Telle une poupée de chiffon, je plie et finis par rompre. Les caresses de Thomas ont un effet dévastateur sur le peu de conscience professionnelle qu’il me restait. Les yeux fermés, je me laisse aller et c’est le plaisir qui m’entraîne. Seule cette quête du plaisir m’intéresse, désormais. En réalité... Il semblerait que mon amant du moment ait tout compris aux femmes... et au plaisir qu’elles peuvent prendre. En pelotant mes gros seins, il détecte chez moi que ma respiration... est plus courte. Serait-ce une zone érogène importante chez moi ?
Je ressens des frissons qui parcourent mon corps de la tête aux pieds. Les attouchements de Thomas sont agréables. Et il a visé en plein dans le mille, qui plus est. Quand on me touche les seins, quand on me les caresse, c’est comme un incendie qui m’embrase. Un incendie délicieux et voluptueux de plaisir qui se répand de fond en comble dans mon corps et qui ne peut plus être éteint. C’est comme ça. Et ça, Thomas l’a compris, visiblement. L’étreinte de ses mains sur mes seins en est renforcée.
À sa façon de prendre mes seins dans ses paumes de mains, à sa façon de les malaxer, à sa façon de faire rouler mes tétons entre ses doigts, il est facile de comprendre qu’ils lui plaisent et qu’il les fascinent. Pour être tout à fait honnête, quel homme... ou quelle femme n’aurait pas les yeux qui lui sortent de la tête à la vue de ma belle et généreuse poitrine ? Thomas est l’heureux élu aujourd’hui, si l’on peut dire. Ma poitrine est douce. Elle est voluptueuse. Tout ce qu’il aime, quoi. Mais le plus important à ses yeux, c’est que je sois réceptive à ce point à ses caresses. Mes seins sont agréables au toucher. Ils sont doux, moelleux. Ils sont gros, lourds. Ils sont comme il les aime. Thomas ne se laisse pas de les toucher, de les caresser. De les peloter, de les malaxer. Il sait que je n’y suis pas insensible, à ces attouchements divers et variés. Mais Thomas en veut plus. Mes seins lui ont l’air alléchants. Ni une, ni deux, il me fait pivoter pour que je lui fasse face. Il me regarde. Je suis jolie. Je lui plais. Et surtout... Surtout... Je lui donne envie. Thomas pose sa bouche sur moi et me donne des petits baisers. Il parcourt ainsi mon visage. Il sent mon corps se détendre dans ses bras. J’aime tout ça...
Thomas pose sa bouche là où il pense que c’est possible pour moi d’y prendre du plaisir. C’est ainsi que sa bouche descend et qu’à son tour, elle découvre mon corps.
Je fonds sous l’effet des baisers et des caresses du beau quinquagénaire. J’aime ça. Au plus profond de moi, malgré l’indécence de la situation, j’en voudrais plus. Au plus profond de moi, j’espère que Thomas sautera le pas. Sans aucun besoin de nous parler, l’homme baisse la tête et commence à m’embrasser la poitrine.
Les lèvres de Thomas sont tièdes. Je tremble, sur le coup. Bien sûr, c’est loin d’être la première fois que l’on flatte ma poitrine. Mais là, c’est comme si je venais de prendre un coup de jus. Mais c’est agréable. Les baisers sont doux. Ce sont des délices. Mes yeux se révulsent puis se ferment. C’est... bon. Que Thomas continue...
Je laisse exprimer mon plaisir comme bon me semble. Les baisers et les caresses de mon client sont des gourmandises ! Je vacille. Je perds pied. Voilà que je me laisse aller par le plaisir... Jamais, au grand jamais mes seins n’avaient été honorés à ce point.
Je sens mes tétons qui durcissent. Je sens mon sexe qui mouille. Plus rien ne compte à mes yeux si ce n’est le plaisir que ce bel homme me donne. Moi qui raffole des préliminaires parce qu’ils m’ouvrent l’appétit... Je suis servie. Mon sang ne fait qu’un tour. Les baisers et les caresses me font de l’effet. J’aime ça. Et Thomas s’y prend bien, qui plus est. Il est attentionné et il est à l’écoute de mes réactions. Il se comporte en gentleman et ça, c’est ce que j’apprécie. Si c’est comme ça, là, qu’est-ce que ce sera quand les choses sérieuses commenceront véritablement ? Thomas continue de me mettre en confiance, il me rassure. Ça m’a touchée quand il m’a prise au dépourvu au moment où il m’a dit que j’étais belle. Il ne peut pas me résister. Ce n’est pas possible et c’est aussi simple que ça. Il me fait de nouveau pivoter afin que je lui tourne le dos. Il abaisse les bretelles de ma robe, révélant ainsi de plus en plus mon joli décolleté. Quel décolleté émoustillant... J’ai encore un peu plus la peau qui se hérisse de chair de poule. Mais c’est tout sauf désagréable. Mes seins sont gros et mon partenaire les aime. C’est vrai que les hommes... et les femmes n’y résistent pas. Je suis bisexuelle. Mais ça, Thomas ne le sait pas. Oh s’il savait... Ce n’est pas à l’ordre du jour. Il est seulement question de nous deux. La salle du bar est vide et c’est comme si nous étions seuls au monde. Ce n’est pas plus mal comme ça. Les mains poursuivent leur progression et finissent par mettre mes jolis seins opulents à nu. Ni une, ni deux, elles font main basse dessus. Je ferme les yeux et me laisse toucher. Je me laisse aller...
Thomas et moi, nous nous faisons de nouveau face. Mes yeux sont particulièrement brillants. Je suis pendue au cou de mon partenaire et je l’embrasse goulûment. Ça a le don d’exciter Thomas de plus belle. Je suis fougueuse. Qui plus est, je suis belle. J’ai des formes et des courbes comme il faut, là où il faut. On en mangerait... En parlant de manger... Il ne peut plus résister à mes gros seins. J’ai de beaux seins et de jolis petits mamelons. Les aréoles sont roses et elles sont plutôt larges. Ni une, ni deux, Thomas baisse une nouvelle fois la tête de telle sorte qu’elle se trouve enfouie dans le creux moelleux de la jolie poitrine épanouie de ma poitrine. Il me couvre de baisers et de coups de langue car il sait à présent que j’aime ça. Et puis comme ça, ça lui permet de rendre cette vallée voluptueuse, tendre et blanche humide. Il a une ou deux idées cochonnes en tête... Son visage se déplace sur le sein droit. Sa bouche s’y porte. Là. Thomas le lape, ce beau sein. Il le tète.
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