’étaient non seulement ses tours et illusions qui donnaient cette impression euphorique de bien être, de plaisir pour les yeux, partagé par tous, mais également l’ambiance sonore, musicale, lumineuse, qui semblait presque surnaturelle.Kim regardait, fascinée, la bouche ouverte et figée dans un sourire béat, presque enfantin. Aussi, quand à un moment donné, le mage l’invita à venir le rejoindre sur scène pour se prêter à une démonstration, c’est presque comme un ressort qu’elle se leva immédiatement, émerveillée, et aussi parce qu’elle s’y sentit obligée en tant qu’organisatrice de la croisière, mue par la volonté de parachever ce festival des sens en occupant légitimement son rang de reine éternelle de la fête. Dès qu’elle fut montée sur l’estrade, elle se tourna vers ses invités pour les gratifier de son sourire rayonnant et comme pour se faire admirer, elle posa quelques secondes, gracieuse, puis prit la main tendue du mage dont elle ne voyait que les yeux sombres et perçants. Comme envoûtée, elle se laissa guider et se retrouva avec lui derrière un voile d’un bleu magnifique que les assistantes tendaient pour les cacher du public.Elle tourna son visage vers l’homme et vit quelques secondes son visage découvert : elle n’eut que le temps de reconnaître dans un éclair de souvenance l’homme d’affaire sombre qui l’avait corporellement et sévèrement châtiée en Irlande (encore lui !), et elle se sentit tomber dans le vide puis se retrouva debout dans un endroit sombre, éclairé par de pâles lueurs, tels des foyers de chaudières disposés aux quatre coins.
Elle se serait crue dans la cale d’un bateau, si elle n’avait su que celle-ci n’était ni aussi grande, ni aussi sombre, ni aussi glauque.
Sans qu’elle ait eu le temps de réagir, elle se sentit saisie par les bras. Elle regarda à côté d’elle et vit que c’étaient drôles de créatures inquiétantes et grimaçantes qui la poussaient vers l’avant : elles étaient petites, musclées, avec un corps rouge et luisant, et leur petit  crane brun semblait orné de deux petites cornes noires. Elles chuchotaient et articulaient des paroles incompréhensibles. Elle ne put lutter tant ses gardiens étaient puissants : ils l’amenèrent devant ce qui semblait un grand panneau de bois vertical formé de plusieurs planches juxtaposées et percées de trois trous. Elle vit une inscription sur l’une de ses faces, qui semblait écrite avec des lettres de sang : « RADINE».On souleva des planches et l’obligea passer sa tête et ses mains. Les planches retombèrent et elle se retrouva prise au piège du pilori, dans une position très inconfortable : debout sur ses talons, la nuque fléchie, elle était désormais courbée en avant et prisonnière du terrible carcan. Elle se demandait si elle ne rêvait pas, si elle n’hallucinait pas, mais l’inconfort et les courbatures qui apparurent très vite lui donnèrent une douloureuse preuve de la réalité de sa situation.  Soudain, elle ne put retenir un cri d’effroi : avec vélocité les créatures étaient en train de découper ses beaux vêtements ! Elle sentait sa peau se retrouver à nu tandis qu’on finissait de lui arracher les lambeaux de tissu. Sa jupe moulante et son haut ajusté, achetés chez des grands couturiers, finissaient de s’envoler en guenilles ! Le soutien-gorge en dentelles fines et le petit string minimaliste qui cachaient encore le peu de surface de peau qu’ils couvraient furent coupées en quatre coups de ciseaux, libérant ses gros seins, ses fesses et son pubis, désormais offerts.
