Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 292 J'aime
  • 11 Commentaires

Angela, belle-mère cochonne, se tape son fils...

Chapitre 2

Inceste
Ainsi, mon mari et sa mère étaient-ils amants... Depuis combien de temps faisaient-ils leurs cochonneries derrière mon dos ? Martin avait prétendu que c’est elle qui insistait pour baiser avec lui.
— Elle m’oblige, Carole ! Elle ne me laisse pas respirer, elle me harcèle, me force à lui faire l’amour. Je voudrais bien arrêter, mais elle insiste ! — Menteur ! Je t’ai vu la baiser avec joie, tu ne te forçais pas. Tu bandais comme un cheval ! Tu adores la baiser. Elle t’excite vraiment, n’est-ce pas ? Avoue ! — Oui... C’est vrai.
Martin était un menteur, un infidèle qui n’hésitait pas à faire ses saloperies avec sa mère dans notre propre lit. Quant à Angela, c’était bien un coup de poignard dans le dos qu’elle m’avait mis. Elle n’avait eu aucun remords à baiser avec mon mari. Pour leur faire payer ça, j’allais leur prouver que je pouvais être aussi perverse qu’eux, voire plus.Dans ma stratégie de vengeance, mes premières mesures avaient pour but de soumettre Angela et Martin à mes caprices. Dès le lendemain, en fin d’après-midi, je demandai à Martin d’appeler sa mère au téléphone.
— Allo Maman ? Carole veut que tu passes à la maison. — Pour quoi faire ? — Je ne sais pas. Je te répète juste ce qu’elle m’a demandé.— Martin, je ne peux pas venir tout de suite. Je n’ai pas que ça à faire.— Maman, Carole insiste... — Ha celle-là, elle commence à m’énerver ! — Chut maman ! Elle est à côté, elle entend tout !

Dès qu’Angela fut arrivée, je mis les points sur les "i".
— Déjà Angela, quand je te demande de venir, tu viens ! Tu vas m’obéir maintenant. On ne discute plus.
Angela tenta de se rebeller.
— Carole, ne me parle pas comme ça ! Je suis ta belle-mère, pas ta copine !
— Je te parle comme je veux Angela ! Tu vas te taire et m’obéir. Tu veux que j’envoie les photos à ton mari ?
Je lui montrai mon portable et les quelques photos que j’avais prises. Une maman en train de se faire prendre en levrette par son fils, ça ne fait pas très sérieux. Elle baissa la tête.
— Carole, c’est dégueulasse ! Je t’ai toujours respectée.— C’est faux Angela. Tu ne m’as jamais aimée, et moi non plus d’ailleurs. Mais maintenant, tu vas m’obéir, un point c’est tout. Tu n’as pas le choix si tu veux que je garde le silence sur les saloperies que vous faites tous les deux. Et pour commencer, déshabille-toi ! — Comment ça ? — Mets-toi à poil ! Plus vite que ça. Je t’ai déjà dit qu’en ma présence dorénavant, ça sera la tenue de rigueur. — Toute nue ? — Oui. Tu peux garder tes talons hauts par contre. Ça fait plus salope, j’aime bien, et ça correspond bien à la réalité de ton caractère.
Rien que le fait de devoir m’obéir était déjà une humiliation pour ma belle-mère qui était habituée à dominer, diriger sa maison. Mais là en plus, elle était obligée de se mettre nue. La tête basse, elle retira sa jupe et sa chemise.
— Ta culotte et ton soutien-gorge aussi, Angela, allez !
Elle s’exécuta et se retrouva entièrement nue, à part en effet ses talons hauts. Elle était debout au milieu de la pièce, attendait la suite. Elle n’osait pas relever la tête, honteuse, avec ses gros seins qui tombaient. Pour ma part, je savourais ma victoire avec satisfaction. Je regardais ma victime en souriant. Je n’aurai aucune pitié avec elle.