Elle était bien plus effarée de la perte de ces pièces uniques et inestimables que de se retrouver désormais entièrement nue et prisonnière, sans défense, et à la merci de Dieu sait qui. Devant elle, l’obscurité glauque semblait commencer à reculer sous l’effet d’un rougeoiement dont l’intensité croissait lentement : elle distingua ce qui ressemblait à une espèce de brasero... non, c’était plutôt une sorte de vasque sombre remplie de braises où s’agitaient quelques flammes bleues et jaunes.A son grand désespoir, elle vit les petites créatures jeter dans le foyer des lambeaux d’étoffe qui étaient tout ce qui restait de ses magnifiques atours. Des flammes lumineuses montèrent et l’illuminèrent durant quelques instants, lui projetant au visage une chaleur accrue. Elle se mit à transpirer à grosses gouttes, tant la température de cet antre inquiétant était déjà élevée.Des odeurs de fumée, de charbon, de soufre, lui prenaient la gorge. Elle entendit un rire tonitruant et comme le bruit de quelqu’un qui marchait avec une jambe de bois... Les pas se rapprochèrent... Non, tout compte fait c’étaient plutôt des bruits de sabot. L’étrange être se trouvait désormais à côté du foyer. Il avait les cuisses et la poitrine nue, tout en muscles, des muscles noueux, ligneux, comme noircis par la fumée, comme rougis par une exposition trop longue au soleil ou à des flammes intenses.Il agita quelque chose au-dessus du foyer, comme s’il essayait d’attiser le feu. Et en effet, des grandes flammes jaunes montèrent quelques instants seulement, mais suffisamment pour qu’elle puisse voir sa face inquiétante, presque déformée par un rictus sardonique : ce visage n’était pas sans rappeler certains masques de comédie antique ou un masque de carnaval, ou même la tête du roi du carnaval... Mais elle reconnut bien le visage du mage, de l’homme d’affaire, cet homme inquiétant, enfin le soi-disant ange gardien : elle poussa un cri de peur. L’homme éclata d’un rire puissant et sépulcral qui la tétanisa.Dans la lumière soudaine du foyer elle crut mieux distinguer ce qu’il agitait en fait au-dessus des flammes : ça ressemblait à un long martinet ou un fouet assez court pourvu de multiples lanières assez fines et noires. Il s’approcha et la contourna : elle sut par le bruit des sabots qu’il était juste derrière elle.Elle reçut comme une décharge : le fouet s’était abattu sur sa croupe large et cambrée et ses fesses accusèrent cette violente brûlure, qui fut presque aussitôt suivie d’une autre ! Elle beugla, cria, perdit tout contrôle, tandis qu’il lui cinglait sur toute la largeur la peau de ses joues fessières bien développées. Les coups s’arrêtèrent, mais elle sentit aussitôt que des mains lui touchaient les fesses, les pinçaient, les palpaient sans douceur, les malmenaient, les écartaient... puis une humidité un peu gluante rafraîchit quelque peu son sillon fessier et son anus.Elle poussa un « AH ! » de surprise : quelque chose comme un doigt avait forcé son anneau culier et se jouait de la résistance du muscle qui se spasmait, et lui livrait passage bien malgré elle.Ça n’était pas douloureux mais c’était une chaleur surprenante qui s’était introduite en elle, montait, l’envahissait, si bien qu’elle ne réagit pas quand autre chose s’introduisit en plus, comme un second doigt raide et noueux.Sans peine, son orifice s’élargissait de force et se dilatait. Elle sentit qu’on lui plaça un objet dont le diamètre croissant l’écartela davantage avant de diminuer : son orifice le bloquait désormais et l’empêchait de ressortir, elle était comme bouchée. Les pas résonnèrent et elle vit l’être revenir vers le foyer : il prit dans ses grandes mains quelque chose, et pour la première fois il s’adressa à elle d’une voix puissante et ténébreuse, qui semblait faire trembler tout l’espace autour : « - Voilà ce que j’ai pour toi ! »
Elle écarquilla les yeux : il tenait entre ses doigts un œuf d’or, de la forme d’un œuf de poule mais vraiment de belle taille, elle n’en avait jamais vu d’aussi gros et encore moins en or massif ! Il brillait de mille feux et sa surface était aussi pure que celle d’un lingot.