— C’est bien ça, Angela. Tu n’es plus très fraîche, mais je dois avouer, tu es encore assez excitante pour ton âge. C’est un peu flasque, ça manque de tenue et d’entretien, mais je comprends Martin d’avoir encore envie de te baiser.
Je passai les mains sur ses seins, ses fesses, puis brusquement, je glissai un doigt entre ses jambes, dans sa chatte.
— Aïe, Carole, tu m’as fait mal ! — Ho tu ne vas pas faire ta chochotte, non ? Tu as l’habitude de te prendre des trucs plus gros que mon doigt, non ?
Je la doigtai un moment, ravie de l’avoir à ma merci, soumise. Je me tournai alors vers Martin.
— Bon, Martin, tu n’as pas honte de laisser ta mère se mettre à poil, s’humilier toute seule ? Allez, à poil toi aussi !
Martin fulminait de rage, mais il m’obéit. Il enleva ses habits et ils se retrouvèrent tous les deux nus comme des vers, tout honteux. Je m’approchai sourire aux lèvres, et passai la main sur le sexe tout mou de Martin.
— Par contre, mon cher mari, tu n’as pas l’air en forme ! Ta mère va te sucer. Une bonne pipe te fera le plus grand bien !
Ils me regardèrent avec des yeux ronds. Même s’ils adoraient le faire dans l’intimité, être obligés de faire devant moi ce genre de chose était particulièrement humiliant pour eux. Ils savaient cependant qu’ils n’avaient pas le choix s’ils ne voulaient pas que j’en parle à toute la famille.
Angela s’accroupit donc devant Martin, attrapa sa queue toute molle et la mit dans sa bouche. Elle se mit à le sucer avec application. Au début, Martin semblait plutôt stressé par la situation, énervé de s’être laissé piéger aussi facilement. Mais peu à peu, il se mit à bander, sa queue devenant de plus en plus dure et longue. Pour être efficace, sa mère dut ouvrir plus grand la bouche, introduire la queue plus profondément. Le tableau était saisissant. Voir une maman qui suce son fils, c’est une chose très peu banale, impressionnante même.
Je sentais qu’Angela se régalait vraiment à le sucer. Ca lui faisait bien plaisir de voir qu’il avait une si belle érection. Elle avait toujours été fière du pénis de son garçon.Depuis combien de temps faisait-elle ça ? Martin était un garçon très timide lorsqu’il était jeune, et il ne m’avait jamais raconté son dépucelage. Peut-être était-ce avec elle, sa mère, qu’il avait perdu sa virginité ? Lorsqu’il était adolescent, peut être qu’il la matait en secret dans sa douche, ou peut- être qu’elle faisait exprès de le laisser la regarder se savonner ? Et peut-être qu’un jour, elle l’avait laissé pénétrer dans la salle de bain ? Elle lui avait demandé de se déshabiller et venir la rejoindre dans le bac à douche, pour qu’il la savonne lui même. Là elle s’était retournée, lui avait présenté son gros cul pour qu’il la pénètre. La salope était capable de tout, des idées les plus tordues lorsqu’il s’agissait d’assouvir ses envies de sexe, y compris avec son propre fils.
En attendant, qu’ils prennent du plaisir n’était pas le but du jeu. Ou du moins fallait-il éviter qu’ils aillent trop loin. Je les interrompis brusquement.
— Ça suffit ! J’ai vu ce que je voulais voir. Tu es une vraie salope, Angela, une vraie bouche à pipe ! Mais à moi de m’amuser un peu ! Lève-toi et va t’asseoir dans le canapé, Angela !
Elle fit ce que je lui demandai à contrecœur, s’installa au fond du canapé.
— Écarte les jambes, Angela. Fais voir ta chatte !
Honteuse, elle s’exécuta. Je m’approchai. Ma belle-mère avait une bonne grosse foufoune, bien fendue, bien épilée autour des lèvres. J’avais un peu toujours eu ce fantasme de jouer avec une autre chatte que la mienne. Je n’avais jamais passé le pas, mais là, c’était l’occasion... J’écartai alors les lèvres de sa vulve avec deux doigts et je glissai un doigt de l’autre main à l’intérieur. Je poussai au fond. Mon doigt disparut immédiatement, quasiment sans résistance. J’inspectai cette chatte avec intérêt. C’était très intéressant et plutôt excitant de trifouiller là dedans, écarter tout ça. Angela ne bougea pas, se laissa faire. Je la doigtai un moment avec curiosité, heureuse de jouer avec cette chatte bien mûre qui se révéla rapidement assez juteuse. Un produit blanc laiteux trempa mes doigts. Je me tournai alors vers mon mari, tout penaud et très gêné de voir sa mère soumise à mes attouchements. J’avais assez envie de le mettre à contribution.
— Martin, va dans la cuisine, il y a un sac de beaux légumes. Ramène-les !
Mon mari se leva, et fit selon mes ordres. Il revint avec le sac de légumes et j’en sortis une belle courgette, de bonne taille. Angela avait compris ce que j’allais faire et elle me regarda avec un air paniqué. La courgette était bien plus grosse qu’un sexe d’homme normal. Même les godes vendus dans les sex-shops atteignaient rarement cette taille. Et Angela avait compris qu’elle allait devoir se la prendre dans la foufoune... Je dirigerai en effet la courgette vers son sexe et je poussai sans trop de précautions. Evidemment, c’était un peu dur à entrer. Angela était encore un peu étroite. À côté de nous, Martin était pétrifié. Il me regarda manipuler la courgette pour essayer de la rentrer dans le sexe de sa mère avec un mélange d’horreur et d’excitation. Lui non plus n’avait pas prévu de voir un tel engin pénétrer le sexe de sa mère.
— Martin, vu que tu aimes tant introduire des choses dans la chatte de ta mère, vas-y, continue ! Tu as plus de force que moi, ça rentrera peut-être mieux.
Je lui tendis la belle courgette.
— Carole, je ne peux pas faire ça ! — Et pourquoi pas ? Tu lui mets bien ta grosse bite ! — Mais là, c’est pas pareil, c’est un légume. Et cette courgette est beaucoup trop grosse. — Mais non, ta mère est un peu coincée, mais elle va se détendre, ça va aller ! Allez !
Martin s’exécuta. Assez timidement, il essaya d’introduire à son tour le légume dans le vagin d’Angela. Celle-ci les yeux fermés, se laissait faire. La courgette finit par rentrer doucement, puis elle pénétra entièrement. Martin remua le légume avec lenteur. Il semblait fasciné de voir ce sexe si large, pénétré par cet énorme gode improvisé.
Il était très gêné, mais petit à petit, il sembla y prendre un plaisir de plus en plus évident. Et rapidement, Angela ne put pas non plus éviter les premières manifestations de son excitation. Son sexe était bien détendu maintenant, et la cyprine blanchâtre s’écoulait, enduisant la courgette. Je sentais qu’elle avait honte de cette manifestation de jouissance, mais elle ne pouvait pas l’empêcher.
Pendant que Martin jouait dans la chatte de sa mère, j’avais pour ma part entrepris de tâter la queue de mon mari. Il était bien dur, le salop ! Se livrer à ce genre d’attouchements sur sa mère lui plaisait bien, visiblement. Je le masturbai quelques secondes, ce qui ne sembla pas lui déplaire. Il devait se dire que finalement, il s’en tirait bien : sa mère et sa femme, toutes deux dévolues à son plaisir. En d’autres temps, je me serais bien laissée aller à le sucer, profiter de cette belle queue. Mais nous n’étions pas là pour ça, j’avais une vengeance en cours. Et Martin ne se doutait bien sûr pas de ce qui l’attendait.
— Hé bien ! Je vois que ce que tu infliges à ta mère te fait de l’effet. A ton tour alors ! — Pardon ? — On va inverser les rôles. C’est au tour de ta mère de t’introduire ce qu’elle veut. ets-toi à quatre pattes. Je vais être gentille avec toi, on ne va pas prendre la courgette, elle est trop grosse. Mais il y a ici de belles carottes que ta mère va se faire un plaisir de rentrer dans ton fondement, mon cher mari.