« - Ah, je vois que ça te parle, ça ! L’envie fait étinceler tes yeux. Eh bien puisque tu aimes la richesse, je vais t’en donner ! »
Et elle vit les deux étranges créatures se placer de chaque côté de son bassin, et elle sentit qu’on lui écartait les lèvres sexuelles, et qu’on la maintenait bien ouverte. Puis elle sentit une chaleur bien particulière sur sa vulve et sentit qu’on lui poussait l’œuf d’or à l’intérieur d’elle. Mais cela ne s’arrêta pas là. L’Ange lui montra un second œuf puis se reposta derrière elle et le fit rentrer derrière l’autre. Une chaleur singulière commençait à envahir son vagin, et elle sentit que son sexe bavait littéralement, la cyprine lui coulant jusque sur l’intérieur des cuisses.Quand le troisième œuf fut présenté à son orifice vulvaire elle commença à avoir peur et poussa des cris d’orfraie.  Mais la chatte bien luisante de mouille l’absorba tout entier.Enfin, elle se sentie forcée, dilatée, ouverte comme jamais quand un quatrième œuf rejoignit avec peine les trois autres.
« - Ils sont à toi, tu les as bien gagnés ! » s’exclama-t-il en éclatant de rire et lui renversant la tête en arrière en lui tirant sa longue chevelure brune et soyeuse.
« - Et ceux-là aussi ! » rugit-il avec bonne humeur.
Elle vit alors deux gros œufs d’or suspendus chacun à une pince dorée. Et avant qu’elle ait eu le temps de dire quoi que ce fut, il saisit son mamelon brun large comme une médaille et il y plaça bien au centre la pince !La douleur fut fulgurante : la pointe du téton avait été prise, et était écrasée par la pince puissante. Quand il lâcha l’œuf, lourd de son poids d’or, il entraîna en étirant sa ronde mamelle vers le bas, le transformant en une longue fusée pendante : elle beugla comme une démente !
« - On dirait une ânesse en train de braire ! » rit-il de bon cœur, de sa voix tonnante. « Dommage que tes grosses mamelles soient aussi vides que des postiches, on aurait pu les traire : ça se vend très cher le lait d’ânesse ! »Et il repartit d’un rire tonitruant qui résonna de façon sinistre dans cette drôle de cave. 
Sans lui laisser le temps de souffler il procéda de même avec l’autre téton qui subit le même sort. Les seins se balançaient désormais, étirés et alourdis par les œufs de métal précieux. Il les poussa et ils se mirent à osciller avec encore plus d’amplitude : ses cris aigus déchirèrent l’air, elle vagissait avec désespoir, ses yeux arrondis par la peur.Ça n’était en effet pas tant la douleur qui la faisait crier mais la peur que ce traitement déforme à jamais ses seins si fermes, si arrogants, et qu’elle se retrouve à trente-cinq ans avec deux gants de toilettes lui tombant sur les cuisses, comme une vulgaire matrone du peuple !
L’Ange ne fit pas durer ce supplice plus de cinq minutes car soudain on lui libéra la tête et les poignets et elle se sentit entraînée vers le sol.
Une grande et grosse main puissante s’était refermée sur sa nuque et la tenait serrée, écrasant partiellement son cou, la laissant à peine respirer, laissant tout juste le flux sanguin s’écouler dans ses carotides. Par la seule force de cette main, il la fit s’accroupir sur le sol. Elle se tenait ainsi, les fesses vers le bas, le dos presque droit et n’essayait même pas de se débattre ; elle était certaine que d’une seule contraction plus forte de sa main il pouvait l’étrangler ou lui briser les vertèbres.
Soumise et docile elle attendait. Elle sentit un doigt se frayer un passage entre les lèvres de sa vulve dans le faible espace laissé libre par les gros œufs :
« - On dirait que la poule est pleine ! Et qu’elle va pondre » s’exclama-t-il, satisfait de lui-même.
Elle comprit ce qu’on attendait d’elle. La pression de la main se relâcha un peu ; effectuant des poussées et des contractions surhumaines, tancée et encouragée par l’Être, elle sentit qu’elle évacuait l’un des œufs qui tomba en tintant bruyamment sur le sol dur, accueilli par un juron de victoire de l’Ange et un cri libérateur qui sortit de sa gorge à elle ; elle se sentit allégée, et poussée par lui elle recommença : avec peine elle expulsa le second, puis le troisième, et enfin, après moult efforts et ahanements le dernier tomba et libéra sa chatte. Elle était couverte de sueurs, peinait à reprendre sa respiration, mais se surprit à sourire de satisfaction.