Martin me regarda, ahuri.
— Carole, tu es folle ! Je refuse. — Comment ça ? Tu le fais à ta mère, mais tu ne veux pas l’expérimenter pour toi même ? C’est pas très solidaire, ça ! Allez, pas d’histoires, toi aussi tu dois payer...
Martin était blanc.
— Allez, à quatre pattes ! Et toi Angela, choisis la plus belle carotte que tu puisses trouver et éclate-toi !
Vert de rage, Martin se mit à quatre pattes, le cul à l’air. Angela passa derrière lui avec une carotte de bonne taille.
— Carole, je dois vraiment faire ça ? — Bien sûr Angela. Allez, humidifie un peu son anus, sinon ça va être difficile. Il est tendu, le pauvre chou.
a belle-mère s’exécuta. Ele mit un peu de salive sur l’anus de Martin et le massa un peu pour le détendre. Puis elle présenta la carotte. Elle poussa un peu, et elle rentra. Peu à peu, elle introduisit le légume, de plus en plus profondément. Elle commença de lents va-et-vient. Martin se laissait faire. D’abord réticent, au final, le traitement sembla lui plaire. Il bandait toujours. Sa queue semblait même étonnamment grande. Je l’attrapai et me remis à le masturber.
— Hé bien mon salop, ça te fait du bien, ce que ta mère te fait. Tu aimes bien te faire enculer on dirait ??
Martin n’osa pas répondre. Il fermait les yeux et avait honte de prendre du plaisir à se faire pénétrer par le cul, lui le macho, fier de sa puissance masculine.
— Angela, ton fils est excité. Arrête-toi, on va échanger. Moi aussi j’ai envie de jouer avec son cul. Toi tu vas passer sous lui et tu vas le sucer !
Ma belle-mère ne disait plus rien. Elle subissait mes caprices, obéissant à mes ordres. Elle s’allongea au sol, passa par dessous Martin, et mit sa queue dans la bouche. Pendant ce temps-là, je continuai à déplacer la carotte dans le cul de Martin. Celui-ci avait de plus en plus de mal à cacher son plaisir. Les yeux fermés, il jouissait de ce plaisir honteux à ses yeux. La fellation de sa mère n’arrangeait rien. Et puis brusquement, il ne put se retenir.
— Haaa merde... je vais venir ! Maman, arrête-toi !
Mais Angela n’obéit pas. Elle continua à le sucer comme si elle n’avait pas compris ce qui allait se passer. Ou alors elle avait très bien compris, mais attendait ce moment avec impatience. Martin explosa alors dans sa bouche. Il se mit à jouir à grand renfort de gémissement et grognements, expulsant son foutre dans la gorge de sa cochonne de mère.
— Continue Angela, suce-le encore ! ordonnai-je. Jusqu’au bout ! Et avale tout ! Je ne veux pas une goutte de sperme au sol !
Angela avala tout, ne laissant pas une goutte du précieux liquide se perdre. Et moi je jubilai. Les deux se relevèrent, tout penauds, les yeux baissés, rouges de honte.
— Hé bien ! Vous êtes des beaux cochons tous les deux. Et en plus vous avez aimé ça !
Je me tournai alors vers ma belle-mère.
— Bon ça m’a donné très faim, tout ça. Angela va nous préparer à manger ! — Je peux me rhabiller Carole ? — Non ! Tu n’as pas entendu ? En ma présence tu restes à poil. Tout le temps. Et puis je n’en ai pas fini avec toi. Tout à l’heure, après le repas, tu lècheras un peu ma chatte. Vous m’avez excitée, tous les deux.
Tête baissée, elle se dirigea vers la cuisine... Mon mari me regardait, les yeux écarquillés.
— Tu es folle Carole. — Peut-être. Mais qu’est-ce que je m’amuse !
Et j’éclatai de rire.
Diffuse en direct !
Regarder son live