« - C’est bien. Elle a pondu. On n’a pas eu besoin de sacrifier la poule aux œufs d’or. C’aurait été dommage de lui ouvrir le ventre... ! » et il partit d’un grand éclat de rire.
Quelques secondes après il la souleva littéralement et la guida, sa main emprisonnant toujours son cou frêle, l’emmena quelques mètres plus loin.
Elle se retrouva à genoux sur ce qui ressemblait à une caisse. Ses bras furent tirés vers le sol et ses mains attachées à la base de la caisse.Sa poitrine s’en trouva soulagée, car les gros œufs d’or toujours suspendus à ses seins reposaient désormais sur la caisse, et leur douloureux étirement s’en trouvait amoindri.
Ses chevilles furent passées dans des bracelets métalliques fixés à la caisse, et elle se retrouva à nouveau entravée, le cul en buse offert indécemment, comme sa chatte, les cuisses bien ouvertes.
Elle reçut alors quelques claques sèches sur son fessier tendu. Sa chatte coulait toujours comme une éponge trop pleine, et elle sentait ses mollets aspergés par sa propre mouille !
Elle sentit soudain qu’on tirait sur le plug toujours fiché dans son anus, et après que l’Ange l’ait manœuvré un peu, jouant avec son muscle anal, elle le sentit glisser hors d’elle, la libérant, avec la sensation que son petit trou restait béant.
Soudain, elle eut un frisson indéfinissable : était-ce de la peur ou de l’excitation, mais elle avait aperçu un panier plein d’œufs en or du même acabit, qui brillaient dans le rougeoiement des flammes. Elle avait compris ce qui l’attendait.Et elle n’eut pas à attendre trop longtemps : elle vit la main velue et noueuse se saisir d’un œuf, un œuf qui était tout luisant, tout gluant du séjour qu’il venait de passer dans le fond de sa chatte, et immédiatement elle sentit qu’on forçait sur son anneau culier encore ouvert et poussait l’œuf jusqu’à ce qu’il disparaisse dans son cul ! Puis un autre suivit qui fut enfoui en elle, rejoignant le premier dans son rectum. Son canal anal dégoulinait désormais, tout visqueux des sécrétions nouvelles que sa muqueuse produisait, comme si elle s’était déjà adaptée à sa nouvelle fonction.
Kim ne criait plus, mais gloussait sous la sensation bizarre que produisait dans son fondement chaque œuf de métal précieux que l’Ange lui enfilait l’un après l’autre. A partir du 9ème elle s’arrêta de compter, et commença à se sentir alourdie et dilatée comme jamais.
L’Être finalement la libéra et l’aida à se lever. Elle avait le ventre gros comme celui d’une femme enceinte de 8 mois, et il la déséquilibrait terriblement : elle avait l’impression qu’elle allait basculer en avant à chaque instant, comme un culbuto, et elle se sentit incapable de marcher. L’un des œufs suspendu à ses seins tomba tout seul, et elle poussa un cri, avec l’impression qu’il lui avait arraché et emporté le mamelon et une partie du sein.
« - A quatre pattes, femelle !!! » tonna durement la voix de l’Ange, une voix autoritaire et comme pleine de colère. (A suivre...)Avertissement :
le jeu qui consiste à s’enfiler des œufs (quelle qu’en soit la matière) dans l’anus et le rectum est un pur fantasme (déjà mis en page par le Marquis de Sade dans Justine et les malheurs de la vertu), mais ne vous amusez jamais à le faire : par le biais du péristaltisme intestinal (ondes de progression de l’intestin qui peuvent se faire dans le sens inverse) les œufs ou les boules pourraient remonter et provoquer une occlusion intestinale (potentiellement mortelle) que seule une opération chirurgicale peut traiter.
C’est pourquoi les boules de geisha sont reliées entre elles par une petite ficelle que l’on laisse toujours dépasser grâce à laquelle on peut les ressortir. Sans ficelle c’est très dangereux.
J’espère que le caractère surnaturel de l’histoire n’aura échappé à personne (ni un œuf ni un membre masculin ne pourrait remonter de l’anus jusqu’à la bouche et en ressortir )
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